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Aventures entre soeurs ou Joanna et Anne

Aventures entre soeurs ou Joanna et Anne



Quand elle m’a dit cela, de me joindre à eux, partager leur week-end, que je pensais amoureux, j’ai ressenti son désir de me récompenser. Mais j’avais été claire, le fait de m’être occupé de son fils, n’a pas été une tâche difficile, j’y ai même pris du plaisir, comme vous avez pu le lire…

Nous sommes donc prêtes à l’heure, et nous voilà roulant dans la campagne verdoyante, en cette fin d’été, un ciel sans nuage, dans le confort de cette belle voiture.
Jean s’est présenté à Anne, tout en roulant et cela m’a fait drôle de l’entendre parler de moi, de notre relation récente, où l’amour n’a qu’un strapontin, pour l’instant…

Je l’ai vue le regarder en douce, pendant qu’il lui ouvrait la portière… J’ai vu son regard sur ses cuisses, son œil brillant… Un homme dans toute sa splendeur, chasseur, pêcheur, menteur… J’ai souri en moi-même, c’est moi qui ai tout manigancé…

Nous approchons de l’hôtel qu’il a réservé, une grande chambre à deux lits immenses. Vue sur la mer, et la plage à nos pieds… Un régal pour les yeux…

Nous sommes d’accord pour visiter les lieux, et nous marchons sur le sable, en maillot de bain, sac en bandoulière, il nous suit, nous épaule, et nous fait la conversation, il est drôle et galant…
Il est vrai que je l’ai connu que dans mon lit, et nos échanges furent mouvementés, Paul étant intervenu dans le premier. Mais la seconde fois, ce fut enchanteur, dans un hôtel dans les bois, j’entendais la chouette en jouissant de lui…

Bref, je le découvre sous un angle différent, homme du monde, qui soigne ses invités… Nous nous asseyons sur le sable, puis nous allons nous baigner, température de rêve, je plonge avec délice dans cette eau transparente…
Anne l’a suivie, savoure la baignade, nage un long moment puis revient près de nous…

– C’est un réel plaisir, merci pour l’invitation… Je suis vraiment contente, Joanna…
– Heureuse alors, et ce n’est pas fini, toute une nuit encore, le bain sans doute aussi, nous découvrons Jean, notre ami…
– Merci Jean, je suis heureuse, j’avais peur de vous déranger…
– Nous sommes trois adultes, ta sœur m’a demandé cette faveur, je suis heureux d’avoir fait ta connaissance, Anne, tu es aussi belle qu’elle…
– Tu es un coq, ce soir, deux poules pour toi seul, beaucoup seraient jaloux et envieraient ta place…
– J’en ai conscience les filles… Nous avions une idée, passer de bons moments ensemble, se vider la tête, faire ce qui nous plait, profiter de la vie… Je suis certain que tu partages, et que tu es dans le même esprit…
– C’est vrai, Jo m’a parlé de votre rencontre, un peu écourtée… J’ai fait en sorte de raisonner son fils, maintenant il est serein… Donc je pense à moi, pas encore divorcée, pareille que ma sœur, en manque de chaleur, j’espère en trouver…

Joanna sourit aux propos de sa sœur.
Elle dit la vérité, le but de mon invitation, c’est bien celui qu’elle avance.
Le plaisir, se changer les idées, vivre notre vie de femme, dès ce soir, dès maintenant, retrouver un équilibre moral, tenter d’autres aventures pour oublier l’une et l’autre les dernières en date….

Je n’ai jamais triché avec elle, Anne est sacrée. Jean est entré dans ma vie par hasard, par l’arrière, si je puis m’exprimer ainsi… Il m’a redonné le goût du sexe, m’a rendu surtout le désir d’aller le chercher, de le vivre comme jamais je n’avais pu le faire, coincée dans mon couple, mes responsabilités de mère, je ne parle pas de celles d’épouse…

Ressentir de nouveau un sexe dans ma chatte, avoir envie de lui, compter mes orgasmes, enfin ressuscités… Puis aller plus loin dans le plaisir, la sodomie, les choses de ma vie, clamer mon désir, le provoquer, l’afficher, être libérée, femme…

Je regarde Anne nager vers Jean, s’accrocher à lui, je ne suis pas jalouse, je n’en ai pas le monopole et dès le départ je pensais qu’un seul homme pour deux femelles allait nous mettre en concurrence et donc en chasse…

Je m’approche aussi, jouant dans les vagues, me laissant emportée, offerte au regard du mâle.
Lui semble attiré par le charme indéniable de la nouveauté, de la jeunesse, car elle est plus jeune, de corps et d’esprit… Sans doute plus libérée, pour elle c’est acquit, après sa nuit avec Paul, elle s’est divorcée…

La plage n’est pas remplie, les enfants à l’école, quelques couples allongés s’occupent de bronzer…

Jean et Anne s’amusent, se courent après dans l’eau, se poussent, viennent me pousser, ses mains ciblent nos formes, nous jouons le jeu aussi…
Elle nage vite, il la course, la ratt****…

Leurs lèvres se frôlent, il me regarde, je lui souris… Je suis à côté d’eux, je cherche à m’agripper à lui, je sens son sexe contre ma cuisse, bandé, presque hors du maillot de bain…… Anne est de l’autre côté, une main entre ses cuisses… Elle ronronne contre lui, se fait chatte, s’ouvre à sa caresse… Je le veux aussi et comme par magie je sens sa main soulever ma culotte… Nous sommes à sa merci… J’ai juste pied, je l’enlace et ma main part à l’aventure… Je trouve celle d’Anne, déjà entreprenante, le sexe libéré offre sa longue hampe qu’elle a saisi en entier et berce, comme un bébé… Elle aussi s’est accrochée à lui, pour mieux lui montrer son nouveau papillon, et savourer la main qui frotte son intimité… Il arrive à gérer nos deux sexes ouverts, elle commence à jouir dès ses doigts pénétrés, et en cadence, il nous masturbe, je m’offre comme elle, abaissant ma culotte, et mes seins libérés…
Le soir tombe, l’obscurité masque les détails aux passants qui regardent ce trio affamé, jouant dans les vagues…

