Je m’appelle Sophie, 26 ans, en couple depuis 5 ans avec Nicolas 27 ans. Tout va très bien entre nous, notre couple n’est pas tombé dans la routine. Nous aimons tous les deux le sexe et sommes pleinement satisfaits de notre vie sexuelle. Notre vie est cependant sur le point de changer car, après discutions, nous avons décidé que j’arrête de prendre la pilule pour essayer de tomber enceinte et ainsi franchir un nouveau cap dans notre relation. J’en avais envie depuis déjà longtemps mais je n’osais pas en parler à Nicolas, j’avais peur de l’effrayer et qu’il pense que c’était encore trop tôt. Mais lorsque l’un de ses copains a annoncé qu’il attendait un enfant, il a commencé à m’en parler. Le jour où la fille de son copain est née et que nous avons été voir sa compagne à la maternité, j’ai vu dans son regard, lorsqu’il a pris le bébé dans ses bras, que cette fois il était prêt et que lui aussi en avait envie maintenant.
Depuis quelques mois j’ai aussi changé de boulot, ce n’est pas super excitant mais cela permet de payer les factures. Mes nouveaux collègues m’ont très bien accueillie et il règne une bonne ambiance. J’ai notamment eu un accueil particulièrement chaleureux de la part de deux collègues masculins, à la peau d’ébène, Ben et Patrice qui ont toujours un petit compliment à me faire lorsque je les croise ainsi que des regards où je crois voir parfois un peu plus que de la gentillesse…
Pour me décrire rapidement je suis blonde aux yeux bleus, mesure 1,65 m pour 53 kg et un petit 85b. J’aime m’habiller en jupe avec des bottes, ce qui me vaut toujours de nombreux regards de la part des hommes que je croise. Ben est l’un des vigiles du bâtiment où je travaille et c’est lui que l’on voit le matin à l’entrée. Il est grand, je dirais environ 1,90 m, costaud, certainement dans les 90 kilos, cheveux courts, toujours habillé de l’uniforme de gardien, entre 35 et 40 ans, marié. La rumeur le dit volage. Chaque matin, lorsque j’arrive, il me gratifie d’un grand sourire avec un petit mot, par exemple :
— Bonjour mademoiselle, vous êtes charmante, comme toujours.
Ou encore :
— Mademoiselle, vous illuminez ma journée !
Patrice, Antillais d’une quarantaine d’années, toujours souriant, 1,85 m sans doute dans les 90 kg, marié, père de trois enfants ce qui, d’après la rumeur, ne l’aurait pas empêché d’avoir une relation avec la secrétaire du service. Lui aussi n’est pas avare de compliments et sourires à mon égard, y compris devant les collègues, ce qui me fait toujours rougir, et lui a l’air de s’amuser de mon embarras.
Ennuyée et un peu mal à l’aise à cause de ce comportement, je décide d’en parler avec mon copain pour avoir son avis sur la manière de réagir pour les éconduire gentiment. Sauf que Nicolas trouve cela amusant et m’encourage même à en jouer et flirter pour voir leurs réactions et que je pourrais aller boire un verre après le travail avec l’un d’eux. Ce n’est bien évidement pas la réaction que j’attendais et fâchée je lui demande pour qui il me prend ? Il balbutie des excuses, qu’il ne parlait pas sérieusement même si pour ma part j’ai eu l’impression qu’il était très sérieux.
Les jours passent ainsi que les sourires de mes deux admirateurs. Nous n’en avons pas reparlé avec Nicolas mais je reste persuadée qu’il était très sérieux lorsqu’il m’a répondu. Toujours vexée j’ai envie de lui donner une petite leçon. Profitant d’une journée hivernale bien plus douce que d’habitude je m’habille donc d’une jupe assez courte, jambes nues, avec de belles bottes en cuir. Arrivée à l’accueil, Ben est là, fidèle au poste et je peux constater en traversant le hall d’entrée qu’il me dévore des yeux, en particulier mes jambes nues que ma courte jupe ne cache pas beaucoup. Contrairement à d’habitude où je passe rapidement en le saluant, je décide de m’arrêter pour discuter avec lui.
— Bonjour Ben, comment vas-tu ce matin ?
— Très bien et quand je vois ta tenue je n’ai qu’une hâte c’est que le printemps soit là pour de bon ! (avec un sourire pas tout à fait innocent.)
— Ah oui tu aimes ? Je fais une sortie entre copines ce soir (petit mensonge mais je ne pouvais pas lui dire que c’était pour Patrice et lui !)
— Si tes copines sont comme toi dis-moi vite dans quel bar vous allez ce soir !
