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(Vue sur internet) Mon épouse et ses collègues 4

(Vue sur internet) Mon épouse et ses collègues 4



Nous fûmes rentrés des Ardennes dimanche soir, les enfants reprirent leurs habitudes et nous aussi.

Le lundi soir, je rentrai comme d’habitude vers 19h30. Mon épouse était déjà là, j’avais hâte de lui demander comment s’était passée sa journée.

Dès qu’elle eut fini de servir le dîner aux enfants, elle vint me retrouver dans le salon où je lui avais servi un apéritif.

– « Alors? Comment ça s’est passé?

– « Bof! Rien de spécial, sauf qu’il n’y a plus que Guy qui m’adresse la parole, les autres tirent une tronche pas possible. Ils sont tout de même gonflés, je leur laisse disposer de mon corps à leur guise, leur donne du plaisir plus qu’ils peuvent en espérer et voilà comment ils me remercient!

– « Quelle ingratitude!(là, j’en fais un peu trop). Ça leur passera avec le temps!

Puis les jours et la semaine s’écoulèrent. Mon épouse avait gardé ses habitudes du mercredi avec son chef, le vendredi soir elle ne voyait plus que Guy chez lui, donc la soirée était plus calme pour elle qu’auparavant, ce qui la faisait rentrer plus tôt. Par contre, les parties de jambes en l’air du midi à l’usine, c’était fini. Elle m’expliqua qu’elle avait peur qu’un de ses anciens partenaires ne la dénonce à la direction, ce qui, si elle était surprise en galante compagnie et en pleine action sur le lieu de travail, serait synonyme de licenciement. Je gagnais au change car ses besoins sexuels restant les mêmes mais étant moins comblée à l’extérieur, elle comptait sur moi pour compenser. Nos couchers et quelque fois nos réveils étaient donc très chauds.

Et les semaines s’égrainèrent aux semaines. La sérénité régnait désormais dans notre couple. Quand un soir où nous venions de nous coucher et que, comme d’habitude, nous faisions l’amour, elle eut une drôle d’idée. Depuis notre dernière fâcherie, il faut dire que Joss s’était libérée et qu’elle ne me refusait plus grand chose, comme des fellations par exemple. Je ne l’obligeai pas à avaler, je sais qu’elle n’appréciait pas spécialement. Je ne lui imposai pas non plus la sodomie qu’elle m’avait dit avoir en horreur. Par contre, lorsqu’elle me suçait, elle aimait me titiller l’anus et m’enfoncer profondément un, voire deux doigts. Elle me disait qu’alors, elle avait l’impression que j’étais encore plus gros dans sa bouche. C’est au cours d’une de ces pratiques qu’elle me dit:

– « Ça te dirait d’avoir autre chose à la place de mes doigts?

– « De quoi tu parles? D’un gode?

– « Non, non! De quelque chose de plus naturel!

– « explique toi, je ne vois pas ce que tu veux dire!

– « A l’usine, j’ai un collègue qui est homo, un gentil garçon…

– « Holà! Je t’arrête tout de suite, je ne suis pas gay!

– « C’est pas la question! Ça te ferait une expérience, il suffirait que tu te laisses faire, c’est tout et en même temps tu me ferais l’amour, je suis certaine qu’on apprécierait tous les deux!

– « Tu as de ces idées!

– « Ah! Je vois que tu ne dis pas non. Je te tiens au courant.

– « Mais je n’ai pas dit oui non plus.

– « Bof! C’est tout comme.

Et voilà, ma chérie allait encore nous organiser une soirée trou du cul – c’est le cas de le dire – dont elle a le secret.

Elle ne m’en parla plus le restant de la semaine. Samedi, nous abordions déjà deux semaines de vacances scolaires. Donc, direction les Ardennes.

Et c’est le mardi soir suivant qu’en rentrant du bureau elle m’annonça:

– « J’ai invité Régis à dîner jeudi soir. Il est d’accord!

– « Régis? C’est qui? Et il est d’accord sur quoi?

– « Tu sais bien! Ce que je t’ai parlé la semaine dernière, une petite soirée coquine à trois!

– « Ah d’accord! Je croyais que tu avais oublié, ce qui m’arrangeait bien d’ailleurs!

– « Et ben non! Mais tu verras, ça se passera bien!

Si elle le dit.

C’est ainsi que nous arrivâmes à ce fameux jeudi qui devait-être riche en expérience. A peine rentré du travail, elle me fit venir dans la salle de bains et me dit:

– « Baisse ton pantalon et penche-toi en prenant appui sur le bord de la baignoire.

En disant cela, elle s’était emparée d’un flacon en plastique contenant environ 50 cl d’un liquide blanc.

– « Mais qu’as-tu l’intention de faire?

– « C’est pour te préparer pour tout à l’heure. Il faut que tes intestins soient vides, c’est plus propre!

– « Mais qu’est-ce que tu ne me fais pas faire!

Je me mis donc en position et je sentis qu’elle m’introduisait une canule dans le derrière, puis un liquide froid commença à me gonfler les intestins. Quand elle eut tout injecté, elle m’indiqua:

– « Tu dois rester au moins 10 mn avec ça dans le ventre avant d’aller te soulager;

Ce qui fut fait.

En revenant, je vis que mon épouse avait tout préparé dans le salon. En fait elle avait prévu un apéritif dînatoire, beaucoup plus convivial qu’un dîner classique.

A 20h30 le fameux Régis sonna. Mon épouse s’occupa de l’ouverture des portes, le fit entrer et fit les présentations. Régis était un homme pas très grand, blond, assez fluet et aux allures efféminées. A le voir, on se rendait rapidement compte du sens de ses orientations sexuelles.

On s’installa autour de la table basse du salon, je fis le service et nous discutâmes de choses et d’autres. Régis avait une discussion intéressante, il était cultivé. Je parlai avec lui de littérature, des auteurs qu’il préférait. C’était un grand amateur de lectures diverses, surtout sur l’histoire contemporaine, ce qui était pour moi une passion. Ce qui fit que le temps s’écoula rapidement. Ce fut mon épouse, que ces discussions intéressaient peu, qui nous ramena à la réalité.

– « Bon, chéri, tu m’aides à débarrasser qu’on puisse passer aux choses sérieuses.

C’est Régis qui m’interpela alors:

– « D’après ton épouse ce sera une première pour toi avec un homme?

– « Ah oui! Ça, je confirme!

– « Bon, alors il faudrait tout d’abord te préparer.

– « Mais me préparer à quoi?

– « Et bien il faudrait t’assouplir afin qu’il n’y ait aucune douleur au moment de la pénétration. Rassure-toi, j’ai tout prévu. S’il te plaît, retire ton pantalon et allonge toi sur le canapé.

– « Pendant que tu y es, tu n’as qu’à te déshabiller complètement, ce sera ça de fait.

Elle-même commença à se dévêtir.

Pendant ce temps, Régis avait sorti de sa sacoche un tube de pommade et il réclama une serviette à mon épouse.

Dès que je fus nu, je m’allongeai comme indiqué. Aussitôt Régis vint s’asseoir contre moi, il me badigeonna le trou du cul de sa pommade, en fit entrer à l’intérieur et commença à me masser le sphincter avec ses doigts. Ses gestes étaient doux, ce n’était pas désagréable. Longuement il me pétrit la rondelle, ses doigts entraient dorénavant sans problème, je ne ressentais aucune douleur. Il me déclara apte pour mon « dépucelage ».

C’est mon épouse qui prit les choses en mains. Régis s’était à son tour dévêtu. Mon épouse s’approcha de lui et lui saisit le sexe qu’elle se mit à masturber. Très rapidement celui-ci atteint une taille respectable, un sexe très long, plus de 25 cm, mais très fin, en fait parfaitement adapté à ce à quoi il était destiné. Puis, nue, elle s’allongea sur le dos, me dit de venir au-dessus de sa bouche, qu’elle allait dans un premier temps me sucer pendant que Régis allait faire ce qu’il avait à faire.

