Histoires de sexe noir Histoires tabous

Vous avez dit naïve

Vous avez dit naïve



Tout le long de mon adolescence, on m’a dit que j’étais naïve.
Je n’ai jamais contesté cette remarque. Chacun est comme il est. Chacun possède ses défauts. A des filles qui m’ont dit que j’étais naïve, je n’ai jamais répondu qu’elles étaient moches ou stupides.
Chacun sa vie, chacun son sort.

Je me souviens d’un jour où je marchais toute nue le long de l’écume des vagues. Sans m’en rendre compte, j’étais passée du secteur naturiste à la zone où les gens portaient des maillots de bain.
J’ai toujours fait du naturisme avec mes parents, depuis que je suis née. Etre toute nue sur la plage ou à la campagne allait de soi pour moi. Naturisme équivaut à naturel. Je n’ai jamais porté de maillot de bain de ma vie, sauf à la piscine dans le cadre du collège.
Et ce jour-là, un homme m’a abordée.
C’était l’année de mes seize ans.

Il avait dans les cinquante ans. Il était grand et grisonnant. Il portait un boxer noir et il était très velu.
Il m’a dit :
« Bonjour mademoiselle. »
Je lui ai répondu :
« Bonjour. »
Il m’a regardée des pieds à la tête et il a dit :
« Vous risquez de choquer des personnes. »
Et c’est ici que j’ai réalisé que je n’étais plus sur le secteur naturiste.
Je lui ai répondu :
« Oh, pardon. Je n’ai pas fait attention. »
Il a souri et dit :
« Ce n’est pas grave. Je voulais juste vous éviter d’avoir des ennuis. Personnellement, votre nudité ne me dérange pas. Au contraire. Vous êtes tout à fait agréable à regarder. Comment vous appelez-vous ? »
« Nelly. »
Il a secoué la tête :
« Moi, c’est Pierre. Vous êtes en vacances dans les coins ? »
« Oui, avec ma famille qui possède un terrain privé et des mobil-homes tout près d’ici. Et vous ? »
« Moi, je suis divorcé depuis quelques années. Je loue une petite maison à trois kilomètres de là. Puis-je vous tutoyer, Nelly ? »
« Oui, bien sûr. »
Il avait un grand sourire et il tenait ses mains dans son dos.
« Vas-tu parfois dans les dunes ? m’a-t-il dit. »
« Oui, ai-je répondu. Mais ce n’est pas pareil, il n’y a pas l’océan qui vient rouler à mes pieds. »
Il a souri et dit :
« Je comprends. Mais tu es toute nue, tu ne vas pas pouvoir aller plus loin sans avoir des ennuis. Tu devrais passer par les dunes. Tu ne choqueras personne là-bas, car c’est peu fréquenté. Je peux même t’accompagner, si tu es d’accord. »
J’ai répondu :
« Pourquoi pas… »
Et nous nous sommes dirigés vers les dunes.

Quelques minutes plus tard, je me suis retrouvée dans les dunes avec cet homme aimable. Nous avons marché pendant un petit moment, puis il s’est arrêté pour retirer son boxer en disant :
« C’est toi qui as raison, on est tellement mieux tout nu. »
Puis nous avons continué à marcher en bavardant.

Plus loin, c’est moi qui me suis arrêtée pour faire pipi sur le sable des dunes, à trois mètres de l’homme. Il m’a regardée faire et nous nous sommes remis à marcher côte à côte.
Nous étions loin de la plage. De temps en temps, nous croisions d’autres hommes qui marchaient seuls dans les dunes brûlantes. Certains portaient des maillots de bain, mais d’autres étaient tout nus.
A un moment donné, l’homme s’est arrêté et il m’a dit :
« Nous sommes suivis, je crois. »
J’ai regardé autour de nous, mais je n’ai vu personne.
J’ai répondu :
« Vous croyez ? »
« Oui, a-t-il dit. Un homme, dans ton dos. Ne te retourne pas. Je pense qu’il apprécie de voir une adolescente nue en compagnie d’un homme qui a le même âge que lui. Ça te plait de te promener toute nue avec un homme de mon âge ? »
J’ai haussé une épaule :
« Ben oui, vous êtes sympa. »
Il a souri, puis il a regardé mes seins, puis ma chatte, en disant :
« Tu es très jolie. »
« Merci, ai-je dit. »
« Et il y a vraiment un homme qui nous observe. Ne te retourne pas. Est-ce que ça t’ennuie qu’on nous observe ? »
« Non, ça m’est égal. »
Il a hoché la tête, puis tendu une main vers mon sein gauche. Il l’a palpé délicatement et j’ai vu sa queue se dresser. Je me suis laissée faire, sans me retourner pour vérifier s’il y avait bien un homme qui nous suivait.
Il a ensuite touché mon sein droit.
Sa queue était raide.
Il a dit :
« Tu aimes faire l’amour ? »
J’ai répondu :
« Oui. »
Puis nous nous sommes allongés sur le sable des dunes.
J’ai ouvert mes cuisses et j’ai senti sa queue me pénétrer.
Il m’a dit :
« Petit ange. »
Puis je me suis caressée le clito, sans répondre.
Il a ajouté :
« Petite salope. »
Sa queue allait et venait dans ma chatte, puis j’ai vu un homme apparaître sur la gauche. Tout nu. La queue raide. Il s’est approché. L’homme qui me pénétrait ne le regardait pas, mais il l’avait vu. Tantôt je me branlais le clito, tantôt je tripotais le gland de l’homme.
Et l’autre a fini par se mettre à genoux près de moi.
Il a approché sa queue et je me suis mise à le sucer.

Ensuite, ils ont échangé les rôles.

Je n’ai jamais dit que je n’étais pas naïve.
Chacun son truc.
Chacun ses problèmes.
Ma naïveté m’a toujours apporté ce que je voulais et ce que j’aimais par-dessus tout : des bites.
Ce qui ne m’empêche pas d’aimer les chattes.
Quand on est naïve, autant l’être jusqu’au bout.

:::

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire