L’activité du samedi soir (la chasse aux flags)
– Nous sommes heureux de vous convier, ce soir, à une chasse aux flags, annonça Denis. Pour ce faire, vous aurez tous une lampe de poche car je dois avouer que ces flags ne sont pas très gros, dit-il en riant. A l’endroit même de chaque d****au, vous y trouverez une lettre dans laquelle vous trouverez ce dont vous devrez faire. Pour ce, nous vous fournirons des accessoires. Donc, si vous rencontrez un bûcheron qui vous incite à répondre à ce dont la lettre lui demande, vous ne pouvez refuser. Vous aurez trois heures pour trouver le plus de flags possibles car, bien entendu, il y un prix pour celui qui en trouvera le plus, et un autre pour celui qui en trouvera le moins. Donc, il est important que vous gardiez tous vos flags.
– Donc, poursuivit Sylvain, la chasse débutera à vingt heures et se terminera à vingt-trois heures précises. Lorsque vous entendrez le clairon, vous devrez tous nous rejoindre sur la terrasse où les prix seront décernés avec un goûter qui, nous l’espérons, vous plaira. Comme vous le savez tous, nous vous avons invités car nous croyons que vous êtes en mesure de faire tout ce dont nous espérons. Par le passé, certains invités se sont bornés à refuser de participer à nos activités et, malheureusement pour eux, ils font maintenant partie de notre liste noire. Maintenant, nous vous demandons d’aller vous préparer.
– Pour ce faire, vous devez vous libérer de tout ce qui pourrait se trouver dans vos intestins et ensuite, rendez-vous derrière le camp où vous y trouverez des douches extérieures. Je vois des froncements de sourcils, dit-il en riant. En acceptant notre invitation pour ce weekend, vous deviez savoir que nous ne vous donnerions pas des cours de tricot. Par contre, nous pouvons comprendre si certains préfèrent quitter tout de suite mais sachez que nous en serions peinés. J’allais oublier. Vous ne devez, en aucun cas, éjaculer. Peu importe ce que vous devrez faire, vous devrez vous retenir. Alors, ça vous va?
Nous répondîmes tous par l’affirmative, excités tout en étant quelque peu craintif. Nous n’ignorions point que nous aurions à baiser comme des bêtes mais ce dont on pouvait trouver sous les flags nous intriguait royalement. De mon côté, je me disais que Denis et Sylvain avaient trop de classe pour nous obliger à s’exécuter sur des choses quelque peu dégueulasse cependant, d’un autre côté, je ne les connaissais pas ces gens et dire quels étaient leurs fantasmes, je ne le pouvais guère. Mais bon, j’étais là et si quelque chose me déplaisait, je n’aurais qu’à refuser et tout simplement apparaître sur leur liste noire.
Nous fîmes donc tous notre toilette, comme on pourrait dire, revenant devant le camp pour attendre vingt heures. Le fameux contremaître nous donna notre lampe de poche et enfin, le moment venu, Denis nous donna l’ordre de se disperser, nous avisant que les flags ne se trouvaient nullement dans les sentiers. Nous compriment donc qu’il fallait entrer dans la forêt. Comme il faisait encore jour, je m’empressai donc, d’un pas ferme et décidé, à trouver le plus de flags avant que la noirceur tombe. Je me faufilai immédiatement entre les premiers arbres, jetant toujours un coup d’oeil au sol. Malheureusement pour moi, j’avais beau regarder mais je ne trouvais rien. Orgueilleux comme un paon, je ne désirais nullement terminer dernier. Je poursuivis donc ma route, regardant quelques fois derrière moi pour constater que je me trouvais seul dans cette partie de la forêt. J’avais donc des chances de tomber sur des flags. Je sais, c’est enfantin comme jeu mais ça me plaisait bien. Sans nul doute que si la chasse avait été une chasse aux oeufs de Pâques, je me serais sûrement ennuyé mais là, la forêt grouillait de tous ces superbes mecs que je venais de voir nus sous les douches et je dois avouer que j’avais hâte de trouver mon premier d****au. Et vlan, juste sous mes yeux, attaché à une branche, je venais de le découvrir. Je m’empressai de le décrocher, l’enfouissant dans l’une de mes poche de mon jeans et décacheta l’enveloppe pour y sortir la fameuse lettre qui disait: « Vous ne devez plus bouger, sauf pour vous agenouiller. Baissez votre jeans et prenez la position doggy. Attendez qu’un bûcheron passe et demandez-lui de vous enculer ». Je souris légèrement, trouvant la situation assez amusante par contre, j’espérais qu’un bûcheron passerait dans peu de temps car je ne pouvais perdre trop de minutes à attendre. Il fallait que je trouve d’autres flags. Je baissai donc mon jeans aux genoux et pris la fameuse position qui mettait mon cul à la disposition du premier venu. Chanceux aux as, j’entendis le craquement du sol derrière moi et je me retournai pour apercevoir l’un des bûcherons qui s’avançait à grands pas.