Je me positionnai comme elle voulait et, à genoux, introduisit ma verge à demi bandée dans sa bouche. Je sentis la présence de Régis derrière moi, Joss passa ses mains derrière mes fesses et les écarta largement. Régis guida son sexe en pleine érection, le positionna à l’entrée de l’objectif et exerça une légère pression. Je sentis mon œillet s’ouvrir, Régis me saisit alors aux hanches et, d’un coup de rein, il se propulsa au fond de mes entrailles. L’impression était curieuse, pas du tout douloureuse, mais, tel un piston, cette pénétration avait augmenté la pression dans mon intestin. Puis il se mit à effectuer des aller et retour. Le frottement de son sexe dans mon fondement était, somme toute, fort agréable. Sous la double sensation, enculade derrière et fellation devant, mon sexe avait atteint des dimensions inhabituelles. Mon épouse avait bien raison, mon érection était plus importante lorsqu’on me travaillait derrière.

Puis cette dernière interrompit son action:

– « Bon, maintenant à moi d’en profiter! Tu vas t’occuper de mon minou en levrette.

Demi-tour et elle se présenta devant mon éperon fièrement dressé. Je m’étais redressé sur mes genoux, toujours cloué sur le pieu de Régis et mon épouse vint d’elle-même s’empaler. Sous l’excitation, son vagin ruisselait de son jus. Il me resta à coordonner mes mouvements avec ceux de Régis. Une fois fait, les trois corps s’agitèrent en cadence. Pour ma part, c’était une impression extraordinaire, lorsque je cognais au fond du vagin de Joss, Régis venait claquer son pubis sur mes fesses. J’avais alors l’impression que mon sexe gonflait encore plus dans le ventre de mon épouse, qu’il allait éclater. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil. Mon épouse devait le sentir car, rapidement, elle se mit à gémir. Ses cris furent vite rejoints par les nôtres. Un plaisir violent me montait des reins, plaisir exprimé par des cris rauques qui sortaient de ma gorge. Régis, de son côté, poussait des « han » de bucherons. Bientôt, ce fut un véritable tumulte qui envahit la pièce. Confrontés à cette baise extraordinaire, les trois corps frémissaient de contentement et hurlaient le bonheur qu’ils ne pouvaient plus contenir. L’apothéose allait être un feu d’artifice. Ce fut mon épouse qui céda la première, ses reins étaient maintenant agités de mouvements désordonnés, elle émettait des sons incompréhensibles, un énorme orgasme la terrassa. Je la suivis de peu, mon sexe, douloureux à être trop bandé, lâcha de violentes saccades de sperme et, concomitamment, Régis me plaqua contre son corps et je sentis son liquide m’envahir le boyau.

Puis ce fut le silence. Les trois corps se désunirent. Nous nous regardâmes, les yeux encore tout brillants et reconnaissants, essoufflés par l’intensité des orgasmes qui nous laissaient sans force.

Mon épouse réagit la première:

– « Tu vois, je te l’avais dit! C’est vraiment autre chose. Je croyais que c’était un autre homme tant ton sexe était gros. Tu as aimé?

– « Ben oui! Ce serait mentir que de dire le contraire.

– « Il faudra que l’on recommence, si Régis est d’accord bien sûr.

– « Pour moi, pas de problème, répondit-il.

Nous nous ressuyâmes rapidement avec une serviette et nous dégustâmes une boisson fraîche. Puis nous discutâmes, toujours nus, environ une demie heure.

Mais mon épouse n’en avait pas terminé.

Brusquement elle s’allongea sur le dos et me dit de venir lui faire un cunnilingus, mais de me positionner à 90° par rapport à son corps. Qu’est-ce qu’elle avait encore dans la tête? De plus la position n’était pas très adaptée pour atteindre efficacement sa vulve. Puis elle fit signe à Régis de venir se positionner au-dessus d’elle en lui présentant son sexe qu’elle goba immédiatement jusqu’au fond de sa gorge. De sa main elle me désigna alors à Régis. Elle me fit signe de rapprocher mon bassin de ce dernier. D’accord, j’avais compris où elle voulait en venir, Régis allait me tailler une pipe. Décidément, elle avait décidé de me faire goûter à toutes les expériences homo. Mais, obéissant, je présentai ma verge à présent débandée à Régis. Celui-ci me la saisit entre ses lèvres, se mit à la sucer sur toute la longueur, sa main me triturait les couilles. Nous formions ainsi un trio où seules les bouches étaient à l’ouvrage. Au bout d’un moment, je vis ma femme occupée à introduite de la crème adoucissante sur la rondelle de Régis, puis elle se tourna légèrement de côté pour en faire de même sur elle. Qu’allait-elle encore inventer?

Lorsque tout le monde fut bien excité, la cramouille de ma femme était dégoulinante, de notre côté nous avions nos deux sexes fièrement dressés, ma femme déclara la fin des hostilités et un changement de position.

Elle se mit alors à genoux puis elle dit à Régis de venir l’enculer. Voilà donc la justification de la crème tout à l’heure. Mais la crème dont elle a enduit Régis alors, c’est pourquoi? J’eus tout à coup peur de comprendre. Mon apprentissage se poursuivait.

Pendant ce temps Régis avait pris position et enculait allègrement mon épouse qui, pour une fois, avait l’air d’apprécier.

– « Chéri! Il te reste un trou à occuper! Qu’attends-tu?

– « Mais ; mais! Je n’ai jamais fait ça moi!

– « Tu me l’as déjà fait, c’est pareil.

Régis m’encouragea alors à m’approcher et de lui même il écarta ses fesses pour me faciliter la manœuvre. Nu, Régis n’était pas désagréable à regarder. Il était complètement épilé, pas un poil n’apparaissait, nulle part, même dans la raie des fesses que j’avais maintenant sous les yeux. Ses fesses qui, d’ailleurs, étaient bien rebondies, on aurait dit un cul de femme.

Me voilà donc au pied du mur. J’approchai mon sexe bien bandé de sa rondelle, le positionnai d’une main puis, d’un coup de rein, je fis pénétrer le gland. Cela rentra facilement. Évidemment, de par ses mœurs, pour lui, l’exercice était courant. Puis je continuai la pénétration jusqu’à ce que je bute sur ses fesses. J’entrepris alors des va-et-vient en lui saisissant les hanches. Et nous reprîmes nos mouvements de tout à l’heure simplement dans un ordre différent. Ma queue était bien serrée par le sphincter, la tige bien au chaud, je retrouvai les sensations ressenties l’autre jour avec mon épouse lors du même exercice. Ayant déjà joui précédemment, les accouplements durèrent cette fois plus longtemps. Mais il était désormais certain que je n’aurais pas le même degré de jouissance que tout à l’heure tant cela avait été extraordinaire. De plus, ce n’était pas une forme de sexualité que j’appréciai spécialement. Pour moi, c’était pratiquement contre-nature.

Mais, enfin, je finis tout de même par jouir et par me vider dans les entrailles de Régis. Lui fit de même dans mon épouse qui remuait du cul en signe de jouissance. Mais j’étais à peu près certain qu’elle feignait, par politesse.

Cette fois c’était bien fini. Nous nous rhabillâmes. Nous bûmes un alcool, pour moi ce fut un whisky et, les verres finis, nous prîmes congé de Régis qui promit de revenir à notre demande.

Une fois seuls, je dis à ma femme:

– « D’accord pour une autre fois, mais ne me demande pas de refaire la seconde partie, c’est pas du tout mon truc.

– « Non, ça n’était pas excitant. On en restera à nous sucer mais pas à nous enculer.

Le programme de la prochaine séance était ainsi d’ores et déjà arrêté.

Demain, vendredi, c’était le jour de sa sortie chez Guy. Depuis quelques temps, un ou deux de leurs collègues se joignaient à eux et participaient à la joyeuse sauterie, dont Jean-Luc, qui, ne voyant rien venir de chez Aline, reprenait confiance et trouvait le sacrifice trop difficile de s’interdire de toucher et de profiter de ce corps tant convoité.

