Récapitulation des chapitres précédents, publié par un autre auteur qui n’a pas donné suite au récit commencé.
Louis, un jeune homme de 18 ans, se plaint à sa mère d’un problème sexuel, il n’arrive plus à éjaculer et cela lui cause de grandes douleurs. Après consultation chez une sexologue qui remarque que Louis n’a pas les yeux dans sa poche et annonce à Nicole sa mère qu’il est royalement pourvu. De retour à la maison, elle entreprend à contre cœur plusieurs masturbations de son fils pour faire des échantillons de sperme pour compléter le tableau clinique de la doctoresse.
Nicole n’est pas tout à fait insensible à l’objet qu’elle doit masturber, d’autant plus que son mari la délaisse. Sur l’avant-dernière branlée, pour accélérer les choses, alors que Louis qui venait de se branler en cachette et n’était pas du tout excité, Nicole, sachant son fils sensible à ses dessous, fait preuve d’audace et se met en 69 sur son fils en lui présentant sa culotte, ce qui crée une excitation salutaire. Louis en profite pour lui demander de s’exhiber à ses copains et l’histoire d’Historiko s’arrête ici. J’ai déjà donné quelques suites possibles, mais il m’a semblé que je pouvais donner une suite encore un peu différente.
Suite du récit
Contrairement à ce qu’on attendait avec impatience, rien ne s’est passé comme prévu le soir en rentrant du lycée. Les copains de Louis, ayant fait des bêtises, n’ont pas pu venir à la maison.
Après une dernière prise, sa mère apporte les éprouvettes à la doctoresse qui lui annonce, que comme elle pensait, il n’y a pas de problème et confirme que cela doit être psychologique.
– En cas de besoin, reprenez rendez-vous pour réexaminer la chose en profondeur. Mais au fait, comment a-t-il pris que ce soit vous qui vous soyez chargée de la prise de sperme.
– Évidement que comme vous l’aviez annoncé, cela a dû le débloquer, car c’est venu très rapidement.
– C’est bien, on voit que les méthodes naturelles sont souvent bien supérieures aux remèdes qui souvent résolvent un problème et en crée deux ou trois plus tard.
La vie de famille se continue et le mari est toujours aussi occupé par ses affaires. Même le week-end, il lui arrive de plus en plus souvent d’être pris et de ne pas rentrer.
Louis, rentrant du lycée un après midi, alors qu’un cours a été supprimé, a surpris une conversation entre sa mère et sa meilleure amie.
– Tu ne sais pas qui j’ai vu à Deauville ce week-end, enfin, je ne devrais pas te le dire.
– Non, je ne peux pas le savoir.
– Ton mari, il me semble qu’il traitait une jolie affaire de 25 à 30 ans, assez bien roulée.
– Arrête, c’est pas possible, il m’a dit qu’il était submergé de travail ces derniers temps.
– S’il continue à travailler aussi dur, il ne doit pas être très performant au lit.
– Là, tu marques un point, cela fait quelques mois, où je ne me satisfais que d’un service manuel.
– Prends un amant !
– Cela m’embête, si lui peut aller à gauche sans problème, sans trop de risque, moi, je perdrais trop de confort à courir un amant.
Discrètement Louis ressort et ouvre sans discrétion la porte pour montrer qu’il est là.
– Bonjour Maman, Bonjour Luce, toujours aussi resplendissante.
– Bonjour Louis, tu embellis de jours en jours, tu es vraiment un homme maintenant.
– Cela fait longtemps que je suis classé comme homme et non comme femme. Bonne soirée, je vais réviser mes cours.
Du coup, les conversations changent de sujet et on parle à nouveau de la dernière mode et des cancans mondains. Finalement Luce quitte l’appartement et Nicole avec ses pensées moroses sur son mariage.
Son moral tombe de plus en plus bas. Elle prépare le souper à la limite des larmes. Louis remarque bien que quelque chose cloche et il sait très bien de quoi il s’agit, il cogite sur sa conduite à tenir. Au souper, le drame éclate, Nicole part en pleurs laissant Louis ranger la cuisine.
Après avoir fait ses devoirs pour le lendemain, Louis se prépare pour la nuit, revêt son pyjama. Il entend que sa mère pleure à chaudes larmes dans sa chambre, il sent qu’elle a besoin de réconfort et il entre dans la chambre de sa mère qui est effondrée en pleurs sur le lit. Il monte à son tour sur le lit et la prend dans ses bras en lui caressant le visage et lui demande ce qui ne va pas.
