III. Jour 2
– Tu as bien dormi ?
– Oh, oui… Super, c’est calme ici… Chez nous on entend les voitures…
– Tiens, sers-toi, café, chocolat, lait chaud ?
– Du lait et du chocolat, merci…
– Tartine, confiture, brioche ?
– Merci, je ne suis pas vorace le matin, jus de fruit si tu as ?
– Oui, tiens…
Ses yeux sont bleus tendres… Quand elle parle, la douceur de sa voix le revient en mémoire… J’étais plus jeune… Elle venait de se séparer de son mari, elle était chez nous. Je ne comprenais pas tout de ce qu’elle disait à ma mère…
Une nuit je l’ai entendue pleurer dans la chambre voisine de la mienne… Ca m’a fait de la peine…
Cette voix qui me berçait lorsqu’elle me prenait dans ses bras, remplaçant mon cousin plus âgé, resté chez eux…
J’étais loin de me douter que cela était un besoin vital de tendresse, d’une maman, comme était la mienne… Ses baisers sur ma joue, sur mon front…
Puis elle est repartie, j’ai senti un vide dans la maison…
Nous nous sommes croisés quelquefois, chez l’un ou l’autre. Puis l’an passé, une semaine entière seul avec elle et mes pulsions irraisonnées…
J’ai eu envie d’elle, comme un fou… Je voulais qu’elle me regarde, je ne suis plus un enfant que l’on berce… J’aurais aimé sentir sa main sur mon sexe, voir ses seins sortir de son décolleté… Je voulais jouir d’elle…
Pauvre fou immature… Je n’ai rien eu en retour, que son regard bleuté sur le quai de la gare…
Maintenant j’ai compris… Je dois la draguer, ne pas l’affronter, mais la séduire…
Elle doit avoir besoin de sexe de temps en temps, elle a sans doute un copain qui vient la sauter… Elle reste seule toutefois… A moins qu’elle aille chez lui, qu’elle passe une nuit de temps en temps…
Je l’imagine nue sur un homme déjà mûr, mais actif…
Un grand lit, ses seins qui ondulent, le sexe planté entre ses cuisses écartelées, en amazone conquérante et qui jouit lentement… Il ne dit rien, savoure l’instant…
Elle s’allonge sur lui et continue à se faire prendre, à faire monter son désir, il l’accompagne, la caresse… Ils s’embrassent passionnément…
Je l’entends jouir doucement, soupirs, mots tendres…
– Viens, prends-moi…
Elle s’offre à lui, il devient conquérant, puis la porte aux nues, elle vibre, s’ouvre, se donne, scande son orgasme…
Puis il tombe sur elle, épuisé par l’effort, l’embrasse tendrement….
Mon rêve se referme…
Elle est en face de moi, perdue dans ses pensées, si elle avait pu voir les miennes…
Ses yeux gris-bleus me sourient…
– Je vais à la salle de bain. Tu as besoin de quelque chose ce matin ? Je pourrais sortir à pieds chercher du pain…
– Non, pas aujourd’hui, j’ai tout… On parlera pour cet après-midi. Solange va sans doute passer, elle vient souvent me voir, mais avant je dois me rendre au bureau, mon patron a besoin de moi…
– Ah, je t’attendrai ici, prends ton temps…
Sur ces bonnes paroles, elle se prépare et sort sa voiture du garage. Elle a oublié de me parler de son ordinateur…
Bon… Elle a parlé d’une heure et son amie vers 15H.
