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Le train du soir

Le train du soir



Je rentre en permission.
Il est plus de minuit.
On est un peu entassés dans ces vieux compartiments pour 8 passagers.

Au départ de paris, nous sommes quelques militaires et un vieux couple.
A la première gare, 5 passagers descendent et d’autres montent. en face de moi, 2 femmes, toutes deux la trentaine passée.
Je suis en face de la plus mignonne et je tente ma chance en frottant legerement ma jambe sur la sienne. Il me semble que çà ne l’embête pas trop. Elle ne me rejette pas et j’ai même l’impression qu’elle me rend mes caresses. Je m’enhardit et monte ma jambe plus haut et là je reçois un coup de pied dans le tibia par lequel elle me signifie que çà suffit. Elle se lève, prend son sac et sort du compartiment.
Heureusement que celui ci est plongé dans l’obscurité, sinon j’aurai eu une belle honte. Me voilà calmé pour quelques instants, puis, n’y résistant pas je m’attaque à la moche en refaisant le même manège.
Il fait chaud, la fille est en robe légère blanche. J’ai remarqué qu’on voyait son soutien gorge et sa culotte par transparence quand elle est montée dans le train.
J’aventure ma jambe entre les siennes et là, la réponse est claire. Madame aime çà et glisse doucement de son siège pour augmenter le contact. Mon genou est entre ses cuisses et le jeux dure une bonne demie heure.
Voyant que je ne pourrai pas faire mieux que çà dans ce wagon surchargé, je sors du compartiment et me met dans le couloir, à la fenêtre. Ma passagère sort à son tour et se place à côté de moi. A ma grande surprise, elle est loin d’avoir la trentaine comme on pouvait le penser au premier abord mais plutot la vingtaine. Elle a un appareil dentaire imposant et c’est sur, ce n’est pas Miss France. 1.60 maxi, bien potelée et un visage très quelconque. Je me tourne vers elle et lui roule un patin. Je suis un peu gêné par le contact de ma langue sur les fils métalliques de son appareil mais je m’y fais vite et elle est très réceptive à mon baiser. je la prends par la main et l’emmène entre 2 wagons. petite pose pelotage et patins. Elle me laisse faire tout ce que je veux: je lui dégrafe le sous tif et libère ses gros seins. Je l’attire vers les toilettes du train. elle me suis sans résister.
Une fois à l’intérieur, je la déshabille complètement. elle émet des petits grognements qui veulent dire: » vas y, continues ». Je rentre mon sexe en elle directement et trés facilement et je rencontre un vagin bien ouvert et trés humide, hyper accueillant.
Après une vingtaine d’allers retours, je jouis en elle. elle n’a pas pris de plaisir apparemment. Elle me dit qu’elle s’appelle Armelle et qu’elle rentre à Poitiers retrouver son mari. Je suis confus et elle me dit qu’elle s’est mariée il y a un mois…
je m’excuse auprès d’elle de l’avoir sauté sans préservatif. elle me réponds que ce n’est pas grave et ajoute  » quand je suis fertile, je cède facilement aux avances des mecs ». « De toutes façons, je vais faire l’amour avec mon mari en arrivant et puis, tu sais tu n’es pas le premier qui m’a visitée aujourd’hui ». j’en reste bouche bée.
Cette femme n’est pas un canon mais elle se sera tapée 3 mecs en une journée. Elle se rhabille calmement, me roule un dernier patin bien gourmand et sort des toilettes.
Le train arrive 10 minutes plus tard en gare de saint pierre des corps. je descend là, encore tout étonné de la drôle d’aventure que je viens d’avoir avec cette petite femme potelée.
Au final, un sacré bon moment dont je me suis souvent souvenu en me masturbant et qui m’a procuré plein de plaisirs.

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