Le vendredi soir, elle revint à l’appartement à 23h30. Elle paraissait bien fatiguée, elle avait dû prendre je ne sais combien de queues dans tous les trous. Après son bain elle revint près de moi, dans le canapé et m’avoua qu’ils étaient cinq ce soir là, que ça avait été torride. Parmi eux il y avait un noir au membre démesuré: « il m’a faite jouir comme c’est pas possible, mais j’ai refusé qu’il me sodomise. Il m’a dit que la prochaine fois il viendrait avec de la crème pour faciliter la pénétration »

Ensuite nous avons fait gentiment l’amour et nous sommes allés nous coucher.

En ce samedi matin, un des rares où nous n’avions pas les enfants, je décidai d’accompagner mon épouse au marché. Les samedis, nous avions un petit marché qui s’installait sur une place se trouvant derrière l’ilot de notre immeuble.

J’aimais l’ambiance des marchés, ses couleurs, les harangues des camelots qui, à les écouter, possédaient tous les meilleures marchandises les moins chères. Et en général nous trouvions des produits frais à un bon prix.

Après avoir acheté quelques fruits et légumes, nous nous dirigeâmes vers le fromager qui exposait ses produits dans une camionnette réfrigérée. En arrivant près de l’étal, j’eus la grande surprise de voir le commerçant se pencher et faire la bise à mon épouse en l’accueillant d’un « Bonjour Joss! Comment vas-tu? » Pour ma part, je lui serrai la main pendant que mon épouse me présentait comme étant son mari. Après avoir fait notre choix et payé, avant de partir mon épouse lui dit alors: « C’est toujours d’accord pour ce soir? », « Oui! Oui! Pas de problème, vers 19 heures »

En nous éloignant, je lui demandai alors:

– « Qu’y a t-il donc ce soir à 18 heures?

– « C’est Jean, il passe prendre l’apéritif!

– « Content de le savoir! Quand comptais-tu m’en informer?

– « Ça m’est sorti de la tête, excuse-moi! J’en ai discuté avec lui l’autre samedi, il y a quinze jours et j’ai complètement oublié de t’en parler.

– « Tu parais bien familière avec lui? Comment vous êtes-vous connus?

– « Mais c’est un interrogatoire?

– « Non! Non! C’est juste pour savoir!

– « Souvent, le samedi matin, lorsque je vais au marché, je passe au bar à côté boire un café et il y est souvent car en général sa femme l’accompagne. C’est elle qui tient le plus souvent le stand.

– « Ah bon! J’avais peur que vous ayez couchés ensemble!

– « Tout de suite, des mauvaises pensées. Oh! Ce n’est pas l’envie qui m’en manque! Tu as vu comment il est bâti? Sa musculature? Si c’est proportionnel où je pense, ça ne doit pas être désagréable!

– « Ah les femmes! Toujours à penser à la même chose!

– « Parce que vous les hommes vous n’y pensez pas peut-être? Enfin, pas à la même chose, vous c’est « Si elle dit oui, je ne dirai pas non! » ou « elle doit-être bonne » enfin quelque-chose comme ça. Tu ne vas pas me dire le contraire?

J’arrêtai là cette discussion qui ne nous mènerait à rien.

Et le samedi s’écoula tranquillement. L’après-midi j’allai à Lille au « Furet du Nord » pour acheter un livre qui venait de sortir et qui m’intéressait. Mon épouse préféra aller faire des courses au supermarché.

Je revins à 18 heures. Mon épouse n’était pas rentrée. Comme d’habitude, je me demandais où elle pouvait-être et ce qu’elle pouvait faire. Je savais qu’avec elle il fallait s’attendre à tout! Elle revint à 18h30 et me dit qu’elle était partie tard en course d’où l’heure avancée.

Je lui rappelai que son ami Jean n’allait pas tarder. Elle me répondit que ce n’était pas son ami, simplement une connaissance et que je pouvais m’occuper de préparer l’apéritif. Ce qui me rappela la dernière fois où elle m’avait fait la même demande (1er épisode). J’installai donc les bouteilles et amuse-bouches sur la table de la salle à manger, cela changera du salon.

Il sonna à 19h15. Mon épouse lui ouvrit. Quelques minutes plus tard il sonna à la porte d’entrée du couloir. Aussitôt cela fit tilt dans ma tête car, pour des mesures de sécurité, rien n’indiquait dans le hall l’étage qui correspondait aux noms inscrits sur les sonnettes et les broîtes à lettres et mon épouse ne lui avait donné aucune indication à l’interphone. Donc Jean était déjà venu à l’appartement! Je laissai pour l’instant cette question en suspens mais cela nécessiterait une explication.

De nouveau mon épouse alla lui ouvrir la porte et le fit entrer. Il me resalua. Debout près de lui, je m’aperçus qu’il était plus grand de quelques centimètres mais, comme me l’avait dit Joss ce matin, qu’il était effectivement costaud: il avait de larges épaules musculeuses de déménageurs, des cuisses solides et, à la fourche de ces cuisses, ce qui m’apparaissait comme un pantalon bien rempli, une véritable protubérance qui laissait présager une belle virilité dont mon épouse, d’après les indices dévoilés à l’instant, avait dû profiter à un moment donné.

Lui faisant signe d’avancer dans la salle, il nous annonça alors:

– « Si vous permettez, je vais passer d’abord par la station toilette car je n’ai pas eu le temps d’y aller au bar après avoir fermé.

Et ni une ni deux, sans hésiter, il traversa l’appartement pour emprunter le second couloir qui desservait les WC. Pas très futé le Jean!

Mon épouse comprit tout de suite la bourde et vit que, moi aussi, j’avais compris.

– « Alors? C’était quand?

Elle baissa la tête puis, après quelques instants, bien obligée, elle me répondit:

– « Mercredi. Il fait un marché le matin. J’avais demandé une demi-journée l’après-midi et il est passé.

– « Attention Joss! Tu joues avec le feu! Tu connais nos accords? Tout me dire!

– « C’est exceptionnel! Ça n’arrivera plus!

– « C’est toujours ce que l’on dit!

De toute façon, au fond de moi je savais que cela n’avait rien d’exceptionnel. Joss ne changerait jamais, elle a le feu au cul et je devais m’adapter à cette situation.

Jean revint. On s’installa en bout de table. C’était une table ovale. J’indiquai une chaise à notre invité, mon épouse à sa gauche, dans l’arrondi de la table et moi en face.

Je lui demandai ce qu’il désirait boire et fit le service.

Nous discutâmes pendant une demi-heure de choses et d’autres, de son métier, de ce qui l’intéressait, etc…Mon épouse se leva pour refaire le service et dut s’approcher de Jean pour remplir son verre. Je vis qu’elle était tout contre l’homme. Celui-ci avait comme par hasard son bras gauche baissé le long de sa chaise. Tout à coup, je remarquai que son bras était agité d’un mouvement qui l’amenait à s’écarter de son corps. Il était tout simplement en train de peloter mon épouse sous mes yeux, sans aucune gêne. Et elle qui, comme d’habitude, se laissait faire. Je vis sa jupe se soulever sur l’arrière, la main montait. Elle devait maintenant être dans la culotte. Le pire, c’est que mon épouse avait maintenant posé la bouteille sur la table, elle avait ses deux mains sur le goulot et elle se laissait peloter en ayant l’air de fort apprécier la caresse. Puis je vis qu’elle me fixait, que voulait-elle me dire? Elle lâcha alors la bouteille et vint vers moi. Se faisant elle dévoila la main de Jean qui se trouvait effectivement à hauteur de son fessier.

Elle me susurra à l’oreille:

– « Tu veux bien qu’on parte une demie heure dans une chambre?

Que pouvais-je répondre? De toute façon ils l’avaient déjà fait sans ma permission! Je pouvais bien sûr refuser mais ça ne les empêcherait pas de recommencer sans que je le sache. Alors, après tout, autant que cela arrive avec mon aval.

Je fis un signe affirmatif de la tête. Aussitôt mon épouse saisit Jean par la main et l’entraîna dans la chambre d’un de nos enfants.

