Un jour, en fin de matinée je quitte mon travail et au lieu d’aller déjeuner je me rends sur le chantier où travaille Julien qui a été mon premier amant et qui est également le meilleur ami de mon père.
<
<
<
<
<
<
<
Je m’approche de lui et passe mes bras autour de son cou.
Tout en faisant onduler mon corps en me frottant contre lui je l’embrasse d’abord sur les joues puis sur les lèvres
avant de poser les miennes sur les siennes.
Sa bouche est fermée, je bataille pour y faire pénétrer ma langue.
Je dois insister pour le faire abdiquer, ce qui arrive en même temps que je sens sa verge grossir contre mon ventre.
Je fais en sorte que nos baisers soient interminables pour le mettre en condition, ma langue va sans cesse à la recherche de la sienne.
<
Julien étale une couverture dans un endroit herbeux protégé du soleil sous un gros chêne.
Pendant ce temps je retire mon jean qui moule mes fesses et mes jambes, pendant que j’y suis je me débarrasse aussi de mon string. Le pull et le soutien-gorge suivent.
Autant qu’il profite de la vue de mon corps une dernière fois
Nous nous embrassons après nous être allongés.
Il caresse ma poitrine et agace les tétons.
J’en fais autant sur son torse et son sexe par dessus le pantalon.
Il caresse puis me doigte passant de ma chatte à mon anus pendant un moment avant de s’en prendre à mon clitoris qu’il masturbe d’abord doucement puis de plus en plus vite.
Evidemment comme d’habitude je deviens rapidement bruyante.
Comme il ne cesse pas de me torturer mes gémissements et râles sont de plus en plus audibles.
Il s’acharne et doigte mes orifices et surtout ses doigts insistent en masturbant vigoureusement mon bouton.
Je suis maintenant très énervée.
Je me déplace et extrait la queue de son pantalon et après l’avoir caressée je la lèche partout tout en malaxant les bourses.
Lui continue ce qu’il a entrepris pendant que je m’évertue à lui faire une fellation et le plaisir que je ressens augmente.
Julien arrive au résultat qu’il recherchait, je cesse de sucer le membre et je jouis arrosant ses mains avec le liquide qui s’échappe de mon vagin.
Une fois que les spasmes ont cessés je reprends la fellation, les aller-retour de ma bouche sur le pénis sont rapides et je serre mes lèvres le plus possible.
Il ne me faut pas attendre longtemps avant que la verge ne se mette à tressauter et envoie des giclées de sperme dans ma gorge.
Il me laisse boire le liquide et sucer encore un peu avant de reprendre l’initiative.
Allongé sur moi il enfonce sa queue dans mon intimité et commence à donner des coups de reins.
Rapidement je fais bouger mon bassin en rythme avec les va-et-vient du membre qui me défonce la chatte.
Notre accouplement dure un petit moment avant que la queue ne s’agite et que de la semence n’arrose mon vagin.
Dés que Julien s’est retiré je m’occupe de nouveau de son pénis gluant d’abord avec une main puis avec ma bouche une fois qu’il bande de nouveau.
Il me demande de me mettre à genoux, ce que je fais tout en creusant les reins.
Quand sa queue vient butter entre mes fesses et cherche à pénétrer mon anus je l’aide avec une main.
Les mains agrippées à mes hanches il pousse s’aidant du poids de son corps et sa verge s’enfonce dans mon cul.
Il a commencé à me sodomiser quand nous entendons un bruit, une branche qui craque.
Sa queue toujours plantée dans mon corps Julien regarde partout mais ne voit rien de suspect.
Il recommence à donner des coups de reins tout en masturbant frénétiquement mon clitoris, je suis de nouveau assez bruyante.
Evidemment il ne cesse pas de me torturer et mes gémissements et râles sont de plus en plus forts.
Le plaisir augmente dans mon ventre jusqu’au moment où ça devient intolérable, je crie pendant qu’il m’amène à l’orgasme.
Julien laisse tranquille mon clitoris et continue à s’activer.
Sa queue me défonce le cul avec des aller-retour de plus en plus rapides et les sensations ressenties sont toujours aussi vives.
Il finit par se laisser aller et arroser mes intestins de son sperme.
Une fois que sa queue a déserté mon cul je me relève et me sers de l’essuie-tout qu’il me tend avant de me rhabiller.
Je sais que je vais passer l’après-midi au travail avec les fesses bien humides car du sperme va encore couler de ma chatte et de mon anus.
<
Il me dit qu’il n’oubliera pas les moments passés avec sa petite salope.
<
Je l’embrasse et fait durer le baiser longtemps puis je m’éloigne sans me retourner.
.
En passant devant une très belle maison située pas loin de celle qui est en chantier je vois une femme, plus toute jeune mais au physique toujours agréable, elle est debout sur sa terrasse et me regarde en souriant.
Je lui dis bonjour.
Elle me répond puis me lance:
<
<
<
<
<
Je suis gênée et mes joues s’empourprent.
<>.
<
Je la rejoins sur sa terrasse, elle me sert un verre de jus de fruit et se présente.
<
Nous parlons un peu mais pas longtemps car je dois retourner à mon travail.
