Le jour du mariage approchait et Bertille distillait judicieusement ses « conseils » à Clotilde qui rougissait de moins en moins à l’évocation de ces « excentricités »…Bertille lui fournit même la garde -robe pour son voyage de noces , lui apprit à marcher avec des talons aiguilles et à se maquiller. Clotilde était de plus en plus excitée à mesure que la date approchait et ce n’était pas entièrement lié au fait qu’elle allait s’engager pour la vie.
Les cérémonies du mariage furent vite accomplies et enfin les jeunes mariés se retrouvèrent dans leur chambre. Clotilde fila dans la salle de bain pour procéder comme le lui avait conseillé Bertille à sa toilette « intime ». Elle enfila ensuite la nuisette achetée par Bertille et regagna la chambre.
Chéri je suis prête à devenir une « femme »…
bien…mets ce masque sur tes yeux.
???
-tu verras tes sensations seront renforcées et puis je voudrais d’abord que nous jouions…après tout nous ne nous connaissons pas du tout sur le plan …corporel…
oh oui bien sur…excuses moi, je suis sotte
elle mis le masque et s’allongea sur le lit. Laurent entreprit de la caresser et se souvenant des conseils de Bertille elle fit glisser sa main jusqu’au sexe de son mari. Elle trouva qu’il était à peu près de la même taille que le jouet de Bertille. Comme elle l’avait appris de sa cousine elle branla doucement le membre viril, caressant de temps à autre les couilles de Laurent. Celui-ci avait commencé à lui caresser la vulve et déjà elle sentait une douce chaleur l’envahir. Elle entreprit de le prendre en bouche. C’était plus chaud et plus agréable que le sextoy. Elle s’amusa à faire jouer sa langue sur le bout décalotté, puis à lécher le membre sur toute la longueur…Elle avait l’impression d’être une gamine jouant avec un baton de glace. Ce que Laurent lui faisait ne la laissait pas indifférente, rapidement elle sentit les prémisses de l’orgasme et dans un grand cri elle se mit à jouir. Comme la fois ou elle avait « joué » avec Bertille son corps laissa échapper un flot de cyprine.
-Humm, mais ma petite femme mouille…
-ça ne te choque pas?
-au contraire, j’adore
sa tête remontait le long de son corps, titillant le nombril puis un sein. Clotilde dut abandonner sa fellation
-goutes!
Le gout sur la langue de son mari était celui de son plaisir…Elle trouva que c’était bon et accepta de l’embrasser goulument
-Maintenant je voudrais que nous passions aux choses sérieuses…
-oh oui, j’attends cela depuis si longtemps…
-patience, ma chérie…
Elle sentit la main de Laurent qui titillait son anus. Le froid du gel la fit se souvenir des paroles de Bertille…
S’il voulait commencer par « l’étroite porte » pourquoi pas…Elle gardait un bon souvenir de « l’expérience »…
Elle sentit le gland butter contre son anneaux. Les mains de Laurent caressaient son clitoris et l’un de ses seins. C’était très agréable et elle se détendit. La verge se fit un passage sans trop de difficulté…Elle émit un petit cri , signifiant plus à Laurent sa « victoire » qu’une douleur. Celui-ci sans se laisser attendrir commença à la pistonner rapidemment, sa verge s’enfonçant un peu plus dans les entrailles de sa femme à chaque mouvement…Elle arracha le masque qui lui couvrait les yeux.
– je veux te voir jouir en moi!
Rapidement le plaisir la submergea et elle l’exprima à grands cris…Laurent jubilait. Il continua de la pilonner malgré les gestes de recul que lui dictait son corps effarouché par tant de plaisirs…Enfin dans un rale libérateur il éjacula au plus profond des entrailles de sa femme…
au mon Dieu, chéri comme c’était bon…Tu crois qu’il te reste assez de force pour me prendre ma virginité?
Elle avait dit cela d’un petit air narquois, pensant stimuler son orgueil de « male »…
non, nous verrons cela demain…
mais…que vont dire les gens de ma famille, tu te doutes bien que demain ils vont venir en douce inspecter les draps…
poue les taches de sperme je pense que ça devrait leur suffire…pour le sang…j’ai ma petite idée…
?
tu te souviens de la prise de sang pré-nuptiale?
Oui, bien sur pour voir si nous sommes compatible en cas de grossese
c’est cela…eh bien l’infirmière est une amie
Il ne pouvait pas lui dire qu’elle était une « bonne amie » adepte du bondage et qu’elle aurait obéi à la moindre de ses volontés…
et elle a prélevé un échantillon « de trop » que voici…
il sortit de la pièce et revint quelques instants plus tard avec une petite ampoule dont il déversa le contenu à l’endroit où Clotilde était supposéée avoir été déflorée.
Voilà, oficiellement tu n’es plus vierge…
Elle était un peu dépitée et ne savait que penser…quel genre d’homme ne voudrait pas honorer sa femme et prendre son bien le plus précieux? Elle décida de faire contre mauvaise fortune bon coeur…
Je crois que Bertille m’a dit je cite: après l’ouvrage, il faut toujours nettoyer les outils…tu veux que je te lave le sexe
volontiers chérie, je vais admirer de mon coté ma sève qui coule de ton joli petit cul…
tu le trouves joli?
Magnifique…allez au boulot
Elle s’exécuta. Elle passa voluptueusement sa langue sur le gland décalotté à plusieurs reprises. Le gout du sperme ne la répugna pas et elle entreprit d’aspirer les quelques gouttes qu’elle supposait rester dans la verge. Elle espérait aussi que le bruit de la succion couvrirait les gargouillis qui émanaient de son anus…Elle fit si bien que rapidement la verge de son mari eut une belle érection …De nouveau il la sodomisa , et une fois qu’elle eut jouit il présenta sa verge devant la bouche de sa femme qui l’engloutit avidemment. Elle fut surprise de sentir un tel flot envahir sa bouche mais elle s’amusa à l’avaler…Elle lui posa un petit baiser sur les lèvres .
dis tu crois que mon anus va revenir comme avant?
J’espère bien que non…j’ai bien l’intention de le fréquenter assidument!
Je t’aime!
Moi aussi, allez il faut dormir…demain voyage de noce…
tu ne m’as toujours pas dit où nous allions…
surprise…tu vas aimer
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