– Tu as trouvé un d****au ou tu te reposes? demanda-t-il en riant avec sarcasme.
– J’ai trouvé un d****au et tu dois m’enculer, répondis-je en lui présentant la lettre qu’il lut à voix haute.
– Et bien, ça sera avec un grand plaisir que je te défoncerai le cul, dit-il en déboutonnant son jeans pour en sortir une queue déjà bien dure. Surtout que ce cul m’a plu dès que je l’ai vu à la piscine cet après-midi, expliquait-il en s’agenouillant. Tu es prêt pour une partie de plaisir mon joli, dit-il en glissant sa queue entre mes fesses. A moins que tu préfères que je te mange la rosette pour t’aider un peu.
– Contente-toi de m’enculer, je peux en prendre, répliquai-je, désirant que le tout se fasse le plus rapidement possible pour que je reprenne ma chasse. Il s’exécuta donc, y allant de seulement quelques coups pour l’enfouir au complet. Ses mouvements s’accélérèrent immédiatement et je me dis que lui aussi ne voulait pas perdre trop de temps. Mais c’était bon, super bon. Il devait être un top car il savait parfaitement contrôler sa queue pour me donner du plaisir. J’étais bandé au max et je me demandai comment je parviendrais, en trois heures, à me retenir si tous les flags m’obligeaient à me faire fourrer.
– Tu as un de ces culs mon mec. On voit bien qu’il est habitué à y recevoir des bites mais là, je vais m’arrêter car je ne pourrai pas me retenir plus longtemps, dit-il en la sortant pour se mettre à me le manger avec avidité. Je sais que ce n’était inscrit dans la lettre mais j’en avais trop envie, expliqua-t-il en se levant pour reboutonner son jeans. Allez, lève-toi et poursuivons notre chasse. Et il reprit le pas de marche, me laissant là, le cul à l’air. Je fis donc comme lui en me relevant pour remettre mon jeans en place.
La brunante tombait et je commençais à moins voir alors, je pris ma lampe de poche, tout en marchant tranquillement. Je pouvais entrevoir quelques bûcherons à travers les arbres, me disant que je devrais peut-être changer de cap mais l’un d’eux s’approchait de moi.
– Hey mec, tu tombes bien, me lança-t-il. Baisse ton jeans que j’exécute l’ordre de la lettre. Tu vas aimer, dit-il en me présentant une bombe de crème fouettée. » Le premier bûcheron que vous verrez, vous devez enduire sa queue de cette crème fouettée et le sucer sans rien laisser », disait la lettre. J’ouvris donc, encore une fois, mon jeans et en sortit ma queue qu’il s’empressa de garnir de crème fouettée. Il s’agenouilla et ouvrit la bouche pour y enfouir ma graine sucrée. Encore une fois, je me demandai comment je ferai pour tenir le coup sans éjaculer car sa langue était experte, croyez-moi. Et de l’entendre lécher la crème fouettée goulument m’excitait encore plus.
