Le samedi est un vrai calvaire pour moi jusqu’au départ de Pierre en début de soirée, j’avais l’impression qu’il n’allais jamais partir, hier j’aurais du me faire jouir pour faire retomber la tension qui m’habite depuis deux jours mais c’est une pratique que j’ai délaissée depuis pas mal de temps sûrement bridé par mon éducation, pourtant je sent qu’elle va redevenir indispensable si je ne veux pas devenir folle.
Le soir j’ai diner tranquillement en tête a tête en discutant de banalités avec Anthony puis après avoir débarrassé la table, j’ai préparé la mise en place de la soirée.
__Je vais prendre une douche, si tu veux choisir un programme je regarderais avec toi
__Tu sais je ne suis pas trop accro a la télé, moi en dehors de mes jeux.. tu pourras mettre la chaine que tu veux.
__Bon je jetterais un œil sur le programme.
Après la douche je rejoins ma chambre, je choisie des dessous rose aussi minuscule que la veille et j’enfile de nouveau ma fameuse blouse et mes mules a talons, je me regarde dans la glace, oui j’aime bien, je sent l’excitation me gagner, il faut cette fois ci lui en montrer plus, je m’étais fait la promesse, j’ouvre les deux boutons toujours comme hier mais cela ne me satisfait pas . « Plus ,encore plus » me dit la petite voix qui fait de nouveau son apparition, j’enlève alors ma blouse, défait mon soutient gorge et j’enfile de nouveau de celle ci, maintenant on peu ent****rcevoir mes auréoles a travers le nylon et mes seins sont pratiquement a l’air, je me décide aussi a ouvrir le bouton a la hauteur de mon string, mon dieu je suis devenue folle, non la c’est trop et je le referme mais j’hésite encore.
oh et puis merde et pour empêcher de revenir sur ma décision je me saisie d’une paire de ciseaux et je coupe le fil qui retient le bouton et en fait de même aux deux autres précédemment défaits, je me fait l’effet d’être devenue une salope, le mot même a la place de m’effrayer, m’excite incroyablement .
Je jette un regard dans la glace, si je ne bouge pas c’est déjà limite, alors je ne veux même pas m’imaginer quand je vais me déplacer ou me pencher. C’est infernal comme je mouille, maintenant il faut aller jusqu’au bout, je commence a descendre les escaliers, j’ai l’impression que les pointes de mes seins vont transpercer le tissus de ma blouse.
Arrivée en bas j’ai la chair de poule alors qu’il fait encore chaud, voir un peu lourd, encore quelques mètres, voilà.
Quand je rentre, Anthony est a sa place habituelle, c’est a dire allongé sur le tapis, il lève la tête et reste les yeux rivés sur moi.
J’essaie de rester la plus naturelle possible.
__Tu as choisi quelque chose a regarder ?
__Heu… oui enfin non.
Je prends le programme et reste debout a ces cotés, son regard est sur moi ou plutôt devrais je dire sous moi, il ne fais même plus l’effort de faire semblant de jouer sur sa PS, je continue a jouer le rôle de la tante qui ne se rend compte de rien, pourtant j’ai la chatte en feu.
__Tu connais cet acteur Anthony, c’est pas lui qui a joué dans « le cube » ??
Et en même temps je me penche vers lui pour lui faire voir la photo, maintenant il a une vue direct sur mes seins, même les bouts sont visible et il faut un miracle pour qu’ils ne sortent pas de la blouse.
__Non cela ne me dis rien.
Je me tourne ensuite vers la table du salon, pour continuer ma lecture lui dévoilant ainsi maintenant mon cul, dans ce demi tour mes cuisses se sont ouvertes et mon sexe a e pas douter est a porté de vue de mon neveu et ce n’est pas mon minuscule string qui pourra prétendre cacher quoi que se soit. je prends mon temps pour feuilleter la revue, je tourne la tête pour constater qu’il ne perd pas une miette du spectacle que je lui offre, ma culotte est a tordre et je suis sur qu’il perçoit les effluves de ma chatte C’est le moment de faire avancer les choses dans le bon sens.
__Mais c’est pas vrai, tu me matte mes fesses ?
__Hein?
__Ne te gêne pas, mais vas y continu .
__Je…Je…. c’est pas ce que tu crois
__Tu te fou de moi, tu veux que j’en parle a Pierre, tu sais je ne suis pas aveugle et encore moins sourde.
__??????
__Je t’ai entendu vendredi matin avec ton copain, alors comme ça j’ai un gros cul.
__Non ….. c’est juste….
Son visage c’est empourpré et il cherche ces mots, intérieurement je m’amuse de son désarroi.
