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Sissy boy 2

Sissy boy  2



2.

Le lendemain, le réveil sonna à 6h00. Je n’étais pas habitué à me lever si tôt, et il me fallut un peu de temps pour réaliser où j’étais, et me remémorer la journée d’hier. Ma main passa sur mon pubis glabre… que c’était doux ! Soudain je me souvins que ma Maîtresse attendait son petit-déjeuner pour 7h00 !

Je me levais donc précipitamment, et filais sous la douche. Après une douche rapide, je lissais mes cheveux, comme me l’avait appris ma Maîtresse. Peu habitué, cela me pris plus de temps que je l’avais escompté… Ceci fait, n’ayant pas encore reçu les nouveaux vêtements, je remis ceux de la veille, le string noir, les bas, le soutien-gorge (qui me fit perdre aussi un peu de temps), la robe de soubrette, le petit tablier et la coiffe ! Ouf ! 6h50 et j’étais prêt ! J’essayais les chaussures à talon, mais c’était trop difficile, surtout si j’avais un plateau à porter. Je changeais donc pour les ballerines. Puis je me dirigeais vers le monte plat, ou attendait déjà le déjeuner de Mrs Benson. Un plateau avec une cafetière fumante, une tasse, un verre de jus d’orange, une assiette avec deux toasts et de la confiture.

A 7h00 précise, je toquais à la porte (du pied, n’y arrivant pas avec la main à cause du plateau) de la chambre de Mrs. Benson.

– Entrez !

J’entrais et me dirigeais vers son lit. Ses cheveux étaient relâchés, et étaient plus long que ce que j’avais pensé. Elle portait une nuisette rose, transparente, qui me permettait de voir ses gros seins, les auréoles marquées, ses tétons… J’essayais de ne pas fixer mon regard sur eux, de rester concentré pour ne pas renverser le plateau… et je dois dire que je m’y prenais mieux que je l’aurais pensé… Le problème se présenta au moment où je voulais déposer le plateau sur le lit… une bosse déformait les couvertures. Erection matinale, sans doute… Mrs Benson sourit.

– Dépose le plateau là Aline, sur la table basse.

Je m’exécutais. Pour déposer le plateau sur la table basse, je devais lui tourner le dos et me pencher… ce qui fit un peu remonter ma jupe, dévoilant le bas de mes fesses. Je sentis sa main se poser sur mes fesses, et les caresser doucement…

– Ce string te va vraiment bien…

Son pouce suivit la ficelle de coton, le long de ma raie… je frémis, et faillit renverser le plateau ! Heureusement, je le posais, vite, renversant juste un peu de jus d’orange…

– Bien Aline, belle adresse… approche !

De sa main, elle tapota le lit, près d’elle. Je m’y assois, essayant de ne fixer ni sa poitrine, ni la bosse qui déforme les couvertures blanches du lit.

– J’aime ce que tu deviens Aline, ça me fait plaisir d’avoir un peu de compagnie, aussi.

Sa main caressa ma joue, et elle poussa ma tête vers sa poitrine généreuse. Je sentis contre ma joue la douce soie de la nuisette, et son sein, tiède. Un téton dodu se frotta à mon oreille. J’entendais son cœur, dont le battement s’accélérait. Mes yeux étaient faces à la bosse, et j’étais sûr qu’elle l’avait fait exprès. Sa main caressait mes cheveux, puis elle approcha ses lèvres de mon oreille (pas celle contre le téton, l’autre !) « Je ne pourrai jamais manger comme ça… il faudrait faire disparaître cette bosse… »

Elle poussa ma tête, qui quitta le sein moelleux, mon corps basculant légèrement en avant, mon visage se rapprochant de la bosse… Alors que je n’en étais plus qu’à quelques centimètres, elle tira sur la couverture… dévoilant son sexe, bandé, raide, 18 centimètres de chaire dure, dépassant de sa jolie nuisette rose. Le fait d’avoir fait glisser la couverture fit balancer la verge, qui effleura mon nez… Je n’avais pas eu bien le temps de la voir hier, et là je la trouvais belle. Le gland plus foncé, déjà mouillé, la hampe, une grosse veine saillant tout le long, ses petits testicules, sans un poil… comme son pubis d’ailleurs… je commençai par embrasser son pubis, ma main se posant doucement sur la hampe tiède… je léchais et couvrais son pubis de baisers, tandis que je commençais à la branler doucement… puis je fis le tour, et commença à déposer des baiser sur ses testicules… tout en continuant à la branler, je les léchais, puis ma langue remonta le long de sa hampe, tournoya sur son gland, en ramassa la perle mouillée… avant de l’engloutir… Le gland entra dans ma bouche, puis la hampe… serrant les lèvres, je montais et descendais le long de cette verge, ma langue léchant ce qu’elle pouvait, m’appliquant à donner du plaisir à ma maîtresse…