Sa mère, longtemps reste prostrée pleurant contre l’épaule de son fils, elle sent cependant le réconfort qu’il lui apporte.
– Maman, tu ne penses pas que tu devrais prendre un bain chaud pour te réconforter et ensuite te coucher convenablement. Tu ne peux pas rester toute la nuit comme cela.
– Mais, je n’ai plus le goût de vivre, je suis désespérée.
– Tu ne m’aimes pas maman pour avoir de telles paroles ? Dit Louis d’un ton assez bourru.
– Mais oui, je t’aime, je n’ai vraiment que toi pour vivre.
– Et papa ?
– Ne m’en parle pas, jamais là et toujours avec des autres, répond Nicole en se serrant encore plus contre Louis. Mais tu as raison, il faut que je me reprenne. Je vais prendre une douche et on continuera après cette discussion, j’irai peut-être un peu mieux après.
– Tu n’as pas besoin que je te prépare quelque chose ?
– Oui, fais-moi une tisane pour pouvoir dormir sans faire de cauchemar.
– Je te l’apporterai dans un 1/4 heure au lit, d’ici là, tu auras le temps de te mettre au lit.
– Oui, tu es vraiment un amour, dit-elle en se levant pour aller dans la salle de bain.
Pendant ce temps-là, Louis va lui préparer une tasse de thé normal, ce serait bête qu’elle s’endorme tout de suite sans crever l’abcès. Un quart d’heure après, ils se retrouvent dans la chambre, Nicole a eu le temps de mettre une chemise de nuit légère et Louis lui apporte son thé en disant qu’il n’a pas trouvé la tisane somnifère.
– C’est pas grave, dit-elle, viens près de moi, j’ai besoin de chaleur humaine, je suis tellement triste.
– Mais oui maman. Dis-moi ce qu’il y a !
– C’est ton père qui me crée des soucis.
– Qu’est-ce qu’il y a, il a eu un accident ?
– Non, mais Luce, que tu as vue cet après-midi, m’a dit qu’elle l’avait vu lutiner avec une jeune fille à Deauville.
– C’est pas possible ! Je ne le crois pas, dit Louis en prenant sa mère dans ses bras pour la réconforter.
Il commence à la caresser gentiment la tête, les épaules puis le dos, ce qui a un effet calmant, il sent ses seins s’écraser contre sa poitrine, sa respiration devient moins oppressée et plus régulière, doucement, sa mère est en train de se calmer.
– Je me sens tellement bien dans tes bras, j’aimerais bien m’endormir quand tu me tiens comme cela. Tu veux bien ?
– Maman, bien sûr, mais c’est pas très confortable, j’aimerais aussi être un peu allongé et avoir ta tête sur mon épaule.
Les deux s’allongent sur le lit et Nicole se cale sur l’épaule de son fils qui continue à lui caresser les cheveux, lentement, elle se détend et ravale ses pleurs, mais cette épreuve l’a vraiment fatiguée finalement elle l’embrasse en lui souhaitant bonne nuit.
– Maman, tu veux que je reste pour dormir avec toi ?
– Oui mon chéri, je sens bien ta présence apaisante.
Les deux s’endorment, mais plusieurs fois pendant la nuit, Nicole se réveille, avec des cauchemars qui lui brouillent l’esprit. Dans un demi-sommeil, elle commence à rêver qu’un homme commence à lui faire la cour et arrive à conclusion où elle se donne à lui et au moment de l’orgasme, le visage qui était complètement flouté se dévoile avec une précision implacable, C’est celui de Louis qui dort tranquillement à ses côtés. Horrifiée par la v******e de son orgasme, elle met sa main entre ses jambes et constate que son entre-jambe est complètement liquéfié. Honteuse et ne sachant quelle conduite faire, anxieuse sur ses fantasmes qui ne correspondent pas à son éducation.
L’interdit de la société qui se bat contre les falaises de ses désirs et les envies de son corps maltraitent son subconscient. Faut-il ou ne faut-il pas. C’est un risque énorme et sans retour, mais cela résoudrait aussi bien des problèmes inextricables et le petit démon qui occupe le fond de sa conscience lui souffle que ce serait super d’avoir un amant si bien monté sous la main. Finalement, épuisée elle s’endort d’un sommeil profond sans plus de rêve.