De toute façon Joss était incorrigible, ses envies sexuelles étaient plus fortes que sa volonté. Décidément, il était malsain d’inviter des hommes à boire l’apéritif, à chaque fois ils se payaient ma femme.

Curieux, vingt minutes plus tard je m’approchai de la porte de la chambre. Mon épouse n’était pas discrète, on l’entendait nettement gémir et exprimer sa jouissance.

Au lieu de trente minutes, c’est une heure et quart plus tard que je la vis sortir. Elle était toute nue, elle traversa pour se rendre dans la salle de bains.

J’attendis encore un bon quart d’heure pour la voir réapparaître en peignoir de bain. Elle alla cogner à la porte de la chambre afin de faire sortir son partenaire. Celui-ci revint s’asseoir, pas du tout gêné, comme si de rien n’était. Je n’aimais vraiment pas ce genre de type: un sans-gêne sans aucune forme d’éducation ni de politesse. J’étais plus étonné par mon épouse, surpris qu’elle fréquente ce genre d’individu.

Un verre plus tard, il nous annonça qu’il devait maintenant partir, car demain il avait une partie de chasse à l’affut en Belgique. Tout à coup, cela lui donna une idée:

– « Mais, au fait! J’ai droit à deux invités! Pourquoi est-ce que vous ne viendriez pas?

– « Ah non! Pas moi, merci! Je ne suis pas du tout un fan de la chasse, répondis-je.

Ce qui était d’ailleurs parfaitement vrai, j’étais partisan de laisser ces animaux sauvages vivre leur liberté. Et une chasse à l’affut en plus, ça allait être un véritable massacre.

– « Pourtant, moi, ça m’aurait plu! Je n’ai jamais participé à une chasse. Je serai curieuse de voir ça!

– « Et bien, demande à ton mari de te laisser y venir! Je passe te prendre de bonne heure et le tour est joué!

– « Oh oui, mon chéri, dis oui!

Autant me donner une corde pour me pendre. Je savais très bien comment se terminait ce genre de réunion qui, en général, se déroulait dans des pavillons de chasse isolés en forêt. Mais après ce qui venait de se passer, il ne pouvait rien lui arriver de pire! A part le nombre, mais ça, elle a l’habitude!

J’étais hélas loin de me douter de ce qui allait se passer!

Je donnai donc mon accord. Joss tapa dans ses mains et vint me faire un baiser pour me remercier. Ces mêmes lèvres qui avaient certainement mangé celles de l’homme qui était devant moi!

Jean expliqua alors les modalités: départ d’ici à 6h30, habillée en pantalon et bottes ainsi qu’un vêtement chaud pour le matin. Prévoir également une tenue faisant plus habillée pour le repas afin de faire honneur aux hôtes.

Tu parles! Plus « habillée » pour ma femme cela voulait dire plus « provocante »; Et quant à faire « honneur » à ses hôtes, nul doute que mon épouse allait le faire à sa façon et elle y mettrait tout son cœur.

Sur ce, Jean prit congé après m’avoir salué. Ma femme me dit qu’elle l’accompagnait en bas car, à cette heure-ci, la porte d’entrée risquait d’être fermée à clef. Ce qui fait qu’elle ne remonta que 15 minutes plus tard! Inutile de lui demander ce qu’elle avait fait durant tout ce temps!

Dès son retour, je ne pus m’empêcher de lui faire des reproches:

– « Je ne sais pas où tu l’as dégoté celui-là, mais quel ours! Il entre ici comme en terrain conquis, il me prend ma femme, il lui pelote le cul devant moi, il la saute, il va la ressauter demain et il s’en va, tout content, en la re-pelotant dans l’ascenseur. Ah bravo!

– « N’exagère pas! Viens, je vais te faire un câlin!

– « Quoi? Passer après cette brute? cette espèce de singe? Trop peu pour moi! Tiens, ma soirée est gâchée, je vais aller respirer un peu d’oxygène ailleurs, l’air est trop vicié ici, tu devrais aérer!

Je pris ma veste, les papiers de la voiture, les clés et je sortis en claquant la porte.

Joss courut derrière moi mais j’étais déjà en train de descendre quatre à quatre les escaliers, elle ne m’aurait pas lâché en attendant l’ascenseur…

Je pris la voiture et partis.

J’allai sur Lille. J’avais décidé de me faire un restau, ensuite j’irai finir la nuit dans un hôtel.

Ce que je fis et le lendemain je revins à 11 heures. Je me demandai alors si, compte tenu des circonstances, elle avait maintenu sa sortie ou pas. Je ne fus toutefois pas surpris de trouver l’appartement vide. Je me demandai comment elle avait réagi hier soir à mon départ et dans quelle disposition d’esprit elle allait-être ce soir. Mais je lui en voulais terriblement de l’affront qu’elle m’avait imposé hier. Oser me demander la permission de coucher avec son amant sous notre toit et en plus en ma présence? J’avais dû passer pour un vrai con vis à vis de ce bonhomme-là, elle m’avait soufflé. Elle savait très bien qu’en agissant ainsi elle me mettait devant le fait accompli puisqu’elle venait de m’avouer qu’il était déjà son amant! Je me demandai de plus en plus si je pourrais tenir longtemps avec cette femme qui ne pensait qu’à se faire sauter. Je n’osais pas m’imaginer ce qui allait se passer aujourd’hui. En fait, elle était incapable de discerner le bien du mal en matière sexuelle, ce qui était autorisé dans un couple de ce qui était interdit. Alors elle m’impliquait: je peux coucher avec lui? Je peux aller à la chasse me faire sauter par toute une meute en rut? J’en avais assez de toujours être pris à témoin de ses frasques. Il fallait que je prenne une décision ces prochains jours.

Elle revint à l’appartement à 20h15.

Lorsqu’elle pénétra dans le salon, je vis de suite que sa journée n’avait pas été de tout repos: les traits défaits, le visage fatigué, des cernes noirs sous les yeux, elle n’avait plus de bas, les jambes étaient nues, souillées, comme l’étaient ses vêtements d’ailleurs.

J’étais dans le canapé et j’avais étalé le dossier d’Aline sur la table du salon, les photos bien apparentes.

Elle s’effondra près de moi dans le canapé:

– « Mon Dieu! Mon Dieu! C’est pas possible!

Puis elle resta silencieuse, les yeux clos, comme si son esprit vagabondait dans un passé récent qui l’avait semble-t-il beaucoup secouée.

Quand enfin elle rouvrit les yeux, elle me regarda et sembla se souvenir de la soirée d’hier. Elle détourna alors son regard et machinalement aperçut les photos sur la table:

– « Qu’est-ce que c’est? Qu’est-ce que tu fais avec ça?

– « Je monte le dossier de divorce. J’en ai assez! Tu me mens continuellement! Je ne te demande pas comment cela s’est terminé aujourd’hui, à voir dans quel état tu es, ma pauvre femme, on le devine aisément.

– « Mais enfin, chéri, tu peux pas! Tu m’as promis de tout m’autoriser dès lors que je te faisais un compte-rendu!

– « Ah oui? Et ta partie de jambes en l’air avec Jean, tu m’en as parlé quand?

– « D’accord! Pour ça je ne t’ai rien dit! Mais au final, qu’est-ce que ça aurait changé? Si le soir je t’avais dit: « Cet après-midi je me suis fait sautée par un homme dans l’appartement », tu m’aurais répondu: « C’est bien de m’en avoir parlé » et voilà, la situation aurait été la même!

Évidemment, vu comme cela, elle n’avait pas tort. En définitive, c’était le fait de l’avoir autorisée à mener la vie qu’elle voulait à condition de m’en parler qui était boiteux, car, en partant de ce critère, elle pouvait se faire sauter par qui elle voulait avec ma bénédiction.

Bon, c’était assez pour aujourd’hui. Je rangeai mes documents et me tournai de nouveau vers elle.

– « Alors, maintenant, dis-moi! Que s’est-il passé?