Comme je voulais essayer de l’enfoncer plus loin dans ma bouche, sans faire attention, je me mis à quatre patte sur le lit, ainsi je pouvais l’enfoncer plus loin dans ma bouche… Je ne savais pas encore l’avaler tout à fait, mais de la moitié hier, j’arrivais aujourd’hui à mettre les trois quart de sa hampe dans ma bouche… son gland et sa hampe remplissait ma bouche, et je bandais dur en la suçant… Ma croupe lui étant offerte, je sentis sa main se poser sur ma fesse… qu’elle caressa… puis elle joua avec la corde du string, tirant dessus, ce qui faisait se frotter le triangle de tissu sur mon sexe, le caressant… puis elle fit l’inverse, prenant le tissu plus bas, et tirant, pour que la ligne de textile me caresse le sillon des fesses… Sa main suivit le tissu, me caressant le sillon, avant de caresser doucement mon petit trou… cela m’électrisa, je jouis instantanément dans mon string, et la suçait avec plus de passion… je l’entendis soupirer d’aise, tandis son gros sexe commença à se cabrer dans ma bouche… J’eus un mouvement de recul, mais sa main quitta ma fesse pour caler ma tête et elle enfonça son gland un peu plus profond dans ma bouche… je sentis le premier jet s’écraser dans le fonds de ma bouche, suivit d’un deuxième… elle éjaculait abondamment, pour ne pas tousser il fallait que j’avale au fur et à mesure ! Le sperme s’écoulait dans ma gorge, fort et salé, mais je trouvais le goût moins désagréable qu’hier… Lorsque je sentis qu’elle n’éjaculait plus, je léchais la hampe, le gland dans ma bouche, jusqu’à ce qu’elle le retire, reprenant son souffle.

– Aline, la vitesse avec laquelle tu apprends est sidérante ! Tout cela m’a ouvert l’appétit, j’ai faim ! Passe-moi le plateau, puis va
manger au réfectoire avec les autres. N’oublie pas le programme de la journée : d’abord une heure de marche avec des chaussures à talon, puis le nettoyage intégral de la chambre. En fin de journée encore une heure de marche avec les talons, puis un bain peau-douce. Et frotte ta bouche, tu as encore un peu de sperme à la commissure de tes lèvres !

J’obéis à ma maîtresse. Je retournais dans ma chambre, et mis les chaussures à talon. Des escarpins ouverts avec un talon de 5 centimètres pour commencer. Je marchais dans ma chambre et dans l’appartement de Mrs Benson pendant 1 heure avec ces chaussures… Je me tordis bien souvent les chevilles, et fut si content de les enlever… mais ce que je les trouvais belles ces chaussures, bien plus belles que les ballerines.

Le reste de la journée se passa en nettoyage, rangement de l’appartement de Mrs. Benson. Le soir, je remis les chaussures et les tint pendant un peu moins d’une heure. J’avais trop mal au pied. Je fus heureux de découvrir qu’on avait livré les robes de soubrette (toutes les mêmes) mais surtout un assortiment de sous-vêtements féminins plus affriolent les uns que les autres ! Ma Maîtresse m’ayant demandé de la rejoindre en petite tenue dans la salle de bain à 17h30, je choisis des bacs blancs, avec des jarretelles assorties, un string blanc, le soutien assorti… et c’est dans cette tenue que je me présentais à elle, à l’heure dite…

– Et bien, joli choix Aline ! Tu as du goût… approche !

Je m’approchais. Au passage, elle effleura mes fesses d’une caresse sensuelle.

– Tu as encore une chose à apprendre pour compléter ta transformation. Le maquillage. Viens près de moi, je vais t’apprendre…

Et elle m’apprit à mettre du vernis à ongle, à me poudrer, à utiliser le mascara, le liner, le rouge à lèvre…

– N’oublie jamais Aline, pour le maquillage, c’est trouver le bon équilibre. Trop, c’est pute ou maquerelle. Pas assez, c’est fillette qui n’a pas de goût. Par contre le bon mélange, c’est…
– Magnifique !

C’est ainsi que je me trouvais. Les yeux légèrement cerné de noir, les joues poudrées, un verni rouge foncé avec le rouge à lèvre assorti, avec mes sous-vêtements en dentelles blancs… c’était magnifique !

– Bon, écoute. Après-demain, nous avons M. Striker qui vient nous visiter. C’est l’inspecteur du Conseil d’Administration de l’école, et si je veux retrouver de l’argent pour racheter le matériel que tu as cassé, il faut qu’il me soutienne et convoque le conseil. Je veux que pour après-demain tu saches marcher avec les chaussures à talon. Et que tu te fasses jolie. Le courant n’est jamais bien passé entre lui et moi, mais si en te voyant et en te reluquant tu le mets d’humeur joyeuse, peut être les choses se passeront mieux…
– D’accord Maîtresse, je serai irrésistible pour lui.
– Bien, va manger maintenant, puis viens me retrouver. J’ai un autre exercice pour toi.
– D’accord Maîtresse.