Elle n’y tient plus et d’un coup elle plonge, retire ma main et embouche la chose…
Alors chacune à tour de rôle, nous allons lui donner de quoi se libérer…
Nos apnées durent près de trente secondes, et lorsque le sexe est suffisamment bandé, Anne s’offre à lui et s’empale sur le membre en jouissant contre son torse bercée par le ressac…
Puis c’est à mon tour, de me prendre sur son vît… J’ai tellement désiré l’instant de me baiser, que moi aussi, je libère mes râles et me confond avec la brise, serrée contre lui, ouverte comme un huitre… Il me prend dans la mer, puis repasse à ma sœur, revient, caresse nos seins, nous donne tant de plaisir que l’on jouit ensemble, et qu’il jouit de nous à la suite l’une de l’autre, double éjaculation, respect monsieur Jean !…

Pendues à son cou, calmées par ce premier contact intime, nous rajustons nos tenues de bain, avant de revenir dans des eaux moins profondes, puis dans un mouvement intime, nous enlevons toutes traces de sa semence, susceptible de couler sur nos cuisses…

Nous rentrons à l’hôtel, profitant du coucher de soleil, assis dans le sable, un peu éblouies, ravies, son baiser est très doux, le même pour Anne, qui me fait un clin d’œil…

Le frais du vent de mer nous pousse vers la chambre…
Elle prend la salle de bains, je la rejoints…

– Il est super ton mec, je comprends ton attirance… Ne t’en fais pas, je baise comme avec Paul, sans arrière-pensée, juste pour le sexe, et pour te rassurer, j’ai joui autant que toi…
– Moi aussi, il est divin, je suis heureuse qu’il te plaise, tu pourras ainsi vivre un petit bonheur avec nous…
– On continue ensemble tous les trois ?
– A moins que tu rencontres un nouvel amant…
– Pourquoi pas, je me suis mise en mode drague, et si le serveur me plaît… Ou un autre…
– Je t’adore Anne, nous avons les mêmes gênes, le respect l’une de l’autre, on aime faire l’amour, et on fantasme beaucoup quand on se sent en manque… Je me demande si tu penses à moi parfois dans tes jeux ?
– On pourrait essayer, d’autres l’on bien fait… On ne ferait pas de mal, juste pousser une porte…
– On osera ce soir, ça le fera bander… On pourrait lui offrir un spectacle qui nous est inédit nous aussi… Cela pourrait nous emmener vers d’autres possibilités…

A moitié nues, drapées dans nos sorties de bain, nous allons dans la chambre, nous habiller pour la soirée… Il regarde, intéressé par ce défile de mode, je referme la porte avec un baiser du bout des doigts…

– Tu as aimé quand il t’a pénétrée ?
– J’étais à la limite de m’évanouir, tant j’en avait envie… Sa bite m’a libérée, je me suis sentie monter vers mon nuage… J’avais aimé le pomper sous l’eau, une première… Fellation en apnée… Sa queue valait ma noyade… Et de le faire à deux, en se remplaçant, c’était très jouissif.
– Alors ne te gêne pas pour moi, vas-y, il aime la baise… Pour moi il est un jouet, mon sex-toy, alors je le partage… Et puis…
– Oui ?
– Tu sens encore le sexe de mon fils. Je ne t’ai pas vue avec lui. Là je peux te voir et t’entendre faire l’amour, et ça m’excite… Je t’imagine avec Paul, je me caresse… Tout cela m’a donné envie d’être avec toi, de partager tes orgasmes comme tout à l’heure… Je te voyais jouir, fermer les yeux de plaisir, gémir tout doucement, t’empaler avec hargne, pour le faire exploser…
– C’est vrai, j’ai adoré cet épisode marin… C’est la première fois que nous si intimes toutes les deux… Et moi aussi j’apprécie ta présence, te sentir, te voir jouir de la bite d’un homme, en toute liberté…
– Ce soir on va se faire baiser, on lui donnera un récital, il nous enverra très loin, au pays des scandales, mais tant pis, je me sens prête à découvrir le sexe, le plaisir, jusqu’aux frontières taboues…
– Moi aussi, salope et libertine, je me donnerais bien à un couple d’inconnus, ressentir d’autres queues dans tous mes orifices, et jouir comme jamais je n’aurais espéré…
– Maintenant ou plus tard, je t’accompagnerai. Moi aussi avant d’être trop vieille, je veux me confronter à d’autres situations, devenir une chienne, délirer sous des queues, devenir nymphomane le temps d’une soirée, vivre des orgies, passer de sexe en sexe, en rugissant de plaisir entre de nouvelles mains et me faire aimer par des femmes désirables, partageant avec moi un noir super membré…
– Dis-donc, tu fantasmes aussi beaucoup…
– On n’est pas sœurs pour rien…

Nous avions choisi nos robes ensemble, une petite boutique en ville, avec des modèles assez originaux… Là, c’est vraiment se montrer sous notre meilleur visage, sans soutif, un string, et le tissus qui colle à notre peau et qui se retire dès qu’on bouge un peu trop… Décolletées, courtes, en matière très aérienne, mélange d’élasthanne, de soie, de coton, qui nous met en valeur, moi en rouge et elle en jaune… Deux fleurs qui sortent devant lui, il regarde médusé, nous mettons nos chaussures, un bijou chacune, un collier, tout simple, comme nous…

Lorsqu’on entre dans la salle du restaurant climatisée, les conversation s’arrêtent… je sens sa fierté de nous tenir nos chaises, puis s’asseoir entre nous… Un regard circulaire permet de juger de notre effet vestimentaire, mais pas que… Je reconnais un couple que l’on a croisé. Ils étaient sur la plage, très amoureux, lorsque nous nous sommes habillées, enfin, couvertes en sortant de l’eau, encore flageolantes de nos ébats marins…

