J’ai invité Karine au restaurant.
Il n’y a pas de menu, mais des entrées, deux plats, et des desserts en libre service et dont on peut se servir à volonté.
Il y a deux femmes à une table près de nous.
Dès le premier regard celle qui me fait face me met en émoi.
Elle est jeune, la trentaine, blonde platine, et semble bien en chair.
Elle a une jolie bouille ronde, et un teeshirt largement échancré sur un buste blanc laiteux.
Je me lève pour me servir et la mâte discrètement en passant près d’elle.
La racine de ses cheveux et ses sourcils me prouvent que c’est une fausse blonde.
Peu importe, ça lui va très bien.
J’admire rapidement son décolleté vertigineux: un merveilleux sillon qui sépare deux énormes mamelles, et je sens une humidité dans mon slip.
Je me sers, revient à table, et conseille à Karine qui va se servir de mâter cette jolie plante.
On attaque l’entrée en discutant:
– Ouahhh! elle est trop belle cette salope, elle me fait mouillée.
Je me la ferais bien.
– Je t’ai connu meilleur gout. C’est une grosse brune décolorée, on dirait Peggy la cochonne.
– Ne me dis pas que tu es jalouse!
Et puis si tu veux on peux se la faire toutes les deux ensemble.
Elle semble intéressée et il nous reste à convaincre notre future partenaire.
Justement elle se lève pour reprendre des entrées.
Comme on le fait souvent à deux, elles vont se lever à tour de rôle pour qu’il y en ait une qui veille en permanence sur leurs affaires.
Elle est de dos et je peux la regarder sans hésiter.
C’est vrai qu’elle se porte bien: la taille à peine marquée, de larges hanches et de très belles cuisses nues qui se frottent sous sa mini jupe.
Elle revient à sa place avec une assiette bien remplie et je reconnais que Peggy la cochonne lui va bien.
J’attend qu’elle aille se chercher le plat et j’y vais en même temps.
Je l’aborde sans détour, lui demande si elle est seule dans la vie, lui dit que j’ai envie d’elle.
Elle ne fait pas de scandale, mais me fait comprendre d’arrêter ou de tout raconter à mon amie.
J’abandonne provisoirement.
Les minutes passent, la serveuse ramasse les couverts qu’elles ont posé en bout de table, et elle se lève pour le dessert.
Karine la suit pour l’aborder à son tour.
Je les vois discuter tranquillement, et devine ma copine user de tout son charme, ce qu’elle sait faire à merveille.
Elle revient et me dit que c’est bien parti. Notre blonde n’est pas contre, mais veut réfléchir.
Puis elle écrit son numéro de portable sur un bout de papier et profite d’un second passage aux desserts pour le lui remettre.
Je termine ma soirée avec Karine, et on imagine ce qu’on pourrait faire toutes les trois.
On l’a vu se goinfrer dans ce resto, prendre trois fois du dessert, et on comprend mieux les quelques kilos superflus.
C’est une gourmande, pour la nourriture, et on espère qu’elle l’est pour le reste.
On va lui organiser une partie qui devrait lui plaire, en espérant qu’elle veuille bien s’amuser avec nous.
Deux jours plus tard Karine m’appelle, victorieuse.
Elle vient d’avoir Peggy au téléphone. Elle a réfléchi, et veut bien tenter l’expérience.
On a prévu un plan cochon, pour notre cochonne, et pour ne pas la prendre par surprise, ou éviter ses refus, Karine lui a tout dévoilé et a su la persuader d’accepter.
Elle lui donne rendez-vous chez elle pour le samedi suivant.
Enfin le grand jour. Je suis chez ma collègue, mais à 14h passée notre invitée n’est pas là, et on craint qu’elle nous ait posé un lapin.
14H20 elle est enfin là et s’excuse: elle est tellement excitée, nerveuse, qu’elle s’est trompée de route.
On lui pardonne sans problème, trop ravis de la voir, en attendant de l’avoir.
On l’emmène dans la chambre.
Elle est dans la même tenue qu’au resto, et on l’invite à nous offrir un striptease.
