Mon mari et moi avons notre sexshop préféré. Une petite visite par mois environ pour acheter une tenue, un accessoire… Le vendeur nous connait bien et il ne manque pas de nous offrir un petit sourire à défaut d’une ristourne. La semaine passée, j’ai eu l’oeil attiré par une annonce ‘recherchons vendeur/vendeuse’ apposée sur le comptoir.
Sans avoir l’air d’y toucher, je demande si c’est pour servir ici. Le vendeur intéressé me répond qu’en effet il cherche quelqu’un pour lui donner un coup de main en magasin. Depuis qu’il a installé des cabines pour visionner des films porno à l’arrière, il est un peu débordé.
Je suis en vacances et mon mari travaille, pourquoi ne pas en profiter pour joindre l’utile à l’agréable ? Je prends donc rendez-vous pour le lendemain, le vendeur me demande de me présenter un peu avant l’ouverture. J’arrive donc à l’avance, et il m’explique mon boulot. Rien de bien compliqué, il me fait faire le tour du magasin (que je connais bien).
Puis il me demande de mettre la tenue qu’il a préparée. Mmmh. Je sens l’entourloupe. Quel genre de tenue ? Il me donne une robe en cuir noir superbe, et des bottes hautes assorties. Splendide. Je vais aussitôt me changer dans l’une des cabines, et je ressors en panthère noire. Bon, la jupe est un peu courte et le décolleté un peu profond mais je me sens à l’aise.
Tiens, tu as gardé tes sous-vêtements, me dit-il en me voyant ? Je me regarde dans la glace du magasin, en effet mon soutien blanc ne fait pas trop glamour. Par contre je fais remarquer que sans culotte et avec une minijupe, c’est limite. Il me tend un billet de 50 euros et me demande si ça supprime la limite. Bon, faut pas m’en dire plus, je retourne en cabine.
Mes seins sont bien maintenus dans la robe qui est renforcée au niveau de la poitrine, mais je sens sur mes fesses les courants d’air de la boutique… Heureusement il fait chaud. On ouvre. Le patron trie des CD quand le premier client entre. Un monsieur entre deux âges, tout étonné de me voir arriver.
Vous désirez un peu d’aide ? Il bredouille qu’il est venu chercher un cadeau pour sa femme, qu’il ne sait pas trop quoi lui acheter. Je l’emmène vers les vibromasseurs, et lui propose plusieurs modèles. Je lui explique les subtilités du plaisir féminin quand sans m’en rendre compte, je me penche devant lui pour saisir un modèle anal.
C’est en me retournant et en le voyant le rouge aux joues que je comprends qu’il a du voir ma chatte. Un ange passe tandis que nous nous regardons tous les deux. Il rompt le silence en prenant une paire de boules de geisha. Je lui en explique le fonctionnement, et il me dit qu’il va en prendre deux.
La première pour sa femme, la deuxième pour moi. Je lui réponds que j’en ai déjà une paire, mais en me tendant un billet, il me dit que c’est pour lui montrer comment les placer. Le petit pervers. Bon, je l’emmène en cabine, il s’assied dans le fauteuil et je soulève ma jupe.
Je place les boules dans ma chatte sous ses yeux lubriques, et je rabaisse ma jupe. Satisfait, il va payer ses articles. Mon patron est content, et moi je mouille comme une salope. Je décide de garder les boules, ça me stimule un max.
Les clients se succèdent, j’ai mon petit succès et les affaires marchent. La plupart d’entre eux se dirigent vers les cabines, qui sont souvent toutes prises en ce milieu d’après-midi. Le patron s’affaire à les garder propres : même si des mouchoirs sont fournis, il n’est pas rare que certains répandent leur semence sur le sol.
Un homme en costume s’affaire au rayon des accessoires. Je lui propose mon aide. Un peu gêné, il me dit qu’il cherche un plug anal pour lui. Je l’emmène au bon rayon, et lui montre les différents modèles. Il s’oriente vers un plug de dimension impressionnante, avec plusieurs étages.
Je lui fait remarquer qu’un lubrifiant ne serait pas superflu vu la taille de l’engin. Je prends différents tubes dans une caisse en-dessous sans me rendre compte qu’à nouveau je dévoile mon intimité au client. Votre cul est superbe me dit-il. Je baragouine un merci. Puis-je vous faire une proposition indécente ? Ajoute-t-il.
Je vous propose d’aller dans une cabine contre un billet de 50 euros. Là, vous me placez le plug que je vais acheter. Que ne ferait-on pas pour un peu d’argent. Je l’accompagne donc. Il entre dans la cabine, et commence à se déshabiller. Complètement. Son sexe porte un anneau, mais il ne bande pas.
Il se met à 4 pattes sur le fauteuil et écarte les jambes. Je prends le lubrifiant et en enduis généreusement mes mains. J’entre un doigt puis deux dans son anus, que je lubrifie de l’intérieur. Il pousse de petits gémissements à chaque entrée de mes mains en lui.
C’est le tour du plug. Je l’enduis de crème et le place devant son cul, puis entame l’introduction. Le début se passe bien. Le premier étage se met en place. Je pousse pour introduire le deuxième. Je sens que cela devient un peu plus difficile. On se synchronise sur le mouvement. Au moment où je pense que le plug va ressortir, j’appuie un peu plus fort pendant qu’il recule et il se met en place.
Plus qu’un étage. Je commence à transpirer : le travail n’est pas évident dans le petit espace de la cabine. Nous reprenons notre souffle, il se retourne pour me sourire. Et regarder ma chatte qu’il voit du fauteuil. Je le laisse faire, et remonte même ma jupe pour retirer les boules de geisha qui ne demandent qu’à se faire expulser. Elles sortent avec un bruit de succion caractéristique.
Il apprécie le spectacle et commence à bander. Il se relève et me demande de m’asseoir sur le fauteuil. Puis il vient s’asseoir doucement face à moi sur ma jambe gauche, le plug s’enfonçant en lui au fur et à mesure qu’il s’assied. Il place ses mains sur mes épaules, je place les miennes sur ses hanches.
Le plug avance centimètre par centimètre, tandis que sa queue se lève. Il descend les bretelles de ma robe, cherchant à faire sortir mes seins de leur poche. Et tout se précipite en un instant. Mes seins quittent leur prison, le téton bien dressé. Le plug se met en place au fond de lui tandis qu’il finit de s’asseoir sur moi. Et il éjacule de longs jets de sperme sur ma poitrine offerte.
Nous restons l’un sur l’autre quelques instants. Il prend un mouchoir et entreprend de m’essuyer les seins, avec toutes les précautions. Il replace ensuite les bretelles de ma robe, et se rhabille, le plug bien enfoncé. Nous sortons de la cabine, je reprends mon job, lui sort du magasin la démarche pas trop assurée.
Je pense avoir joui. La suite au prochain épisode…
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