__J’ai un gros cul ou pas?
__Non…enfin oui….mais….j’aime bien.
__ça je le vois bien que tu aime, tu te rend compte quand même que je suis ta tante .
__Excuse moi Fanfan….mais…tu es tellement belle .
Je ne m’attendais pas a une réponse comme celle ci.
__Belle ou sexy ?
__Les deux .
Sont regard a du mal a ne pas se glisser sous ma blouse, je lui fait face et ma chatte est a la hauteur de sa tête, le moindre mouvement de ma part lui dévoile mon sexe dans lequel a glissé mon string
__Tu me trouve sexy, tu sais que j’ai passé la cinquantaine.
__Oui mais tu es toujours craquante
__craquante ….je pensais plutôt que j’étais un sacré morceau et que je te filais la gaulle avec mon gros cul.
Je reprends les mêmes mots qu’il a utilisé pour parler de moi a son copain et les prononcer a mon tour m’excite terriblement.
__Tu sais Fanfan c’est une façon de parler entre jeune
__Mais tu pensais se que tu disais?
__………oui
Je sais a cet instant précis de sa réponse qu’il n’y aura pas de retour en arrière.
__ Installe toi dans le fauteuil et attends moi
Je vois dans l’expression de son visage qu’il ne comprend pas ou je veux en venir, d’ailleurs moi même je n’ai pas de scénario bien précis si ce n’ai l’envie de me montrer a lui , d’avoir son regard sur moi, c’est incroyable je n’aurais jamais cru que m’exhiber pouvais m’apporter autant de plaisir.
Ou est mon coté prude, voilà que depuis quelques jours toutes les barrières semblent volées en éclats.
Laissant Anthony s’installer je me rends dans l’entrée et ouvre le placard, je troque mes mules pour des escarpins noir aux talons vertigineux et gagne tout de suite quelques centimètres, ensuite j’ôte ma blouse que je dépose sur un petit meuble ainsi que mon string qui est a tordre.
Je me dirige de nouveau vers le salon, je fais juste une halte devant le miroir, mon dieu, mes talons haut font un contraste saisissant entre leurs vernis noir et la blancheur de ma peau, quand a mes tétons ils n’ont jamais été aussi gros et je mouille comme c’est pas possible, je me tourne et regarde par dessus mon épaule, quel cul c’est pas vrai, en prenant le chemin du salon je sens ma poitrine tressauter a chacun de mes pas, je me rends compte que c’est la première fois que je me déplace nue avec des hauts talons et c’est une impression terriblement enivrante.
Anthony est la dans le fauteuil, il n’a pas bougé, mais c’est yeux semble lui sortir de la tête.
__Cela te plait?
Il fait juste un signe d’approbation de la tête ,incapable de faire sortir un son de sa bouche
__Tu comprends que cela reste entre nous et que tu as simplement le droit de regarder, j’ai bien dit regarder, tu as compris?
__Oui…oui
Je m’arrête a deux mètres de lui et éxecute un tour complet sur moi même.
__Cela te plait toujours autant ?
__oh oui alors
__alors regarde
Je commence a évoluer devant lui, a aller de la télé a la banquette , lui tourne le dos, me penche. Il n’en perd pas une miette
__Tu peu te branler si tu veux
Comment j’ai pu prononcer cette phrase, je ne me reconnais plus, l’excitation me fait perdre toute retenue et pourtant je continue sur le même ton.
__Tu as bien dis a ton copain que je te filais la gaulle alors vas y montre moi.
En deux secondes il sort sa queue tendue a l’extrême, je n’en crois pas mes yeux, même si elle n’est pas plus grosse sue celle de Pierre ,la longueur est par contre d’une taille bien supérieur.
Je prends mes seins a pleine mains , les malaxes, je vois sa main s’agiter sur sa queue, mon dieu quel engin, maintenant j’ai envie d’autre chose, de plus … de moins mais je vois bien qu’il ne tiendra pas très longtemps
__Tu veux jouir sur les seins?
__Je peux vraiment?
__Tu sais au point ou nous en sommes.
Je m’installe a ces pieds de façon a recevoir sa semence, je suis vraiment excité comme je ne l’ai jamais été.