Le lendemain, les deux se réveillent, Louis un peu surpris par une odeur lourde et capiteuse dans la pièce et Nicole, un peu honteuse en se souvenant de son rêve pas très catholique.
– Bonjour mon chéri, tu as bien dormi ?
– Bien maman, mais je trouve que l’air est bizarre.
À ce moment, il se penche sur elle pour l’embrasser dans le but de lui souhaiter une bonne journée, il remarque que c’est sa mère qui dégage cette odeur très capiteuse.
– Mais maman, c’est toi qui sens si bon ! Dit Louis en la serrant très fort dans ses bras.
– Oui mon fils, j’ai fait cette nuit un rêve très érotique qui m’a lessivé.
– Tu me racontes ?
– Non, c’est trop personnel.
– Allez raconte !
– Non, je vais aller prendre une douche.
– C’est bien dommage, j’adore ton odeur quand tu viens d’avoir un rêve érotique.
Prenant la main de sa mère, il la place sur son membre, qui est tendu au maximum.
– Tu vois l’effet que cela me fait.
– Arrête, j’ai déjà assez de problème avec moi sans en créer d’autres.
– Oui, mais tu ne m’aiderais pas, comme quand on prenait les prises de sperme ?
– Si tu veux mon chéri, vu que c’est à cause de moi que tu es dans cet état.
pendant ce temps elle, par habitude probablement, ne sachant que faire de sa main droite, lui caresse le torse.
– Tu es quand même un beau garçon, lui avoue-t-elle, je pense que la fille à qui tu plairas aura bien de la chance.
– Mais Maman, c’est toi que j’aime et les filles de mon âge ne m’intéressent pas trop.
– Mais je suis ta mère ! Dit-elle un peu outrée, malgré le rêve prémonitoire qu’elle a eu.
– C’est vrai, mais tu es surtout la plus belle femme qu’un homme peut rêver et mon père est un imbécile.
À ces mots, ne se sentant plus de bonheur, passant de l’abattement à l’exaltation, Nicole se serre encore plus fort contre son fils, elle sent une certaine excitation monter en elle, elle se souvient qu’il est bien armé pour les joutes amoureuses et des idées, pas très catholiques, commencent à s’insinuer dans sa tête. Sa deuxième main descend un peu plus bas, ce qui crée un frisson grandiose sur le bas ventre de son fils qui bande comme un âne.
– Mon Dieu, excuse-moi !
– Maman, tu peux m’appeler par mon prénom !
…C’est pas grave, tu connais déjà bien ma bite, vu que tu l’as bien manipulée pour extraire le sperme. Tu sais, maman, je ne me plains pas, c’est très agréable.
– Je m’en doute bien, mais cela me trouble fort, avec tous ces événements qui sont arrivés et la tentation est très forte de faire quelque chose d’inadmissible.
– Bof ! Pour moi, ce n’est pas si inadmissible, cela ne concerne que nous.
– Tu as raison et je vois que tu en es très excité.
– Oui, j’aimerai bien comme l’avant-dernier, quand j’avais la vue de tes sous-vêtements.
– L’ennui, c’est que je n’en ai pas et je suis nue sous ma chemise de nuit.
– Cela ne me déplairait pas et en plus cela rétablirait l’égalité de qui montre quoi à qui.
– C’est vrai, mais j’ai l’impression qu’on est en train de glisser dans une drôle de direction.
– Viens, montre-moi tes trésors, Maman, dévoile-moi ton parfum intime qui est si capiteux, laisse-moi admirer ton corps.
– Tant pis, on ne vit qu’une fois et finalement c’est une bonne vengeance vis-à-vis de ton père qui me délaisse, cela fait déjà 3 mois que nous n’avons rien fait, lui et moi.
– Quoi ! 3 mois ? Il est fou ! À sa place, je ne t’aurai pas laissé un jour sans t’aimer.
– Eh oui, c’est la triste réalité.
– Viens sur moi et découvre-moi tes trésors.
Effrontément, elle soulève sa chemise de nuit, place sa tête à hauteur de son phallus et elle enjambe la tête de son fils pour mettre son entre-jambe découvert juste sur sa figure. Sous les yeux amoureux de son rejeton se présente l’objet de ses rêves les plus fous, une forêt clairsemée de poils fauves, un peu poisseuse à cause d’une forte mouille dégagée. Mais ce n’est pas que ses yeux qui sont à la fête, son odorat aussi est soumis à contribution, un bouquet de senteurs capiteuses alliant le musc sauvage, la sève féminine, des traces de roses du parfum préféré de sa mère, mêlés à un léger relent d’urine fraîche.
