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Découverte (2ème partie)

Découverte (2ème partie)



-Veux-tu boire quelque chose? Un café, une bière? Du champagne, peut-être?
-Ben, cette nuit, j’ai pas mal picolée avec les copines, et j’ai un peu mal à la tête.
-Alors il y a 2 solutions; le mépris ou traiter le mal par le mal. Dans les 2 cas, il faut boire un coup. Donc, champagne!

Je me levais pour aller chercher une roteuse au frigo. J’ai toujours une bouteille de champ’ au frais, on ne sait jamais ce que réserve le hasard des rencontres. Et puis j’avais une idée derrière la tête, la rendre légèrement « pompette », afin qu’elle se lâche un peu sur les réponses qu’elle allait devoir apporter à mon interrogatoire. Je la décachetais devant elle, la débouchais, emplis deux flûtes et lui en tendis une. En trinquant, je la regardais droit dans les yeux. Elle me sourît, mais baissa les yeux. Je me rassis dans la banquette:

-Quand as-tu compris que tu étais une fille soumise? lui demandais-je à brûle-pourpoint (je n’ai jamais vu brûler de pourpoint, donc je ne peux pas vous dire comment ça fait!).
-Ben, avec mon copain, quand on fait l’amour, il aime bien me tenir les poignets derrière la tête, il m’écarte les cuisses avec ses jambes et il rentre en moi très fort…
-Et?
-Ben, c’est tout! Ah si! Il aime bien aussi que je le suce en étant à genoux, et lui, il me tire les cheveux..
-Et?
-Ben, c’est tout!
-Bien, alors écoutes-moi; en fait, ton mec, il a juste le fantasme du viol, il aime baiser en force, c’est tout! Tu aimes, toi, qu’il te baise comme ça?
-Mouais.
Ca n’avait vraiment rien d’un « oui » franc et massif
-Réponds-moi franchement!
-Ben, des fois, il me fait vraiment mal.
-Et tu aimes ça?
-Ben non, personne n’aime ça. J’aime bien la manière dont il fait ça, mais il s’y prend mal.
-Donc, si j’ai bien compris, tu aimes te sentir humiliée, forcée, abusée, mais lui s’y prend comme un manche?
-Voilà, c’est ça.
-J’ai la solution à ton problème.
-Quoi?
-Changes de mec! Vires cette brèle, essaies plein de pointeurs, fais des tas de rencontres. Tu trouveras ton bonheur, et si tu ne le trouve pas, tu auras au moins la consolation de t’être tapé un tas de mecs, ça te forgera toujours une expérience. Quand à lui, je ne peux rien pour lui, je veux bien prendre en main l’éducation d’une soumise, mais pas celle de son camarade de plumard!
Après un silence, elle releva la tête et me dit:
-Tu crois?
La réponse cingla:
-Depuis quand tu me tutoies?
Elle rougit:
-Mais tu m’avais dit…
-Mais VOUS m’aviez dit!
-Mais vous m’aviez dit de ne pas vous appeler Maître et tout ça?
-Je t’ai dit de ne pas m’appeler Maître « pour le moment », par contre, je ne t’ai jamais autorisé à me tutoyer, tu prends seule des initiatives, et ça, c’est tout le contraire de la soumission. La soumission, c’est d’attendre un ordre d’une personne qui vous est supérieure, puisque vous êtes soumise à cette personne, tu comprends. La soumission, c’est être au service complet d’une personne qui va te demander d’éxécuter certaines tâches, toi, tu dois tout mettre en oeuvre pour que ton dominant soit content. Si ton dominant est content, tu seras récompensée. Par contre, si ton service n’est pas satisfaisant, tu devras te méfier du courroux de ton Maître, et là, à ce moment précis, oui, tu devras l’appeler Maître.