J’obéis, et descendit pour aller vers le réfectoire. En chemin, je me retrouvais avec un groupe d’étudiants qui se rendait au même endroit. J’allais entrer dans le réfectoire lorsque je me sentis happée sur le côté. Contre le mur se tenait Danny, le ‘playboy’ de l’école. Capitaine de l’équipe de fleuret, garçon de bonne famille, le teint toujours halé, une constitution de sportif, la coiffure noire toujours impeccable, l’assurance du gars à qui tout réussit… Même sa voix était chaude et grave, alors que la mienne n’avait jamais vraiment mué, j’avais une voix ‘unisexe’, tout le monde hésitait à m’appeler monsieur ou madame au téléphone, et souvent c’était le madame qui l’emportait… bref Danny avait tout, c’était le genre de gars que j’enviais et haïssais lorsque j’étais moi-même garçon. Il m’avait pris par le bras, et je me retrouvais entre lui et les deux autres garçons qui trainaient toujours avec lui. Ils avaient tous entre 17 et 19 ans, ils étaient en dernière année. C’étaient les « grands » ceux qui en imposaient aux autres…

– Alors ma jolie, on a pas été présenté…

Lorsque j’étais Alain, il se moquait toujours de moi. Et pas gentiment. J’étais prêt à lui répondre vertement, lorsque je croisais son regard. D’habitude j’y lisais le mépris, la moquerie. Là j’y voyais de la curiosité, du désir… un désir mâle qui me faisait monter le rouge aux joues… Il souriait, et je sentis sa main passer sous ma jupe, caressant ma fesse droite…

– Je m’appelle Danny et…
– TOUS LES ETUDIANTS AU REFECTOIRE !

Le surveillant venait de surgir. Le sourire ne quitta pas les lèvres de Danny. Il se pencha vers mon oreille et me susurra

– On se reverra ma belle…

Puis il déposa un baiser dans mon cou avant de partir et d’entrer dans le réfectoire. Je soufflais, puis rentrais à mon tour. Tandis que je me déplaçais vers les plateaux, puis vers ma place, je sentais des regards sur mon arrière train… cela me faisait toujours rougir…

Mon dîner pris, je remontais vers l’appartement de Mrs. Benson. Lorsque j’entrais, je ne la trouvais pas dans le salon. Ni dans la salle à manger, apparemment, elle avait fini son souper, les restes de son repas, assiettes, verres, etc. étaient à nouveau dans le monte-plat, prêt à être descendu à la cuisine. Entendant du bruit qui venait de ma chambre, je m’y rendis. Elle était là, finissant d’installer un écran sur le petit bureau de ma chambre.

– Bien, te revoilà Aline. Tu as aussi besoin de te distraire, alors regarde ce que je t’ai installé. Un écran, relié à mon ordinateur. Ne cherche pas de clavier, ni de bouton on/off, il n’y en a pas… Je commande tout depuis mon PC. Je choisis quel programme tu regardes, je choisis quand il commence, et quand il se termine.
– Compris, merci Maîtresse !
– Ah, une dernière chose, tend tes mains s’il te plaît…

Je m’exécutais et tendis mes mains vers elle…

Schlap ! Schlap !

– Aïe !

Je reçus un coup de badine sur chaque main, et pas des petits coups !

– C’est pour bien te rappeler que quoi que je décide de te passer, tu n’as pas le droit de te masturber. Jamais sans mon autorisation, compris ? Pense à ces coups si l’envie t’en viens, je serai sans pitié si je te vois te donner du plaisir sans mon ordre !
– D’accord Maîtresse, c’est bien compris…
– Bon installe-toi sur la chaise, face à l’écran, je vais te lancer le premier programme éducatif.

