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Une école pas comme les autres

Une école pas comme les autres



A dix-huit ans, après avoir réussi mon bac, j’avais quitté mes parents. J’habitais un studio avec une copine. Lors d’une soirée, je rencontrais Alain. Quand il me vit dans la discothèque, il vint me draguer. Il avait un humour noir comme j’aime. Fière d’attirer son attention, je le laissai faire. Le soir même, j’étais dans son lit. Très vite, j’allais habiter chez lui.  Il m’avait fait découvrir l’amour et je lui appartenais sans retenue. Il adorait m’entendre crier lors de mes orgasme. Il aimait les soirées libertines et il m’y exhibait. J’acceptais de me donner devant lui à d’autres hommes. Il m’utilisait comme bon lui semblait et invitait aussi chez lui de jolies filles, dont il me poussait à devenir l’amante. Je suis bi et faire l’amour à d’autres femmes devant mon homme était un régal. Lors de ces orgies, il nous prenait à tour de rôle et j’adorais ces séances en trio. Il m’avait appris à faire l’amour en utilisant tous mes orifices. Un beau jour, il me dit :
« Je ne veux pas te perdre. Mais avant je veux que tu passes quelques mois dans une école privée très spéciale, pour te préparer à devenir parfaite. »
Je fus donc amenée dans cet établissement dirigé d’une poigne de fer par une directrice. Elle nous reçut dans son bureau. Elle m’inspecta comme on inspecte un a****l qu’on vent à la foire.
« Joli p’tit bout ! Pourquoi l’envoyez-vous ici ? Sait-elle ce qui l’attend ? »
J’écoutais sans mot dire très angoissée.
« Non je ne lui ai rien dit. Je vous fais confiance. Michèle doit rester à mon service et devenir ma femme. Je sais que vous saurez la former de telle façon qu’elle accepte tout ce que j’exigerai d’elle. » La directrice acquiesça et appelât une jeune stagiaire, maquillée comme une pute.
« Marina voici Michèle, une nouvelle. Emmène là à l’infirmerie. »
Je dus suivre cette fille sans qu’Alain ne me dise au revoir. L’infirmerie était meublée d’une table gynécologique et d’une armoire vitrée. La directrice est alors entrée et s’adressa à Marina :
« Fous cette fille à poil que je puisse l’examiner ! »
Une fois nue et allongée sur la table cuisses vulgairement écartées, j’eus droit à des commentaires insultant en inspectant ma chatte.
« Que c’est laid tous ces poils! Je vais te raser et comme çà tu ressembleras à une petite fille. »
Je ne bronchai pas. En mettant un doigt dans mon anus, elle dit à Marina :
«  Va prévenir Marion, qu’elle m’apporte un rosebud taille L pour son p’tit cul ! »
Puis, elle me dit de la suivre nue dans les couloirs jusqu’à son bureau où je dus me mettre à genoux.
« Ton Maître ne t’a donc pas dit ce qui t’attend ici ! »
« Non Madame. Mais je fais entièrement confiance à Alain ».
La directrice me fixa d’un air méchant :
« Tu as pris la parole sans autorisation ? Ici tu devras ne répondre qu’aux questions que moi-même et les enseignants te poseront. Je ne te punirai pas cette fois-ci. Mais à partir de maintenant, toute erreur te vaudra dix coups de fouet. Un conseil ; n’essaie pas de jouer la forte tête car il t’en cuirait. Ici, les plus réfractaires deviennent de bonne chienne obéissante.»
On frappât à la porte. C’était Marion qui apportait le rosebud. Elle se mit à genoux devant la directrice et tête baissée lui présentât l’objet.
« Marion fourre lui ce rosebud dans le cul ! »
Marion me penchât en avant et sans délicatesse me l’enfonçât dans le cul. Je réprimais un cri de douleur et les larmes me montèrent aux yeux.
« Ici, tu seras nue en permanence de telle façon à être accessible à tout moment. Marion fait visiter l’école à cette oie blanche ! »
Je constatai ainsi que toutes les élèves étaient nues. Dans une classe, une éducatrice leurs apprenait le maniement de sextoys. Je visitais d’autres salles de classe. L’un n’était meublé que d’un divan et disposait d’une sorte d’estrade.. Il y avait grand gymnase équipé de curieux agrés. Pour se coucher, il y avait un vaste dortoir contenant une cinquantaine de lits. Toutes les filles dormaient donc dans le même local. Arrivées devant l’entrée d’une sorte de classe, après avoir frappé à la porte, Marion me poussât brutalement dans la piéce où je me retrouvais face avec une femme laide à faire peur. Elle interpella Marion :
« Alors, petite salope, tu veux en retâter du fouet ? Tu nous as bien amusées quand tu chantais sous le fouet ! »
Marion effrayée, eut un mouvement de recul, provoquant un ricanement de la mégère. Deux autres gardes aussi rebutants prirent la parole :
« Et toi, jolie salope, tu viens visiter l’endroit où tu viendras améliorer notre ordinaire ? »
Effrayée, je fus tripoté et fouillée sans ménagement. Bouche, seins, vagin, fesses, anus, tout y passa.
« Regarde- moi ces nibards. Quelles belles pelotes à épingles ils pourraient faire. Et ce cul comme il sera agréable de le faire rougir. Çà va être un plaisir de la dilater avec le gode gonflable ! »
Puis, ils m’entrainèrent plus loin. Des filles certainement punies se trouvaient là. L’une attachée en croix gémissait. Avec effroi, je vis que ses seins étaient plantés d’une multitude d’aiguilles. Une autre fille était attachée sur un chevalet avec planté dans l’anus un énorme gode vibrant.
« Alors, as-tu peur de venir nous voir ?. Comme tu le vois, ici nous ne donnons aucun cours. Nous ne sommes là que pour punir les salopes comme toi ! Toutes vous venez au moins une fois ici ! »