J’avais haussé le ton, et elle avait l’air apeurée. Je me levais et allais me placer derrière elle. Je mis mes mains sur ces épaules et je lui dis tout bas à l’oreille:
-Est-ce que tu comprends ma conception de la soumission, et est-ce que tu l’accepterais, au cas où je déciderais de m’occuper de ton éducation?
-Oui, murmura t’elle, après un long silence.
Je fis exprès de la plonger dans l’embarras;
-Oui, quoi?
-Mais.. mais… oui…
-Oui, tu comprends? Oui, tu acceptes?
-Oui, oui, les deux!
Très bien, je te taquinais, tu sais, tout ça ne doit rester qu’un jeu. Maintenant, je vais te demander quelles sont tes habitudes sexuelles, ce que tu aimes, ce que tu refuses de faire, et, crois-moi, je le respecterais, jusqu’où tu es prête à aller etc… Tu es d’accord?
-Oui, c’est OK.
-Bien, pour commencer, je vais te demander d’enlever ton blouson.
Elle obéit, je lui prit et le déposais sur le dossier d’une autre chaise. Je me replaçais derrière elle, ma main gauche sur son épaule, pendant que, de la droite, je lui caressais les cheveux.
– Dans ton annonce, tu as écrit que tu cherchais un homme mûr gentil, doux, tu aimes que les préliminaires se passent doucement? Tu aimes les caresses, les attouchements, les embrassades?
-Oh oui, j’adore qu’on m’embrasse et qu’on me caresse.
Ma main droite lui caressait la joue.
-Tu aimes qu’on t’embrasse très profondément, qu’on t’enfonce la langue loin dans la bouche, jusqu’à t’étouffer, en te tenant très serré par la nuque?
Je sentis que sa respiration commençait à saccader. Elle pencha sa tête en arrière. J’en profitais pour glisser ma main gauche vers sa poitrine. Comme je le lui avais demandé, elle ne portait pas de soutien-gorge, je lui caressais les embouts qui commençaient à durcir (il n’y avait pas qu’eux!). Elle avait une grosse poitrine et je commençais à la malaxer de la gauche tandis que ma main droite la tenait à la gorge, penchant sa tête vers l’arrière. De sa main droite, elle tenait mon avant-bras dont la main caressait les mamelles.
-Ouvres les yeux, regardes-moi! lui ordonnais-je.
Elle ouvrit ses yeux, je penchais ma tête vers la sienne. Nous étions à l’envers.
-Ca a l’air de te plaire, ce que je te fais, hein?
-Oh oui! gémit-elle.
J’écrasais mes lèvres sur les siennes pour l’embrasser. Ma langue forçait l’entrée de sa bouche pour lui rouler une pelle comme je lui avait décrite. Je me relevais et lui dit:
-Ouais, t’as vraiment l’air d’aimer ça, p’tite salope! T’aimes ça, aussi, qu’on te traite de salope, hein?
-Oui.
-M’étonnes pas p’tite pute, grognais-je. Je me mis à son coté et la fis se lever. Je la pris par la taille d’une main, lui ouvrit la bouche en appuyant sur ses joues et lui crachais dans la bouche sans la prévenir. Elle eut un mouvement de recul, mais je la maintenais fermement par les reins.
-Quoi? Y a quelque chose qui ne va pas? aboyais-je.
-Non, gémit-elle.
-Très bien, alors tu vas enlever ta robe, tu vas te mettre à genoux, et tu vas me sucer la queue, puisque tu m’as dit que tu faisait ça sans problème. Allez, vite!
Elle s’éxécuta, quitta sa robe, se mit à genoux. Nue, elle avait un corps magnifique, des gros seins, un peu potelée, peut-être, mais cela lui allait très bien. Elle me faisait penser à une Pornstar anglaise que j’aimais beaucoup, Alicia Rhodes. J’ai enlevé mon T-shirt, débouclé ma ceinture, déboutonné mon jean, baissé mon boxer et lui ai présenté ma tige, qu’elle avait fait durcir.
-Montres-moi ce que tu sais faire!
Elle goba ma queue sans problème (je n’ai pas non plus le calibre Rocco MaxiPlus, mais je n’ai jamais eu de plainte non plus!). Elle commença à me sucer tout doucement, c’était un délice. Dés le début, je compris que j’aurais une élève surdouée. Mais il ne fallait pas que je lui fasse croire ça tout de suite, c’est pourquoi, alors que je vivais un moment de délices fantastique, je m’efforçais de la bousculer, de la brutaliser, de l’invectiver:
-Putain, t’es vraiment une chienne, t’aimes ça la bite, salope! Je vais t’apprendre la baise, moi, je vais te dresser en vraie petite chienne docile. Tu vas devenir ma pute perso, je te filerais à mes potes, je t’enverrais sur des chantiers, dans des foyers. Tu seras fouettée, fistée, sodomisée à la chaine, je vais te faire gang-banguée, te faire tourner dans les caves de cité…

Je ne sais pas si c’était les mots exacts, en tout cas ça ressemblait à ça! Et, pendant ce temps-là, je m’efforçais de ne pas jouir tout de suite car elle me pompait comme une roi. A un moment, je lui prit la tête entre mes deux mains, je la regardais droit dans les yeux, et je lui dis:
-Si tu veux rester avec moi, je ferais de toi une princesse de plumard.
Et je lui assénais une grosse gifle, avant de lui cracher en plein visage. Elle gémit un « oh », qui me fit comprendre qu’elle adorait vraiment être traitée de cette manière, que ce n’était pas une posture, qu’elle prenait vraiment son pied. Et elle me réenfourna sans rien dire, continuant à m’astiquer la bite comme elle savait si bien le faire. Le traitement dura encore quelques minutes, et puis, que voulez-vous, la nature est faible, et n’en pouvant plus, je lui retirais son jouet de la bouche, me masturbais sur son visage quelques secondes, et je lui envoyais un gros jet épais en plein visage, dans la bouche, les cheveux. Je crus que jamais je ne m’arrêterais de l’arroser. J’aurais voulu lui parler, lui dire des « prends ça dans la gueule, salope », ‘v’là ta récompense, p’tite pute », impossible d’articuler quelque chose d’humain, ce n’était que des « Argggh », des « Brrrr! » et des halètements de locomotive à vapeur en bout de course. Je ne pus que retourner m’asseoir sur la banquette, le boxer et le jean sur les chevilles. Elle vint alors gentiment vers moi, à quatre pattes, se lova contre mes jambes, assise par terre, glissa sa main dans l’intérieur de mes cuisses et posa sa tête sur mes genoux, qu’elle bisouilla.

Une fois mes esprits à peu près revenus, je passais mes mains dans ses cheveux et lui dis:
-Tu as très bien débutée, ma petite. Je pense que je vais te garder en stage. es-tu tentée?
-Oui (elle hésita) oui… Maître?
Je rigolais.
-Non, aujourd’hui, je suis très satisfait de toi (tu parles!!!), il n’y a pas de Maître. Par contre, tu as interrompu mon questionnaire avec tes agissements…
Elle me regarda sans comprendre.
-Je plaisante! Mais il va falloir que je continues à te questionner pour connaitre tes limites. Reprenons une coupe de champ’ et on y retourne, d’ac?
-D’ac!

A Suivre!

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