Je m’installais et attendit. L’écran était noir. Je regardais le dessus de mes mains, rougis par les coups de badine, lorsque l’écran s’alluma. Des lettres blanches tournoyèrent sur l’écran, le titre du ‘programme éducatif’ sans doute… « Sissy’s training »… Puis vient l’image… une jolie fille, de dos, qui se trémousse avec un minishort… elle me montre du porno ??? La fille se trémousse, puis enlève lascivement le short, dévoilant ses fesses rondes, un string couleur crème masquant son œillet… elle avance vers un sofa, y monte, trémousse de la croupe devant l’écran… puis fait doucement glisser son string… dévoilant sa raie, son œillet… puis deux petites boules, toutes rasées, et un pénis de petite taille, comme le mien ! Elle met ses mains sur ses fesses, puis les écartent, dévoilant son anus, qui palpite… je bande déjà comme un fou… mes mains vont instinctivement vers mon sexe, mais au dernier moment je me retiens. Je me rappelle des ordres de ma maîtresse… Des images défilent maintenant rapidement, toutes des jolies femmes, en sous-vêtements affriolants… toutes avec des petites ou moyennes verges… Pendant toute la projection, des mots écrits en rose foncé fluo sont projeté à l’écran… « Sissy » (effeminé) « Whore » (pute) « Slut » (fille facile, aimant le sexe) « Pleasure » (plaisir), ce dernier coïncident avec des images de verges bandées, tendues… puis les images défilent de nouveau rapidement, on y voit ces filles comme moi s’agenouillant, bouche ouverte, semblant implorer quelque chose… les mots « Sissy », « Whore », « Slut » revenant en boucle, puis de nouveau un sexe tendu avec le mot « Pleasure »… ce sexe s’enfonce dans la bouche d’une des filles… la musique s’est arrêtée, on entent un soupir de plaisir… puis la musique reprend et les images reprennent leur succession rapide, des images de fellations, de langue qui lèchent des grosses verges, de bouches ramonées par des grosses bites, des filles qui se mordent les lèvres de plaisir, d’envie… les mots projetés à l’écran sont « mouth » (bouche), « fucking » (baiser), « cum » (sperme)… ils s’enchaînent avec les mots « Sissy », « Whore », « Slut », un groupe puis l’autre, sur des images de plus en plus excitante, ces femmes ayant l’air de prendre un tel plaisir à sucer ces bites… Ensuite l’écran montre une grosse verge qui sort précipitamment de la bouche d’une blonde… elle ouvre grand la bouche, et le gars éjacule sur sa langue, puis sur son visage… Maintenant ce sont les mots « cum » « mouth » « pleasure » qui s’enchaînent aux mots « Sissy », « Whore », « Slut », pendant que défilent des images de bouches remplies de sperme, le tout avalé avec un plaisir frappant, de sperme qui glisse sur des joues, des lèvres, lèvres pourléchées par des langues gourmandes…

Le film fait une pause, j’ai une envie folle de me toucher… mais je ne peux pas… s’il y aurait un sexe tendu, là, devant moi, je le sucerais immédiatement… Soudain le film reprend sur des images de filles comme moi, toujours en sous-vêtements affriolants, qui se trémoussent, se touchent… les mots « Sissy », « Whore », « Slut », reviennent en boucle, tandis que s’enchaînent les gros plans sur leurs croupes, qu’elles dévoilent toutes fièrement, tous ces anus ouvert en premier plan prêt à recevoir… une grosse bite bandée ! C’est ce qui apparaît à l’écran en gros plan, son gland semblant tendu vers moi… puis il s’approche d’un de ces culs offert… avant de s’y enfoncer lentement, la musique s’est arrêtée et on entend un souffle ou un râle de plaisir… lorsqu’il est entré entièrement dans cul, il commence à le ramoner de plus en plus rapidement… la musique revient et les images défilent de nouveau très vite… toute des images de sodomie, des sexe beaux, raides, dur, qui s’enfoncent dans des anus ouverts, accueillant… Les mots « ass » (cul), « fucking », « pleasure » s’enchaînent au refrain « Sissy », « Whore », « Slut »… La musique est entrecoupée de sons de couples qui copulent, de râles de plaisir… puis de nouveau la musique s’arrête… nouveau gros plan sur une bite qui sort d’un anus dilaté, puis se cabre, et éjacule le sperme sur l’anus ouvert, la blanche semence atterrissant sur le petit trou, glissant le long des fesses… la musique recommence et les images se succèdent de plus en plus vite, montrant des anus débordant de sperme, des verges qui éjaculent leur semence sur des fesses, des dos, des visages… mon cœur bat la chamade, mon sexe se cabre tout seul… puis éjacule dans le string blanc, tandis que le film se termine sur une grosse bite bandée, dure, si appétissante… enfin l’écran s’éteint, signe qu’il est temps de dormir.

Je me déshabillais, mon cœur battant encore la chamade, enlevant mon tablier, ma coiffe, ma robe de soubrette. J’enlevais ensuite mon soutien, mes jarretelles, mes bas, et enfin mon string. Le tissu du triangle, avec de jolis motifs en dentelle au-dessus, était maculé de mon sperme… j’allais le jeter dans le bac à linge sale, mais retint mon geste au dernier moment… Les mots « sperme » « plaisir » tournaient en boucle dans ma tête. J’ouvris le string, le reniflais… puis commençais à lécher avec application le tissu, pour récolter tout mon sperme, qui me parut meilleur que la veille… je ne vis pas que par la porte entrebâillé, ma Maîtresse avait assisté à toute la scène, un sourire amusé aux lèvres…

Le lendemain matin, je me levais à l’heure, m’habillais rapidement. Je choisis un slip boxer bordeaux, avec le soutien assorti. C’était très joli sur moi, mais je me rendis compte au cours de la journée que je n’aimais pas tellement la sensation de mes fesses emprisonnées dans un slip. Le string laissait mes fesses à l’air libre, et j’avais l’impression de préférer cela ! J’apportais le déjeuner de Mrs. Benson, qui n’était plus dans son lit mais déjà installée à table, lisant son journal. Elle portait une robe de chambre en soie rouge et noire. Je posais le plateau devant elle, puis attendit à côté d’elle, tandis qu’elle commençait à déjeuner, ne sachant trop quoi faire, comme un nigaud.