Avec un soupir elle tourna son regard las vers moi:

– « Oui, je vais t’expliquer! Mais ça va être difficile parce-que moi-même je n’ai pas tout compris. Mais avant, permets-moi d’aller prendre une douche, je dois me nettoyer!

Où là là! Tout ceci ne présageait rien de bon. Mais elle a raison de passer par la salle de bains, elle pue le bouc!

Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, je fus bien obligé de patienter. Devinant des choses assez redoutables à entendre, j’allai me verser une bonne rasade de whisky que je dégustai en l’attendant.

Une demi-heure plus tard, Joss fut de retour. Elle avait revêtu un peignoir léger et vint se blottir contre ma poitrine. Décidément, je ne pouvais pas lui en vouloir longtemps, dès que je l’avais devant mes yeux, elle me faisait fondre. J’étais vraiment né pour être cocu et le rester. Ma seule consolation, c’était de savoir qu’en dépit de tout, elle m’aimait et j’en étais persuadé.

– « Je te préviens mon chéri, ce que je vais te raconter ne va pas toujours être facile à dire. Non pas de par la nature des actes que j’ai eus à subir ou à faire, encore que, peut-être, mais surtout parce que durant deux périodes précises vécues au cours de cet après-midi, je me suis trouvée dans un tel désordre psychique et cérébral que je vais avoir quelques difficultés à me remémorer clairement ce que j’ai vraiment ressenti et vécu. Pendant de brefs instants je me suis retrouvée en plein délire à tel point que sur la fin mes compagnons devaient se demander si je n’étais pas en train de perdre la raison. Je me le demande moi-même actuellement d’ailleurs.

– « Oh là! Tu commences à m’inquiéter!

– « Bon, je commence. Ce matin, comme l’avait demandé Jean hier, j’étais donc prête dès 6h30. Mais j’étais triste que tu ne sois pas la pour te dire au revoir, triste et surtout inquiète, j’avais peur que tu ne reviennes pas! Donc, pour l’occasion j’avais revêtu un fuseau noir en lycra – évidemment, pensais-je, celui qui épouse si parfaitement les formes de ses cuisses et de ses fesses, elle a dû en affoler quelques uns – pour le haut, j’avais opté pour un pull noir moulant puis, enfin, emporté un blouson de cuir pour me protéger du froid matinal. Comme convenu, j’avais chaussé des bottes de caoutchouc pour affronter les chemins que nous devions emprunter. Par ailleurs, et toujours pour respecter les souhaits de Jean, j’avais prévu un change pour l’après-midi en emportant une jupe, un chemisier, des bas et porte-jarretelles ainsi que des escarpins. C’est donc ainsi équipée que nous partîmes sur le lieu de rendez-vous à 50 kms d’ici en Belgique.
Dès notre arrivée, une collation était prévue: café, thé et viennoiseries. Une cinquantaine de personnes étaient présentes, chasseurs, rabatteurs et quelques invités dont je faisais partie. Après la lecture des consignes de chasse, je me joignis à Jean pour rejoindre le poste qui lui avait été désigné. Et commença la longue attente. La battue devait se terminer vers 12h30. Mais de 8h à 11h, il ne se passa rien, on entendait seulement les rabatteurs faire un bruit d’enfer au loin. Pour passer le temps, Jean, de temps en temps, me faisait venir près de lui et il me pelotait le cul et les seins, il m’embrassait. Mais il gardait toujours un œil vigilant au cas où un gibier viendrait à surgir, de ce fait, il ne pouvait pas m’entreprendre trop loin Enfin, vers 11h, les premiers gros gibiers se mirent à traverser la trouée où l’on se trouvait, et les coups de feu fusèrent de tous côtés: du gibier passait, d’autres gibiers tombaient. Le bruit des coups de feu, l’odeur de la poudre, c’était grisant, excitant. Puis à 12h30, coup de trompe, c’est fini. Des tracteurs avec remorques vinrent pour ramasser les cadavres et l’on se retrouva tous devant le pavillon de chasse.
Je te passe sur la comptabilité du tableau de chasse, du partage, etc…Un repas convivial était prévu pour ceux qui s’étaient inscrits. Nous nous retrouvâmes ainsi une quarantaine autour d’une grande table. Jean me demanda avant de débuter le repas, d’aller me changer. Ce que je fis. Je vis bien en revenant que de multiples regards d’hommes me détaillaient, les yeux brillants d’envie, mais Jean prit les devants en m’invitant à m’installer près de lui.
Le repas fut gai, joyeux, l’alcool coulait relativement fort, si bien qu’au terme de ces agapes les convives affichaient des visages plus ou moins rubiconds. Des histoires et des chansons de corps de garde circulaient. C’était une assemblée essentiellement masculine, j’étais seule avec une autre femme qui se trouvait à l’autre bout de la table et le personnel de service, dont une jeune serveuse de 20-25 ans qui avait bien du mal en passant le long de la table à maîtriser toute les mains baladeuses d’hommes qui tentaient de lui pincer les fesses ou de passer sous sa jupe. Elle avait visiblement l’habitude et prenait tous ces gestes avec philosophie et humour.
Plusieurs fois Jean posa sa main sur mes cuisses largement découvertes par ma jupe qui avait toujours tendance à remonter plus que de raison et plusieurs fois il réussit à dépasser la lisière du bas, caressant la chair dénudée et même à me toucher la vulve.
A 16h tout fut terminé, ce fut le branle bat de départ. Embrassades, poignées de mains, à la prochaine! Enfin le calme retomba dans le pavillon de chasse, seules les femmes de service débarrassaient la table. Mais la vaisselle fut seulement amoncelée dans la cuisine, elles devaient revenir le lendemain pour terminer l’ouvrage et faire le ménage. Le personnel à son tour prit congé, seule la serveuse dont je t’ai parlé tout à l’heure resta. Elle s’appelait Manon. Une dizaine de chasseurs étaient encore là.
C’est alors que Jean, accompagné d’un de ses collègues, sortit et alla verrouiller toutes les ouvertures, portes et fenêtres, en fermant les volets métalliques qui étaient cadenassés pour éviter toute intrusion lorsque le local était vide.
Cela fait, nous étions désormais invisibles de l’extérieur et personne ne pouvait entrer.
Je me doutais que les choses sérieuses allaient commencer! Mais n’était-ce pas pour cela que j’avais été invitée et n’était-ce pas pour cela que j’avais accepté?

C’est alors que Jean, qui me semblait être le bout en train de la bande, nous interpela, Manon et moi:

– « Allez les filles! Un strip-tease, un strip-tease!

La demande fut reprise en chœur.

Manon vint me chercher et m’emmena au centre d’un cercle formé par le groupe d’hommes. Elle m’enlaça et m’entraîna dans un pas de danse imaginaire. Au bout de quelques instants, son regard n’ayant pas quitté le mien, je vis son visage s’approcher, ses lèvres vinrent doucement s’appuyer sur mes lèvres, sa langue chercha à s’insinuer à l’intérieur de ma bouche. Cette expérience était pour moi nouvelle, jamais je n’avais embrassé une femme. Au bout de quelques secondes, je cédai. Nos langues se mêlèrent, nos salives se mélangèrent. Nous avions toutes les deux les yeux fermés et savourions ce baiser saphique, somme toute pas désagréable.

Un silence total régnait dans la salle. Les hommes retenaient leur souffle, des pantalons commençaient à se déformer.

C’est alors que je sentis les mains de Manon descendre dans mon dos, elles atteignirent mon postérieur. Puis elles se saisirent du tissu de ma jupe et entreprirent de le remonter. Après quelques difficultés à faire passer la rotondité de ma croupe, je me retrouvai avec les fesses complètement à l’air, d’autant que ce matin j’avais revêtu un string dont la ficelle était bien évidemment complètement enfouie au plus profond de mon sillon fessier, donc invisible. Elle entreprit de me masser vigoureusement les deux fesses ainsi exposées aux regards lubriques des spectateurs. Pour ne pas être en reste, j’entrepris la même manœuvre vis à vis de ma cavalière. Elle avait une culotte. Je passai une main sous l’élastique et lui caressai les fesses à la peau que je trouvais très douce. Je laissai ma main s’égarer dans le sillon et vint lui titiller son petit œillet qui n’eut pas l’air de trouver le geste osé.

