Nous sommes au mois d’août 2004, lorsque j’ai rencontré Tina. Mélanie, une de mes amies organisait une fête d’anniversaire chez ses parents pour ses 20ans. Elle m’avait invité un mois plus tôt. Je vis dans les yeux de Mélanie, une certaine tristesse et beaucoup de déception, lorsque je lui annonça que je ne pourrais être présent, car j’avais déjà une fête de famille ( les 50ans de l’un de mes oncles). Mélanie me demande:
– Tu es sûr que tu ne peux pas t’arranger? J’ai vraiment envie que tu sois là.
Puis elle ajoute en me souriant:
– Et en plus, j’ai invité Tina et elle sera présente…
Je reste regarder « Mél »avec un air d’incompréhension:
– C’est qui déjà?
– Mais tu sais bien, je t’en avais parlé il y a 2-3 mois, Tina est une copine de classe,( elles étaient ensemble en BTS) et elle a flashé sur toi…
Je me suis souvenu de cette conversation, Mélanie m’avait parlé de cette Tina, qui m’avait aperçu lors d’un tournoi de foot et elle me trouvait mignon.
Quelques jours plus tard, j’ai confirmé à Mélanie que je viendrai à son anniversaire, mais plus tard dans la soirée.
Il est 22h30, je finis le gâteau d’anniversaire de mon oncle et je quitte l’assemblée familiale pour rejoindre mes amis à la soirée de » Mél ».
Arrivé sur place, je fais le tour pour dire bonjour à tout le monde. Je ne manque pas de souhaiter un joyeux anniversaire à Mélanie. Et là j’aperçois, près du barbecue, mon pote Arnaud discuter avec une nana. C’est Tina, c’est une ravissante blonde,coupe au carré, vêtue dans une belle robe noire, elle semble avoir de généreux atouts. Je sais que ce « crevard » de « nono »est en train de la draguer. Je sors par la porte-fenêtre de la cuisine, me dirige dans le jardin. Tina me voit arriver et son visage s’illumine, elle me sourit. Je tape sur l’épaule de « nono » pour le saluer et surtout pour lui casser son coup. Je fais la bise à Tina et je me présente:
– Bonsoir, moi c’est…
– Oui pas la peine, je sais qui tu es, moi c’est Tina.
Je la regarde de haut en bas:
– Enchanté!!!
Elle me répond:
– Également…je suis très contente de te rencontrer.
Je continue ma tournée de bisou et de poignée de main, quand je retombe sur « nono » qui est déjà bien imbibé. Il me dit:
– Putain, mec, tu as abusé tout à l’heure, j’étais en train de chopper. Je le regarde avec dédain:
– Ça m’etonnerait, et c’est pas la peine que tu insistes, elle est là pour moi dis-je fièrement.
« Nono », bien dégouté me lance alors:
– Putain, Enfoiré, tu as de la chance, elle est trop bonne.
J’ignore sa remarque, et retourne dans la cuisine et parler avec Mélanie. Un verre de punch chacun, on trinque.
Moi:- tu ne m’avais pas dit que Tina était si canon?
Mélanie:- Non c’est vrai, parce que je te connais, et c’est une fille bien, alors ne fais pas n’importe quoi.
Pendant que je discute avec « Mél », Tina est avec 2 ou 3 copines, on ne se lâche pas du regard, écoutant à peine nos interlocuteurs respectifs.
Un peu plus tard, je déconne avec des potes, Tina, toujours avec ses amies à l’air de s’ennuyer. Elle me regarde et me fait un signe de la tête pour que je la rejoigne dehors.
Une fois, à l’extérieur, on s’assoit l’un en face de l’autre sur la table du jardin.
Tina:- Pourquoi tu n’arrêtes pas de me matter?
Moi:- parce que je te trouve super belle.
Elle rougit en me disant:
– Toi aussi tu me fais craquer, je pense souvent à toi depuis que je t’ai vu.
Je lui sourit d’un air coquin:
– Et tu penses à moi en te caressant?
Tina:- oui ça m’arrive, me dit-elle en me faisant du pied sous la table.
Je l’ai alors embrassé. Nos langues s’emmêlent, c’est super intense. Tina me dit:- j’adore ta façon d’embrasser.
Moi: – moi j’adore tes lèvres. ( oui je sais, cette partie est cucu…)
On s’embrasse longuement, je suis excité et je bande comme un fou. Je caresse ses seins par dessus sa robe.
– hum j’adore tes gros seins.
Elle me répond:
– Un 95C, ça plait tout le temps…
On retrouve les autres à l’intérieur, ça chante, ça danse, ça picole. Tina et moi sommes un peu ivre. On danse ensemble, je lui pelote les fesses. Elle me chuchote à l’oreille:
– J’ai envie de toi…
Je la prend par la main, en lui disant que je connais un endroit plus tranquille. On prétexte aux autres qu’on s’en va acheter des cigarettes avant que le bar-tabac ne ferme.
Dix minutes plus tard, on se retrouve au stade de foot. On s’allonge dans la pelouse fraîche. Il fait nuit, personne ne peux nous voir ici. On s’embrasse, on se caresse, nous sommes très excités. Je glisse ma main sous sa jupe, je caresse sa fente par dessus son string qui est complètement trempé. Je bande également et nous nous deshabillons mutuellement. Je me jette sur ses énormes seins, sa main parvient à atteindre mon sexe, elle me branle. Pendant que je la tête joyeusement, ma main s’est engouffrée entre ses cuisses, j’effleure son petit buisson finement taillé. Puis je lui glisse deux doigts et je la secoue énergiquement. Elle gémit et m’ordonne:
– Vas y, mets la moi, mets la moi vite, je veux te sentir en moi. Je me cale entre ses cuisses et la pénètre d’un coup. On fait ça comme des animaux, sans prendre notre temps. Moi bras tendus au dessus d’elle, Tina sur le dos, jambes repliées, ses mains sur mes fesses, elle appuie fort pour me sentir au plus profond de son vagin. Ses petits » ouh, ouh, ouh » m’excite énormément et je finis par jouir en elle. Je l’inonde de ma semence, elle se sent bien.