– Aline, tu ne sais pas quoi faire ? Allez, sur tes genoux !

J’obéis, et mis directement sur mes genoux. Elle me caressa la tête, tendrement, puis m’indiqua d’un geste de passer sous la table. Ce que je fis. A quatre pattes, sous la table, j’avais une sur ses jambes, qu’elle venait de décroiser, couverte de sa robe de chambre, des mules rouge à ses pieds. Elle fit glisser les mules et me présenta son pied. Je l’embrassais avec tendresse, tout en le massant avec mes mains. Je fis de même pour le second. Puis elle écarta complètement les jambes. La robe de chambre me dévoila une partie de ses mollets, ses cuisses… et son sexe maintenant bandé qui formait une bosse au niveau de la ceinture de la robe de chambre… Je l’entendis poser sa tasse de café, puis sa main apparut. Elle défit d’un geste gracile le cordon de la robe de chambre, qui s’ouvrit tout à fait. Sa verge était face à moi, raide, dur, surmonté de son gland déjà un peu mouillé d’excitation… Les images de la veille me revinrent en tête… A quatre pattes, j’avançais sous la table, me mettant entre ses jambes, m’approchant de sa bite dressée… je ne le faisais pas par devoir, ni par obligation, mais là j’en avais très envie… Ses deux testicules glabres reposaient sur le tissu de la robe de chambre, sur la chaise. Je les léchais, puis les gobais avec douceur, l’une puis l’autre. Je l’entendis cogner quelque chose sur la table, elle ne s’attendait pas à ça… Après avoir sucer en douceur ses testicules, ma langue remonta le long de sa hampe, redescendit, puis remonta encore… jusqu’au gland, que je léchais tout autour, puis au-dessus, recueillant sa perle de pré-sperme, un petit fil translucide reliant ma bouche à son gland… ma tête plongea sur lui, je le sentit entrer dans ma bouche, racler mon palais, puis la hampe… je suçais le gland, ma langue léchait la hampe dans ma bouche, avant que ma tête commence ses aller et retour le long de cette chair tiède et dure… j’accélérais le mouvement, puis ralentissais, puis accélérais encore, mes lèvres tantôt serrant, tantôt plus lâche… elle avait arrêté de manger, et j’entendais sa respiration s’accélérer… pour le final, je m’efforçais d’en prendre le plus possible en bouche, et enfin, victorieux, je pus enfoncer son gland au plus profond de ma cavité buccale, prenant entièrement ses 18 centimètres de chaire en bouche, au prix de quelques larmes au coins des yeux et d’un sentiment nauséeux que je réussis à refouler… Cela la fit venir, je sentis son sexe se cabrer dans ma bouche, et ne fit rien pour éviter la chose… je plaçais juste son sexe un peu moins profond dans ma bouche, pour pouvoir sentir sa semence tiède se répandre sur ma langue, avant de l’avaler avec contentement… je bus tout ce que son sexe put m’offrir de sperme laiteux… Je gardais son sexe en bouche, il coulait encore un peu, jusqu’à ce qu’il débande…

– Aaaaaaah… Aaaaah… Aline… j’aurais dû commencer par la vidéo éducative… aaaah… comme tu t’es améliorée ! C’est pour me mettre en forme de grand matin ça ! Allez, zou, va déjeuner maintenant !

J’avais pris un pied pas possible, et avais réussis à ne pas éjaculer dans mon slip, même si ça avait été proche… j’étais rayonnante et fière de moi. Et la vidéo avait raison, sperme = plaisir…

Après le petit déjeuner, je me réentrainais avec les escarpins et leur 5 centimètres de talon. Ce n’était vraiment pas facile, mais je me débrouillais déjà mieux que la veille. Si je voulais être prête pour le lendemain, il fallait que je fasse encore mieux ! Je décidais donc de les garder toute la journée. Je fis le ménage avec, et aida ma Maîtresse à classer le courrier, et les factures. Comme elle était de bonne humeur, elle me laissa la sucer encore à midi, sous son bureau. Je me mis comme le matin, à quatre patte sous le bureau, et lui léchais les jambes, les cuisses… son sexe se redressa sous sa jupe, que je relevais doucement… Son slip blanc était tout tendu par une bosse de chaire ! Je dégageais son sexe et la suçais avec délectation. Je bus tout son jus, son nectar, avant de retourner à mes travaux.

Au souper, Danny passa deux fois près de mois, à chaque fois s’arrangeant pour me reluquer ou pour passer sa main sur mes fesses. Le soir, elle me repassa une vidéo éducative, du même style que la première. Les mêmes mots, le même style de film mais des images différentes, encore plus sensuelles, érotiques. Ces images, ces mots me marquaient, et se mélangeaient dans ma tête avec les images de moi suçant Mrs. Benson. Je bandais comme un fou, mais réussit à ne pas me toucher. J’allais dormir et fit des rêves érotiques, au point d’en éjaculer pendant mon sommeil dans mes draps !