Au milieu de la salle une stagiaire était attachée sur une sorte de poreau à une autre fille. Comme pour me montrer comment s’accomplissait une punition, un gardien saisit un fouet et se mit à les fouetter avec vigueur, faisant hurler les pauvres filles.
«  C’est le moment de la journée que nous préférons. Nous allons te montrer aussi leurs chambres. »
J’eu une boule au ventre en voyant que les chambres n’étaient que des cages pour animaux dont le sol était recouvert d’une sorte de litière pour chat. Dans un coin, se trouvait une écuelle de métal contenant de l’eau et de la nourriture.
« Le paradis, comme tu vois. Nos petites pensionnaires ont droit à dix heures de repos par jour. Le reste du temps, selon notre humeur, elles bénéficient de nos attractions. Lorsque nous les rendons à la directrice, elles sont très tendres et dociles.. Elles sont quasiment prêtes à être restituées à leur Maître. »
« A très bientôt, petite salope. Viens vite nous retrouver, comme pensionnaire ! » J’étais effondrée.. J’avais entendu parler de certains cercles où se pratiquait le sadomasochisme. Le soir même, je fus convoquée chez la directrice. Elle me fit monter dans sa chambre. « Montre-moi tes capacités et les qualités de ta langue ! »
Ce fut un jeu pour moi, qui adorais bouffer les minettes de mes amies.
« Fort bien, je vois que tu as déjà une excellente expérience de gouine. Je suppose que tu suces aussi à merveille donc dans ce domaine-là nous n’avons plus rien à t’apprendre. Reste le problème de l’obéissance. Ton Maître m’a avoué que tu n’en faisais qu’à ta tête. Il faudra changer çà et par la force s’il le faut. Je pense que tu n’as pas envies pas à aller passer quelques jours en compagnie des gardiens. Leurs laideurs tu voies est proportionnel à leurs férocités. Ils adorent voir leurs pensionnaires se tordre de douleur sous leurs mains. J’ai eu l’occasion d’assister à leurs séances. Ils sont le mal incarné. Rejoins maintenant le dortoir ! »
Là des rires m’accueillirent. A ma grande stupéfaction, les conversations allaient bon train :
« Alors, tu as dû t’occuper de la chatte de la directrice ? »
« La surveillante, est d’accord pour que tous les soirs nous nous détendions. A une condition toutefois ; il faut que l’une d’entre nous aille passer la nuit dans son lit et parvienne à la faire crier de plaisir. Tu y passeras ce soir. Alors, bonne nuit ! »
Effectivement, la surveillante se dirigea vers moi qui m’étais blottie, me faisant toute petite dans mon lit :
« La nouvelle ! Viens chez moi, j’ai à te parler ! »
Cinq minutes plus tard, des cris de plaisir résonnèrent dans le dortoir. Il faut reconnaître que ces trois mois d’éducation n’avaient rien de bien désagréable. Très obéissante, je devins ainsi la chouchoute. C’était trop beau pour durer. La directrice sous un prétexte quelconque, m’envoya pour une semaine à la section chez les gardiens. Les trois gardiens étaient franchement répugnants. Je due endurer le fouet et les épingles. Une semaine terrible où je subissais les assauts de ces gardiens. Tout se passa malgré tout relativement bien quand une semaine avant la date prévue pour ma libération, la directrice me convoqua :
« Il est d’usage qu’avant de nous quitter, chaque élève se voit placer un anneau sur une lèvres de son sexe. Ton Maître assistera à la séance. Une fois l’anneau en place, on y mettra un petit cadenas. »
Le lendemain, Alain était arrivé peu de temps avant le début de la cérémonie. La table gynécologique avait été installé dans le gymnase et élèves, profs, invités étaient présent pour assister au spectacle. J’allais courageusement m’installer dans le fauteuil. Aucune anesthésie n’ayant été prévue. Je fus attachée solidement afin que je ne puisse pas me dégager en cours d’opération. Alain m’embrassa et me souhaita bon courage. La directrice sans la moindre hésitation perça la lèvre. Je poussai un hurlement, puis ce fut le trou noir je m’étais évanouie. Quand je me réveillai, Alain me rassura
« C’est fini, regarde comme tu es belle. »
Il présentait devant mon sexe un miroir et je vis l’anneau briller. J’’étais fière de porter cet anneau et le petit cadenas. Rentrée à la maison, quand il le désirait, il m’offrait à un ami ou une simple relation d’affaires. Ce qui me plut moins, c’est qu’en mon absence, il avait commencé à aménager ce qu’il appelait « La Chambre rouge » C’était t un donjon dans lequel Alain rassemblait tout le matériel nécessaire à des séances sadomasochistes. Il avait déjà fait construire six petites cellules destinées à celles qui participeraient aux séances qui se tiendraient là. Il eût l’idée aussi de me louer, juste pour le fun. Il me fît rédiger un petit texte que je plaçai sur internet :
« Jeune femme à louer. Age : vingt-deux ans. Très jolie, taille 1m70, mince. Cheveux blond et yeux bleus. Ouverte à toute expérience. Bisexuelle et soumise. Prix demandé : 500 euros par jour. A saisir immédiatement. Prénom : Michèle »
Je donnais aussi mon numéro de téléphone. Les réponses ne tardèrent pas, et finalement j’optai pour celle d’un couple qui habitait en Normandy. Le mari dirigeait une grosse entreprise. Sa femme, possédait une boutique de luxe. Il avait un garçon de 18 ans et une fille de mon âge. Ils étaient membres très actifs d’un cercle échangiste, et leurs enfants participaient. J’allais bien m’amuser avec eux.

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