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Comment je suis devenue sa Kahba 5 – On va te bour

Comment je suis devenue sa Kahba 5 – On va te bour



Je vais vous raconter ma dernière aventure. Je dois reconnaître que j’ai beaucoup évoluée ces deux dernières années. Ce qui m’est arrivé était imaginable il y a deux ans. Il y a deux semaines je suis tombée en panne de voiture à quelques kilomètres de chez moi. Je maudissais ma négligence, je devais amener ma voiture au garage depuis plus de deux mois. A vouloir jouer à la plus fine, j’étais bien avancée et condamnée à faire les quatre kilomètres pour me rendre chez moi et appeler le dépanneur. Evidemment, comme souvent je n’avais pas pris mon portable. Lorsqu’une voiture avec à bord deux types s’est arrêtée à ma hauteur, ma première réaction a été de refuser leur aide. .Je ne sais pas ce qui m’a décidé d’accepter après quelques minutes de douce drague. Je savais en montant à l’arrière de la voiture que j’allais payer le service qu’ils me rendaient. Lorsqu’ils me déposèrent devant chez moi, ils insistèrent pour se faire payer un verre. J’acceptais dans un éclat de rire. Sûre de moi et avec des tiraillements au ventre. A peine la porte de la maison poussée, je me suis retrouvée avec deux mains au cul, me pétrissant les fesses en me disant des horreurs délicieuses. Ils m’ont obligée à les branler, puis à les sucer, et quand j’ai voulu recracher ce qu’ils m’avaient mis en même temps dans la bouche,

j’ai dû avaler. L’un d’eux m’a bécoté le con et les seins, tandis que l’autre achevait de me dévêtir. J’étais toute chose, prête à tout accepter. Mon ventre et ma chatte avaient envie de dévorer ces deux belles queues qui me semblaient énormes, des sucettes pour la grosse gourmande que je suis.
Ils m’ont complimentée sur mon corps, trouvant superbe mes jambes et mes cuisses. M’enfonçant un doigt dans le cul, ils ont ajouté :
– T’as un beau gros cul comme on les aime, prépare le, il va servir à son tour.
Le plus jeune me pétrissait les seins sans vergogne pendant que l’autre fouillait lentement ma petite foufoune en folie. Je commençais à mouiller abondamment. Ils m’ont paru odieux quand ils ont osé me dire, malgré le plaisir que je leur donnais :
– Alors, la mémé, tu aimes ça ?
Mon âge les excitait énormément. Le plus âgé a mis son nez dans ma raie en me humant :
T’es belle ma salope, et en plus tu sens bon. Tu vas voir comme je vais te fourrer, tu vas sauter au plafond.
Il me suçait. Ses coups de langue me faisaient gémir. L’autre a ajouté :
– Tu pourras te vanter au pépé qu’on t’en a mis plein. Ça ne t’arrive pas tous les jours, hein ?
Ces obscénités me rendaient folle, il me tardait à présent qu’ils passent à l’acte. Ce ne fut pas long ; ils m’ont présenté deux queues à l’équerre, prometteuses par leur longueur et leur grosseur. Ma bouche fut prise d’assaut, j’arrivais à peine à en contenir une, tandis que l’autre me bourrait en levrette. Mon vagin était ouvert à fond. J’ai joui à l’instant même où mes deux loupiots se vidaient en moi.
Allongée sur le lit, ils ont voulu de nouveau me prendre, déposant mes jambes l’une après l’autre sur leurs épaules. Ainsi, j’étais à leur merci ; ils pouvaient me défoncer à loisir. Ils m’ont niqué une fois de plus chacun, et quelques instants plus tard, j’ai été enculée dans la même position.

Le temps que l’un d’eux s’enfonce dans mes reins, m’ouvrant bien le cul, l’autre baladait sa queue sur mes seins et mes lèvres, en me chatouillant le bourgeon et en racontant des horreurs :
– Il t’encule bien mon copain. Regarde ton trou à merde comme il s’ouvre. T’es belle avec une queue dans le cul. Tu aimes ça ma salope, on va te défoncer tous les deux. T’as envie dis, avoue salope.
Il m’a tordu le bout des seins jusqu’à ce que je dise « oui ». C’était trop bon. Je prenais le plus grand pied de ma vie. Je disais n’importe quoi :
– C’est bon, jamais je n’ai tant joui, je t’en supplie, ne t’arrête pas, encule moi encore.
L’orgasme fut long à venir, mais de tout mon poids je me faisais coulisser sur cette grosse queue qui me défonçait à fond. La douleur et le plaisir mélangés m’ont fait jouir énormément, j’avais le rond en feu. Le plus vieux s’est allongé et m’a fait empaler sur lui, et malgré mon cul dilaté, l’autre n’a pas eu de mal à rentrer dans mon con. J’étais prise en sandwich par deux petits mâles vigoureux. J’aime de plus en plus cette manière de me faire prendre. A mon âge, vous imaginez cela. Quelle mésaventure inespérée pour une femelle sur le retour, mais brûlante au crépuscule de sa vie.
Vous voyez, pour l’amour, il n’y a pas d’âge, il suffit d’oublier son éducation, ses inhibitions, ses tabous.

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