Je me cale devant la télé, regarde mes mails, cherche des séries, je retombe sur une vidéo que j’apprécie particulièrement, car la femme ressemble à Véronique…
Tiens, je n’avais pas fait le rapprochement… Véro et Nique…
Mon esprit les mélange, celle du portable, celle dans mon esprit, sa robe très jolie pour aller en ville, elle se fait belle pour son patron…
Je mélange encore, le patron, elle qui s’assied au bord du bureau, le chemisier qui s’ouvre, les magnifiques seins libérés par des mains impatientes, la robe qui remonte, une bouche vient sucer les tétons aux aréoles sombres…
Elle ferme les yeux, cherche à libérer le sexe de son amant, le prend dans sa main et le coulisse lentement, tandis qu’elle ouvre les cuisses, laissant place à une main active…
Il se penche vers elle, ôte la culotte, dévoilant une intimité sombre, des grandes lèvres luisantes de désir, des fesses rondes, attirantes…
Le sexe s’approche lentement, vient sombrer dans la douceur offerte, pénètre lentement dans la grotte…
– Oh, oui… J’ai envie de toi… Viens !… Prends-moi…
Il ne se le fait pas répéter et plonge son sexe de plus en plus vite, déclenchant un torrent de paroles, des gémissements de chienne en chaleur, elle se tient au bureau qui commence à grincer…
– Oh, c’est bon ! Continue, fais-moi jouir…
– Moi aussi j’avais envie de toi… Une semaine sans te voir…
Le combat devient inégal, sa robe est à terre…
Clouée, écartelée, harponnée par une bite de bonne taille, elle monte sur un nuage, se laisse dériver, orgasme sur orgasme, les seins ballants, entièrement empalée, en redemandant…
– Oui…Là !… Viens !… Donne-moi ta semence, libère-toi, j’aime que tu me prennes comme ça, sur le bureau ou à terre… Je suis ta secrétaire, baise-moi à fond…
Elle tremble, dans un ultime orgasme en sentant la liqueur se répandre en elle, chaleur irradiante, il l’a prise par les hanches pour mieux la maintenir, elle semble griffée, mais s’en fiche, elle vient de jouir comme elle aime de lui, ce mâle qui entretient sa libido, la libère, sans rien demander, sans mélanger travail et plaisir.
Elle aime sa douceur, comme aujourd’hui, mais il sait être plus possessif, voire violent, lorsqu’ils sont en phase, chez elle, parfois dans un hôtel, car il est encore marié.
Elle aime être possédée, dominée, soumise, sodomisée, attachée, ressentir la bête dans l’homme qui la force, il ose parfois lui demander son avis, accompagnant leurs jeux de jouets sexuels qui la portent au supplice, comme s’ils étaient plusieurs à la posséder…
Je sursaute !… La sonnette vient de me sortir de mon rêve érotique… J’ai la main encore rivée à mon sexe… Je rentre le tout, me lève, éteint la télé, vais ouvrir la porte…
– Bonjour, je suis Solange, l’amie de votre tante… Vous êtes Greg, son neveu ?
– Oh, oui, je… Entrez…
1) Solange
Un tableau dont je n’avais encore rêvé… Rousse, les cheveux mi-longs, frisés, un corsage de ouf, laissant espérer des rondeurs agréables… Des hanches de sirène, un teint et surtout des yeux… Verts, tendres, souriants… Je bégaie, je trébuche, je la fais entrer, asseoir, cherche à boire, reviens sans rien…
– Vous…
– Tu… Je n’aime pas la différence d’âge, et tout ce qui la sous-entend…
– Excuse-moi… Je n’ai pas l’habitude, je ne suis pas chez moi…
– De rien, ta tante m’a parlé de toi elle a peur que tu t’ennuies, tu es jeune, un bel homme ma foi, elle me l’avait caché…
Je rougis… Elle a l’aplomb qui va avec son âge, cette maturité, cette…
– Tu es déjà venu ici, non ?
– Si, l’an passé, et avant quelquefois.
– Tu aimes notre région ?
– Oui, c’est calme et la nature offre des ballades agréables, on en a fait l’an passé…
– Oui, elle m’a demandé des idées… Je ne sais pas tes goûts…
– Oh, j’aime promener, marcher, visiter, j’aime un peu tout ce qui a de l’intérêt, architecture, site, paysage, lacs, rivières, montagnes, déjeuner sur l’herbe, mais aussi les MacDo…
– Oui… Bien on ira balader. Tu aimes la ville, le ciné ?
– Oui, aussi, les films récents, les séries télé…
– Et les filles ?
– Heu… Aussi, mais…
– Ah, je ne parle pas de moi ou de ta tante, nous sommes passées de date…
– Oh, non !… Vous êtes magnifiques, je n’ai pas de mots…
– C’est gentil… Vous êtes proches ?