— Pas si vite, je ne te suffis plus, il te faut aussi mes copines maintenant ? dis-je avec un air réprobateur
— Tu es toujours ma préférée mais tu es aussi en couple…
— Je ne pensais pas que cela te posait de problème à toi, ce genre de détail.
— À moi non, mais je crois que c’est à toi que cela pose problème, non ?
Je lui lance alors avec un air de défi :
— Et si cela ne m’en pose pas non plus ?
— Eh bien ma jolie qu’attendons-nous pour aller boire un verre ? Ce soir avant de retrouver tes amies ?
— Tu ne perds pas de temps ! Mais j’ai dit « si ». Désolée, lui dis-je en m’éloignant. Allez, bonne journée, Ben.
— Bonne journée, ma belle.
Je ne me suis pas retournée mais je serais prête à parier qu’il me reluquait les fesses pendant que je m’éloignais vers l’ascenseur. Je n’avais pas flirté depuis des années et je dois avouer que j’ai trouvé cela agréable, d’autant plus agréable que je savais que j’avançais en terrain conquis et donc que je ne prenais pas de risque !
Arrivée dans l’open-space mon regard se pose immédiatement sur le bureau de Patrice, sa veste est là mais pas lui, sans doute au café. Je salue mes collègues, pose mes affaires et me dirige vers la cafet’ où je retrouve Patrice et d’autres collègues. En guise d’accueil, une collègue me fait remarquer que je suis réchauffée aujourd’hui, vu ma tenue. Il n’en fallait pas plus à Patrice pour venir immédiatement à ma défense en disant que j’étais toute « mimi » habillée comme ça. Après la pause, en remontant travailler j’arrive à me placer devant Patrice dans les escaliers, lui offrant, j’espère, une belle vue sur mes jambes. Son regard m’ayant ensuite suivie jusqu’à mon bureau j’imagine que la réponse est oui ! Le reste de la journée fut relativement chargé en travail et je n’ai donc pas eu d’autres occasions de flirter.
En sortant du travail je me dirige comme d’habitude vers le métro lorsqu’un grand Noir se met sur mon passage.
— Alors, mademoiselle Sophie on va le boire, ce verre ?
— Oh Ben, t’exagères, tu m’as fait peur, je ne t’ai pas reconnu sans ton uniforme !
— Désolé, Miss, mais cela ne répond pas à ma question…
Il me prend au dépourvu là !
— Euh, c’est à dire que je dois retrouver mes amies pour notre rendez-vous (imaginaire)
— Et bien tu arriveras un peu en retard, c’est tout.
Je me retrouve piégée, je sens bien que je vais avoir du mal à m’en débarrasser là. Merde, Nico tu fais chier avec tes conneries. Bon, je vais boire un verre avec lui et je me débrouille pour que cela ne dure pas trop longtemps.
— Euh… ok, mais pas longtemps, je suis attendue.
— Super, ça va être cool, tu vas voir, je connais un bar sympa pas loin.
Et me voilà en train de marcher vers un bar inconnu avec un mec que je connais à peine, je ferais peut-être mieux de prévenir Nico. Pendant le trajet Ben me raconte les soirées arrosées qu’il a déjà passées dans ce bar je l’écoute d’une oreille pendant que j’envoie un texto à Nico :
Je vais boire un verre avec le vigile. T’es content couillon ? Il a insisté, je n’ai pas pu m’en débarrasser.
Je reçois une réponse quelques minutes plus tard mais là encore pas ce que j’attendais :
Super. Chauffe-le bien ma chérie.
On arrive au fameux bar de Ben, ce n’est pas super engageant, il est encore tôt et il n’y a pas beaucoup de monde. On s’installe à une petite table dans un coin le long des fenêtres de façade. Le serveur vient immédiatement prendre notre commande. Visiblement, lui et Ben se connaissent bien, tous deux me conseillent le cocktail maison. Ne voulant pas les vexer, j’accepte. Ben et moi discutons de tout et de rien, au moins le cocktail maison est effectivement très bon ! Donc ce cher Ben a 41 ans, il est marié, a deux garçons et visiblement cela ne le dérange pas d’être là avec moi dans un bar plutôt qu’avec sa famille.
