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Sexe et jardinage

Sexe et jardinage



ces évènements sont survenus mi-septembre après j’aie terminé mon CDD estival à l’hôtel.

Parfois en me promenant à pieds avec mon mari ou seule, en variant les itinéraires, je passe devant des jardins ouvriers en bordure de la ville et pas très loin de l’océan.
Des jardiniers me connaissent de vue car je reste à chaque fois un moment à regarder leurs cultures.

Quand mon mari est occupé je me promène seule devant et dernièrement je me suis arrêtée devant ces jardins pour regarder les plantations et un jardinier a commencé à me parler en s’approchant de la cloture.
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Par dessus le grillage il me passe deux sacs avec des tomates, des concombres et des courgettes notamment .
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Comme j’insiste lourdement, sur le ton de la blague il me dit.
<<à part me faire une gâterie je ne vois pas>>.
Sans être beau il a un physique pas désagréable.
En souriant je lui réponds sur le même ton.
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Du coup notre conversation se met à tourner autour du sexe et je le conforte dans l’idée que je suis prête à avoir une relation sexuelle avec lui.

Deux jours plus tard je gare ma voiture le plus près possible des jardins et l’homme qui se prénomme Adrien vient m’ouvrir le portillon et me précède vers la cabane ou il range ses outils.
c’est une belle petite cabane en bois peinte en vert avec devant une petite tonnelle sous laquelle il y a une table et deux fauteuils en résine.
Avant d’entrer Adrien retire ses chaussures, L’intérieur est très propre.
Il me montre les légumes qu’il m’a préparés, c’est un assortiment varié et assez abondant.
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Je m’approche de lui et sans lui laisser le temps d’objecter je dégrafe son pantalon qui tombe à ses pieds, j’en fais autant avec son caleçon.
Son pénis de taille correcte réagit rapidement. Après m’être accroupie je le caresse puis le masturbe un peu.
Il reste sans bouger incrédule ne croyant pas ce qui lui arrive.
Il sursaute et ses doigts agrippent mes épaules quand je commence à lécher sa queue, ma langue s’active pendant un moment alors qu’avec une main je caresse et triture ses testicules. J’insiste sur le gland.
D’un mouvement brusque qui le fait de nouveau sursauter j’enfonce la verge dans ma bouche, elle vient taper au fond de ma gorge pendant que mon nez vient se perdre dans les poils de son pubis.
J’alterne les aller-retour lents et rapides, je serre les lèvres sur la queue.
Adrien est aux anges, ses mains se crispent, ses ongles s’enfoncent dans ma peau et comme je le pressentais il ne résiste pas longtemps.
Le pénis gonfle encore dans ma bouche puis est pris de tremblements pendant que des jets de sperme coulent dans ma gorge, je continue à sucer tout en avalant le liquide.

Il bande toujours, je me relève et retire mon short et ma culotte.
J’appuie mon dos contre une cloison et j’écarte les jambes.
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J’attends qu’il se colle contre moi, avec une main je dirige sa queue vers l’entrée de mon intimité dans laquelle elle s’enfonce quand il exerce une poussée avec son corps.
Je mets mes bras autour de son cou pendant qu’il agrippe mes hanches avec ses mains.
Les jambes un peu pliées pour être à bonne hauteur il donne des coups de reins pour faire aller et venir son membre dans mon ventre.
Il me défonce pendant un moment puis son corps se raidit et je sens sa verge tressauter et déverser sa semence dans mon vagin.
Il se recule et prend de l’essuie-tout qu’il me tend, je m’essuye pendant qu’il en fait de même.
Il est content de ce qui lui est arrivé et a du mal à réaliser.

Il m’aide à porter les légumes à ma voiture et avant de me quitter me dit:
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Nous convenons d’un rendez-vous pour quelques jours plus tard.

Le jour dit je suis exacte au rendez-vous, à part Adrien une seule personne est là à s’occuper d’une parcelle de jardin.
Avec Adrien nous nous rendons directement dans sa cabane, devant la porte un cageot bien rempli de légumes m’attend.
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Comme je l’avais demandé un plaid est étalé sur le plancher.
Plus déluré que la fois précédente mon amant se colle contre moi, passe ses bras autour de ma taille, il pose ses lèvres sur les miennes et sa langue pénètre dans ma bouche à la recherche de la mienne, elles se mêlent dans un long baiser.
Je sens contre mon ventre son pénis gonfler et durcir.
Il me caresse partout par dessus les vêtements en insistant sur ma poitrine puis sur mon entre-jambes.
Très hardi il commence à me déshabiller et quand je suis nue son regard scrute mon corps.
Il décrète que je suis une belle plante.

Allongés nous nous caressons pendant un moment puis je m’attaque à sa verge que je sors du pantalon et comme je me déplace pour être plus libre de mes mouvements ses mains quittent mes seins et surtout les tétons qu’il agaçait et triturait pour s’occuper de mon sexe.
J’embrasse et lèche le pénis bien érigé avant de le sucer goulument pendant qu’après avoir caressé mon sexe avec un doigt il fouille mon intimité ou masturbe mon clitoris.
Il est très excité et rapidement son corps se raidit et je sens sa queue grossir encore et s’agiter dans ma bouche pendant qu’il y déverse son perme que j’avale.

