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Amélie

Amélie



Amélie… Amélie… Tu dors ?

– J’essaie, crétin ! Qu’est-ce que tu veux ?

– Bah, c’est juste que je bande à mort. J’arrive pas à dormir.

– Que veux tu que j’y fasse, moi ? Branle-toi !

– Bah, c’est un peu de ta faute…

Je souris discrètement. Il est vrai que la soirée avait été plutôt excitante. Mes deux frères, mes deux cousins et moi-même avions bu quelques bouteilles d’alcool sur la plage en cet été 2009. Cela avait eu pour effet de nous détendre considérablement. Nous avions alors parlé de sexe de façon poussée. Mes frères et cousins avaient pu découvrir quelle salope j’étais . A force de me poser des questions, et moi d’y répondre sous l’effet de l’alcool, ils avaient appris à quel point j’adorais le sexe. Me faire sauter par n’importe qui pour assouvir mes désirs, ma dépendance à sucer et me faire baiser au moins une fois par jour, bref, à quel point je pouvais être chienne.

Nous occupions dans un camping un emplacement assez vaste, juste au bord de la mer. Ma mère de 42 ans avait eu mon grand frère Marc à l’âge de 22 ans. Moi, j’en avais 19 et mon plus jeune frère Tony, celui qui m’empêchait de dormir , 17.

Maman était divorcée de mon père depuis deux ans. Elle dort dans sa tente , moi et mes frères dans une autre, et mes cousins dans la leur également. Ces derniers sont jumeaux et ils ont le même âge que moi.

Habituellement, mes frères dorment dans une chambre, et moi dans l’autre, mais là, sans doute sous la frénésie de la soirée, ils étaient venus partager la mienne.

– Comment ça, c’est de ma faute ?
– Bah, tu m’as grave excité avec toutes tes histoires de cul et c’est pas tous les jours qu’on découvre que sa grande sœur aime la bitte.
– Tony, branle-toi et fous-moi la paix.
– Amélie, commença Marc, tu pourrais quand mêmeêtre sympa avec notre charmant petit frère. Oui, il pourrait très bien se branler tout seul. D’ailleurs, moi aussi parce qu’y a pas que lui que ça a excité, cette soirée, mais ça serait quand même dommage, vu qu’on a dans notre chambre une sœur experte pour le faire.
– Allez… Allez, s’il te plait !

C’était sans doute un peu l’alcool et aussi l’excitation de cet interdit, et surtout parce que j’adore le sexe que…

– Bon, d’accord, une branlette et vous me laissez dormir.

Je m’allongeai entre mes deux frères et, sans plus de détails, je pris leur queue entre mes mains. Les salauds étaient à poil dans leur duvet, qu’ils avaient d’ailleurs quitté sans que je m’en rende compte .Je commençai donc à les branler. Très vite, ils se mirent à gémir de plaisir.

– Putain, c’est vrai que t’es une pro, dit Marc.

Tony ne disait rien. Il avait un petit sourire et se contentait d’apprécier.

Très vite, leurs mains commencèrent à caresser mes seins. Ils se penchèrent sur moi et, toujours pendant que je les branlais, ils commencèrent à m’embrasser dans le cou tout en me pelotant. Je portais une simple nuisette. Ils leur fut très facile de simplement la faire glisser le long de mon corps. J’étais totalement nue entre mes deux frères. Ils commencèrent à descendre leurs mains et à me caresser les cuisses. Instinctivement j’écartai les jambes. Ils comprirent le message et entreprirent de me fouiller la chatte de façon assez brutale. Ce n’était pas pour me déplaire. Je les branlais toujours, assez lentement. Ils étaient très durs et c’est à ce moment que je remarquai à quel point mes frères étaient bien montés.

A deux mains, ils titillaient mon clito et me doigtaient comme je ne l’avais jamais été. Leurs bouches entreprirent de manger mes seins et je fus incapable de me maîtriser. Je commençai à gémir de plaisir. Cela faisait bien 10 minutes que mes frères s’occupaient de moi pendant que je les branlais. J’avais rarement sentit autant de plaisir à être ainsi touchée par deux hommes, je me demandais même si j’étais la première fille que ces deux pervers se tapaient en même temps.

– Putain, cette salope mouille comme une folle, commença Tony. après 10 minutes de silence et de soupirs de plaisir.
– T’es vraiment trop bonne, petite sœur , continua Marc. J’adore tes seins.
– Et si tu nous suçais un petit peu, sale chienne ?

A présent, je me fichais totalement que ce soient mes frères, ils me faisaient mouiller comme une folle et je n’avais plus qu’un désir en tête : les sucer.