Le lendemain, je me levais un peu plus tôt pour prendre un bain « peau douce », me laver les cheveux, les lisser, me maquiller de façon à être attirante, sans faire pute, puis je choisi des bas résilles noirs, des jarretelles, string et soutient assorti. Le tout en noir avec des dentelles. Je saurais faire en sorte que M. Striker les remarque ! Je mis aussi mes escarpins à talon, avec lesquels je me débrouillais bien maintenant.

Je passais ensuite ma robe, tablier et coiffe, et me précipitais chez ma Maîtresse, lui montrer comment je m’étais apprêtée, guettant son approbation. Mais elle n’était pas là. Elle aussi s’était levée plus tôt, et elle avait déjà déjeuné. Je mis donc les restes de son petit-déjeuner sur le plateau, et le plateau sur le monte-charge avant d’aller déjeuner. Elle travaillait déjà dans son bureau, sans doute pour préparer sa réunion avec M. Striker.

Je vaquais donc à mes tâches ménagères, lorsque le téléphone de service sonna. Ma Maîtresse me demandait d’apporter un café pour M. Striker. Je descendis donc aux cuisines, pris le nécessaire, servait un café, et apportais le plateau. Arrivé près des abords du bureau, j’entendais que cela chauffait. Des éclats de voix passaient à travers la porte pourtant fermée.

– Mais enfin Striker, vous savez que j’ai besoin de ces machines !
– Désolé Mrs. Benson, mais ce n’est pas de notre faute si vous les avez cassées ! Et les assurances n’interviendront pas, ou vraiment peu, vu la nature de l’accident. En plus ce type que vous avez viré était insolvable, on ne pourrait même pas le poursuivre en justice… surtout qu’il a disparu dans la nature…
– Mais avec ces machines, notre école deviendrait la deuxième meilleure du pays !
– Non ! Je ne vais pas me couvrir de ridicule en réunissant le Conseil d’Administration pour redemander des fonds… Il faut des arguments plus convaincants, trouver d’autres sources de revenus…

C’est à ce moment que je toquais sur la porte. Le silence se fit dans le bureau, puis Mrs. Benson dit un « Entrez ! » d’un timbre de voix marquant comme elle était tendue… J’entrais dans le bureau, où la tension était palpable. Dès que j’entrais je vis Mrs. Benson qui regardait par la fenêtre, et sentis les yeux de M. Striker, qui était assis dans le canapé de la partie ‘salon’ du bureau de Mrs. Benson, se poser sur moi, puis sur mes jambes. Il resta un instant bouche bée, avant de se tourner vers Mrs. Benson.

– Vous avez engagé du nouveau personnel ?
– Elle travaille pour moi, je la paye sur mes fonds personnels. Et comme elle travaille aussi pour l’internat, elle est logée et nourrie par les fonds de l’internat. Aline, tu peux poser le plateau sur la table.

Je m’approchais donc, mes chaussures à talon me faisant dandiner du derrière, dandinement que j’accentuais un peu. Je sentais le regard de M. Striker qui montait de mes chaussures, glissais sur mes bas résilles, et s’arrêtaient sur la robe courte, qui se soulevait au gré de ma marche, dévoilant la fin des bas et le début des jarretelles. Je pus voir un début de bosse se former au niveau de l’entrejambe de M. Striker. La situation me tournait un peu la tête, m’excitait. Voir un homme bander sur moi me faisait moi-même bander !

Mrs. Benson faisait sembler de se désintéresser de la situation, semblant perdue dans ses pensées en regardant par la fenêtre, dos à nous… mais je devinais qu’elle ne perdait rien de la scène, via le reflet dans le carreau. Ma Maîtresse était en difficulté, il fallait que je l’aide. Il fallait que je sorte le grand jeu. Je passais devant M. Striker, et me penchais pour déposer le plateau, ma robe courte remonta, et il eut une vue gros plan sur mes jarretelles et sur une partie du tissu noir du string qui sinuait entre mes fesses. Je l’entendis déglutir. Je me redressais, me mettant droite à côté du canapé. Soudain le téléphone sur le bureau de Mrs. Benson sonna. Elle décrocha, fit quelques « Mmm » et finit par un « j’arrive ». Elle raccrocha, et se tournant vers M. Striker

– J’arrive, j’en ai pour 5 minutes, une urgence à l’entrée.

Elle sortit précipitamment. Était-ce une coïncidence, était-ce calculé ? En tout cas je me retrouvais seule avec M. Striker, dont la bosse à l’entrejambe avait un peu augmentée.

– Il vous faut autre chose M. Striker ?
– Hum… heu, oui, du lait s’il vous plaît !