C’en était trop pour les hommes en rut. La bande de soudards fondit sur nous. Nous nous trouvâmes ballotées, malmenées. En un clin d’œil, nous fûmes nues. Ils ne me laissèrent que mon porte-jarretelles, mes bas et mes escarpins.

Tu te doutes que la situation n’était pas pour me déplaire. C’est avec délectation et délice que je me livrai à ces mâles mains baladeuses et indiscrètes, à toutes ces bites si fièrement dressées et impatientes. Il m’est impossible de te décrire en détail ce qui s’est ensuite passé. Je me suis retrouvée sur le ventre, sur le dos, à quatre pattes, allongée sur un homme dans un sens, puis dans l’autre, mais ceci toujours en ayant un, deux, voire trois sexes enfilés dans un orifice ou un autre. Ce fut un feu d’artifice de jouissance, de cris, d’orgasmes répétés. Je fus inondée de sperme, il m’en coulait de devant, de derrière, même de la bouche car je n’avais pas le temps de tout avaler.

Et puis les corps se fatiguèrent, surtout les couilles des hommes qui n’avaient plus le temps de se recharger. Les accouplements devinrent de moins en moins actifs, le silence s’installa peu à peu.

C’est alors que cela se passa.

J’étais à genoux, penchée sur une verge dont j’essayai de rendre un semblant de vigueur, un pénis venait de quitter mon vagin où il avait répandu avec difficulté un restant de sperme, lorsque je sentis soudain une langue râpeuse passer et repasser sur ma vulve. « C’est impossible qu’un homme ait une telle longueur de langue » me dis-je. Je jetai machinalement un coup d’œil par-dessus mon épaule et vis avec effroi un véritable molosse occupé à me lécher la cramouille et à laper le trop plein de liquide qui s’en écoulait. Aussitôt je réagis, pas question de faire entrer les chiens dans la danse!

– « Eh! Ho! STOP! Je ne suis pas d’accord!

Je n’eus pas le temps de me relever, déjà deux ou trois gaillards me sautèrent dessus et m’immobilisèrent, dont Jean qui me dit:

– « Oh là! Ma belle! Tout doux! On t’offre le mâle le plus performant de cette salle! Tu ne vas pas faire ta mijaurée? Laisse-toi faire va! Tu vas m’en dire des nouvelles! Tu t’en rappelleras toute ta vie, crois moi!

Soudain je sentis le poitrail velu de l’a****l se coucher sur mon dos, aussitôt ses deux pattes de devant m’enserrèrent la taille désormais prise comme dans un étau. Cette bête avait une force peu commune, j’étais complètement immobilisée contre elle. Bien campée sur ses pattes arrière, je sentis soudain des coups de pistons contre mon périnée. Dans des mouvements désordonnés, le monstre cherchait à me pénétrer. Un des hommes assistant à la scène lui vint certainement en aide car, subitement, une barre brûlante se présenta à l’entrée de mon vagin heureusement bien lubrifié. Sentant l’ouverture, l’a****l, d’un formidable coup de rein, propulsa sa verge au fond de mon antre, frappant violemment la paroi de l’utérus, ce qui me fit pousser un cri de douleur. Dans cette position, bien arrimée sur mon dos, la bête possédait une grande mobilité du bassin. Il entreprit alors de rapides et puissants va-et-vient qui à chaque fois amenaient sa monstrueuse rigidité au fond de mon vagin, me faisant pousser des cris douloureux. Et le sexe gonfla, gonfla. Il me remplissait désormais toute la cavité vaginale, même plus puisqu’il me dilatait l’organe en en repoussant les parois. Et puis une boule vint me frapper la vulve, sa grosseur en bloquait la pénétration. C’est alors que je sentis le chien prendre du recul avec ses reins et se propulser avec une v******e inouïe au fond de mes entrailles. Tout était rentré. La boule se mit à gonfler, gonfler, formant rapidement un frein qui interdisait désormais toute sortie de son organe. Je pris peur devant la grosseur de cette excroissance, elle allait me déchirer. Et puis durant quelques secondes tout se calma. Contre toute attente, mes organes commençaient à s’habituer à cette gigantesque intromission. L’a****l sur mon dos haletait, la langue pendante, des filets de bave s’écoulaient sur ma peau. Tout à coup, l’énorme turgescence fut comme animée d’une vie propre, elle se mit à vibrer, m’envoyant des ondes dans la colonne vertébrale jusqu’à mon cerveau, mon bas-ventre fut agité de spasmes, mes organes génitaux s’enflammèrent et la bête commença à m’envoyer des torrents de liquide dans ce vagin déjà complètement plus que rempli. Il se dilata encore plus, il repoussa les organes voisins, je sentis mon bas-ventre gonfler, gonfler. Et soudain, une formidable chaleur m’envahit tous les organes. Je perdis complètement pieds, une jouissance phénoménale m’envahit, je hurlai dorénavant mon plaisir incontrôlable, des orgasmes sans fin se succédèrent. Je plongeai alors dans un état de demi-inconscience. J’étais désormais une chienne en train de se faire engrosser par son mâle dominateur. Je devins son esclave, sa servante, sa soumise. Commande Maître, je t’obéirai! Le liquide reproducteur continuait à se déverser dans le vagin, dans l’utérus, il allait, il voulait me féconder. Une joie sans fin m’envahit à l’idée de lui fournir une belle portée de chiots. Ta femelle en prendra soin, n’aie aucune crainte. Continue ton travail de mâle procréateur. Je suis à toi, pour toujours. Désormais je vivrai nue, je ne te quitterai plus, toujours prête à t’ouvrir la voie de mes organes génitaux afin que tu te libères selon ton bon vouloir et jusqu’à ce qu’enfin je te procure ta progéniture. Je n’entendais plus aucun son en provenance de mon environnement, uniquement concentrée sur cette jouissance fantastique qui me paralysait jusqu’à la pensée et l’esprit.

Et puis, comme un brouillard qui se lève, je repris peu à peu conscience, mais j’eus quelques difficultés à me repositionner dans le temps et dans l’espace. C’est le chien qui m’y aida lorsque je perçus la présence de sa formidable musculature sur mon dos et ses pattes qui me faisaient sienne.
Mes entrailles étaient toujours aussi tumultueuses, c’est un volcan qui me brûlait le bas-ventre, mon vagin était énorme mais j’étais bien, fière d’avoir appartenu à ce merveilleux a****l, fière d’avoir accueilli toute sa semence dans mon corps, fière de ne faire qu’une avec ce corps puissant, avec cette virilité qui me tenait soudée aussi solidement. Nos deux corps étaient littéralement collés l’un à l’autre, ils étaient solidaires et ne formaient plus qu’un.

Quelque chose s’était passée lors de cet accouplement, une forme de communion avait uni la femme et la bête, un lien spécial que je sentais fort et que je ne pourrais désormais plus ignorer.

Au terme de quelques instants que je serai bien incapable de chiffrer dans la mesure où je ne savais pas combien de temps avait duré mon inconscience, je sentis son frein se dégonfler et, sous la pression énorme existant dans mes entrailles, tout fut éjecté. Des flots de sperme s’écoulèrent sur le sol, m’arrosant les cuisses et les mollets. Je ressentis un sentiment de vide extraordinaire dans mon ventre, comme si toutes mes entrailles avaient été expulsées avec le liquide. Mon Maître – mais pourquoi je dis « mon Maître »? Qu’est-ce qui m’arrive? – me donna quelques coups de langue sur la vulve béante et baveuse et s’éloigna, sans un regard pour sa femelle, pour s’allonger plus loin et prendre un repos bien mérité.

Jean s’agenouilla alors près de moi et me dit:

– « Ça va? Tu nous as fait peur! Tu poussais des hurlements effroyables, on se demandait s’il ne t’avait pas causé des dégâts à l’intérieur!