Le bruit reprend peu à peu, et c’est le serveur qui vient mettre l’ambiance…

Brun, yeux marrons, en tenue de serveur assez stricte, mais un sourire discret et une amabilité sans faille… De plus plaisantin, des yeux rapides comme l’éclair qui passe de décolleté en décolleté sans l’ombre d’une gêne…

Après le service d’usage, il nous présente les plats du soir, les vins, sans quitter nos regards féminins…
– Vous avez l’air d’aimer la vie, la bonne chair…
– Oui, nous aimons vivre au rythme du terroir, savourer le local, découvrir, parfois nous y attarder…
– Quel programme, monsieur ne doit pas s’ennuyer…
– Jean est notre chauffeur, il nous partage… Enfin, je veux il partage nos goûts, il est notre coach…
– Parfait voici un trio très intéressant, alors je vous oriente vers les produits locaux, de pêche du matin, grillés, poissons, crustacés, tous ceux qui sont notés. Accompagné de vin ?
– Bien entendu, nous aimons le fruité, mélange doux et acide pour bien digérer les graisses… Un peu de bulles n’est pas interdit. Nous vous faisons confiance.
– Et pour l’apéritif ?
– Je n’ose pas le dire, mais vous me comprendrez… On aime le local, le sain, celui qui vient réveiller nos appétits… Tous nos appétits… En éveillant nos sens…

Il devient rouge cramoisi, apoplectique… Il en tremble et se réfugie en courant vers la cuisine…

– Tu y es allé fort…
– Tu as vu comment il dévisageait ma poitrine ?
– Il n’y a pas que lui qui a aimé ta réplique…
– Cochon !

Le pire c’est qu’il revient avec une bouteille de vin rosé pétillant, qu’il nous verse en dégustation…
Il est frais, limpide, suave, harmonieux…

– C’est parfait, je sens déjà ce qu’il va provoquer, mais je n’ose le dire…

Il repart, en oubliant son ouvre bouteille…

Anne est pliée en deux…

– Tu es en forme, Jo… Il est anéanti…
– Tu pourrais le consoler plus tard… Il est en condition maintenant, il sait que nous avons l’esprit taquin, et même léger ce soir…
– Prête à faire des folies ?
– Sans aucun doute, hein Jean ?
– Absolument mes chères, j’adore ces instants de légèreté consentie, informelle, et si enrichissante sur votre état d’âme ce soir…
– La bagatelle fait partie des plaisirs de la vie, après la gastronomie…
– Juste après, pour digérer sans doute…
– Notre apéro de tout à l’heure fut un plaisir rarissime…
– Je vous en remercie toutes les deux, je n’ai pas eu le temps… J’ai apprécié votre partage, votre dévouement et votre conscience à mon égard…
– Pour nous aussi, c’était une première, fellation en apnée, partagée, puis caresses alternative, suivie d’un coït mixte, intense et jusqu’au-boutiste…
– J’ai essayé de me surpasser, d’être généreux et équitable…
– Tu y as réussi, tu nous as séduites et nous a savourées de façon originale…
– Au point de nous faire jouir de ton dard et nous délivrer de cet instant de grâce…
– Merci… Il revient…
– Voici les poissons, faites votre choix mesdames et monsieur…

Nous choisissons, guidées par ses conseils, je prends un homard grillé, Anne un turbot, et Jean une parilladas de poissons de roches et blancs, seiches et poulpes à la plancha… Légumes locaux de saison et riz de la coopérative du village…

Nous prenons une seconde bouteille en mangeant, c’est délicieux, et très bien cuit, assaisonné juste ce qu’il faut et le vin est parfait…

Anne se lève, Jean me sourit…

– Tu es belle…
– Grâce à toi, ce repas est une merveille…
– Vous méritiez cet effort de classe… De plus vos toilettes animent l’ambiance…

J’ai envie aussi d’aller aux toilettes, j’attends toutefois son retour…

Au bout de dix minutes, je n’y tiens plus et laisse Jean choisir les desserts…

A propos de dessert, en entrant dans les toilettes, j’entends quelques bruits sourds… Craignant un accident, je me fais « souris détective », et repère l’endroit…
Dans celle des personnes handicapées, la porte n’est pas fermée, Anne la robe relevée, penchée sur l’abattant, se fait prendre, les fesses à l’air, par ce serveur unique, pantalon aux genoux…
Le dard va et vient avec fougue, lui arrachant des râles, générant des craquements lugubres en provenance de l’ensemble…
Il y va à fond, il semble devoir jouir dans quelques secondes…

– Oui ! Viens ! Prends-moi comme une salope ! Baise-moi dans les chiottes ! Donne-moi ta semence ! Je vais jouir aussi, oui ! Oui ! Oui !… Oh !… C’est bon !…

Il ralentit, la fourre une dernière fois d’un coup de rein rageur…
Elle relève ses fesses et jouit avec lui, sentant son foutre se répandre au fond de ses entrailles…

– Tu m’as eue…
– Je n’ai pas trop forcée…
– Tu étais en rut, quand je t’ai croisé, une bosse énorme trahissait ton désir, tu m’as serrée dans tes bras, un baiser très puissant, j’étais déjà à toi…
– On n’a eu que le temps d’ouvrir cette porte, de relever ta robe et de baiser si fort que tu en trembles encore…
– Tu es si gros… On a joui si vite… Cela demande une seconde chance…
– Je sors à 23 heures… Je serai au bar à côté…
– Ma sœur a aimé vos échanges verbaux… Moi j’ai aimé celui-là…
– Mais ton mec ?
– Jean est l’ami de Jo, ma sœur. Nous partageons une chambre à deux lits immenses, et je me sens un peu seule…
– Avec plaisir alors, j’ai adoré faire ta connaissance, tu n’es pas farouche…
– C’est réciproque, et toi, tu es un sacré coup, on va se régaler…

Je mange ce gâteau délicieux, un chocolat dégoulinant quand on le coupe en deux, et qui se mélange à la crème anglaise, vanillée… Un vrai plaisir des sens…
Un délice dans la bouche…
Je suis revenue avant elle… Ils ne m’ont pas vue… Ils m’ont émoustillée… Ma culotte est humide…