Comme elle m’a invitée à revenir la voir, je retourne chez Martine de plus en plus souvent car je me sens en confiance avec elle.
Si moi rapidement je finis par lui parler de ma liaison avec Julien et de mes autres incartades, elle m’en racontera beaucoup sur sa vie de femme bisexuelle.
——————————————————————————————————————————————————————————————
Récemment elle m’a présentée son amie de longue date, quand elles étaient plus jeunes elles a n’hésitaient pas à avoir des aventures avec des hommes . Elles ont même eu une relation lesbienne ensemble.
C’est une femme qui résidait en Vendée et qui vient de venir s’installer dans la ville, elle se prénomme LAURA et a publié beaucoup de récits sur ce site sous le pseudo de « Llauralachienne ».
Celle-ci, avec qui j’ai maintenant beaucoup d’affinités, en lisant les récits de sa vie sexuelle elle m’a donnée envie de publier sur le site le récit de mes aventures qu’elle met en forme d’après mes brouillons et les détails que je lui donne.
——————————————————————————————————————————————————————————————–
Maintenant que j’ai quitté proprement Julien mon premier amant je me consacre uniquement à mon amoureux.
Quand Lucas et moi sommes disponibles nous partons à la recherche d’un logement sans diminuer la fréquence de nos rapports sexuels.
Nous visitons des appartements et des maisons car nous envisageons de louer avant de nous lancer dans un achat.
Un jour nous en parlons devant mes parents, mon père suggère autre chose.
<
<
<
Lucas est gêné par la proposition.
<
<
Son ultime argument est qu’ainsi le remboursement du prêt que nous contracterons soit au pire équivalent à un loyer.
Lucas et moi nous leur disons que c’est à nous de nous assumer, mon amoureux précise qu’ayant de bons revenus, il a placé de l’argent et que cela n’est pas encore suffisant pour démarrer et qu’on verra à l’avenir.
Mes parents s’emballent disant qu’ils sont là pour aider leur fille unique et que c’est leur volonté.
Nous finissons par accepter leur proposition.
Nous écumons d’abord les agences bancaires pour voir ce que nous pouvons avoir comme prêt et à quel taux, cela nous donne une base de prix concernant la valeur de l’achat envisagé.
Ce n’est pas facile de se mettre d’accord à deux sur ce que nous voulons.
Nous visitons beaucoup de maisons et pavillons et un jour nous tombons sur ce que nous cherchons.
Un grand terrain arborisé, une façade qui nous plait et des murs extérieurs en pierres apparentes en très bon état.
Mais malheureusement l’intérieur c’est un désastre.
La solution vient de Julien l’ami de mon père, mon ex amant.
Il propose de visiter avec nous cette maison.
Nous acceptons car étant un excellent professionnel son avis ne peut qu’être utile.
Devant le vendeur il n’est pas avare et parle beaucoup montrant qu’il s’y connait puis il se met à négocier âprement le prix en énumérant et exagérant tous les travaux à faire.
Le vendeur est impressionné et Julien finit par obtenir pratiquement satisfaction et s’adresse à nous.
<
Après avoir attendu impatiemment pendant le délai normal avant d’être propriétaires, les travaux commencent tout de suite d’après les plans que Julien a fait faire en respectant nos souhaits.
Il se charge de trouver de bons artisans parmi ceux qu’il côtoie régulièrement sur les chantiers et il passe les commandes de matériaux chez ses fournisseurs les plus intéressants.
Modestement nous apportons notre aide pendant les weekends puisque ces jours là Julien est seul pour faire le travail avec mon père, qui n’est pas bricoleur, et celui de Lucas qui lui gère surtout la partie électricité.
Impatients nous trouvons le temps très long et pensons que les travaux n’avancent pas assez vite.
Arrive le moment où enfin c’est à nous de meubler les pièces, nous ne sommes pas toujours d’accord ce qui est normal.
Les différents se règlent en général après plusieurs baisers et caresses où sur l’oreiller mais il faut dire que cela porte sur des détails et que les compromis sont faciles à trouver.
Puis un jour je me vois interdire l’accès à notre futur logement, Autoritairement Lucas me confisque la clé de la porte d’entrée.
Je sais qu’il s’y passe des choses mais personne ne veut m’en parler, pas même mes parents ni les siens qui pourtant participent.
Curieuse en plus de questionner je passe souvent devant la maison quand il n’y a personne mais les volets sont toujours fermés, cela m’énerve.
J’ai beau menacer mon amant de faire la grève du sexe rien n’y fait et il sait que je ne tiendrais pas j’ai trop besoin de lui et envie de ses étreintes.
Je lui fais l’amour en multipliant les baisers, les caresses, les fellations, dés que j’ai l’initiative je me mets à califourchon sur lui et introduis sa queue dans ma grotte ou mon anus puis je fais bouger mon corps jusqu’à ce qu’il éjacule.
A ce petit jeu je finis plus fatiguée que mon amant car il n’hésite pas à me faire jouir pour me calmer mais ne m’en dit pas plus sur ce qu’ils font dans notre maison.
Ajouter un commentaire