Elle s’effeuille lentement, lascivement, totalement, puis s’allonge au milieu du grand lit, offerte.
Je m’attendais, et sans doute Karine aussi, à une chatte entièrement rasée, mais non.
Elle a une toison bien fournie, d’un noir qui jure avec sa chevelure blondasse, et bien que ce ne soit pas esthétique, cette façon d’offrir timidement sa vulve, en la camouflant, nous plait énormément.
Elle nous a mis le feu, on se défringue vite fait pour la rejoindre.
Elle est entre nous, et nos mains se rejoignent entre ses cuisses.
On traverse sa forêt touffue, et plonge dans sa grotte ruisselante.
On retire nos doigts pour les lui faire sucer puis l’embrasser, ou pour napper ses seins et les lécher.
Elle est totalement offerte, soumise, et nous laisse faire.
Elle ne participe pas à nos baisers, mais laisse nos langues explorer sa bouche.
Je sais alors qu’elle n’est pas seulement grosse, mais grosse salope, grosse faignasse.
Karine se glisse entre ses plantureuses cuisses pour lui brouter le minou.
L’entrecuisse de bien des femmes mérite le nom de chatte, minou, chounette ou autre, mais elle, a vraiment une choune de chez choune, une chounasse incroyable.
Elle est en apnée dans cette grotte dégoulinante, et je chevauche sa propriétaire.
Je glisse mon gode ceinture tendu entre ses mamelles accueillantes, et fais des va et viens pour me branler entre ses seins, jusque dans sa bouche où je lui offre mon gode à sucer.
Elle m’accepte dans sa bouche, mais ne me suce pas vraiment:
– Salope, tu t’actives plus quand il s’agît de manger. Mais s’il n’y a que ça on va te servir.
Je me relève, Karine aussi, et on part toutes les trois à la cuisine.
J’ouvre le frigo et récupère de la chantilly et de la crème au chocolat qu’a faite ma chérie.
Je m’assied sur la table, cuisses ouvertes, queue offerte, et je recouvre mon gode pour offrir ma banane chantilly à notre ingénue.
La salope renait et me turlutte voracement.
Elle bouffe tout et je renouvelle le nappage jusqu’a vider le tube.
On passe maintenant au chocolat.
Il a épaissi et je m’en voit à l’étaler sur mon gode. J’y parviens et elle se délecte de mon éclair au chocolat.
Elle s’active sur mon gode, et me gobe en entier pour ne rien perdre de cette friandise.
Il reste du chocolat et je m’en recouvre mes seins pour lui offrir un nouveau dessert: des profiteroles qu’elle engloutit en quelques secondes:
– Salope, dès que je t’ai vu j’ai su que tu étais une grosse cochonne, Peggy la cochonne, Peggy, c’est comme cela que je vais t’appeler.
Va au frigo ma Peggy salope, il n’y a plus de crèmes dessert, mais du ketchup et de la mayonnaise. Je suis sûr que tu es assez salope gourmande pour t’en régaler.
Elle va chercher les tubes indiqués, m’en recouvre le gode, déborde sur les cuisses, le ventre, et bouffe tout.
Je ne vais plus pouvoir me retenir et demande à Karine de préparer les fraises.
Cette salope de Karine ne réagit pas de suite et je doit la rappeler à l’ordre;
Je n’y avais pas fait attention, mais pendant que je me faisais pomper par Peggy, elle s’appliquait à la faire jouir de ses deux autres orifices.
Elle la masturbait, la doigtait, la léchait, autant la fente avant que l’anus.
Karine prépare les fraises, les coupe en morceaux pour mieux les assaisonner.
Puis n’en pouvant plus je la supplie de me prendre en bouche a son tour.
Alors que Karine est plus experte, sais se contrôler.
Elle me laisse décharger ma cyprine, n’avale rien, rallonge ma sauce de sa salive, et déverse tout sur les fraises.
Elle mélange avec une petite cuillère, et on offre cet appétissant dessert à notre cochonne.
Elle est toujours debout, penché sur la table, son nouveau plat remplaçant mon gode.