– Tu as été longue…
– J’ai rencontré le serveur, on a « parlé »…
– Oh ? Tu es cachotière… Et ?
– Mouais… Il termine vers 23 heures et va au bar adjacent…
– Tu as ?
– Il me fait l’effet de ce gâteau sublime, dès qu’on y goûte, il devient nectar, aux goûts bien prononcés, et on sent sa douceur, sa force, on aime le prendre en bouche, de petites quantités, puis le sentir glisser, inonder nos papilles ; on ressent sa force, le désir de recommencer, et devenir son esclave…

Le tour du port que l’on fait en sortant nous fait du bien…
Jean a compris et laisse ma sœur rêver à sa future nuit…
Il est entreprenant, discrètement efficace… S’il continue il va faire craquer ma robe…
Nous revenons par la digue, la plage s’offre à nous…

– Oh, un bain…

J’enlève et plie ma robe, nous n’avons rien emporté pour nous asseoir…

– Elle est délicieuse, venez…
– Jo, c’est un plaisir, Jean ?

Les voici, nos affaires rassemblées en tas ordonné… Ils me rejoignent.

Je me sens bien. Comme il fait nuit noire, je me laisse aller contre lui, je sens déjà sa flamme, et prend en main son dard avant de me tremper… Ce que j’ai vu ce soir m’a trop excitée…

Joanna vient me rejoindre, elle pose sa main sur ma poitrine…
Puis une autre entre mes cuisses et le ton est donné…

Je lui rends sa caresse, et sa chatte dessinée est déjà détrempée.
Et quand mes doigts pénètrent son vagin fraîchement sollicité, il est encore tout poisseux…

– Je n’ai pas eu le temps de me nettoyer à fond, je n’avais pas de lingettes…

Mes doigts sentent le sperme mélangé à ses sucs… Elle exagère…

– Tu vas voir, Didier est un phénomène…
– J’ai vu…
– Quoi ?
– Je me suis inquiétée, ne te voyant pas revenir…
– Ah, et ça t’a plu ?
– Émoustillée, oui… La preuve, je viens de me ruer sur Jean…
– Bon, on le prendra avec nous, il m’a répondu oui à une partie carrée…

Jean, pendant ce temps, regardant Anne, enfonce littéralement ses doigts dans ma chatte, alors que je lui tourne le dos… Anne est face à moi, s’aperçoit que mon intimité est occupée par une main qui farfouille allégrement…

Elle colle ses seins contre les miens, son pubis vient contre le mien et ressent la caresse que me fait Jean…

C’est chaud, très chaud, trop chaud…
J’ai envie de confort… J’ai envie de m’éclater ce soir… De voir Anne jouir, ça m’a excité comme jamais… Ses doigts ne suffisent pas, ce flirt est ridicule…
J’ai besoin d’une bite, j’ai envie qu’on m’encule…

– Venez, il est temps, on rentre, j’ai trop envie de vous… Anne, tu nous rejoints avec ton copain, on va rentrer direct. Tu appelles s’il y a un contre-temps…
– OK. A tout de suite, je me rhabille et vous suis jusqu’au bar…

Anne pousse la porte, et à sa tête qui s’illumine, il doit l’attendre au comptoir…

Je n’ai que juste le temps de retirer ma robe, il m’a écartelée sur le grand lit immense, m’a déposée au milieu… Il a ouvert mes cuisses et lape mon minou…

Immédiatement dans le ton de la soirée, je me donne et m’écartèle, feulant ses coups de langue, plaquant sa tête contre ma chatte…
Il me donne un récital… Sa langue douce et fine, plonge dans mon calice, revient sur mon bouton, retourne à son supplice…
Je délire des mots, des onomatopées, mon bassin se soulève au rythme de la houle…

– Oh, oui, Jean, j’ai tant envie de toi… J’ai envie de ton sexe… Anne ne tardera pas et se partagera avec son ami… Un moment de folie nous attends, 2 hommes pour deux sœurs…
– Tu me fais un cadeau, je suis aux anges, vous êtes des ladies, top du top, si coquines qu’on ne se lasse pas de vous désirer…
– Oui, c’est gentil, lèche encore ma chatte, je vais bientôt jouir, désirer être prise, et tout peut arriver, ce soir c’est la fête…

Les voici qui entrent… Présentation de Didier et pour Didier.
Ils nous rejoignent, nus comme des vers… Anne s’enflamme, sur l’autre lit, elle s’est ouverte pour lui et comme moi, jouit de la langue et des mains sur son corps qui découvrent ses formes, ses seins…

Nous épions le couple, en nous caressant comme eux, nous embrassant encore, je sens qu’il bande… Alors je prends sa bite et la porte à mes lèvres, et je suce son dard, tendre et généreux, mes mains vont titiller les bourses qui balancent…

Consciente, Anne me refait, tandis qu’il prend ses seins, elle a baissé sa tête et le pompe avec soin…

C’est un concours de baise et chacune à notre tour, créons une caresse…
Puis Anne se met à l’embrasser, se lève et vient contre moi…

Elle refait alors ce qu’elle vient de connaître… Elle m’offre son corps, Jean nous laisse la place… Nous nous serrons, massant nos seins, je lèche tout son ventre, reviens sur sa poitrine, elle me rend ma caresse et vient lècher ma chatte, puis en 69 échange avec tendresse…
En parfaite harmonie, on devient lesbiennes, nous donnant devant eux, exprimant nos émois, gémissantes et flexibles, nous passons en revue le livre du plaisir…

Ce que je ressens devient dément, son sexe contre le mien, ouverts comme des huitres coulent notre désir, et dansent en se frottant, échangeant nos liquides…
Pour ma part je jouis, sentant cette complicité envahir mon ventre, m’inonder de chaleur, d’un orgasme étrange, je jouis sans complexe devant nos hommes, épatés par notre échange…