– Pas trop, on est éloignés géographiquement, on ne se voit pas souvent…
– Je sens un regret… Elle te plait ?
– Ben… Elle est attirante, oui… Comme toi… Vous allez bien ensemble…
– Ah, c’est bien observé… On se connaît depuis des années… Nous n’avons pas de secrets, je sais tout d’elle, elle sait tout de moi, ou presque… Deux amies proches. Nous avons été séparées à un moment, puis j’ai perdu mon mari, je suis revenue et l’ai retrouvée, seule aussi… Alors on sort, on s’évade… On a besoin de vivre notre vie de femme… La retraite arrive, il nous faut des buts dans la vie, de la nouveauté…
Elle se raconte naturellement, comme une copine de lycée… Je l’écoute bouche bée… je bois ses paroles… Elle se détend aussi, sa robe remonte un peu, son décolleté s’élargit…
Mes yeux font la navette, ses yeux, sa bouche, ses cuisses qui apparaissent, ses seins dont les rondeurs se manifestent… Je bande…
Elle a capté mon regard, je le sens…
Elle me le rend, ses yeux dardent la grosseur sous mon pantalon…
C’est un vrai cougar…
Elle rit à mes remarques, ses seins tressautent dans leurs nids… Elle ouvre ses cuisses, me demande à boire…
Elle me suit à la cuisine, je fouille, elle sait mieux que moi trouver les sirops, bière, jus de fruit…
On retourne sur le sofa, elle se laisse glisser en soupirant…
– Merci, c’est bon… Tu travailles ?
– Oui, en alternance, je prépare un diplôme d’état dans la médecine parallèle…
– Oh… Je suis en confiance alors… Si je fais un malaise, tu pourras m’assister…
– Je n’en suis pas encore là… Mais oui, premiers soins, aide au diagnostic, je progresse… J’aime les thérapies douces, les plantes, c’est long…
– Tu parles comme ça avec ta tante ?
– Non… J’ai… je ne sais pas, elle m’impressionne…
– Et moi non ?
– Tu as fait en sorte que je sois à l’aise…
– Tu as une amie ?
– Non… Je suis à fond dans mes études…
– Ce n’est pas très bien, il faut évacuer ton stress, tu es coincé un peu… Tu as eu des aventures ?
– Heu… Oui…
– Oui, je pense que comme beaucoup d’ados et de jeunes adultes, ton expérience tu l’as sur internet, et les travaux pratiques sont dans ton lit ou aux toilettes…
Elle m’a eu… Je rougis, j’ai chaud…
– Oh, j’étais un peu Psy, n’aie crainte… Mais si tu sens le besoin de parler, ne te gêne pas, je suis étrangère, ouverte à tout, et je suis une tombe…
– C’est sympa de t’intéresser à moi… C’est elle qui te l’a demandé ?
– Pas ouvertement, elle ne sait pas comment prendre un homme comme toi… Vos goûts, vos centres d’intérêt, votre sexualité…
Elle t’a surpris l’an passé, elle a été perturbée par ce comportement visant à te donner en spectacle… Mais charmée que tu t’intéresses à elle…
– Je sais j’ai foiré, je m’en suis voulu…
– Tu sais, si elle t’a invité de nouveau, elle n’a pas eu peur de toi… Au contraire, elle veut t’aider…
– Ah ?
– La femme est complexe et ne réagit pas comme un homme. Elle a besoin de sécurité, de confiance, de partage… Tu es tourmenté par un manque flagrant… Il te faut agir en adulte et non en enfant, impulsif, égoïste…
– Oui, j’ai compris, je pense… Patience, charme, délicatesse…
La porte s’ouvre, il est 15H45… Elle a débordé… Elle n’a pas de courses, elles se disent bonjour, je me plonge dans mon smartphone… Elles sont de mèche…
Je n’entends plus rien, j’écoute…
Je me lève, vais aux toilettes… Je perçois leurs voix atténuées… Je ressors…. Doucement…
La chambre est entrouverte… Elles s’embrassent à pleine bouche !