– « Non non! De ce côté là tout va bien! Par contre dans ma tête je ne sais pas encore bien où j’en suis. Ça m’a vraiment secouée! C’était la première fois avec un chien mais là, tu as raison, je n’oublierai pas de sitôt.

Puis il m’aida à me relever et je partis vers le cabinet de toilette avec bien des difficultés. Mes bas étaient morts, je les retirai et les mis à la poubelle. Heureusement il y avait un bidet. Aussitôt je m’arrosai la vulve d’eau froide afin de calmer la douleur due à la trop grande dilatation et j’aspergeai l’intérieur de mon vagin afin d’éliminer le reste de sécrétion. Puis je me lavai les jambes, me séchai. J’ôtai mon porte-jarretelles désormais inutile et regagnai la pièce principale. A mon entrée l’ensemble de l’assistance se leva et m’applaudit. Chacun vint me dire un mot, me complimentant sur l’incroyable jouissance que j’avais étalée devant leurs yeux ébahis

Jean m’entraina vers la table, il me versa un petit verre d’alcool fort:

– « Tiens! Bois, ça te fera du bien!

Effectivement l’alcool me rendit un peu de tonus.

Sur ce je vis Manon revenir du cabinet de toilette. Je l’interpelai:

– « Alors Manon, toi aussi tu as eu droit a ta saillie canine?

– « Et oui! Ici c’est la règle! Après une partie de chasse, c’est la curée, les femelles sont livrées aux chiens. Mais d’habitude, c’est moi qui hérite de Bobby. Comme c’était la première fois pour toi, on te l’a réservé. J’espère que tu n’as pas été déçue? A t’entendre hurler tout à l’heure, ce n’est pas le sentiment que tu me donnes. Tu sais, Bobby, ici, c’est la vedette, c’est le mâle dominant. Une femme ou une chienne, pour lui ce ne sont toutes les deux que des femelles bonnes à monter

Tout en continuant à discuter, je vis soudain Bobby traverser la salle en se rapprochant de la table. Ses yeux étaient fixés sur moi, il ne me quittait pas du regard. J’étais comme hypnotisée. Je me mis à trembler d’émotion, je savais ce qui allait se passer, il réclamait sa femelle. J’étais prête, j’étais désormais sa propriété, désignée pour assouvir ses désirs.

Il passa derrière moi. Tous les regards de l’assistance étaient désormais fixés sur nous. Il se dressa et posa ses deux pattes sur mes épaules. Dans le même temps il me saisit le cou entre ses puissantes mâchoires, je sentis ses crocs marquer la peau fragile. Je lui obéis sur le champ. Je me laissai couler sur le sol, me mis à genoux, la tête reposant sur mes avant-bras repliés et relevai bien mes fesses. C’est seulement là qu’il libéra mon cou en poussant un jappement de satisfaction.

Il se mit à tourner autour de mon corps offert. Je restai dans l’attente du sacrifice. La langue pendante, le souffle haletant, il contemplait sa future victime, sa femelle. Déjà une formidable érection gonflait son sexe qui balançait avec indécence entre ses pattes arrière au rythme de sa marche. Le sexe hyper gonflé touchait presque le sol malgré la taille de l’a****l.

– « C’est pas possible! Comment va t-il me faire rentrer tout cela?

Puis l’a****l revint au niveau de mon visage, de nouveau ses puissantes mâchoires me saisirent le cou, les crocs me serrèrent la nuque, c’était douloureux mais je ne me plaignis pas. Un grognement sourd émanait de sa gorge. Il voulait me dire: « Tu m’appartiens, je peux te mettre à mort, en charpies quand je le veux »

J’étais fière d’être servie en sacrifice à ce merveilleux étalon. J’étais décidée à faire face, quoiqu’il arrive. Je devais mériter l’honneur qu’il allait me faire de me saillir, l’honneur qu’il me faisait de m’avoir choisie.

A la vue de ce qui allait se passer, les hommes s’étaient rapprochés et formaient un cercle. Tous avaient leur bite à la main et se masturbaient lentement.

Le « Maître » passa alors derrière moi, me donna quelques coups de langue sur la vulve encore endolorie de la précédente intromission et me couvrit de son corps puissant, son poitrail velu pesant lourdement sur mon dos. Il me fit frissonner d’envie et du bonheur à venir. De nouveau ses pattes me saisirent la taille, elles soudèrent nos deux corps. Je sentis son membre bien bandé battre contre mes fesses. Puis, comme s’il avait retenu la position de nos corps lors de notre dernier accouplement, sans aide extérieure cette fois, d’un formidable coup de rein il projeta sa verge d’une taille maintenant démesurée au fond de mes entrailles. Il entreprit un coït dix fois plus violent que tout à l’heure. C’est comme s’il voulait me transpercer pour déverser ses flots de sperme directement dans mon utérus. Malgré l’extrême brutalité employée, je n’émis aucune plainte, aucun cri de douleur. Le choc dans le fond de mon vagin se répercuta à travers mon corps jusqu’à mon cerveau. J’étais redevenue son esclave, sa soumise, je devais accepter silencieusement ses désirs et m’abandonner à ses caprices et à son bon vouloir.

De nouveau mon vagin se trouva monstrueusement dilaté. Violemment, il fit pénétrer son frein et je me retrouvai de nouveau soudée à ce mâle conquérant. Il se passa alors la même alchimie que tout à l’heure mais à la puissance dix. Tout mon corps se trouva secoué de spasmes incontrôlables, les terminaisons nerveuses de mes organes génitaux excitées plus que de raison me plongèrent dans un délire démentiel, je ne pus plus rien maitriser et me trouvai plongée dans une confusion mentale totale. Je me mis à hurler une suite de phrases qui, pour les personnes qui assistaient à cette scène, ont dû leur faire penser que je plongeais dans la démence:

– « Oui! Vas-y mon beau mâle! Emplis moi de ton sperme, féconde moi, engrosse moi. Je veux devenir la mère porteuse de ta progéniture. Envoie-moi tes giclées de sperme, gonfle mon ventre, bientôt ce sont tes chiots que je sentirais bouger dans mes entrailles. Je t’aime! Continue! Ah quel bonheur de te sentir si gros en moi, de sentir ton liquide reproducteur m’envahir si entièrement, si profondément. Je suis heureuse, si heureuse.

Je plongeai alors en complète léthargie, entièrement livrée à la v******e de la bête qui inlassablement continuait à me remplir le ventre de son liquide séminal. Un orgasme continu s’était emparé de tout mon corps, de tous mes sens. Je ne pensais plus, toute activité cérébrale avait cessée.

J’étais comme morte.

J’étais effectivement comme morte, littéralement foudroyée par un trop plein de bonheur et de jouissance.

Ce n’est qu’environ quinze minutes plus tard que je donnais signe de vie en rouvrant les yeux. De nouveau j’eus bien du mal à me situer. Puis tout me revint. Mon amant canin s’était dégagé, j’étais allongée dans une mare de liquide écoulé de mon vagin, le corps entièrement souillé par ces déjections.

Les hommes étaient véritablement dopés par le spectacle que je leur avais offert. Ils avaient les sexes complètement bandés. Deux d’entre eux étaient en train de s’occuper de Manon un peu à l’écart. Excités, ils s’approchèrent de moi, ayant comme dessein de profiter une dernière fois de ce corps si généreux à la jouissance si expansive.

Mais je n’en avais plus envie. Jamais ils ne pourraient me faire atteindre le degré de jouissance que m’avait procuré mon merveilleux amant. Je les repoussai des deux mains mais ils insistèrent. C’est alors qu’il se passa quelque chose d’extraordinaire. Bobby, qui s’était quelque peu éloigné, déboula au milieu du groupe, il vint se ranger près de moi et il défendit sa femelle en retroussant les babines, découvrant ainsi ses crocs impressionnants et en émettant des grognements menaçants qui éloignèrent les plus hardis. Le brave chien!

