Sofia et moi sommes nue dans le salon et trinquons avec nos deux Maîtres. Les discutions s’oriente rapidement sur la deuxième partie de soirée où comme ils le disent les choses sérieuses vont commencer. Avec un certain humour, Christian nous demande :
« Que préférez-vous les chiennes ? Une soirée avec basée plus sur l’humiliation ou plus sur la douleur ? »
Nous nous regardons un peu angoisée connaissant les extrêmes dans lesquels Christian peu nous amener. Mais d’un autre côté, je sais qu’Alain saura modérer les excès de Christian .
Sofia, plus perverse que moi, choisie la version hard en disant à Christian ;
« Maître ! Je ne suis que votre humble chienne. Faites de moi ce que votre plaisir vous dictera. Votre plaisir sera le mien. Humiliez moi et transcendez-moi dans la douleur. Par avance, je vousen remercie monbon Maître. »
Christian sourit satisfait de la réponse de sa chienne. De mon côté, je suis estomaquée de l’entendre demander d’être asservie de cette façon. Je t’arde à répondre et Alain m’en fait part sévèrement d’une claque sur les fesses en me disant :
« Alors Michèle ? Ne me fais pas honte devant nos amis ! Donnes ta réponse et vite ! Sinon c’est moi qui vais choisir ! »
Je baise la tête honteuse de ne pas être à la hauteur comme Sofia et reponds d’une voix blanche :
« L’humiliation sans aucun soucis Chéri. Mais j’ai peur des excès de Christian pour la douleur. Je te fais confiance pour gérer ça mon amour. »
Alain veut me rassurer un peu en donnant des règles de modérations :
« Choisissez un mot de modération et un mot pour tout arrêter. »
Sofia et moi nous concertons rapidement et d’une voix commune nous donnons notre réponse :
« « Chienne », pour modéré vos actions et « sac à foutre » pour arrêter. »
Christian et Alain trouve l’idée amusante et approuve notre décision.
Christian propose alors :
« Commençons par du traditionnel. Nous allons vous chuffer les fesses jusqu(à ce que leurs couleurs soient agréables. »
Alain se saisit de Sofia et Christian de moi. Ils nous couche sur leurs genoux et les fessées débutent. Les premières claques sont presque des caresses. Puis la fessée devient plus appuyée. La couleur de nos fesses prennent une couleur rosées jusqu’au cramoisi. Nous nous cambrons en piaillant sous les claques et en gesticulant.
Christian nous dit, en me tirant sur les ceheveux :
« Oui c’est bon ! Gueulez les salopes. Comptez les coups en nous remerciant ! »
Docile, c’est en criant que nous comptons :
« Sept merci Maître ! Huit… Merci Maître……..20 Merci Maître ! »
Je suis à deux doigts de dire le mot fatidique « Chienne » quand les fessées s’arrêtent. Des larmes me coulent sur les joues et me fesses sont en feu. Nos deux mâles se congratulent sur la couleur de nos fesses.
En nous mettant à genoux devant eux, les mains sur la tête ; Alain nous demande :
« Ouvrez vos chattes et dites-nous ce que vous êtes ! »
Nous comprenons rapidement le jeux qu’ils veulent jouer avec nous en alternant humiliations et punitions plus ou moins douloureuses. Ensemble dans le plaisir de cette humiliation commune, nous ouvrons nos chatte trempée et répondons :
« Nous sommes vos chienne, videuse de couilles ! »
Il s’approche de nous et commencent à nous serrer les tétons entre pouce et index de plus en plus fort. Je serre les dents et me tortille comme pour éviter cette douleur qui me vrille l’estomac. Une larme perle sur ma joue et je le supplie d’arrêter alors que Sofia semble endurer plus facilement que moi. Cette douleur qui devient trop vive. Mais Christian continue la pression attendant le moment où je vais dire « chienne » ou bien celui où je vais crier de douleur.
Je n’n peux plus et je hurle :
« CHIIIENNNEEE ! »
Il diminue la pression alors qu’Alain continue su Sofia jusqu’à ce qu’elle se mette à crier.
Ils nous cajolent gentiment en nous disant :
« Vous êtes de bonnes chiennes obéissantes. Branlez-vous sans jouir maintenant ! La première qui joui fouettera l’autre ! »
Toujours genoux à terre et cuisses écartées, nous commençons à nous masturber. Nos deux hommes nous regardent ironiques. Je sens une envie irrésistible je jouir, mais je tiens bon. Comme nous ne cédons pas à la tentation de laisser notre orgasme nous envahir, ils nous ordonnent de nous prosterner devant eux le cul bien cambré et offert.
Alain nous dit :
« Restez ainsi, les chiennes, votre position est parfaite. Nous on va se boire un coup. »
Auparavant Christian sort d’un tiroir des pinces qu’il place sur nos tétons. Ensuite ils nous regardent d’un air détaché en dégustant leur whisky. Puis Il nous demande :
« Vous êtes dans cette position de chiennes en chaleurs parce que vous avez envi de vous faire enculer ? »
Nous ne répondons pas. Alors Alain insiste :
« Ho les chiennes ! On vous a posé une question ! »
Pour nous faire ré »pondre plus rapidement, Christian retire sa ceinture et nous fouette le dos avec.
Notre réaction est rapide et nous crions ensemble :
« Oui nous sommes vos chiennes en chaleurs et nous voulons nous faire enculer profond ! Merci Maîtres ! »
Les coups cessent et aussitôt ils s’empresse de nous enfiler par le petit trou. Leurs coups de boutoir font balancer nos seins durement pincés. La douleur de cette pénétration anale et l’humiliation avec laquelle nous la subissons, se transforment rapidement en un plaisir particulier qui nous fait dire :
« Ho merci Maîtres de nous défoncer. Ouiii encore c’est trop bon ! »
Nos deux « tortionnaires » n’y tiennent plus. Ils se retirent et utilisent nos seins dans des cravates de notaire pour se finir et éjaculer sur nos visages. Remis de leurs émotions, il se reprennent un vere en exigeant qu’on se nettoie mutuellement avec nos langues.
Un foi propre, Alain remarque que le sol est souillé de sperme. Pour me ménager, il me prend sur ses genoux et en me cajolant comme une bonne chienne, me flattant les seins encore endoloris par les pinces, il exige alors de Sofia de lécher les traces de sperme sur le sol. A croire qu’elle n’attendait que ça, elle se met à l’œuvre et ayant terminé, d’elle même, elle fait la belle en haletant comme le ferait une chienne devant son Maître.
Christian est pleinement satisfait de sa chienne et nous envoie à la douche. Épuisées, nous nous couchons avec nos Maîtres dans le king size pour un sommeil bien mérité.
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