Un coup de poignard !…
Jamais je n’aurais pensé… Merde, quel abruti je fais…
Tata est gouine… Voilà l’explication de l’an passé, de sa solitude discrète…
Elle aime son amie, ses amies… Elles font des orgies ?
Solange, quelle femme, j’en suis sur le cul… Putain, une belle salope comme ça… Presque je craquais… A moins qu’elle ne fasse les deux… Elles en sont capables… Divorcées, refoulées, elles ont besoin de vivre… Donc de tout vivre…
Je suis assis sur le sofa lorsqu’elles reviennent, j’ai allumé la télé mais mon esprit continue à vagabonder…
Est-ce qu’elles font l’amour ensemble ?
Dans mes vidéos, c’est torride, deux femmes, deux matures… Elle se lèchent, se caressent, jouissent, se frottent, parfois utilisent des jouets, des godes énormes, des plugs…
Tout un univers de plaisirs féminins…
– Et si on invitait Marie ce soir, nous serions toutes les trois… Greg ça te dit d’être avec trois femmes ? On ira au ciné et on se fera un restaurant en ville…
– Ah, oui… Qu’est-ce qui passe comme film par ici ?
– Regarde le journal, je l’ai pris au bureau…
Ah, le bureau…
Elles sont côte-à-côte, parlent de shopping…
Je vois un truc sur le journal, un nouveau Star Wars…
– Vous aimez Star Wars ?
– Moi je me suis régalée, j’adore et toi Véro ?
– Oui… J’aime plus de sentiment, ou d’aventure, mais s’il n’y a rien d’autre…
On opte pour ça… Marie va nous rejoindre dans un bar, je serai bien entouré…
– Marie, bonjour…
– Greg, le neveu…
– Mais tu n’es plus le petit Greg qu’elle nous vantait… Je suis charmée…
– Merci, c’est réciproque….
Brune, un peu plus jeune, je dirais 47 environ… Un corps de déesse, yeux bleus, elle doit faire du sport, s’entretenir… Elle est canon…
Je me sens un peu de trop, monte à l’arrière à côté de ma tante, Solange sur le siège passager me regarde en parlant… Marie conduit doucement, nous entrons en ville vers les cinémas…
Marie est divorcée… Elle tient un institut de beauté… Elle a rire puissant, cristallin…
Solange s’est tournée vers nous…
– Greg, on va au ciné avant ?
– Pas de souci, je suis…
Les salles sont assez intimes, un peu à l’ancienne, on est placés au milieu, la salle se remplit vite, on mange du maïs soufflé… Je souris, ça va bien aux poules…
Je les ai laissées s’installer et me retrouve contre Solange, en bout de rangée…
Le film est magique…
– Tu peux te mettre à l’aise, tu es grand, ne te gêne pas, je te sens nerveux…
– Juste à l’étroit… Merci…
J’étends un peu les jambes, je sens sa cuisse contre la mienne, la bataille fait rage sur l’écran…
Solange bouge, je n’ose la regarder…
Soudain, sa main se pose sur ma cuisse… Elle glisse entre mes jambes, s’arrête sur la bosse, que je ne peux refréner depuis que je la sens contre moi…
Elle me masturbe à travers le tissus…
Je tourne un peu les yeux, elle a ouvert ses cuisses, s’est tournée vers moi, le dos contre Véronique…
La main me fait saliver… J’ai la bouche ouverte… Elle serre ma bite, doucement, lentement, je bande comme un fou, à en avoir mal…
Sa main prend la mienne, la pose sur son sein, qu’elle a sorti légèrement, pointant un téton…
Je me laisse aller, prenant la chose entre mon pouce et l’index et tournant lentement…
Sa main écrase mon sexe… Je relâche ma pression et tourne, effleurant tendrement, câlinant…
Il me semble l’entendre feuler…
Elle a repris sa caresse sur mon sexe, tente de le libérer…
Elle est experte en pantalons et zips….