Nous sommes retournés chez Mélanie, la fête battait son plein. La plupart de mes amis étaient complètement saouls.
Tina et moi avons fini bien bourrés également et je suis resté dormir avec elle dans sa tente. Après un long cuni, (où une fois encore je me suis plains des quelques poils pubiens qui restaient sur ma langue), nous avons refait l’amour en levrette. Je me revois encore, massant ses fesses moelleuses en labourant son abricot et elle qui gémissait discrètement, la tête dans le coussin afin d’éviter que les autres tentes, autour de nous, ne nous entendent.
Le mercredi suivant, on se revoit chez elle, nous sommes seuls, ses parents au boulot, nous montons dans sa chambre. Elle commence à baisser les volets car elle complexe un peu sur son petit bidon.
Moi:- Laisse ouvert j’ai envie de te voir nue, tu n’as pas à être gênée.
On se déshabille, et je l’observe nue devant moi. ( elle ressemble à ça: ). Je bande direct en voyant ses gros seins et sa chatte toute lisse qu’elle a épilée spécialement pour moi. Allongée sur le dos, je déguste sa chatte, son clito, j’aspire ses lèvres, elle jouit fort, elle est très humide. Je me met à l’envers pour qu’elle me pompe. Elle me dit n’avoir jamais sucé, mais me prend en bouche quand-même. Elle s’y prend bien m’avalant délicatement. Puis nous avons fait l’amour en missionnaire.
Un peu plus tard, elle décide de me sucer à nouveau. Je suis debout sur le lit, elle lèche mon gland avec gourmandise. Puis elle me suce en me branlant vite. Elle me demande si c’est agréable?
Moi:- hum oui c’est super bon et ça doit être encore meilleur entre tes seins.
Tina:- Ça m’étonnait que tu ne l’ais pas demandé plus tôt.
Je glisse alors ma queue bien dure entre ses magnifiques nichons. Elle les presse fort entre ses mains et elle s’active faisant monter et descendre ses belles mamelles autour de ma verge. Je suis au bord de l’extase et gicle en plusieurs jets sur ses seins qu’elle étale en me regardant dans les yeux. Je venais d’obtenir ma PREMIÈRE branlette espagnole.
Tina part prendre une douche et revient une dizaine de minutes plus tard, enroulée dans une serviette rose. Elle s’allonge près de moi. Nous discutons un moment. Elle caresse mon torse du bout des doigts, cela me file la chair de poule. Soudain elle me demande:
– Tu attends quoi de notre relation?
N’osant pas répondre franchement, par peur de la blesser, je lui dis:
– Je ne sais pas trop et toi?
Tina:- Franchement, je suis bien avec toi, mais ça ne marchera pas. À la rentrée tu pars sur Nantes et moi sur Quimper, on ne se verra pas souvent et une relation à distance ne m’intéresse pas.
Soulagé, je lui confirme que je pense exactement la même chose qu’elle. On décide d’un commun accord que c’est la dernière fois qu’on se voit.
Elle ajoute avec un air espiègle:
– On peut tout de même en profiter encore une fois.
Je lui souris et l’attire sur moi. On s’embrasse goulument, je la serre fort contre moi. Puis elle se relève, assise sur le haut de mes cuisses, elle me regarde dans les yeux et ôte sa serviette. Je prend alors ses seins dans mes mains et les masse fermement. Elle pose ses mains sur les miennes et m’accompagne dans ce massage, tout en frottant sa chatte contre ma queue, qui a repris toute sa vitalité. Elle mouille bien et caresse ma tige, toujours en se frottant à moi. Je me relève en position assis, je plonge ma tête dans ses seins. Je les embrasse, suce ses tétons tous raides. Puis, elle m’allonge de nouveau sur le lit, et m’embrasse le torse, le ventre et vient me lapper la teub. Je lui dis de se retourner et nous exécutons un merveilleux 69. Je tourne ma langue dans sa chatte brûlante de désir, et titille son clito du bout de ma langue en caressant ses fesses que j’écarte légèrement pour admirer son anus sombre. Je l’entend gémir, la bouche pleine, elle me suce comme une friandise. Puis, elle se retourne et à califourchon vient s’empaler sur moi. C’est elle qui contrôle nos ébats. Elle fait des mouvements de bassins horizontaux pour frotter son clito contre moi, comme si elle me glissait dessus, elle est toute rouge et sa respiration s’accélère de plus en plus. Elle s’agite ensuite verticalement, je sens mon membre entrer et sortir de sa fente trempée. À chaque va et viens, je sens ses fesses taper mes couilles et mes cuisses, ses gros seins balottent dans tous les sens. Cela m’excite trop et j’éjacule en elle puissamment. Elle se mord les lèvres et jouit à son tour en atteignant l’orgasme. Elle s’écroule sur moi, on s’embrasse et je la serre fort contre moi. Je reste en elle un bon moment. Je sens ma sécrétion degoulinée le long de ma verge et sur mes boules.
J’ai revu Tina 10 ans plus tard, pour les 30 ans de Mélanie. Elle est mariée, a une petite fille. Ce soir là, elle m’avoua avoir souvent repensé à cet après-midi…
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