– Vas-y doucement car je ne pourrai pas me retenir.
– Je ne dois rien laisser, c’est écrit, réussit-il à dire en ayant la bouche pleine de ma bite et de crème fouettée. Je me mis donc à penser aux courses que je devais faire en revenant à la maison pour tenter de me changer les idées car encore quelques coups de langue et ma queue jaillirait à grands jets. Ouf… il avait terminé et c’était le temps. Il se releva et m’embrassa avec fougue avant de me demander si son bec sucré m’avait plus. Je répondis par l’affirmative mais là, j’étais pressé car je n’avais qu’un seul d****au et le temps passait vite. Je refermai mon jeans et pris le pas, toujours avec ma lampe de poche car là, il faisait noir et en forêt, on dirait qu’il fait toujours plus noir.
J’aperçu trois mecs qui se faisaient sucer par un autre et je me dis qu’en fin de compte, les lettres n’étaient pas si terribles… du moins je l’espérais. Yes… je venais de tomber sur un d****au, caché entre deux roches. Je le mis donc, lui aussi, dans ma poche et lus la lettre qui m’obligeait à me dévêtir complètement, sauf les bottes, et ce, jusqu’à la fin de la chasse. Je soupirai de grands coups, heureux que la température fût clémente. Je me déshabillai donc pour poursuivre ma quête la queue à l’air, le cul à la merci de tous et une main tenant ma chemise et mon jeans. Je pouvais apercevoir des lueurs de lampe de poche autour de moi. Ça grouillait de mecs en chaleur et j’entendais des gémissements mais je ne pouvais dire d’où ils venaient cependant, ça voulait dire que certains avaient trouvé des flags. Et combien de ces flags avaient été cachés? Personne ne le savait. Peut-être même qu’ils avaient déjà tous été trouvés et que nous cherchions pour rien. Mais je devais quand même poursuivre et là, je me sentis brusqué, constatant que deux bûcherons me tenaient contre eux.
– Ça tombe bien, il est déjà nu, dit l’un d’eux tandis que l’autre me plaquait contre un arbre, face contre l’écorce.
– Ça va pas ou quoi? m’écriai-je en me débattant.
– Calme-toi, me suggéra calmement celui qui tenait la lettre en main. » A l’aide d’un copain, vous devez attacher le premier mec que vous voyez à un arbre, de face, et vous devez l’enculer. N’oubliez pas d’y attacher cette pancarte: « Ce mec a le cul en chaleur alors, servez-vous ». Vous devrez le libérer après 30 minutes ». Désolez mec mais nous devons t’attacher, me dit-il en riant en joignant mes bras autour de l’arbre pour y passer une corde à mes poignets. Allez mec, commence tout de suite si on veut être en mesure de trouver d’autres flags.
Je sentis donc aussitôt mon cul se remplir et ce, d’un seul grand coup qui se planta bien au fond. Et merde, je perdrais trente minutes attaché à cet arbre. Quelques mouvements de va-et-vient et il sortit sa bite pour laisser le champ libre à l’autre qui en fit de même, me pénétrant à grands coups. Pendant ce temps, on plaçait la fameuse pancarte mais comme il faisait noir, je me dis que personne ne l’apercevrait. J’étais hors ligne car d’un simple clic, elle s’alluma et en plus, chaque lettres qui marquaient » Ce mec a le cul en chaleur alors, servez-vous », clignotaient pour attirer l’attention.
– Ok mec, on a terminé. Je reviens dans trente minutes pour te libérer, promis.
Ils partirent, me laissant là, attaché à l’arbre, mon cul offert à qui le voudrait. Et ça ne pris que deux minutes pour que je me fasse enfiler, ne sachant pas qui se plaisait à me casser la pièce de dix sous mais je peux dire que j’étais servi côté machin.
