3- Le vieux remonta son short et embrassa sa femme goulument. Le mec, fit un petit geste de la main et s’éloigna. Les vieux montèrent dans le camping-car, fermèrent la porte et après une douche se couchèrent, fatigués, mais heureux. La vieillesse fatigue aussi. Au petit matin, ils se posèrent la question partir ou rester quelques jours ici, après une soirée comme ça, il y avait de forte chance que les gens parlent et ce soir ou demain, il pourrait y avoir du monde.
-Aujourd’hui ce serait repos, a nos âges, si on veut encore jouir, il faut nous ménager dit le vieux.
Un bon repas, une bonne sieste et quelques lectures plus tard, il était l’heure de souper. Une salade de concombre, un bœuf carotte, du fromage et une bonne bouteille de bourgogne pour chauffer les cœurs. Elle était en robe de toile à ouverture devant, lui avait remis un short large, mais très court où l’on voyait ses couilles quand il était assis. Après avoir nettoyé la table, ils s’installèrent confortablement l’un prêt de l’autre. Lui avait retiré son short et c’est à poil qu’il commença à ouvrir la robe de sa femme. Ses gros nichons pendaient sur son ventre, les grosses lèvres entrouvertes de sa chatte brillaient aux derniers rayons de soleil. Elle écarta plus ses jambes fripées et dit.
-Tu crois qu’il y aura quelqu’un ce soir ?
-Peut-être ? L’espoir fait vivre. Tu as envie ? Après hier ?
-Hier, je me suis juste fais enculer une fois, c’est tout !
-Et les sucettes… trois quand même.
-C’est vrai… que je vous ai même avalé votre foutre et ça c’était bon.
-Tu commence à m’exciter toi, dit-il en lui pinçant un téton qui durci rapidement.
-Si il n’y à personne… il reste un concombre et ta bite mon chéri de quoi me remplir quand même. Elle ferma les yeux en s’écartant la chatte d’une main, de l’autre elle lui caressait les bourses. La nuit commença à tomber quand un bruit de branche cassée se fit entendre. Elle lui dit.
-Voilà du monde surement ? Ils ne bougèrent pas, ne voyant rien venir. Quelques autres bruits de banches et toujours rien. Elle dit assez fort…
-J’aimerais bien une bonne queue, s’il y en à une dans le coin, qu’elle vienne.
Des pas se firent plus proches et l’inconnu de la veille se montra.
-Bonsoir, merci de me recevoir de nouveau, je n’ai pas eu le temps de vous parler hier dit-il.
-Tu sais on n’est pas là pour discuter lui répondit la vieille. Tu es venu seul ?
-Non, je suis venu avec une amie… si vous voulez, elle est jeune et aime regarder.
-Approche jeune fille. Une femme de vingt ans, aux cheveux courts à la garçonne rentra dans la lumière. Elle avait un tee-shirt aux couleurs passées trop moulant. On voyait pointer ses tétons contre le tissu, short moulant découvrait un beau cul bien rebondis sur de longues jambes. Elle regardait les vieux allant du sexe de l’homme à la chatte de la femme.
-Ils sont trop vieux dit-elle, tu m’avais dit vieux, là ils sont vraiment vieux.
-Tu voulais en voir des vieux à poil, comment sait fait, au moins là tu es fixée, dit l’inconnu en palpant les nichons de la vieille. Tu as but ses bouts, ça c’est du tétons à sucer. La fille resta un instant les mains dans les poches, puis tendit la main vers l’autre téton et serra le bout en tournant. La vieille lui toucha les fesses, puis l’entre-jambes. Aussitôt la fille se raidit.
– Je suis venue regarder c’est tout. Je voulais voir, j’ai vu. On fait quoi maintenant ?
-Je vais les enculer tout les deux devant toi comme promis.
-Ok, alors vas-y, je te regarde. Elle se recule et mate. L’inconnu commence à se pencher sur le vieux pour lui sucer la bite. La vieille le voyant penché, tendit la main et caressa son cul. Puis descendit son pantalon. Ses couilles et sa bite étaient encore molle et la main de la vieille se mit à le branler puis glissa sa tète sous lui et se mit à le sucer. La fille ouvrit son short et glissa une main à l’intérieur. L’inconnu commença rapidement à gonfler en écartant plus les jambes. La vieille mit un doigt dans son propre cul. Le vieux se leva et s’appuya contre la table, bien courbé, il tendait son cul. Son ventre gros et mou pendait contre la table. La vieille lâcha la bite de l’inconnu qui se plaça derrière le cul du vieux et lui enduit de crème le fion. Il enfila une capote la huila bien et chercha le trou qui s’ouvrit pour laisser passer la bête. La vieille se doigtait le cul, après avoir enfilé le concombre dans sa chatte béante. La fille avait fini par retirer son short et son tee-shirt dans le noir. Ses petits seins pointaient vers la lune. La vieille la vit prendre la balayette accrochée près de la porte et se l’enfoncer dans le cul.
En gémissant, elle vit des allée et retour et se la replaça dans la chatte.
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