Je n’arrivais pas à réaliser que je venais moi même d’accepter de me louer à un homme. Je restais là un moment dans le salon face à l’ordinateur. Ma poitrine était tellement gonflée que ma nuisette était soudainement devenu trop courte. Je passais ma main sur mon pubis moite. L’homme en ligne mis un petit temps à répondre.
« – Ok. Je te propose d’amener ta femme à 18h demain à l’Etap Hotel Porte d’Italie. Tu souhaites être présent j’imagine pour une première fois? »
Je regardais David qui dormait toujours sur le canapé à quelques centimètres de moi.
» -Non, je ne préfère pas. J’attendrais à côté de l’hôtel.
– Comme tu voudras.. Combien de temps tu me la laisserais? »
Je n’en revenais pas. Il parlait tout naturellement de moi comme un objet. J’étais entre la peur et l’excitation. Et si cet homme me faisait du mal?
» – Pas plus d’un quart d’heure.
– C’est tout?! Que veux tu que je fasses en 15 minutes?
– Disons que c’est un essai..
– Mmm.. t’es plus vicieux que je pensais..
– 🙂
– Ok pour 15 minutes mais le tarif ne sera pas le même..
– Je peux t’offrir les « présentations ».
– Généreux de ta part.
– Donne moi ton numéro de téléphone. Je t’envoies un texto pour le numéro de la chambre demain.
– 06 77 ** ** ** »
Je venais de donner mon numéro. Sans réfléchir une seconde. L’homme me salua brièvement et coupa la conversation. Je me suis précipité pour effacer l’historique de la conversation et fermer l’ordinateur.
David est venu me réveiller dans notre lit au petit matin. Il s’excusa encore de m’avoir giflé et me serra dans ses bras. Je me suis mis à culpabiliser de ma conversation avec cet homme durant la nuit. J’ai arrêté David qui commençait à baisser ma petite culotte et j’ai sauté hors du lit pour aller à la douche. Il a surement dû pensé que j’étais encore en colère et m’a laissé quitter la maison sans me dire un mot.
Le temps passait très lentement au bureau et je n’avais toujours pas décidé de ce que je ferais à 18h. Si je ne me rendais pas à l’hotel, l’homme recontacterait probablement David via le tchat et je serais découverte. Mais n’était-ce pas le but de le faire enrager? Dans le tram au retour, j’étais de plus en plus excitée à l’approche de la station Porte d’italie. J’avais le choix, je pouvais très bien continuer mon chemin comme tout les jours jusqu’au terminus de la ligne. Et puis je n’allais quand même pas faire la pute, juste pour emmerder David! Non, impossible. Pas moi. J’avais juste à quitter cet imbécile et c’est tout. La sonnerie de mon téléphone me sortit de mes songes. Un texto. « 18h , chambre 402 ». J’ai dû devenir toute rouge. J’avais l’impression que tout le tram me dévisageait. Quand les portes se sont ouvertes à la fameuse station, mes jambes m’ont conduite aussitôt dehors. Je n’arrivais plus à réfléchir et pourtant, je continuais de marcher vers le periph. A quoi pouvait ressembler cet homme? Et si il était répugnant? Malade? Dangereux?
J’arrivais enfin devant l’étap hotel. Les receptionistes me regardaient passer l’entrée en souriant. J’avais l’impression que tout le monde dans cet hotel comprenait ce que j’allais faire. J’avais pourtant mis un tailleur gris très classe et plutôt conventionnel pour passer inaperçu. Dans l’ascenseur mes jambes flageolaient. Un long couloir glauque au 4ème étage. J’approchais du numéro de la chambre, coeur battant. 402. J’y étais. Je m’apprête à frapper. Non je ne peux pas.
La porte s’ouvre soudainement au moment où je tourne les talons vers l’ascenseur.
« – Bonsoir »
Je tournais la tête. Un homme d’une cinquantaine d’années en costume cravate, plutôt élégant se tenait à porte.
« – Vous cherchez quelque chose?
– La .. La chambre 402 je crois.. »
Il sourit et s’écarte de la porte pour me laisser passer. J’entre dans la chambre. Petite, sans fenêtres. Le lit prend toute la place.
« – Où est ton mari? »
Je suis surpris de ce tutoiement soudain. Je le regarde. Il a un regard puissant, qui va avec son imposant gabarit. Il fait bien deux têtes de plus que moi. Les cheveux courts, les tempes grisonnantes. De grandes mains.
« – Je pense qu’il attend à la réception. Ou dans un café dehors..
– Drôle de specimen ce David.. Tu sais pourquoi tu es là? »
Je suis devenue tout rouge à nouveau. Je n’osais pas le regarder.
« – Oui, je crois.