– Alors, c’est autre chose que mon doigt, entendis-je, sachant maintenant parfaitement qui avait fait son entrée triomphante dans la ville de Sodome. Je te l’avais bien dit que je te l’ouvrirais ta belle miche. Je ne répliquai point, profitant de la douceur de sa grosse queue qui me prenait comme j’aime qu’un mâle viril me prenne. Il y allait tantôt avec lenteur, tantôt avec vitesse mais chaque mouvement était bel et bien ressenti de ma part. Ma respiration s’accélérait et il l’entendait parfaitement, se complaisant à me savoir si excité. Je vois bien que tu raffoles de ma queue bien dure mais là, j’ai autre chose à faire, dit-il en sortant sa bite de mon cul mouillé. Des flags, je dois trouver des flags, dit-il avant de me laisser là, sur place, attendant que les satanés trente minutes s’écoulent.
Sans m’étaler, j’ai compté neuf mecs, outre les deux premiers, qui m’ont visité le derrière et je dois avouer que plus ça allait et plus j’en avais envie. Je fus presque déçu lorsqu’on vint me libérer. Et bien croyez-le ou non, je ne parvins pas à mettre la main sur aucun autre d****au. Et pourtant, il y en avait car j’ai vu un mec se faire enculer par deux queues en même temps, un autre se faire pisser dessus et un autre manger le cul de trois mecs. Mais moi, rien, plus rien. Après m’être fait prendre la température attaché à l’arbre, plus rien. Plus de baise, plus de queue, plus de cul, rien… Alors quelle ne fut pas ma déception lorsque j’entendis le fameux clairon qui nous rappelait au manoir. Je m’habillai et rebroussai chemin pour arriver à la terrasse soit quelques dix minutes plus tard. Peut-être ne m’étais-je pas assez enfoncé dans la forêt mais comme je n’ai nullement le sens de l’orientation, je ne désirais nullement me retrouver au beau milieu de nulle part.
Dès mon arrivée à la terrasse, je sentis l’odeur de la viande et aperçut aussitôt le porc qui tournait sur la braise et ces grandes tables remplies de victuaille. Ça tombait à pile car j’avais une faim de loup. Quelque chose pourtant attira mon attention, près de la piscine. On y trouvait un sling mais pas n’importe lequel. Soutenu par des poteaux d’acier, il était fait de cuir avec un appui-tête, deux lanières, toujours de cuir, pour les pieds et des menottes pour les poignets. Il était sublime mais à savoir ce qu’il faisait là, c’était une tout autre histoire.
Bien entendu, Denis et Sylvain nous attendaient avec du champagne et pour l’occasion, je me laissai tenter, quoi que le goût ne soit pas ma tasse de thé.
– En espérant que vous avez appréciez notre petite chasse aux flags, nous allons maintenant découvrir l’heureux gagnant et le malheureux perdant, si on peut le nommer ainsi. Mais avant, pour être certain que vous avez bien joué le jeu, je lirai chaque lettre et vous me direz à qui elle appartient et surtout, je dois savoir avec qui vous avez effectué la demande. Par cela, nous saurons si vous avez tous participé. Il les lut donc toutes pour en conclure que tous avaient participés au jeu. Maintenant, il est temps de me dire combien de flags vous avez trouvés. Et bien je dois admettre que ce ne fut pas moi le grand gagnant mais bel et bien ce fameux Italien à l’index et à la queue du tonnerre. Il est parvenu à trouver huit flags et le perdant… ce fut moi avec deux. Je ne sais pas pourquoi mais cet Italien commença au moment même à me tomber sur les nerfs. Par jalousie? Peut-être…
– Alors, repris Sylvain, le grand gagnant se mérite, et ce jusqu’à la fin du weekend, le droit de baiser les mecs de son choix et comme il est le roi du weekend, aucun refus ne sera toléré. En plus, deux invitations pour les prochaines soirées que nous offrirons et le grand prix, un weekend de trois jours au Four Seasons Hotel à New-York dans le Ty Warner Penthouse. Par contre, par contre, pour avoir accès à ce prix, le gagnant doit inviter l’un des bûcherons ici présents ce soir. Ça te va? demanda-t-il à regardant l’Italien qui jubilait de bonheur.