J’ai pris son sein dans ma paume et le masse à volonté, elle s’est rapprochée de moi…
Sa main enserre mon bijou, lui faisant un écrin… Je sens monter mon plaisir…
Elle penche la tête vers moi…
– Continue, c’est bon…
– Toi aussi, je viens… Je prends un mouchoir…
Elle souffle maintenant, son téton est devenu énorme, érigé, durci… Je le pince tendrement, comme des lèvres de bébé…
Elle sursaute, j’explose dans sa main…
En sortant, elle me glisse à l’oreille :
– Ma culotte est trempée, c’est malin !… J’ai envie de toi…
– J’ai envie de toi aussi…
– Je sais, dans les toilettes du restaurant, elles sont grandes…
La brasserie se trouve juste à côté, on s’installe et immédiatement, je me dirige vers les WC…
Au bout d’un instant, la voilà… Nous entrons dans une cabine pour femmes, elle soulève sa robe, retire sa culotte, puis se tourne vers mon sexe libéré, se penche et me suce comme une professionnelle…
Je bande comme un diable… Sa douceur, ses lèvres larges, humides qui glissent le long de ma hampe… Ma main atteint sa chatte, ouverte, elle me fait asseoir sur le siège… Elle ouvre ses cuisses, écarte ses jambes, mes doigts glissent dans cette intimité, découvrent la moiteur d’une chatte excitée, le bouton érigé, que j’effleure, que je tourne, puis la grotte, trempée, offerte…
– Oh, oui… J’ai trop envie…
Elle ne peut pas attendre, elle soulève sa robe, m’enjambe et glisse ma bite en elle, jusqu’à la garde…
Que c’est bon, cette chatte trempée… Je glisse, sombre, reviens…
Elle me guide, s’écarte encore, me prend, bouge son bassin, se soulève de plus en plus vite… Elle halète…
Je souffle…
– Oh, oui… Soulève mes fesses pour m’aider…
J’obéis… Elle s’empale sur ma queue, s’ouvre, fait craquer le WC…
Je la vois fermer les yeux, passer une main entre ses cuisses et se masturber…
– Oh… Oui… Je te sens bien… Baise-moi plus fort, prends mes hanches, viens !…
Je l’agrippe, la cloue sur ma bite démesurée, elle va et vient de plus en plus vite, puis éclate un orgasme qui fait trembler les minces cloisons de bois…
J’ai joui comme jamais je n’avais joui, pour ma première fois, j’ai giclé dans son vagin détrempé de mouille, je crois même qu’elle s’est déversée en frottant son clito comme une femme fontaine, dans mes vidéos, comble du plaisir, et de l’excitation…
Elle s’est accroupie et m’a sucé consciencieusement…
J’ai écarté ses cuisses, un pied sur la lunette et j’ai pu goûter sa chatte pleine de mon jus et du sien mélangés, tandis qu’elle massait ses seins libérés en grognant de plaisir, sa robe retroussée complétement…
– Merci… J’étais prête à exploser depuis que je suis entrée dans la villa et que je t’ai vu…
– Le plaisir a été pour moi… Tu es un volcan flamboyant auquel on ne résiste pas…
– Je suis ta première mature ?
– Oui…
– C’était un peu rapide et inconfortable…
– On fera mieux la prochaine fois…
Ses yeux me transpercent, on s’embrasse comme des collégiens, elle se rhabille et ressort avant moi, légère et sautillante…
Lorsque j’arrive à la table, elles discutent toutes les trois comme si de rien n’était, nous commandons et dînons…
Je ne me suis jamais senti aussi léger, ma tante me sourit, je sais qu’elle sait….
Il est près de minuit lorsque nous ressortons…
– Un dernier verre ?
– Tu régales Véro ? Tu as encore de cette potion magique des Alpes ?
– Oui… Allez fouette cocher…
Marie nous reconduit en toute sécurité, on se pose au salon, Solange me sourit.
– Allez Greg, je vais sortir les flacons, tu nous verseras l’ivresse…
Je le fais, servant ces dames dans de petits verres, puis trinquant…
– Ah, le premier était bon…
Je ressers ainsi plusieurs fois…
Les yeux sont dans le vague pour ma tante dont le peignoir est ouvert, Marie est gaie comme un pinson et ses yeux se rivent sur les miens, Solange est à moitié dénudée, écroulée sur le sofa…
– So, tu exagères, tu es à moitié nue devant Gregory, notre seul soupirant possible…
– Véro, tu le couves trop… Il a besoin d’air ce jeune homme…
– Marie, tu es la plus jeune, il a besoin de tendresse…
– Oh, j’ai la nausée, So, tu viens ?