N’y tenant plus, il plonge sa langue dans ce puits de bonheur et son palais jouit de cette profusion de cyprine chargée de phéromones destinées à rendre le mâle incontrôlable.
Sa mère, voyant qu’il ne fait pas trop de chichi, elle ne peut plus refréner son envie de prendre cette belle sucette dans sa bouche et d’en tâter la délicatesse avec sa langue, elle passe et repasse avec délice sur le frein du gland, ce qui est trop pour Louis. Elle est partagée entre deux sentiments, continuer jusqu’à ce que son fils se libère et tapisse ses amygdales et pour une fois goûter la saveur de sa crème de pruneaux ou l’inviter à la pénétrer pour sentir la puissance de son dard et apaiser la soif de ses ovaires.
– Maman, si tu continues, je sens que je vais jaillir dans ta bouche.
– C’est pas grave, cela fait longtemps que j’en ai envie, lâche-moi ta semence dans la bouche, en pensant qu’en libérant la première tension, la deuxième va durer nettement plus longtemps.
D’un coup, de violentes giclées de sperme viennent envahir sa bouche et elle réussit à tout avaler sans trop de difficultés.
– Ton sperme a bon goût mon garçon, je sens que je vais me servir souvent au distributeur.
– Alors Maman, tu n’es plus triste.
– Non, je suis très heureuse de t’avoir, tu es doux, tu lèches bien et ta bite a bon goût. Qui aurait cru, il y a une semaine que l’on deviendrait amant, moi en tout cas pas.
Le sexe de son enfant s’est quelque peu recroquevillé et elle le laisse un peu se reposer, en le prenant doucement en main, sans même le branler, comme un oiseau qu’on veut apprivoiser. Louis de son côté s’est mis dans le même sens que sa mère et lui caresse les seins tranquillement.
– Maman, j’aime beaucoup ta poitrine, elle est douce, confortable au toucher, agréable à voir, j’aime la forme en poire de tes seins avec ces gros bourgeons qui les ornent. Qu’est-ce que j’ai envie de les sucer !
– Fais mon garçon, maintenant, ils sont pour toi exclusivement.
Lentement, alors qu’il est en train de léchouiller les seins de sa mère, le nez tout près de ses aisselles, Nicole sent que le membre de Louis est en train de reprendre vie, les merveilles de la jeunesse, mais elle ne veut pas trop l’exciter car elle aimerait bien qu’il la baise comme il faut.
– Viens mon chéri, je veux sentir ta colonne de chair à l’intérieur de moi, j’en rêve depuis longtemps, mais s’il te plait, ne fais pas comme ton père, trois coups de piston et il envoie déjà la sauce me laissant sur ma faim, très insatisfaite.
– C’est vrai, mais pourquoi le faire que maintenant alors ?
– La morale et le fait que je pensais que ton père travaillait dur pour nous entretenir, mais depuis que j’ai appris que son travail consistait à niquer des jeunettes, je me suis sentie un besoin de vengeance.
– Béni soit ce besoin, il me convient tout à fait. Je peux entrer dans toi ? Dit Louis en présentant sa bite à l’entrée de la vulve de sa mère.
Du coup, Louis ne peut s’empêcher de porter un regard sur le visage de sa mère et constate que celui-ci, doux et attentionné, s’est transformé en celui d’une tigresse vengeresse, attendant son dû, son excitation baisse un peu, cependant, il plante sa queue profondément dans l’antre familiale, ce puits de bonheur.
– Oui, vas-y à fond, mais essaye de durer un peu que je prenne aussi mon plaisir. Fais mieux que ton père qui ne pense qu’à lui.
– Je te promets, répond-il en s’enfonçant avec délice dans ce tabernacle bien chaud qui lui compresse sa queue, puis la lui malaxe avec amour.
– Oh ! Comme c’est bon, incomparable avec mon mari. Tu es vraiment un bon amant, non seulement tu as une queue nettement plus agréable et je la sens bien.