Elle attaque son dessert au moment même, où m’étant levé, je la prend par derrière.
Karine me l’a hyper bien préparée et je peux l’enfiler en levrette, la sodomiser, sans précaution:
– Bouffe salope, bouffe. Dès que je t’ai vu j’ai su que tu étais une salope, une grosse salope.
Et Karine aussi, qui t’a baptisée Peggy, Peggy la cochonne. Ouih, bouffe Peggy, bouffe cochonne, bouffe Peggy la cochonne.
Mes injures semblent l’exciter, . Elle a terminé et je lui propose une salade aux fruits qu’elle accepte.
C’est une salade faite maison par notre maîtresse des lieux.
Elle prend un large saladier, un couteau, et quelques fruits. Elle les pose sur la table, celle là même ou Peggy est penchée tandis que je continue à la défoncer.
Elle s’assied sur la table, cuisses ouvertes, son impressionnante vulve extravertie offerte à nos regards.
Je devine Peggy bouche bée devant un tel spectacle, et je lui met quelques gros coups de gode pour lui rappeler que je suis là.
Karine s’applique à sa préparation. Sa vulve est toute luisante du plaisir qu’elle eu à s’occuper de notre partenaire.
Elle s’enfile une banane épluchée sans difficulté, la retire, coupe une tranche dans le saladier, et recommence tranche par tranche.
Puis c’est au tour d’une pomme qu’elle coupe en petit morceaux, trempe dans son huître inondée, et jette dans le saladier.
Des raisins puis des fraises subissent le même sort.
Les fruits sont prêts mais il manque le jus.
Elle se relève, s’accroupit sur la table, place le récipient entre ses cuisses, et urine dedans.
Je vois son jet doré recouvrir les fruits, mais plus que moi notre chienne soumise apprécie.
Karine descend de table, place le saladier sous le museau de notre nouvelle partenaire, et la plonge dedans, tandis que je la ramone e plus belle, chatte et fion en alternance:
– Bouffe salope, goûte ma pisse, comme elle est bonne.
Oui, c’est bien Peggy, la plus salope des cochonnes, la plus cochonne des salopes.
Bouffe, bouffe tout, nettoie le plat.
Notre Peggy ne se fait pas prier, et dévore tout avec appétit.
Elle a terminé, et pendant ce temps là Karine s’est équipée d’un gode ceinture a son tour.
Elle redresse notre invitée en la tirant par les cheveux, puis la retourne pour qu’on la prenne en sandwich.
Notre salope est plus soumise que jamais, une vraie poupée gonflable, et on la prend sans ménagement, pour son plus grand plaisir, et le notre.
Je me retire, place notre cochonne à genoux devant moi, et je crache ma cyprine sur ses seins de rêve.
Je la nappe de mon mieux, puis presse pour dégorger les dernières gouttes que j’essuie sur ses tétons.
Elle prend ses mamelles à deux mains, les soulève vers sa bouche, et lèche tout ce qu’elle peut.
Je lui propose de nettoyer le reste.
On va à la salle d’eau et elle s’agenouille dans le bac à douche.
Je reste à l’entrée et lui pisse dessus.
Mon jet dru et puissant s’écrase sur ses globes pour les rincer.
Elle ouvre la bouche pour m’inviter silencieusement à m’y déverser.
Je redresse mon jet et le dirige dans sa gorge.
Elle n’avale pas, sa bouche se remplit, déborde, et elle se caresse pour étaler mon liquide chaud sur son corps.
Je finis de pisser, et elle avale ce qu’elle a en bouche.
Je recule, elle reste là et invite Karine à lui pisser dessus.
Ma putain de copine ne se le fait pas dire deux fois, et s’éclate à lui pisser, elle aussi, dans la bouche.
Comme pour moi elle laisse s’écouler le trop plein, puis avale sa gorgée.
On lui propose une douche qu’elle refuse. Elle préfère sécher naturellement, puis repartir toute souillée et odorante de nos orgies.
Elle nous quitte, enchantée de sa venue, et nous promet de revenir.
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