– Aucun problème avec cela. Dois-je choisir tout de suite?
– Comme tu as l’opportunité de baiser qui tu veux et ce, jusqu’à demain soir, tu peux prendre le temps d’y penser.
– Et le perdant lui, quel est son prix? interrogea le fameux mec qui me traitait de salope depuis la matinée et qui m’avait enculé dans la forêt et ce, en me jetant un oeil malicieux.
– Et oui, le perdant. Ce cher Etienne qui, je l’espère, a tout de même trouver grand plaisir à notre activité. Comme on le dit si bien, l’important est de participer. Alors, le prix est là, près de la piscine. On se retourna tous pour y apercevoir le fameux sling de cuir. Il est magnifique, n’est-ce pas? Alors, mon cher Etienne, il est que pour toi. Je te demanderais donc de te dévêtir et de prendre place sur ce sling. Je le fixai quelques secondes, ne comprenant pas trop où il voulait en venir, du moins, je tentais de ne pas le savoir car je me doutais bien que mon cul en prendrait pour son argent dans les minutes à suivre. En tant que perdant, tu appartiens donc à tous ces magnifiques bûcherons qui, tout le temps du goûter, pourront t’utiliser pour leur plus grand plaisir. Alors les gars, voues êtes contents? cria-t-il en applaudissant, suivi par tous.
– Allez Etienne, à poil, dit l’un d’eux en s’approchant de moi pour me tripoter la queue par dessus mon jeans. Je veux être le premier à te fourrer car il paraît que tu as un cul spécialement conçu pour les queues.
Je gardai le silence, heureux, en fin de compte, d’avoir perdu. J’ai toujours aimé être le centre d’un gangbang et là, en plus, tous les mecs me plaisaient, ce qui n’est pas toujours le cas lors d’une orgie. Je me débarrassai donc de mes vêtements et marchai vers le sling, suivi de Sylvain. Je pris place en plaçant mes pieds où il le fallait, de sorte à ce que mes jambes demeurent écartées et Sylvain ferma les menottes autour de mes poignets. Je donnais l’impression d’être en croix mais assis.
– Ça va, tu es correct. Tu n’es pas mal à l’aise?
– C’est parfait comme cela, répondis-je avec un large sourire. Et toi, tu en profiteras aussi?
Il m’observa, semblant décontenancé par cette question. Il me fit un léger sourire et retourna sur la terrasse pour annoncer aux bûcherons que le repas était prêt, ainsi que moi-même qui les attendait avec impatience. Je fus aussitôt entouré de mecs qui ouvrirent tous leurs jeans, quelques-uns s’en débarrassant totalement. En quelques secondes, je me retrouvai avec une queue dans le cul, sachant parfaitement que ce ne serait pas la dernière. En fin de compte, il y avait des avantages des fois à être perdant. J’étais là, dans le sling, les poignets menottés, n’étant nullement maître de mon corps alors que plusieurs superbes mecs musclés attendaient tous de m’enfiler leurs bites bien dures et juteuses dans le troufignon. Quoi demander de plus? J’en comptai sept qui me fourrèrent à grands coups avant de me remplir de leur foutre avant que Sylvain vienne m’enlever les menottes. Je croyais que c’en était terminé mais non. Il me mena sur la pelouse et là, les mecs se mirent à me tripoter avant de me coucher sur le dos, deux me tenant les jambes en l’air alors qu’un autre s’empressait de me cartonner le cul. Je me retrouvai vite avec une queue de chaque côté du visage, alternant pour les sucer goulûment. Sylvain et Denis, de leur côté, nous observaient en se masturbant. Je venais de comprendre qu’eux, leur plaisir, étaient de regarder la partie et non d’y participer.