Frénétiquement, il enclenche des mouvements violents d’aller-retour avec son piston bien ancré dans la vulve maternelle, il veut la marquer à tout jamais, maintenant qu’il a conquis la place forte, que les défenses sont tombées, il n’a plus envie de la lâcher. Elle-même n’est pas en reste, sentant ce bâton imposant battre son rythme dans sa matrice, fouillant au plus profond de son être, elle se crispe de plus en plus, elle serre son fils dans ses bras et pour la première fois depuis longtemps, depuis toujours peut-être, elle voit les étoiles orner le ciel du lit conjugal, elle ne peut retenir la jouissance qui la submerge. D’un ultime coup de rein, elle avoue sa défaite et rend les armes.
– Je sens que je viens, je prends l’ascenseur, non, la fusée, j’explose de bonheur en te sentant dans moi, oui, bourre-moi bien encore et encore Oufl ouff c’est bon.
– Tu aimes maman ?
– Oui, c’est merveilleux mais tu n’as pas giclé !
– Non, je n’ai pas envie d’avoir un petit frère-fils,
– Alors viens, donne-moi ta bite, je vais à nouveau te boire, demain, je vais me faire poser un stérilet, je veux sentir ta semence jaillir dans moi, j’ai l’impression que le rapport n’est pas complet quand tu gicles hors de moi.
Louis présente son outil à sa mère qui l’englouti dans sa gorge et avale tout le sperme qui en sort, nettoie bien l’outil après l’usage pour qu’il soit prêt pour la prochaine fois.
– Maman, c’était divin, j’aimerais ne jamais arrêter, tant ton accueil était délicieux.
– Pour moi aussi, ce fut fabuleux, mais qui te parle d’arrêter ?
… Je vois que tu es à nouveau prêt pour une nouvelle ronde, mais parfois il faut faire des petites pauses pour ne pas perdre le souffle et souvent dans l’attente, on puisse une plus grande force de jouissance.
… Bon maintenant on va se lever, la journée n’est pas finie, on passe ensemble sous la douche.
– Je ne suis pas sûr que je resterai sage si je commence à te savonner – caresser déclare Louis d’un air malicieux.
– Qui te dit que je serai contre, maintenant qu’on a franchi le pas, on ne va pas se priver de bonheur.
Pendant la journée, Nicole va chez la sexologue en lui demandant de lui poser un stérilet. Elle est que peu surprise :
– Oserai-je vous demander ce qui a changé dans vos habitudes sexuelles pour la pose d’un stérilet ?
– Oui, il y a plusieurs raisons : en premier, j’ai appris que mon mari me trompait et de ce fait, je n’ai pas envie qu’il me fasse un enfant supplémentaire.
… Découlant de cette première raison, évidement que mes besoins n’étant plus assumés par mon mari, je vais prendre du complément.
.. La contraception chimique ne me convient pas. Pilules ou injections mensuelles.
… Finalement, j’aime sentir mes ovaires arrosés convenablement.
– Je comprends, mais, c’est délicat à dire, sachez que je suis tenue par le secret médical, mais vu la dimension de votre fils, ne serait-il pas devenu votre amant ? Marqué que je n’ai pas d’objections de se faire du bien d’où qu’il vienne.
– Je dois avouer que j’ai succombé à ses charmes quand j’ai appris que mon mari fricotait ailleurs. Je ne le regrette pas, c’est vraiment un très bon amant.
– J’en doute pas, il doit être passionné, mais faites attention à éviter une trop forte fixation sur vous, il faut aussi qu’il fasse sa vie.
– Que me conseillez-vous ?
– Il faut qu’il voie aussi d’autres femmes, ce qui va vous demander un très grand sacrifice et un manque de jalousie.
– Il m’a dit qu’il n’était pas intéressé par les filles de son âge.
– Je le comprends, car elles souvent manquent un peu de maturité et sont trop absolues, mais il faut qu’il voie plus de femmes de différents niveaux d’âges ou de milieu. Sans vouloir vous influencer d’une manière ou d’une autre, tenir un petit salon féminin serait une bonne idée.
– J’ai une amie très intime, pensez-vous que ce serait une bonne idée de lui la mettre dans les pattes.
– Elle est de votre génération ?
– Oui, une camarade d’internat.
– Pourquoi pas, mais ne le limitez pas à une génération de plus, ce sera déjà un bon pas.
Rentrant le soir, Nicole fait un petit raccourci de la discussion qu’elle a eue avec la sexologue et demande l’avis de Louis.
– Maman, je ne sais comment cela sera dans un certain temps, mais pour le moment, tu remplis tout l’espace de mon cœur.