Je repassais devant lui, et me penchais un peu plus pour att****r le lait, puis le servir. Il en vit un peu plus de mes fesses. Je ne suis pas sûr, mais il me sembla sentir une main les frôler… Je me redressais, me remis à côté du canapé. Il était rouge dans son visage.

– Encore autre chose ? Minaudais-je
– Hum, hum, heu… du sucre ? S’il vous plaît ?

Je voulus repasser devant lui, mais (et croyez-moi je ne l’ai vraiment pas fait exprès) mon talon se pris dans le bord épais du tapis et je basculais et tombais en avant, j’essayais de me ratt****r et tombais sur mes genoux, l’avant de mon corps en plein sur M. Striker. Mon bras sur son entrejambe.

Au début, je ne voulais que me montrer, le faire craquer à ma vue. Mais ma Maîtresse avait vraiment besoin de cet argent. Et au point où les choses en étaient… je caressais donc la bosse visible en minaudant un « Mais qu’avons-nous là M. Striker » ? Sa réaction ne se fit pas attendre…

– Tu veux voir ce que j’ai là, salope ? Tu me chauffes depuis tantôt, tu la veux, hein ?

Il écarta mes mains, défit le bouton de son pantalon, ouvrit sa bragette… la bosse apparut de plus belle par sa braguette ouverte, une bosse bleu ciel, au couleur de son caleçon…

– Laissez-moi vous aider avec ça, servir est mon métier…

Mes mains ouvrirent plus grand son pantalon tandis que ma tête se pencha vers son entrejambe… ma langue lécha la bosse, le tissu du caleçon se mouillant légèrement avec ma salive… et pas qe ma salive ! Mes mains caressèrent son ventre, descendirent vers son caleçon… et le tirèrent pour dégager son sexe bandé… Il était plus court, mais plus épais que celui de Mrs. Benson… plus poilus aussi. En voyant cette verge, les images des vidéos me revinrent en tête. Je me baissais, et commençais à lui lécher la hampe, puis le gland. La respiration de M. Striker s’accélérait. Il sentait plus fort que celui de Mrs. Benson, mais cela ne me repoussa pas. Au contraire, je trouvais cette odeur plus mâle, plus virile… ma langue tournoya sur son gland, l’attira vers ma bouche… je gobais le gland, puis la hampe… La chaude moiteur de ma bouche le fit lâche un râlement de plaisir… Ma tête commença à monter et descendre le long de sa bite, et je me rendis vite compte que j’aimais faire ça… il se poussa un peu pour me permettre de me mettre à quatre pattes sur le canapé, afin de pouvoir mieux le sucer. Je pus prendre toute sa verge en bouge, jusqu’à ce que mon front touche sa cuisse, car elle était bien plus courte que celle de ma Maîtresse. Mais elle était bien plus grosse, et cette grosseur qui me remplissait la bouche me faisait bander comme un fou ! Je le suçais, montant, descendant, tout en sentant sa main caresser mes cheveux, puis mon dos… sa main arriva à mes fesses… il me caressa les fesses, avec passion, puis me donna une petite claque. Puis il recommença à me les caresser pendant que je le suçais… il alternait petite claque et caresses sur les fesses, et j’aimais ça… soudain, sa main suivit le tissu noir du string, avant de le mettre de côté. J’eus peur qu’il découvre mes attributs masculin, et m’arrêtais de le sucer pour dire quelque chose… Mais son autre main poussa ma tête contre son sexe. Il poussait fermement puis relevait, imprimant avec sa main le mouvement que ma tête faisait le long de sa bite, qui allait et venait de plus en plus rapidement dans ma bouche… son autre main caressa mon sillon, puis mon œillet… j’avais peur, mais en même temps cela me faisait frissonner de plaisir ! Son doigt caressais mon anus, le flattait… avant de s’introduire dedans… j’eus une décharge d’adrénaline quand je sentais ce doigt entrer dans mon cul… Je voulus une nouvelle fois dire quelque chose, mais il m’en empêcha, faisant aller et venir ma tête le long de sa bite tout en me doigtant le cul… j’étais entièrement dominé… et j’adorais ça ! Je ne tardais pas à éjaculer dans mon string noir… et peu après, il sortit son doigt de mon petit trou, et calant sa bite au fonds de ma bouche, appuyant ses deux mains sur ma tête, il éjacula tout son foutre chaud dans ma gorge… son sperme était plus fort de goût et plus abondant que celui de ma Maîtresse, mais j’arrivais à tout avaler sans tousser ! Maintenant ma tête sur son sexe qui se cabrait encore dans ma bouche, il ahanait, reprenant son souffle, quand une voix retentit dans la pièce…

– Et bien c’est du beau ! C’est comme ça que vous traitez mon personnel, gros pervers !