Jean prit alors les choses en mains. Il m’emmena et m’aida à faire un brin de toilette. Ensuite il me donna un coup de main à retrouver mes vêtements épars dans la salle, sauf le string qui resta introuvable, quelqu’un avait dû le ramasser comme trophée, puis il m’aida à m’habiller. Il me dit alors qu’il fallait vite quitter les lieux avant qu’une montée de testostérone ne redonne des envies à Bobby.

Ce qui fut fait.

Et me voici de retour. Voila ce que j’avais à te dire, je ne peux pas t’expliquer ce qui c’est réellement passé en moi, pourquoi tous ces délires, pourquoi m’être identifiée autant à la femelle de ce chien? Mystère!

Incroyable! C’était totalement démentiel ce qu’elle venait de me raconter.

– « Ma pauvre chérie! Je me doutais que ta journée n’allait pas être de tout repos, mais là, ça dépasse tout ce que j’aurais pu imaginer! Quant à tes délires, tu sais, je pense que cela vient de ta particularité à sur-réagir à toute forme d’excitation sexuelle dès lors qu’il s’agit de circonstances exceptionnelles. C’est ainsi quand tu te trouves dans un groupe d’hommes qui commencent à t’exciter, bien vite tu perds pieds et tu ne maîtrises plus rien du tout, ce qui t’amène aux excès qu’on a pu connaître dernièrement. La différence avec le chien, c’est que là il s’agit d’une expérience inédite, un coït d’une nature inaccoutumée qui t’a remplie d’une façon extrême et excessive, d’où une jouissance à la mesure de ces excès qui a complètement déréglé ton esprit. Inconsciemment tu as alors fait un transfert de personnalité, de femme humaine, tu es passée à la chienne, la femelle de celui qui te montait. Comme une chienne qui ne se fait saillir que dans le but de procréer, puisqu’elle n’accepte le mâle que pendant les périodes où elle est fécondable, tu t’es sentie investie dans ce rôle normalement dévolu à cet a****l: assurer une descendance à celui qui t’ensemençait. Maintenant je ne te cache pas que cela m’inquiète, tu as vraiment quelque chose qui ne fonctionne pas chez toi! Tu me l’avais plus ou moins expliqué lors de ton retour de chez Gérard, tu as un désordre dans tes organes génitaux qui ne te permettent plus de réagir logiquement lorsque ceux-ci sont anormalement excités. La première des choses à faire, c’est de surtout arrêter toute nouvelle expérience canine, tu finirais par en perdre la raison.

– « Tu crois? Pourtant j’ai ressenti une telle jouissance, comparable à nulle autre, que c’est tentant d’y retourner.

– « Écoute, si tu le fais, ce sera sans mon aval! Et crois bien qu’un jour où l’autre ça risque de mal se terminer! Surtout si tu retentes l’expérience avec cette espèce de monstre, un jour il ne te laissera plus repartir. Et cette manie de te prendre le cou dans ses mâchoires, tu te rends compte s’il venait à serrer un peu trop fort? Ce genre de molosse ne sent pas sa force!

– « Mais non! Tu exagères! Jamais il ne me fera de mal, il me considère comme sa femelle!

– « Bon, écoute, on en parlera un autre jour. Sinon, physiquement, tu ne souffres pas trop au niveau de tes parties génitales? Elles ont été tellement malmenées.

– « Ben, ça pourrait aller mieux! J’ai la vulve distendue et endolorie, il me faudra quelques jours pour que tout redevienne normal.

– « Tu veux que je te mette de la crème adoucissante?

– « Si tu veux!

– « OK! Va dans la chambre et allonge toi sur le lit, j’arrive.

Je passai donc dans la salle de bains prendre le pot de crème et une serviette et partis la rejoindre.

Je la trouvai allongée. Je dégageai son peignoir et lui fis écarter les cuisses. Je pris une bonne dose de crème avec mes doigts et lui étalai sur la vulve qui était effectivement bien rouge. J’enduisis l’extérieur puis entrepris de lui en mettre également à l’intérieur. Très vite, ce sont quatre doigts de ma main qui entrèrent sans difficulté à l’intérieur de son vagin. Il était complètement distendu. Je réunis mes doigts en cône, le pouce à l’intérieur, et poussai ma main en tournant et en rajoutant de la crème. Ma main avança sans difficulté, la partie la plus large disparut bientôt à l’intérieur et quelques instants plus tard, c’est ma main complète qui fut introduite. Cela se fit sans aucune difficulté. J’étais en train de fister ma femme sans qu’elle n’émette aucune plainte.

– « Ça va?
– « Oui! Oui!

De contempler ce moignon de bras sortir du sexe de mon épouse me provoqua un véritable délire sexuel. Encore plongé dans l’excitation cérébrale provoquée par l’écoute de ses dernières aventures du jour, l’érotisme de cette scène me déclencha une glorieuse érection. Je sortis ma main de ce fourreau brûlant et m’essuyai rapidement dans la serviette. Puis je pris position entre la fourche des cuisses restées écartées et m’engouffrai dans ce sexe béant. La sensation fut des plus bizarres dans la mesure où je ne sentis pratiquement pas les parois du vagin dans lequel coulissait librement ma verge. Mon épouse ne réagissait pas non plus. Il faut dire à sa décharge, qu’après ce qu’elle avait vécu aujourd’hui, ce n’est pas un sexe d’une taille même relativement enviable qui allait la faire monter au 7ème ciel. Par contre, en ce qui me concernait, même avec une excitation mécanique plus que modérée, rien que de savoir que j’occupais la même place que celle qui avait été complètement envahie une bonne partie de l’après-midi par une énormité canine me mit en transes. Très rapidement je sentis le plaisir me monter des reins et je me déversai longuement dans ce pauvre sexe malmené.

J’avais donc accepté de succéder à un chien alors que j’avais refusé la veille de succéder à un homme!

Complètement épuisée par cette journée dont elle se souviendra longtemps, mon épouse dormait déjà. Je l’installai dans le lit et la recouvris avec drap et couvertures. Je lui déposai un baiser sur ses lèvres en lui souhaitant bonne nuit mais elle ne m’entendit pas.

Après avoir pris un léger repas, je partis à mon tour me coucher.

Le lendemain matin, je me levai de bonne heure comme d’habitude. Je réveillai mon épouse. Lorsqu’elle me rejoignit dans la cuisine pour prendre son petit déjeuner, je m’aperçus que la nuit de sommeil lui avait fait du bien.

Par contre, lorsque je rentrai le soir, je vis que cela n’allait pas si bien que ça. Elle était toujours rêveuse, elle semblait comme absente. Lorsque je lui en fis la remarque, elle me rassura:

– « Non, non! Tout va bien!

Toute la semaine ce fut la même chose. Ce qui m’inquiéta au plus haut point, c’est le fait qu’elle semblait avoir perdu tout appétit sexuel. Le calme plat; pas de soirée du mercredi avec son chef, pas de gang-bang le vendredi chez Guy et même moi, lorsque j’essayais elle me faisait comprendre qu’elle n’avait pas envie. J’en vins à craindre qu’elle ne soit en train de sombrer dans une dépression.

En fait, elle était sortie très marquée de sa partie de chasse et surtout de son expérience canine. Le bouleversement qui s’était opéré en elle avait atteint son équilibre psychique.

Ce week-end nous allons dans les Ardennes récupérer les enfants. Si lundi il n’y a pas d’amélioration, nous irons consulter.

Heureusement le changement d’air du week-end sembla lui être bénéfique. Elle parut plus gaie, plus active. Samedi soir, nous avons fait l’amour.

La semaine suivante sa santé s’améliora tous les jours, elle était désormais sortie de l’espèce de spleen baudelairien qui l’isolait et l’avait plongée dans une crise d’angoisse. Signe de sa guérison, elle reprit ses sorties. La première fois que j’étais heureux que ma femme me trompe.

Mais désormais, j’avais décidé d’être vigilant et de surveiller la nature de ses sorties. Les parties de chasse seront définitivement à bannir. Je vais également surveiller sa relation avec le fromager, je n’ai pas confiance à ce gars là.

Notre vie put donc reprendre son cours.

Fin du quatrième épisode

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