– Merci mon amour. Cela me réchauffe le cœur je me réjouis d’être à nouveau dans tes bras.
…Viens, on va fêter ceci en allant au restaurant, je n’ai pas envie de faire la cuisine et la vaisselle.
… Laisse-moi me rafraîchir et passer une meilleure tenue que celle que j’ai pour le boulot.
– Je t’attends vers l’entrée ou si tu veux que je t’aide.
– Pas nécessaire, sinon on risque de ne jamais partir.
– Mam je t’aime.
Un peu plus tard, Louis, fier comme Artaban, au bras de sa mère, rentre au restaurant de la caille grise, bien connue des fins gourmets, là par hasard, ils y rencontrent Luce accompagnée de son patron. Elle pique un petit phare en se voyant en sa compagnie. Discrètement, Nicole lui envoie un petit baiser et s’installe avec Louis un peu plus loin. Quelques conversations plus loin, Luce se décide à venir lui dire un bonjour un peu plus marqué.
– Bonjour Nicole, On sort son fils à ce que je vois.
– Salut Luce, je ne ferai pas de commentaires avec qui tu sors, mais vu que mon mari ne me sort pas, je me ratt**** avec mon fils, c’est de loin plus intéressant.
– Tu n’as pas tort, moi, il faut que je paie ma nouvelle promotion dans l’entreprise.
– Félicitations.
– Qu’est-ce que tu appelles payer votre nouvelle promotion, dit Louis, d’un air innocent.
– Ah ! Je vois, il est encore un peu humide derrière les oreilles, Nicole, je te laisse lui expliquer la promotion canapé.
– Ouf, je pensais que ces trucs n’existaient plus.
– Tu sais, tant que les mecs ont des besoins sous la ceinture, on peut toujours en profiter pour les monnayer.
– Tu penses qu’avec mon mari, c’est la même chose ?
– Fort probablement, parce que je peux te le dire, c’est pas un coup terrible. Je l’ai connu avant ton mariage, il a essayé de me faire grimper aux rideaux, mais il n’a pas dépassé le niveau du paillasson.
– C’est vrai que je viens de m’en rendre compte.
– Qu’est-ce que je dois comprendre ?
– Maman, ne dis rien, c’est pas ses oignons.
– Oh ! L’oisillon a sorti ses griffes.
– Oisillon toi-même. Va retrouver ton patron.
– Louis, ne parle pas comme cela à mon amie.
…Excuse-le, mais il n’est pas encore remis de la tromperie de mon mari.
– Ah ! Parce que tu lui as dit.
– Non, l’autre jour quand tu annonçais le scoop à maman, j’étais là, j’étais rentré sans faire de bruit et j’ai par hasard entendu votre conversation, répond Louis, en fixant durement Luce dans les yeux.
… Est-ce que vous savez ce qui est le plus dure pour quelqu’un qui est cocu ?
– Non, mais je sens que je vais bientôt le savoir
– C’est vraiment pas désagréable d’être cocu, c’est de le savoir qui est très pénible ou de le supposer. Voila, ce que vous avez réaliser, n’a fait aucun bien à ma mère. C’est comme si j’allais dire à la femme de votre patron qu’elle devrait aller élargir les portes de sa maison vu les cornes que son mari lui fait porter ou à votre mari si vous êtes mariée.
– C’est vrai, mais je pensais lui rendre service en attirant son attention sur son mari qui la négligeait pour courir le guilledou.
– Bon on ne va pas en faire une conférence.
– Luce, viens une fois à la maison qu’on puisse en discuter tranquillement entre nous, y compris Louis qui est un peu pusillanime. Mais, c’est un excellent garçon qui veut protéger sa mère à tout prix.
– Oui, je viendrai le week-end prochain, mon mari va trouver sa vieille mère que je ne supporte pas du tout.
Le repas est vraiment délicieux, bien arrosé et en partant, ils saluent Luce et son patron et Louis, de manière impertinente ne peut s’empêcher d’ajouter :
– Amusez-vous bien
Dans la voiture, Nicole ne peut s’empêcher de lui faire remarquer que sa sortie n’était pas du meilleur goût.
– Je ne comprends pas ce que tu cherches avec cela. Tu veux que je quitte ma meilleure amie, je n’en ai pas tellement beaucoup.
– Excuse-moi maman, j’essayerai d’être un peu plus social avec elle la prochaine fois que je la verrai.
Fin du premier chat pitre.
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