Anne se met à gémir et part dans son délire, jouit tout comme moi me donnant des coups de pubis qui résonnent dans mon ventre…
Nous sommes écartelées, délicieusement offertes l’une à l’autre, nos cuisses en ciseau, nous nous frottons nos sexes emboités l’un à l’autre…
Puis comme si c’était la suite logique, après avoir longuement joui, nous revenons enlacées seins contre seins et nous nous embrassons comme deux amantes…

Jean et Didier nous voient lascives, ouvertes, trempées de mouille et de salive… Didier s’allonge contre moi, me prend sans attendre, et Jean emporte Anne sur le lit adjacent et la baise avec fougue dans ce premier élan…

Son sexe va-et-vient, doux et tendre, me laissant le temps de revenir sur terre…
C’est bon… Il grossit, accélère, puis ralentit…. Je lui souris… J’adore…
Il vient sur moi, et me donne un baiser… Mais je le pousse et le mets sur le dos, son sexe comme un mat…
Je le masturbe un peu, décalottant ce sexe qui s’érige, droit, pointé comme le dard d’une abeille…
J’écarte bien mes cuisses et en fière amazone, je m’accroupis, face à lui… Je le guide avec mes doigts, me pénètre doucement, en soupirant de plaisir… Et je suis assise, le sexe entier dans mes organes, je bouge légèrement, je le sens envahir tout l’espace de mon vagin béant, je feule un soupir, il me donne un baiser et me prend par les hanches pour me tenir bien droite…

Puis ce doux départ devient une course effrénée et je me laisse aller, ondulant avec fougue avec son queue énorme…

Anne vocifère, elle se fait prendre en levrette, les fesses magnifiquement offertes…

Alors, je me lâche et deviens Cheyenne, sur mon fier étalon, je me mets au galop…
Oh, que c’est dur et bon un sexe dans la chatte, qui perfore mes entrailles à chaque mouvement, et m’envoie sur des nuages roses, en gémissant mon plaisir, à user toutes mes forces…
Il me récupère, me serre dans ses bras, et me pose de côté, offerte à ses fantasmes.
Il reste dans mon dos, m’enlace tendrement, me pénétrant lentement, glissant dans mon vagin, ouvert, et me baisant avec toute sa puissance pour me conduire à un nouvel orgasme…

– Oh oui… Continue !… Fais de moi ta maîtresse, fais ce que tu voudras… J’aime me donner à toi, j’aime me soumettre, tu peux oser, me faire ce que tu aimes, nous sommes là pour ça, baiser sans compromis…

Alors il me lutine, il me tourne, me retourne, me prends en levrette, explose mon jardin, m’emportant avec lui dans ses délires coquins… Puis il me sodomise, tendrement au début, puis le plaisir venant, il explose ma rondelle, me laboure les fesses, déchirant mon cul… Il me perfore, comme une machine de guerre, il me soumet, et se libère en ahanant et râlant sa délivrance…

Il a explosé en moi, trempée de toutes parts…

Anne et Jean me sourient, elle vient d’y passer, encore l’anus ouvert, suintant sa semence…

– Vous désirez boire quelque chose ?
– Volontiers, un soda, une bière, ce que vous avez…

On avait prévu, jus de fruit, boissons énergisantes… Je les sers, puis me love dans les bras de Didier, qui me serre contre lui, en sirotant sa bière…

– Vous êtes deux princesses, des ladies de la baise…
– Vous êtes bons amants, vous m’avez épuisée…
– Je suis vidée de mon énergie… Merci…

Alors d’un accord tacite, Anne et moi, nous levons et échangeons nos places…
Aussitôt je sens les mains de Jean parcourir mes formes… Puis son dard frémir, une main glisse entre mes cuisses et vient caresser ma douce intimité… Je commence à gémir, doucement, à fermer mes paupières, ressentant que ses doigts, un en particulier… Celui qui joue avec mon clitoris, venant faire son boulot, sublimer la caresse, me mettre à genoux, déclencher mon désir, faire couler ma fontaine, faire s’ouvrir mes cuisses, et irradier mon ventre, d’une chaleur bestiale… Je me laisse faire, je me laisse aller, et jusqu’à la jouissance le doigt continuera, J’oublierai qui je suis, j’oublierai où je suis, je serai bientôt sienne, empalée par son vît…

Anne est offerte et l’embrasse à perdre haleine…
Ses seins attirent les caresses, les lèvres viennent titiller les pointes érigées… Elle se donne soudain, se met en levrette, lui offrant son derrière et sans ménagement, il enfonce son dard et la baise à fond, à grands coups de bite, agrippé à ses hanches, qui tape contre ses fesses, la faisant délirer…

– Oh oui, prends-moi enfin comme tout à l’heure dans les toilettes, envoie-moi jusqu’au ciel en explosant mon sexe, en me prenant comme une catin, dans les chiottes d’un restau, me plantant de ton dard, me faisant frissonner, me baisant jusqu’au bout, en remplissant ma chatte de ton foutre abondant, comme pour un concours… Que j’ai aimé, que j’aime, j’ai été tienne depuis cet instant et n’ai eu de cesse de te retrouver, encore, de me donner à toi, de voir ma sœur, pilonnée comme moi, se donner, se soumettre et s’abandonner à ta loi… Viens ! Venez tous les deux, explosez ma chatte, sodomisez-moi ensemble, je vous obéirai… Avec Anne, nous serons vos esclaves, vos chiennes. Nous serons à vous deux, pour toute la journée, mais ramenez-nous lundi matin dans cette belle chambre, pour vous dire adieu…

– C’est bien dit ma chérie. Oui, on sucera vos queues et on se donnera tant que vous voudrez, où vous voudrez, avec qui vous voudrez…
Emmenez-nous dans un monde de sexe, dans les bas-fonds du stupre et de la fornication, faites-nous voir jusqu’où peuvent descendre deux femmes du monde, chaudes comme de la braise, délivrées de leurs maris, de leur morale et qui s’offrent à vous dans ce monde bestial, vulgaire, et dangereux…
Avec vous nous resterons des dames… On se soumettra à vos pires fantasmes, du moment que l’on reste maitresses de nos corps, et que le but reste cette jouissance qui nous attire tant !…