Soudain, je sentis une chaleur sur mon torse et là, debout, les jambes bien écartées de chaque côté de mon corps, un mec me pissait dessus. Rien de dégradant par contre, du moment qu’on adhérait à ce genre de pratique. Et moi, j’aimais tout simplement cela. L’un des mecs que je suçais ne put se retenir bien longtemps et me gicla son sperme au visage en criant sa jouissance pendant qu’un second lichait tout à grands coups de langue. Je ne savais même plus combien de mecs m’entouraient mais je savais que l’orgie venait de prendre son envolée car je n’étais plus le seul à être fourré. Je pouvais facilement en voir quelques uns qui se plaisaient, eux aussi, à ouvrir tout grand leur derrière par contre, eux, c’était par choix alors que moi, je demeurais celui qu’on pouvait utiliser sans pouvoir riposter.
Tout à coup, on me leva pour me contraindre à m’asseoir sur un mec qui avait la queue bien droite et sur laquelle je me glissai pour la prendre au complet. Sans attendre, un autre en profita pour se placer derrière moi et positionna sa bite pour me la rentrer d’un seul grand coup. C’était l’extase totale. Quatre mecs m’offrirent leurs queues à sucer, ce dont je ne refusai guère, bien entendu. Et pour la première fois, je vécu ce dont je m’étais refusé toute ma vie.
Je sentis que les queues se retiraient de mon cul et aussitôt, quelque chose de plus gros tâta ma rosette. Je me retournai et vis le fameux Italien qui, de sa main, tentait de me défoncer la pastille. Je vins pour riposter mais Sylvain me fit signe que je ne pouvais nullement résister. Là, au moment présent, je ne savais plus si je me plaisais à me trouver à cet endroit. La sensation de la pression de la main me déplaisait quelque peu et je me demandais bien si mon pauvre cul parviendrait à la laisser entrer. C’est à ce moment qu’un mec me présenta le sien pour que je le mange et de voir ce merveilleux cul rasé me fit oublier la douleur provoqué par cet italien qui prenait sûrement son pied. Ma langue léchant avec appétit le fion du mec, mon cul laissa passer la main qui s’enfonça tranquillement et wow… c’était quelque chose. Jamais je n’aurais imaginé cette sensation et là, je pouvais vraiment affirmer que j’étais plein aux as. L’Italien y allait tantôt tranquillement, tantôt avec plus de fermeté et il s’enfonçait toujours plus. Les autres mecs regardaient le spectacle en se masturbant, s’embrassant, se suçant, s’enculant; c’était l’orgie totale.
– Alors, tu croyais que je me contenterais de ma queue pour te faire jouir, me dit l’Italien. Tu sembles apprécier.
– Et tu croyais que je ne parviendrais pas à prendre ta main? lui dis-je, rempli d »orgueil.
– Je me doutais bien que tu apprécierais cela, poursuivit-il en enfonçant toujours plus son avant-bras. Et là, tu aimes toujours?
– Tu peux même y entrer ta tête si le désires.
Les mecs se mirent à rire pendant que l’Italien prenait conscience qu’il ne parviendrait pas à m’humilier. Il se retira donc et y enfonça sa queue, me fourrant de grands coups avant de libérer son jus gluant.
– Au suivant, dit-il en se relevant, exaspéré par le fait que rien ne semblait me déranger. Et un autre pris place, et un autre, un autre et encore un autre pendant que Denis et Sylvain observaient le spectacle, se disant sûrement que le weekend se passait exactement comme ils le désiraient.
Et le tout se poursuivit pendant encore près de deux heures où les mecs, tous, sans exception, me remplirent le cul de leur liquide gluant ou la gueule, selon leur désir.
Épuisé, je ne pensai même pas à manger un morceau et, étendu sur la pelouse, je m’endormis, nu, me réveillant qu’au matin sous les chauds rayons du soleil.
(à suivre pour la journée de dimanche)
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