Tout au long de la discussion Ben n’arrête pas de me dévorer des yeux, un vrai fauve qui convoite sa proie, son regard pénétrant me déstabilise et commence à faire naître le désir au fond de moi. À un moment, profitant qu’un groupe s’installe à la table à côté de la nôtre, Ben se rapproche de moi et sa main en profite pour venir caresser ma cuisse. Son regard toujours plongé dans le mien en attente d’une réaction de ma part, Ben commence à faire remonter sa main sur l’intérieur de ma cuisse nue. Je sens alors mes dernières barrières s’abaisser, son regard me possède, je le désire, le feu se propage entre mes cuisses et rien ne pourra plus l’éteindre. La main de Ben, plongée sous ma jupe, est maintenant remontée jusqu’à effleurer mon sexe que seul le fin bout de tissu de mon string sépare. Puis à ma grande déception Ben retire sa main mais pour mieux prendre la mienne et me dire :
— Viens, suis-moi.
— Euh… où ?
— Tu vas voir.
Sur ce, il se lève en me tenant par la main et m’entraîne au fond du bar où nous franchissons une porte « Réservé au personnel ». Je découvre un couloir et un escalier que Ben se met à gravir et, à l’étage supérieur, il ouvre une porte et me fait entrer dans un appartement où il m’emmène directement dans une chambre dont il referme immédiatement la porte. Il me regarde et se penche pour m’embrasser, je me laisse faire, totalement conquise et soumise à son charme.
Pendant qu’il m’embrasse ses mains partent à la découverte de mon corps, en commençant par mes fesses puis en remontant dans mon dos pour finir sur mes seins. Ben commence à m’enlever mon haut et je me retrouve vite seins nus contre lui avant qu’il m’appuie sur la tête avec une main pour me faire baisser. Je comprends ce qu’il veut et me mets à genoux devant lui tout en ouvrant son pantalon puis son caleçon, découvrant ainsi son sexe noir d’une taille impressionnante et dressé par le désir. Nico a un sexe de taille normale, j’en avais déjà vu des plus gros que celui de Nico mais là cela dépasse, et de loin, ceux que j’ai pu voir. Les Noirs seraient donc réellement tous gâtés par la nature ? J’approche une main et commence à le caresser, je n’arrive pas à détacher mon regard de ce membre si imposant et différent car c’est aussi mon premier sexe noir. Je commence à le masturber pendant que Ben se débarrasse de son haut, révélant une poitrine musclée. Ben me regarde avec son sourire carnassier et me lance :
— Alors ma belle elle te plaît ?
— C’est la première fois que je vois une bite noire et la première fois que j’en vois une aussi grosse !
— 24 cm de plaisir black, ma jolie, allez suce-moi !
Mon attention retourne à cette bite. J’approche ma bouche et sors ma langue pour commencer à la lécher sur toute sa longueur, je retourne lécher et mordiller les bourses (il est entièrement rasé) tout en le masturbant. Puis je pose ma langue son gland que je titille légèrement avant de le prendre en bouche tout en fixant Ben dans les yeux. Je n’avais jamais eu la bouche aussi remplie, je suis incapable de la prendre entièrement dans ma bouche, même au niveau du diamètre elle est énorme et j’ai beaucoup de mal à bien le sucer. Devant mon hésitation, Ben décide de prendre les choses en main, enfin les choses… c’est à dire ma tête. Il me pose une main de chaque côté de la tête et m’imprime un mouvement de va-et-vient sur sa bite, mouvement de plus en plus important, m’enfonçant son sexe chaque fois un peu plus dans la bouche. Il en profite rapidement pour accélérer la cadence, me donnant l’impression d’être une actrice de film porno en train de se faire défoncer la bouche, surtout qu’il me lance régulièrement des insultes :
— T’aimes ça, ma salope ! T’adores sucer des grosses queues blacks ma cochonne ! Pompe-moi bien ma petite pute !
Je perds peu à peu la notion du temps, je ne sais plus depuis combien de minutes il me tient la tête et me baise la bouche mais je commence à m’habituer et à y prendre du plaisir, excitée par l’image que je dois donner et par les insultes de Ben.
Je me prends au jeu et deviens sa petite pute. J’essaye de reprendre un peu le dessus sur la fellation et lui donner le rythme que je veux en gardant une cadence très rapide. Je n’avais encore jamais sucé ainsi avant mais je suis déchaînée et essaye de la faire rentrer au plus profond de ma bouche sans arriver cependant à pouvoir la prendre entièrement, étant donné la taille. Je vois le visage de Ben qui commence à se tordre de plaisir pendant qu’il redouble ses insultes, je sens qu’il ne va pas tarder à jouir alors qu’il me tient à nouveau fermement la tête pour me forcer à avaler :
— Je vais jouir, ma salope ! Oh oui je vais jouir dans ta belle petite bouche de pute.