– Alors viens Joanna, plante toi sur mon sexe, face contre moi, laisse-toi pénétrer, n’aie pas peur de souffrir, nous serons à tes ordres, et ton rythme sera le notre…
– Oh oui… C’est magique, je te sens jusqu’au fond… N’aie pas peur, c’est juste un cachet qui va te décontracter et faire en sorte de mieux sentir nos queues…
– Allez, Didier, prends-là comme tu aimes, encule cette chienne, casse son cul de dame, envoie-la au paradis du sexe…
– Oh que tu es doux, Didier, tu peux venir plus loin, oui… Tu glisses, je n’ai pas eu mal tant c’est bien lubrifié… Vous êtes des artistes… Allez, menez-moi au plaisir d’une double aventure, baisée par les deux trous, un sandwich hors nature, mais si bon !… Ressentir vos sexes devant et par derrière, se laisser entraîner, monter dans les nuages, pilonnée par l’un, puis harcelée par l’autre, vos mains sur mes seins, autre dans mon con, qui titille mon bouton, jusqu’à ce que je perde pieds…

Les deux sexes la prennent, un ensemble parfait, elle s’est faite liane, embrassant Jean sous elle, se frottant contre lui, et ressentant Didier, planté dans ses entrailles, entre ses deux fesses qu’elle ouvre de ses mains…

Anne, s’est faite discrète, voyant sa sœur jouir, ressentant dans son ventre les traitements divins qu’elle jouit du regard, une main dans la chatte défoncée…

Elle tourne son doigt, la porte au paradis, suivant les deux mâles, qui rythment leurs ébats…

Joanna s’offre encore, jouit, en redemande, elle crie son orgasme, délivré par sa sœur, innocente caresse sur son bouton d’amour, fait pour atteindre, l’inaccessible extase…

Joanna explose, se tord, prise dans un tremblement de terre, fouillée par des socs inhumains, elle se laisse faire, gardant un peu de maîtrise, jusqu’à ce dernier stade, elle les sent venir exploser en elle, et tous les deux ensemble, lui donnent l’hallali, ouragan de mille étoiles, elle tombe épuisée, perforée… Didier se retire en premier, la laissant respirer, le sexe de Jean toujours planté en elle, mais devenant anodin, il tombe sur le drap…
Et il laisse échapper leurs effluves sexuelles, elle n’a pas la force de les remercier, les bras en croix, puis elle se love en fœtus, mais l’œil encore ouvert et respirant très fort, vidée par ses efforts…

Anne la regarde, penchée sur sa sœur…

– Tu es une véritable amante, te donnant corps et âme, ils ont de la chance nos deux séducteurs…
– Vrai, nous sommes scotchés par vos corps de reines, votre soif de sexe, et votre abandon… Nous serons à vos côtés, deux coaches de plaisir, de liberté, et nous vous emmèneront dans les méandres flous de cette liberté qui vous tente si fort…

Nous mettons à profit ce moment de repos pour manger des sandwiches, des en-cas froid, avec terrines et charcuteries corses, Didier est un ténor…
Le rouge qui s’impose monte aux joues d’Anne, qui bredouille des mercis sans cesse, engouffrant les victuailles avec bon appétit…
Joanna, se réveille doucement, attirée par l’odeur du saucisson, du jambonneau, et des autres salaisons de l’Île de Beauté… Il aime la Corse, son pays de naissance, il aimerait y retourner y vivre… Il a encore ses parents dans un petit village typique, un havre de repos à deux pas de la mer, adossé aux montagnes…

Nous discutons de nos voyages, puis terminons ce repas, en nous levant et remerciant Didier pour cet intermède frugal, qui nous a fait voyager.

Je me glisse contre lui, m’empare de son dard, et le remercie personnellement à grands coups de langue…
Anne s’est offerte à la langue de Jean, qui mange son dessert, un fruit bien juteux, qu’il épluche avec soin, ouvre sans trop de peine et savoure à lui faire perdre haleine.

Elle se tord de désir, les doigts de son amant blottis dans vagin, qui cherchent et trouve le saint du saint, ce point magique qui la fait exulter, rugir un nouvel orgasme, se pâmer de plaisir…

Didier émoustillé, me prend par derrière et me fait une langue, cunnilingus de charme, une feuille de rose, d’une saveur inouïe… J’en perd le Nord, le Sud, je suis à l’Ouest et brâme mes orgasme à l’unisson de ma compagne de chambre, qui se donne avec fougue, se prend sur lui, l’entraîne sur le sol dans un combat torride…

Les hommes excités par leurs échanges verbaux, leurs délires, l’intensité de ce sexe en live, viennent la perforer, lui rendant ce que j’ai vécu avant la pause sandwiches améliorée…

Elle déguste, se donne de toutes parts, cherche à griffer les draps, se retrouve plantée sur un dard, suçant l’autre avec frénésie, puis ils reviennent vers elle et s’engouffrent ensemble dans son vagin dilaté comme jamais il n’a été… Ils la baisent ensemble, écartelée, elle devient une poupée de chiffons entre leurs mains expertes, jouissant sans complexe de cette position.