Je me retrouve couchée sur le dos, les jambes écartées, avec Adrien sur moi, avec une main je l’aide à trouver l’orifice que sa queue vise puis nous nous mettons à remuer de concert pendant un moment.
Il veut changer de position.
Je me mets à genoux et positionné derrière moi il pénètre mon intimité, sa queue y fait des aller-retour pendant un moment avant que je ne lui demande de se reculer.
j’att**** son membre et le positionne contre mon anus dans lequel il s’enfonce quand Adrien pése avec le poids de son corps.
Heureux de ce qui lui arrive il commence à me sodomiser d’abord doucement puis à grands coups de reins pendant qu’avec une main je triture ses testicules.
Je commence à prendre du plaisir quand sa verge tressaute dans mon cul et y éjacule.

Il est allongé, ne voulant pas en rester là je m’occupe de nouveau de son sexe qui a perdu de sa fierté.
Je le masturbe pendant un moment avant qu’il ne commence à grossir puis je lui fais une nouvelle fellation.
Je me positionne au dessus de lui accroupie et je fais pénétrer son pénis dans ma chatte et je commence à donner des coups de reins pour le faire aller et venir en moi.
Nous remuons ensemble en rythmant nos coups de reins.

Nous sommes en pleine action quand soudainement la porte de la cabane s’ouvre et que l’homme qui jardinait entre et reste immobile, sans voix et la bouche ouverte devant le spectacle qui s’offre à son regard.
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Je sens la queue d’Adrien rétrécir dans mon intimité, gêné il bredouille quelques phrases.
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La surprise passée mon côté salope prend le dessus, je prends l’initiative.
Je l’interpelle quand gêné il va pour sortir de la cabane.
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Il reste bouche bée.
Comme Adrien refroidi ne bande plus je me lève et m’approche de l’homme prénommé Jacques.
Il mâte mon corps.
<<ça va, je ne suis pas trop moche, je ne te fais pas peur>>.
Il bredouille, les mots ne sortent pas de sa bouche.
Je passe mes bras autour de son cou et l’embrasse. Au bout d’un moment sa langue vient se mêler à la mienne, je fais durer le baiser.
En même temps je dégrafe son pantalon et mets la main dans son caleçon puis je caresse son pénis qui prend rapidement de bonnes proportions.
A genoux je lèche son membre avant de le prendre dans ma bouche et de lui faire une fellation pendant que Adrien me caresse les fesses, les cuisses et l’entre-jambes.
Je n’ai pas besoin d’user ma bouche à faire des aller-retour sur le pénis car rapidement il se laisse aller et déverse son sperme dans ma bouche, comme d’habitude j’avale le liquide et suce encore un peu avant de me relever.

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<Jacques me dit en riant.
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Je comprends ou il veut en venir et je ne peux pas m’empêcher de le narguer.
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Je n’aurais pas du dire ça.

Ils se mettent ensemble; m’allongent et essayent de pénétrer ma chatte avec un concombre mais devant la difficulté y renoncent.
Du coup Jacques enfonce une carotte dans mon intimité puis lui fait faire des va-et-vient lents puis de plus en plus rapides.
Je commence à bien mouiller car ils s’activent avec ardeur et je ferme les yeux attentive au plaisir qui monte dans mon ventre.
Le martyr dure un moment et prise de spasmes je jouis.
Ils commentent quand ils voient les jets de cyprine sortir de mon vagin.

Ils ne sont décidés à en rester là, ils replient mes jambes pour que mes genoux soient au niveau de ma poitrine.
Je sens quelque chose qui entre dans mon anus, c’est un poireau.
Pendant que Jacques s’active avec la carotte dans ma chatte Adrien me défonce le cul avec le poireau, ils essayent de synchroniser leurs mouvements.
Jugeant que ce n’est pas suffisant ce qu’ils me font subir l’un se met à masturber mon clitoris et l’autre à agacer les tétons de mes seins.
Je subis longtemps car cela les amusent et les excitent surtout quand j’atteins l’orgasme.
Au bout d’un moment je ne suis plus très lucide avec les jouissances qui se succèdent à un rythme de plus en plus rapproché.
Enfin ils cessent de me défoncer avec leurs queues de substitution et libèrent mes orifices.

Ils n’en ont pas fini pour autant car avec la séance qu’ils m’ont fait subir ils sont toujours en érection.
Jacques se couche à côté de moi et me fait basculer sur lui puis pénètre ma chatte pendant qu’Adrien se positionne derrière moi puis je sens son pénis s’enfoncer dans mon anus.
Les aller-retour des verges reprennent dans mon corps. Ensemble ils donnent des coups de reins essayant de coordonner leurs mouvements même si c’est celui qui me sodomise qui donne le plus d’amplitude aux coulissements de sa queue dans mon cul.
Vu la faible épaisseur de chair entre les deux orifices j’ai beaucoup de sensations et au bout d’un moment comme le plaisir n’a pas baissé dans mon ventre je jouis encore.
Jacques éjacule dans mon vagin mais il ne débande pratiquement pas pendant qu’ils continuent à me défoncer.
Ils échangent leur place et les va-et-vient des queues dans ma chatte et mon anus recommencent.
Je ne suis plus en état à force de jouir avant qu’enfin, après s’être bien amusés avec mon corps, chacun leur tour à peu de temps d’intervalle ils ne n’arrosent encore mes orifices de leur sperme.
Je récupère un peu avant de m’essuyer et de me rhabiller pendant que les deux hommes commentent ce qui s’est passé.

je sors du jardin avec les jambes qui flageolent.
Ils me suivent en portant les cageots de légumes qu’ils déposent dans le coffre de ma voiture.
Avant de me quitter ils me disent que je peux revenir quand je veux et que si il y a du monde ils feront comme si rien ne s’était passé mais que si je suis seule et qu’il n’y a que eux deux dans le jardin ils sont partants pour une nouvelle partie de jambes en l’air.
Pourquoi pas, ça change de l’ordinaire.

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