M. Striker rougit de son cou à la racine de ses cheveux !

– Heu… Mrs. Benson… ce n’est pas ce que vous croyez… enfin si… mais… on peut s’arranger…

Elle le regarda droit dans les yeux

– S’arranger ? Gare à vous si je perds ma soubrette, qui m’est si utile ! Réunissez-moi le Conseil d’administration et je pourrai peut être oublier l’incident ! Et heureusement pour vous que je n’ai pas envie d’appeler votre femme !
– Heu… oui… d’accord… mais et les assurances.
– Je m’en charge des assurances, je vais leur téléphoner demain. Et relâchez ma soubrette, voulez-vous ?

Il tenait toujours ma tête sur son sexe. Il avait débandé dans ma bouche, et je m’amusais à donner de petit coup de langues sur le bout du gland qui se recalottait petit à petit…

– Hum, oui, pardon.

Il me relâcha. Je remis mon string bien en place et me redressais, à côté du canapé, tandis que lui se rhabillait bien plus rapidement qu’il ne s’était déshabillé !

– Aline, M. Striker n’a plus besoin du café ni de tes… services, tu peux rapporter le plateau en cuisine…

Le sarcasme ne plut pas à M. Striker. Il fallait que j’aide encore ma maîtresse, la situation ayant déjà tourné à notre avantage.

– Hum, puis-je faire une suggestion Maît… hum… Mrs. Benson ?
– Oui, Aline, parle.
– Vous pourriez organiser un rendez-vous ici avec l’assureur et M. Striker. Si l’assureur est aussi gentil que M. Striker, je suis sûr que vous pourriez trouver un arrangement. Je referai un bon café et…
– Bonne idée ! fit M. Striker, l’œil sur mes fesses.
– Pourquoi pas… fit Mrs. Benson pensive.

A la lueur qui brillait dans son œil, je suis sûr qu’elle y avait déjà pensé. Je suis même sûr qu’elle avait été témoin de tout ce qui s’était passé ici, je le voyais à ses joues rosies par l’excitation.

– Et bien, je vais téléphoner immédiatement.

Pendant qu’elle téléphonait, M. Striker s’approcha de moi, et me caressa sans vergogne le fessier.

– Demain, c’est possible ?

M. Striker hocha rapidement de la tête, le rendez-vous fut pris. La main de M. Striker quitta mes fesses, et il se dirigea vers la porte. En sortant, il se tourna vers Mrs. Benson.

– Votre soubrette est vraiment talentueuse… si son… café… convainc l’assureur de payer, non seulement je convoque la réunion du Conseil d’administration, mais en plus je vous soutiens à 100%.

Il lui serra la main et sortit. Elle se retourna vers moi, l’air sévère !

– Et alors Aline, on s’amuse sans mon autorisation ? On fait sa petite salope ? Enlève ton string, puis mets-toi à genoux !

Je le fis glisser le long de mes jambes, en sortit les pieds, puis le pris dans ma main et me mis à genoux. Elle n’eut rien à dire juste un signe de tête… je déroulais le string noir, blanchi et mouillé à l’intérieur par mon sperme… je le léchais, enfin pour ce qui n’était pas absorbé par le tissu… Ma Maîtresse s’approcha de moi pendant que je léchais l’intérieur de mon string et me caressa la tête.

– Tu as bien fait Aline, je suis fière de toi. Et ton idée pour l’assureur est lumineuse ! Je savais que tu m’aiderais !

Elle repassa devant moi et soudain attira mon visage contre son entrejambe, donnant des coups de bassin pour frotter la bosse qui déformait son tailleur contre mon visage…

– Et te voir le sucer, pendant qu’il te doigtait le cul, que c’était excitant ! Tellement excitant ! Regarde !

Elle recula mon visage de la bosse qui déformait entièrement son tailleur et me remit une boule de tissu qu’elle avait discrètement gardé caché dans sa main depuis qu’elle était revenue dans le bureau. Je compris tout de suite que c’était son string à elle, maculé de son sperme. Sans qu’elle ne dise ou ne fasse rien, je laissais tomber mon string et commença à lécher le sien. Sperme = plaisir raisonnait dans ma tête…

– Et si tu prenais du tout frais ?

Elle remonta indécemment la jupe de son tailleur, dévoilant ses bas beiges, ses jarretelles couleur chair et son sexe tendu. Je m’en approchais. Il sentait déjà le sperme, vu qu’elle était venue dans sa culotte… je le léchais donc, nettoyant le sperme séché sur le gland, sur la hampe, avant de l’engloutir… Excitée, elle prit ma tête entre ses mains, et commença à me baiser la bouche… son gros sexe entrait et sortait à toute vitesse, et je positionnais mes lèvres de façon à ce qu’elle ait un maximum de plaisir… elle ne tarda pas à éjaculer une seconde fois, directement dans ma gorge… j’avais encore son string en main, et me sentant venir du fait d’être ainsi dominé, utilisé par ma maîtresse pour son plaisir, j’éjaculais dans son string, afin de ne pas à avoir à lécher une nouvelle fois le parquet…

(à suivre)

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