Je sens alors un premier jet puissant bientôt suivi par d’autres. Cela me remplit très vite la bouche. Ben continuant de me baiser la bouche, j’ai du mal à avaler et du sperme me coule le long de la bouche et tombe sur ma poitrine. Ben se retire de ma bouche me permettant de finir d’avaler son sperme qui a un goût assez fort. Je le fixe dans les yeux pendant que ma langue lèche mes lèvres avant de se diriger vers son gland afin de nettoyer les dernières traces de semence.
Lui aussi me fixe avec son regard de prédateur triomphant devant sa proie conquise. Il enlève complètement ses vêtements, se retrouvant nu devant moi, me relève afin de m’ôter mes bottes, ma jupe et mon string, me tourne autour afin d’admirer sa prise puis m’allonge sur le lit les jambes écartées et sa tête vient à la rencontre de mon intimité toute lisse. Sa langue s’amuse d’abord avec mes lèvres avant de se concentrer sur mon clitoris. J’étais déjà trempée, le contact de sa langue sur mon clito m’électrise et Ben n’a aucun mal à enfoncer deux doigts dans mon vagin tout en continuant de me lécher. Alors que je suis complètement trempée et que je lance mon bas-ventre à la rencontre du visage de Ben, celui-ci se relève pour se placer au-dessus de moi puis je sens son sexe venir frotter contre mes lèvres. Il entame un lent va-et-vient contre mes lèvres, humidifiant son sexe avec le mélange de ma cyprine et de sa salive, avant de s’enfoncer d’un coup sec jusqu’au fond de mon vagin ! Bien que je sois complètement trempée, cette pénétration brutale m’arrache un cri de douleur. Là encore je ressens la différence de taille avec son sexe qui me remplit complètement et m’écarte le vagin comme aucun autre auparavant. Et, comme pour la fellation, Ben devient très vite brutal et me défonce à grands coups de bite, en missionnaire. Cependant la douleur initiale est vite remplacée par une onde de plaisir qui augmente à chaque coup de son énorme queue et à chaque insulte qu’il me lance.
Après quelques minutes Ben se retire pour me retourner et me prendre en levrette et ses pénétrations n’en deviennent que plus violentes accompagnées de grandes claques sur mes fesses. Je me déchaîne à mon tour, je hurle mon plaisir, on doit m’entendre dans tout l’immeuble ! Je lui dis que je suis sa pute, que j’aime qu’il me défonce, puis je deviens incapable de prononcer le moindre mot si ce n’est des hurlements de plaisir alors que l’orgasme s’empare de moi au moment même où j’entends Ben pousser des grognements bestiaux et que je sens son foutre chaud se répandre dans mon vagin.
Il me faut quelques minutes pour me permettre de reprendre mes esprits après ce puissant orgasme. Ben en a profité pour se rhabiller et me fait signe de faire de même. Un peu brutal comme atterrissage. Je retrouve mon soutif, mon haut, ma jupe, mes bottes mais pas moyen de retrouver mon string, je demande à Ben si il l’a vu et celui-ci avec un grand sourire le sort de sa poche. Je tente de le reprendre mais il me répond :
— Je le garde en souvenir, chérie, et j’ai envie de te voir sortir d’ici sans culotte.
— Arrête tes conneries je ne vais pas prendre le métro et le bus comme ça.
— T’es ma salope, tu fais ce que je te dis !
J’accuse un peu le coup après son insulte, l’excitation à maintenant disparu et je commence à réaliser ce que je viens de faire. Je ne discute pas, termine de m’habiller puis me lève pour sortir. C’est alors que je sens quelque chose de chaud couler le long de ma cuisse
— Merde, j’ai ton sperme qui coule, putain t’aurais pu mettre une capote j’espère que tu es clean au moins ?
— T’en fais pas, je suis clean chérie, et ma petite salope blanche, j’aime bien la prendre sans capote !
Je me sens tout à coup vraiment honteuse et très mal, je viens de coucher avec un autre homme que mon Nico, sans protection, alors que je ne prends plus la pilule, quelle conne ! Non seulement il m’a peut-être transmis une saloperie mais en plus il m’a peut-être mise enceinte !
Ben ouvre la porte et me pousse hors de l’appartement, nous redescendons l’escalier pour traverser le bar et sortir. Au passage j’ai le temps de voir le barman me faire un grand sourire vicieux. Je plante Ben devant le bar sans rien lui dire, il n’essaie pas de me retenir, il a eu ce qu’il voulait, je ne lui sers plus à rien. Le trajet du retour est un véritable calvaire, je ne sais pas comment l’annoncer à Nico. Je suis terrorisée par le fait d’être peut-être enceinte de Ben ou qu’il soit porteur d’une maladie.
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