Solange et ma tante se dirigent vers le couloir…
Marie vient contre moi…
– Tu ne t’ennuies pas trop ?
– Non, au contraire, vous êtes un spectacle…
– Ah, c’est bien vu, elles ont exagéré… Je crois que je vais vous laisser…
– Oh, dommage…
– C’est gentil, tu veux que je reste, je pense qu’elles vont aller dormir…
– Tu appelles ça dormir ?
– Ah, tu sais…
2) Marie
Elle se lève et me fait signe de la suivre…
On prend le couloir, puis on regarde dans la salle de bains vide… Elles sont dans la chambre…
Solange, complétement nue, les cuisses écartées au milieu du lit, Véro, toute aussi nue, la broute avec application faisant naître des sons étranges et divers…
– Tu vois, elles n’ont pas besoin de nous…
– Tu ne vas pas avec elles ?
– Parfois oui… Mais… J’aime aussi les queues jeunes et dures…
Sa main passe entre mes cuisses, elle me donne un baiser en se frottant contre moi… On revient vers le salon, je lui ouvre ma chambre…
Elle est nue en deux secondes, ses seins menus, haut perchés, sa taille fine, un sexe rasé, elle me déshabille, puis m’attire contre elle, s’assied et me suce…
Je prends ses seins dans mes mains, elle s’applique, je la laisse savourer mon dard qui prend forme… Ses yeux le fixent comme un serpent fixe sa proie…
J’ai passé une main entre ses cuisses et peux découvrir sa vallée d’amour…
Elle se laisse faire, caresse ses seins, m’offre sa chatte…
– Viens, suce-moi, j’adore…
J’obéis et me glisse entre ses cuisses, ma langue savoure son intimité… Rasée, deux grandes lèvres fines, un clitoris prêt à exploser, mes doigts viennent leur donner vie pour les premières, le torturer pour le second…
Elle se tord de désir…
– Oh… Oui… Continue, aspire… Pince mon clito, n’aie pas peur de faire mal…
Mes doigts s’exécutent, je suis un peu hésitant…
J’invente, je cherche, je soulève, plonge mon doigt, tourne…
Puis je titille et tourne doucement son bouton, appuie, je la sens s’envoler…
Je serre un peu plus le tendre attribut, entre pouce et index…
Elle se met à vibrer, parler, feuler… J’assiste à un premier orgasme…
Elle tremble, prend ma main, appuie encore, se masturbe…
– Oh, oui !… Que c’est bon !…
Elle m’embrasse, soulève son bassin, guide mon sexe dans le sien…
– Viens ! J’ai envie de ta bite… Prends-moi… Fais-moi l’amour…
Mon dard est aspiré, enfourné, elle se tord de nouveau sous moi…
– Vas-y, prends-moi plus fort…
Je la pilonne alors, elle jouit en criant….
Puis elle se tourne, soulève son bassin en écartant ses cuisses…
– Allez, viens… Fourre moi encore, plus loin, plus fort…
Elle se met à gémir, je la possède en levrette, son vagin étroit devient irrésistible, je vais exploser…
– Non, attends… Arrête… J’en veux encore… Masturbe-moi…
Elle se donne, je glisse mes doigts en elle, elle me guide, me montre son rythme, glisse deux puis trois, puis quatre doigts…. Je tourne, plonge, reviens…
– Oui !… Comme ça !… Encore !…
Je la masturbe comme jamais je n’avais vu dans les photos… Elle se tord, se détend, vient chercher ma main, puis se masturbe le clitoris, en gémissant, tandis que je la porte à la jouissance par ma main entière en elle…. Fistée, je la sens venir et un orgasme la submerge, l’emporte….