Alors elle me demande, me fait signe, elle veut l’embrasser partager cette expérience…
Je lui offre ma chatte, accroupie sur son visage et me laisse lécher, et triturer par ses doigts violeurs… Oh, quel pied…
Elle y met toute sa science de femme et trouve mon point G… Alors elle me porte à l’extase, je me vide de mon nectar, elle caresse mes seins déjà massés par nos deux amants… Je suis au bord de l’évanouissement, quand je sens un doigt dans l’anus, s’enfoncer comme chez lui…
L’anus c’est comme les impôts, c’est le premier tiers qui est difficile…

Elle arriva à ses fins, et l’un se retire pour me prendre à son tour, là où elle fait la trace, il me sodomise avec art et maîtrise, en levrette au bord du lit, puis à plat ventre, ouverte par son marteau-piqueur…

Nos hommes sont en folie, ils débordent d’énergie, Anne a subit les pires outrages avec grand plaisir, et moi, sodomisée, baisée, laissée pour compte, endormie et rêvant d’autres rencontres…

La pause vient à point. Nous avons une soif démente, la charcuterie nous donne la pépie, ainsi que nos performances…

– On ne se connaissait pas, Didier est un homme sage, un homme de ressources… Il vient de me confier qu’il est l’heure de s’enfoncer dans des routes moins éclairées… Nous allons nous habiller et rejoindre un établissement spécialisé pour les couples…
– Enfin une surprise, je n’osais en rêver…
– Oh, tu crois que c’est raisonnable ce soir, il est minuit largement passé…
– Ce genre d’établissements ouvrent dans la nuit, les couples s’y rejoignent pour animer leur vie intime, faire des connaissances, s’initier à d’autres pratiques…
– Allons, nous dissiper, prendre d’autres routes, mes chéris on vous l’a promis, on est à vous sans restriction…

Le club est isolé. Quelques véhicules sont garés sur le parking surveillée et éclairé…
L’entrée est sécurisée, carte d’identité, création du membre, pour chaque arrivant nouveau, homme ou femme. Pas de divulgation, juste de la prudence…

– Vous avez accès à tous les salons, ils sont expliqués plus loin. Une hôtesse vous accompagnera à notre vestiaire.

Lorsque l’on ressort, en peignoirs et avec de belles serviettes, nous consultons le menu des salons…

 Club privé. Tout membre adulte. Ambiance dance, bar, restaurant. Piscine intérieure chauffée 30 personnes. Terrasse commune ou espaces confidentiels. Niveau 1
 Club libertin. Pour les couples échangistes, salon ouvert, bar privé. Niveau 2
 Piscine libertine chauffée, jeux nautiques avec coach. Niveau 2
 Hammam, spas et saunas. Jusqu’à 8 couples. Niveau 3
 L’Afrique et ses fantasmes. Pour les dames. Exclusivité du Jeudi soir. Niveau 3
 Le Brésil et ses danseuses. Pour les conjoints du salon Afrique… Jeudi soir. Niveau 3
 Salons fantasmes à la carte. Haute Sécurité. Membres VIP ou parrainés. Niveau 4

Peignoir obligatoire dans le restaurant et les zones identifiées.
Naturisme souhaité dans les salons, le niveau 3 et supérieurs.

Repas à thèmes le vendredi soir / 21h00 sur réservation.
Toit manquement au règlement rappelé dans chaque salon et lieux d’activité, est suivi d’un renvoi immédiat, avec exclusion temporaire de deux mois.
Tout incident d’ordre sexuel, voyeurisme, comportement sexiste, abus d’autorité sera suivi d’un signalement et d’un rapport aux autorités de police locale.

La dessus, nous choisissons le niveau 2, le club libertin.

Nous immerger dans ce genre de club ne nous avait jamais effleurée.
Mais maintenant, depuis ces mois de folie, nos récentes aventures avec des inconnus, pourquoi ne pas provoquer la rencontre ?

Le salon est sympa, des tables basses, des fauteuils très larges, binômes et tête à têtes.
Des canapés immenses, où des couples font connaissance, échangeant expériences et niveau accepté. Le règlement est strict, pas de forçage, pas d’intimidation, pas de gestes, ni de mots déplacés ou obscènes, on partage en douceur, on flirte entre partenaires et si la sauce prend, on va plus loin, ici ou ailleurs, isolés à quatre ou dans un espace plus ouvert où tout le monde peut nous voir…

Nous quittons nos peignoirs, puis nous gagnons une table, aussitôt dévisagés comme des bêtes de foire par des couples qui dansent ou qui passent de table en table…
Très vite, nous sommes invités à rejoindre une table, et Jean et moi, faisons connaissance de Nolwenn et Jean-Pierre (JP)… Nous croisons nos amis, Anne semble ravie…
Le beau blond a attiré mon regard, sa compagne semble intéressée par Jean…
Nolwenn est bretonne, et JP est du Nord. Beaux yeux, il me charme, nous explique le jeu, prise de contact, visuel, puis faire connaissance, ensuite se tester réciproquement dans une danse, ou une discussion ouverte, valider pour le couple et rejoindre une zone privée tous les quatre, pour aller plus loin…

J’en sais assez sur eux, elle est très jolie et sensuelle aussi, il est très tendre, et ses lèvres douces me font chavirer. Nolwenn est dans les bras de Jean, riant de ses sottises, face à nous, nous validons tacitement et tactilement notre intérêt croissant…
JP nous conduit, un passage plus sombre, et une salle presque obscure où des couples sont allongés sur des coussins de plage, chaque couple est séparé des autres par une table basse.
Je m’allonge la première, JP vient contre moi, avec son épouse et Jean, nous voici face à face, dans 2 larges sofas…

Il m’attire contre lui et nous reprenons un baiser très tendre, puis il me caresse, seins et cuisses, que j’ouvre sans chichis…
Il vient entre mes cuisses et sa langue passe de mes lèvres, sur ma bouche, glisse sur mes tétons dressés, s’attarde sur mon ventre, puis passe entre mes cuisses et m’ouvre avec délice…
Je commence à feuler, Jean et Nolwenn, en sont au même point, c’est elle qui se régale, minaudant son engin, à grands coups de langue… Puis l’avalant en cadence, comme une grosse glace, les lèvres humidifiant la hampe, jusque dans sa gorge…
Puis elle se tourne et lui offre sa chatte, dépourvue de poils, son abricot énorme ressort comme un fruit de charme, appel non déguisé…
Elle se tourne et se retourne au fur et à mesure, que sa langue travaille, et entre dans la grotte, déjà bien détrempée…

Je me sens partir doucement, entraînée, on se tourne comme eux, je le pompe avec art, échangeant nos nectars…