Sa main s’agite de plus en plus vite sur sa bite, le gland me semble encore plus gros et du prés sperme commence a suinter sur celui ci .
J’ai envie folle de le voir jaillir. Son visage se crispe et le premier jet m’atteint dans le cou avec une force qui me surprend, puis un deuxième vient terminer sa trajectoire sur mes lèvres et ma joue, le suivant est tout aussi puissant, je reçois ainsi 9 a 10 fois une impressionnante quantité de foutre chaud et épais. Moi qui suis habitué a quelques gouttes avec Pierre, je suis vraiment surprise d’une telle profusion.
L’odeur est puissante et chose impensable je viens récolter de ma langue les dernières gouttes a la source. J’ai la queue de mon neveu entre les lèvres, je suis folle mais tellement excité.
Il viens de jouir et pourtant sa queue reste dur et tendue , moi qui voulais me contenter de simplement m’exhiber, je crois que les événements me dépassent et je ne suis plus en mesure de contrôler quoi que se soit, mon sexe parle pour moi, maintenant j’ai envie qu’il me prenne, là comme une femelle.
Je m’installe a genoux sur la banquette, lui tend mon cul et l’invite a me glisser sa queue profondément dans la chatte.
Je suis tellement trempé qu’il n’a aucun mal a me pénétrer a fond dans un grand bruit de succion, mon dieu que c’est bon. C’est mains sont agrippés a mes hanches et il commence a me donner de grands coups de reins, c’est un vrai délice.
__oh salaud, baise bien ta tante Anthony, mon dieu c’est trop bon.
J’ai maintenant les tétons sur lesquels coulent encore le sperme de mon neveu qui frottent sur le cuir de la banquette a chacun de ces coups de buttoir, je coule littéralement sur sa queue, le bruit que fait nos sexes dans toute cette mouille est horriblement indécent et en même temps prodigieusement érotique, je ne vais pas tarder a jouir.
__ah putain que c’est bon, défonce ta salope de tante, la vache….Je jouis, je jouiiiiiiis !!!!!.
mais Anthony , lui de son coté n’est pas encore prêt a se vider, il possède un coup d’avance sur moi ,il me pilonne avec la même régularité, je me sent prête a repartir pour un tour, que c’est bon de me faire prendre ainsi, c’est violant, terrible et délicieux a la fois, j’ai l’impression de redécouvrir le sexe mais j’ai surtout l’envie de me laisser submerger par toutes ces choses nouvelles pour moi.
__Je vais jouir fanfan, c’est trop bon
__Vas y mon chéri, te retins pas, crache tout.
Décidément je ne reconnais plus mon langage mais cela m’excite c’est incroyable
__Oh fanfan, je jouis, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis
__Je sent couler ton foutre en moi, mon dieu que c’est bon mon salaud
Il s’effondre sur mon dos m’entrainant dans sa chute, je n’ai pas eu le temps de jouir de nouveau.
Je sent son sexe se retirer de moi et une quantité importante de son jus se rependre sur mes cuisses, je pense a mon pauvre canapé ,je suis bonne a nettoyer le cuir mais pour le moment je récupère un peu
Il se relève enfin et je peu me dégager a mon tour
__Tout cela doit reste entre nous Anthony, tu le comprends
__Bien sur Fanfan, je ne veux pas te poser de problème
Cette soirée c’est terminée par une bise du bout des lèvres, un peu ridicule, chacun ne sachant pas vraiment quelle attitude adopter. Une fois seul dans mes draps j’ai eu beaucoup de mal a trouver le sommeil, mille questions se bousculaient dans ma tête mais surtout je me sentais coupable envers Pierre .
Le matin au petit déjeuner, nous en avons profité pour discuter longuement sur se qui c’était passé la veille et je lui ai fais comprendre qu’il était préférable de ne pas continuer nos folies, je l’ai senti très déçu mais a reconnu que c’était plus sage pour nous deux .
Le début de la semaine suivante se passait sans trop de problème mais je sentais de plus en plus le regard insistant D’Anthony sur mes jambes et mes formes. De mon coté je ne savais plus quoi penser, si la morale et ma conscience me dictaient de m’en tenir a la décision que j’avais prise, je sentais malgré moi fléchir petit a petit mon esprit.
Un flot de questions venaient se bousculer dans ma tête mais le pire était que j’avais fait la découverte de sensations nouvelles que mon corps ne semblait pas vouloir oublier.
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