– Oh, j’avais envie de jouir… Attends, on va continuer…
Elle me suce de nouveau, tendre et douce, faisant renaître ma verge d’entre les morts…
Mais c’est vrai que je n’ai rien fait…
Doucement, lentement, mon sexe se déplie, grossit, le gland devient rouge, luisant de salive…
– Prends-moi par derrière… Viens !…
Elle se caresse, me caresse, se prépare, me montre, glisse sa mouille, entre une phalange… Elle s’offre, se soulève…
– Viens, je suis prête…
Ma bite se pose sur l’anus, elle me guide, je pousse, doucement, elle se tord de plaisir…
– Oui… Comme ça… lentement…. Viens… Enfonce-toi !…
Elles se goussent là-bas… Moi je veux qu’on me baise, sentir ta queue me prendre… Plonger dans mon céans, fouiller dans mes entrailles, me donner ce plaisir qui était malvenu, celui d’être soumise… Encore…. Viens, bouge… Oui !…
Elle griffe les draps, je la prends en cadence, m’offrant ma première sodomie, enfonçant mon sexe énorme dans son fondement, dilatant ses chairs…
Elle crie, jouit, se donne, en redemande…
– Oh, oui… Tu es doux, tu es tendre, tu es gros comme un black…
– Vas-y, j’aime aussi qu’on me force, j’aime quand on me soumette, j’aime quand j’ai mal et que ce mal est un bien… Oh !… Oui !…. Ta verge est un délice…
Ma queue s’enfonce d’un coup sec, la clouant sur le lit, elle pleure de plaisir…
– Oh, oui… Comme ça… Encore… Je suis ta pute, ta chienne, détruits-moi le cul…
Je sens mon sexe atteindre le fond, poussant en elle, lui arrachant des râles profonds, puis je la reprends, et encore, retardant mon propre plaisir… Je me retire et un trou béant apparaît…
– Oh, tu es bon, encore, viens…
Je ne mets plus de gants, et je m’enfonce en elle d’un coup sec, claquant ses fesses plusieurs fois, commençant à me faire mal…
Je décide d’aller au bout et de jouir en elle…
Je le serre, la griffe, l’empale, elle ouvre ses fesses avec ses mains, se donne…
Elle change de position plusieurs fois pour mieux me ressentir…
Elle contrôle ses orgasmes, je bloque sa respiration, mon bras la contraint, l’enserre, elle commence à étouffer…
Elle comprend et se met à gémir, à pleurer, elle se masturbe en même temps, déchirant son calice…
Je sens ma jouissance, j’explose dans son derrière…
– Oh ; Ouiiiiiiiii !….. Tu m’as baisée de première, j’ai joui… Sodomisée… Oui… Tu es le 8ème à me le faire… Oui… J’ai senti mon point G… Je veux sentir ta queue… Il faudra le refaire, m’étouffer dans tes bras…
Epuisé par cette lutte, je reprends mes esprits…
Appuyé sur ses fesses, je redescends de mon nuage, elle m’ouvre ses bras, me tend ses lèvres, puis elle vient me sucer…
Je sens alors une autre présence, elles sont là toutes les deux, qui viennent l’entourer, l’embrasser, passer leurs mains en elle, la faire jouir encore, lécher nos effluves…
– Bravo Greg, tu t’en es bien tiré… Tu es vraiment un amant merveilleux, notre amant…
– Pas encore ! J’ai envie de toi moi aussi ! Viens me faire l’amour cette nuit, viens me prendre à mon tour comme mes deux amies…
Oui, nous sommes lesbiennes, oui, nous aimons l’amour, faire l’amour, baiser comme des chiennes toute une nuit, avec des inconnus parfois, offrant nos chattes et nos culs sans répit, mais là, tu vois, j’ai pris du plaisir, j’ai même joui à te voir avec mes amies, jouir d’elle et les faire jouir… Greg, je ne suis plus ta tante, j’ai envie de ta queue, viens vite me prendre, et me faire délirer comme un super amant…
3) Véronique
Véro… Ma tante… Après un temps de repos, nous avons fait l’amour jusqu’au matin, dans sa chambre, mes amies sont restées seules dans l’autre, à écouter nos gémissements et nos râles…