– Très bien. Nous n’avons pas beaucoup de temps. Enlèves ton chemisier. »
Il s’est assis sur un fauteuil à côté du lit et m’a regardé enlevé ma veste. Je déboutonnais lentement mon chemiser blanc sans qu’il ne me lâche pas du regard. Ma poitrine émergea peu à peu, emprisonnée dans mon soutien-gorge dont le tissu transparent laissait entrevoir par endroits la peau mate de mes seins. Il me fis signe de l’enlever. Je dégrafais mon soutien-gorge et couvrais mes seins lourds enfin libérés de mes mains comme par réflexe,
« -Enlèves tes mains »
J’obéis et me tenait là devant lui, immobile, ma grosse poitrine honteusement exhibée devant cette inconnu.
– Encore mieux que sur les photos.. Tu sais que je me suis branlé hier sur les images que m’a envoyé ton mari.. Approche.
J’obéis de nouveau en me approchant de l’homme, mon nombril au niveau de son visage. Il glissa ses grosses mains sur mes fesses par dessus mon tailleur. Je sentais son souffle sur mon ventre. J’osais mettre une main dans ses cheveux. Lui remontait le bas de mon tailleur au niveau de mes cuisses pour mieux me caresser le bas des fesses. Il me pris soudainement par la main et me tira vers lui.
– Mets toi à genoux.
Je m’exécutais docilement. Ses caresses m’avaient rendue toute humide. Je me retrouvais au niveau de son ventre. Un bosse énorme déformait son pantalon.
– Je te laisse déballer ton cadeau..
J’hésitais un seconde puis débouclait sa ceinture, puis le haut de son pantalon. Je descendais lentement sa braguette pour voir jaillir une large bosse emprisonnée dans un boxer blanc. Fascinée par sa taille, je ne peux m’empêcher de soulever le tissu. Un large verge nervurée se redressa devant moi. Son gland gonflé de désir était énorme, bien plus gros que toutes les queues que j’ai pu voir auparavant. La petite bite de David me traversa vaguement l’esprit et je souriait sans le savoir.
– Elle te plait?
J’étais à genoux devant la queue bandée d’un homme qui avait l’âge de mon père. Et ça me plaisait.
– Elle est très grosse…
– Plus grosse que celle de ton mari?
– Je n’ai pas envie de parler de lui..
– Je ne te laisse pas le choix tu sais..
L’homme me fixait d’un regard sévère qui m’excitait.
– Oui elle est plus grosse. Plus épaisse.
– C’est très bien. Met toi au travail maintenant, nous n’avons plus beaucoup de temps.
Je le regardais sans comprendre tout de suite. Il me pris par les cheveux et m’amena doucement mais fermement la tête au dessus de son gros gland qui vient bientôt buter sur mes lèvres. Je finis par ouvrir la bouche et son sexe s’enfonçait entre mes lèvres. Il soufflait de plaisir. Je remplaçais sa main par la mienne sur sa queue et commença à le branler, tout en faisant des allers retours avec ma bouche. J’ai toujours été très douée pour les pipes et cela depuis le début du lycée.
– Tu te débrouilles très très bien. Lèches moi les couilles maintenant.
Je tirais sur son boxer pour libérer deux grosses boules velues que je posais dans ma main pour les lécher, tout en continuant de le masturber.
Il descendit son pantalon et boxer jusqu’au cuisse pour que je le reprennes mieux en bouche. Je me déchaînais sur sa queue tellement j’étais excité par la situation. Ses grandes mains caressais fermement mes seins. Il tirait par moment sur mes tétons et m’enfonçait sa queue au fond de la gorge.
Il se redressait soudain au bout de dix minutes.
– Les règles sont les règles ma petite. Ton mari m’a donné 15 minutes.
Je ne l’écoutais pas et continuais à le sucer en le branlant de plus en plus vite.
– tu dois… tu dois rescendre ..
L’homme n’en pouvait plus. Je sentais sa bite tressaillir sous les assauts de ma langue. Il allait venir. Un parfait inconnu allait se répandre dans ma bouche.
– petite p… uuuutee..
Il m’agrippa soudain les cheveux et se leva en sortant sa queue de ma bouche. Un jet puissant de foutre vint d’écraser sur mes lèvres, un autre sur mon visage, puis plusieurs sur mes seins. J’étais couverte de sperme. Le sperme d’un autre.
– Je ne prévoyais pas de jouir, mais tu m’y as forcé. Tu es très doué.
Il remballa son attirail dans son pantalon qu’il ferma en vitesse et me tendit une serviette.
– Tu dois redescendre maintenant, j’ai déjà abusé du temps convenu.
Je me rhabillais en vitesse après avoir enlevé le plus gros du sperme étalée sur ma peau. L’homme avait déjà ouvert la porte pour me mettre dehors. Au moment de sorti, il me retint par le brase pour me tendre un billet de 100e.
– Pour le dédommagement. Nous reprenons rendez-vous quand ton mari le voudra, d’accord?
J’acquiesçait. Dans l’ascenseur, je n’arrivais pas à réaliser. Je venais de sucer un homme dans un hotel pour 100e. Il a craché son sperme sur mes seins pour ce prix là. Dehors, je regarde mon portable. 6 appels en absence de David. Devrais-je tout lui avouer en arrivant à la maison?
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