Sans rien dire, je me dégageai de leur emprise, je me mis à quatre pattes devant Tony et, tout en branlant Marc, je pris directement son sexe dans ma bouche. De mon autre main, je commençai à caresser ses boules et à branler sa queue tout en faisant de rapides mouvements de va-et-vient avec ma bouche le long de sa tige. Ma langue s’activait à caresser et à s’enrouler autour de son gland, je bavais sur sa bitte en le suçant de façon énergique.

– Putain, elle suce comme une pro ! Vas-y, ma salope, pompe ton petit frère ! Hahaha oui ! Vas-y, sale chienne. T’es qu’une bouche à pipes ! Vas-y, avale bien ma queue.

Mon petit frère ne voulait plus s’arrêter de m’insulter et ça m’excitait encore plus

Marc vint présenter sa bitte devant mon visage et j’abandonnai celle de Tony pour pomper mon grand frère.

– Ouahouu ! T’a raison, elle suce vachement bien ! C’est trop bon !

Mes deux frères me caressaient la tête pendant que je les pompais et, quand l’un avait envie de la remettre dans ma bouche, il me le faisait comprendre en dirigeant ma tête vers sa queue.

C’est ainsi que je suçai mes frères pendant 10 autres bonnes minutes, en alternant : je suçais l’un tout en branlant l’autre. Je gémissais comme une chienne en manque, en bavant sur leurs queues pendant que ces messieurs m’insultaient de tous les noms. Leurs gros membres remplissaient toute ma bouche. Je prenais un plaisir intense à sucer mes frères, à goûter leurs mouilles et il devint très vite évident que je n’avais plus qu’une seule envie : me faire sauter par mes frères.

J’arrêtai de les sucer et, avant qu’ils ne protestent, je me rallongeai sur le dos et j’ouvris en grand mes jambes.

– Venez ! Venez vite me baiser ! Je veux vos bittes dans ma chatte. Limez-moi très fort !

Ils ne se firent pas prier. Marc fut le premier. Il me monta,il présenta son sexe à l’entrée de ma chatte et il murmura à mon oreille :

– Je me doutais que t’étais une vrai chienne. A partir de maintenant, dés que l’un de nous aura envie de te monter, tu ouvrira tes jambes pour te faire sauter. C’est clair ?

Toute notion de fierté m’avait quittée pour laisser place à une très grande dépendance au sexe.
– Oui ! Oui ! je serai votre pute perso… Maintenant, baise-moi, je t’en supplie…

Il sourit puis il se redressa, il agrippa mes seins et il enfila sa bitte d’un coup sec. Je mouillais tellement qu’il lui fut très facile de me pénétrer. Il commença à me limer et moi à gémir de plaisir. Je sentais sa grosse bitte aller et venir dans mon ventre avec v******e et rapidité pour mon plus grand plaisir.

– Oui ! Ah oui ! c’est trop bon ! ha ha hmm baise-moi fort… Encore !

Marc laissa sa place à Tony. Mon petit frère me monta avec une joie non dissimulée.

– Depuis le temps que je rêve de te grimper, grande sœur…
Il s’enfonça en moi.
– Ah oui ! Tu fais plus ta maligne maintenant… Et toi qui voulais que je me branle, pff ! Pourquoi faire, si je peux baiser ma pute de grande sœur, ha ha ha ha ha !

Pendant qu’il me baisait, Marc approcha sa bitte et il la frotta sur mon visage. J’ouvris la bouche, il prit ma tête à deux mains et il se mit à baiser ma bouche.

Je n’aurais jamais cru être un jour aussi soumise à mes frères, surtout à Tony, mais le plaisir de cet interdit m’excitait à mort. Mes frères alternérent, me baisant chacun à son tour, pendant que l’autre limait ma bouche. Eux, ils m’insultaient et moi je gémirssais sous leurs assauts, en en redemandant toujours plus.

Tony fut le premier à exploser dans ma bouche. Comme une bonne salope, j’avalai tout, en le regardant dans les yeux. Marc suivit.Docilement, j’avalais tout le foutre de mes deux hommes en les regardant dans les yeux. Quand ils furent rassasiés et allongés, je repris en bouche leurs sexes pour les nettoyer. J’avais joui quatre fois.

– Je tenais à vous dire que je me suis une fois fait grimper par cinq mecs… Eh bien, sans mentir, à vous deux vous m’avez apporté bien plus de plaisir que ces cinq gars réunis .

Tony souriait, aux anges. Marc se pencha vers moi et dit:

Crois-moi, Amélie, tu n’as encore rien vu…

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