Véro est telle que je l’imaginais… Une adorable femme qui aime le sexe. Qui a été déçue des hommes, s’est rapprochée des femmes, puis revient doucement combler le manque…
J’ai découvert son corps entièrement, et j’ai plongé dans cet océan de tendresse et de douceur… Nos corps enlacés, nos bouches, sa langue…
J’ai adoré sucer les tétons érigés de ses seins, les sentir sous mes lèvres, l’entendre gémir, puis faire un soixante-neuf, sentir sa bouche autour de ma queue, plonger la langue et goûter sa chatte aux poils soyeux, ses grandes lèvres délicates, sa vallée rose…
Tous ses trésors intimes, qu’elle me donne, qu’elle m’offre dans un calice…
Je dois refréner son ardeur, mon moteur est tout neuf et si impétueux !…
Elle comprend et se calme et nos lèvres se joignent, un baiser plus intime, un baiser fondant, un baiser passionné…
L’instant magique arrive…
Elle s’allonge sur le dos, je viens entre ses cuisses, mon dard droit comme un « i », au bord de sa chatte ouverte, rosée, encore luisante de salive…
– Oui… Viens !… Je te veux !…
Elle remonte ses genoux, m’offre sa soumission…
Je glisse doucement dans ce fourreau de tendresse, que je n’ai aucun mal à investir…
Ses yeux dans les miens, soucieuse de calmer mon impatience, elle se laisse prendre en feulant son plaisir…
– Oh, oui… Viens !… Sois doux… Oh, que c’est bon !…
Je ne peux que prendre de l’assurance et monter en régime, une main sur ses seins…
Mon membre va et vient dans son puits de douceur, inondé de désir, mais j’atteins un nouveau palier, je la sens partir, s’évader, perdre pieds…
– Oh, oui, prends-moi… Donne-moi ta jeunesse… Mets-y toute ta fougue, emporte-moi dans ton monde…
Je bute contre ses fesses, elle soulève son bassin en cadence, suivant mon rythme, un bruit de succion emplit la pièce, incongru, irréel… Nos corps se fondent… Elle s’ouvre comme une huître, perle rare et cadeau, je me sers, impatient, la portant à l’extase, coups de reins délirants, cavalcade magique…
Je sens la fin proche, elle s’en aperçoit…
– Doucement, attends… Calme-toi… Je veux encore jouir de toi…
Elle reprend ses esprits, redescend un instant,
Elle se retourne et m’offre son derrière…
Je ne sais que penser, mais ma main s’aventure…
Inondée de partout, elle attend…
Je glisse en elle, lentement, puis d’un coup de rein, je suis à fond, elle manque perdre l’équilibre…
– Cheval fou !… Reprend ton souffle, ressens comme moi, le plaisir de l’amour… Pénètre lentement, puis deviens plus actif et monte en puissance jusqu’à donner ta semence, exploser en moi…
Tu as le temps de me mener à l’extase, et au plus tu attends, meilleure sera la fin…
Je suis ses conseils et la prend lentement… Comme la vague, je ressors mon dard, attends quelques secondes, puis replonge en elle, chaque fois plus viril, l’emportant sur un nouveau nuage, je la sens vibrer, jouir de ma bite, se soulever vers moi, devançant le choc contre son utérus…
– Oh… Tu es… Gros… Je… jouis… Viens, prends-moi…
Alors j’accélère… Je la pilonne, elle tient ses genoux, ouvre sa chatte, attend un nouveau choc…
Mes coups de reins se font déments, elle griffe les draps, elle s’affale, je continue à la lutiner, la baisant sans répit, sans relâche…
Puis j’entends un râle libérateur, l’orgasme qui la submerge, elle a senti mon sperme envahir ses entrailles, la chaleur l’irradie, elle reste les bras en croix, ivre de plaisir, je retombe sur elle, la prends dans mes bras, nos lèvres se joignent, je suis toujours en elle…
– Tu m’as anéantie… Ne t’en va pas… Reste…
Je me suis endormi, fatigué de mes performances nocturnes…. Trois femmes… Pour une première, c’est une apothéose…
Que c’est bon l’amour !….
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