Il me fait jouir, je ne laisse rien paraître, ma chatte grande ouverte, ses doigts enivrent mon clitoris en font leur esclave, je gémis de plaisir…

Il me tourne et m’embrasse, le temps est venu de continuer la découverte, je m’allonge sur le dos, les cuisses entrouvertes, mais il se glisse à l’intérieur, son sexe tendu, tenu entre ses doigts… Il vise, je me prépare, me contracte, et le gland ouvre mes lèvres, et entre dans la grotte sans plus de difficultés…
Je me sens cougar, salope mal baisée, je monte mon bassin pour avaler son dard au fond de mon vagin…

Il oui, il m’a prise, il est au fond de moi, abandonnée, conquise, il me fait l’amour tendre… Son membre entre et sort à un pas cadencé, ce lui que j’adore, celui des vagues… Je me laisse bercer, regardant nos voisins…

Nolwenn écartelée se fait jouir en amazone, plantée par le pieu de mon amant, elle feule son plaisir, en ondulant sa croupe…
C’est un régal de l’entendre jouir, de la voir se prendre, parfois elle s’accroche à cou, échange un baiser, puis remonte droite, savourant son accouplement, se relevant parfois pour descendre plus vite, plus loin, et s’arracher des râles…

JP, accélère d’un coup… Ses coups de reins sont longs, puissants, et m’emportent plus loin… Il regarde sa femme jouir de mon ami… Il me prend avec rage, me plantant sans merci, son dard démesuré, devient presque gênant… Il me troue, il me baise, il me lamine, et ma chatte s’embrase, pilonnée sans arrêt, mes seins semblent aimer, cette danse affolante… Ils se mettent à sautiller au rythme des coups de bite… Il me tourne en levrette et me reprend plus vite, et puis sans rien dire, se met à ma porte arrière, un doigt me lubrifie, puis le gland ouvre la porte, doucement en respectant l’entrée, il pousse un peu plus fort et je sens spon membre glisser dans mes entrailles et me donner chaleur et plaisir…

Il me sodomise, comme pour sa femme, les fesses relevées, tringlée par un Jean conquérant…
Nous sommes toutes les deux des jouets sexuels, enculées vite et bien, sans pouvoir rechigner, mais le plaisir divin que leurs queues nous apporte, nous interdit d’interdire cet échange… Alors on subit, en montant les aigus, il nous prennent par les hanches et deviennent machos, nous niquant sans complexe en nous pilonnant avec leurs sexes…
Je jouis la première, il éjacule sa semence sous l’effet de mes gémissements étranges…

Nolwenn devient furie quand elle le sent arriver, et écarte ses fesses pour mieux en profiter… Elle crie, elle pleure, il la baise au plus fort, son trou du cul ouvert, laisse échapper son jus…

Que de sexe en quelques minutes, du sexe déluré, consenti, libertin et ouvert, je suis laissée prendre, sans dire un seul mot, elle a fait de même, jouissant de son membre… Nous nous reposons, et sortons toutes les deux dans la salle de bains attenante…

– Ton ami m’a enchantée…
– Le tien m’a sublimée…
– On continue ?
– Oui, mais on choisit quoi ?
– Nous sommes venus avec ma sœur et son ami, ils ont dû aller rencontrer un autre couple… Moi j’ai eu de la chance de vous connaître. Vous êtes beaux et bien élevés. Vous avez de la classe…
– Pareil pour mon jugement, nous adorons vous avoir rencontrés, JP est charmé par ta sensualité à fleur de peau… D’ailleurs, je suis attirée aussi par les femmes… Et toi ?
– Je ne dis pas non. J’aime toutes les formes de plaisir que j’ai connu. Maintenant j’aimerais explorer l’inconnu, mais en évitant le hard, la douleur… Ce sont plutôt les situations qui nous intéressent, un peu comme ce soir, mais moins guidées… J’aimerais connaître les bas-fonds, mais en sécurité…
– Je vous ce que tu veux dire. Au début avec JP, il m’a emmenée me délurer disait-il… Me faire baiser par des inconnus, au théâtre pour adultes. Servir de récipient à foutre, passer d’homme en homme à la queue-leu-leu… Me comporter en pute, sucer tout ce qui passe à ma portée. Être emmenée dans un réduit crasseux, mise aux enchères pour une heure, tout accepter sans revenir en arrière, sauf urgence… J’ai tout fait. On m’a baisée dans une cave noire, plusieurs hommes toute une nuit… Ensuite dans un parking désert, me foutre à poil, et attendre… Monter à l’arrière d’une voiture noire aux vitres teintées. Être déshabillée, par deux noirs, puis réduite à l’obéissance, fellations, et prise sans égards par l’un, tout en suçant le second. Ensuite, me faire lécher, m’ouvrir comme une huitre, et les prendre ensemble… Sortir sucer d’autres gens sur une aire d’autoroute, des routiers dans leur camion, entièrement nue en pleine hiver… La deuxième fois c’était plus haut de gamme. Devenir la maîtresse d’un homme d’affaires et lui obéir. Passer dans sa chambre et faire connaissance, puis recevoir ses amis dans une autre chambre, filmée dans une orgie… Faire l’amour à d’autres femmes, devenir leur esclave, me soumettre, lécher jusqu’à leurs pieds, après les avoir faites jouir en honorant leurs chattes et les accompagnant dans une orgie lesbienne, où elles se sont goussées, avec plusieurs dames…
– Bien tu as connu plus que moi, des moments absolus… Du sexe à la limite, mais tu avais juré… Je comprends. Tu cherches quoi alors, si tu as tout osé ?
– D’autres aventures, d’autres situations, des orgies, des soirées lesbiennes, des chefs de clan recrutant pour des soirées mondaines, où sexe, alcool et drogue occupent la soirée. Mais aussi comme toi, faire des rencontres, découvrir d’autres trucs, avec plus de tout… Ici, au niveau 4, on entre dans un monde secret. Différent chaque fois. Intense, femme et femme, femme et homme, pluralité, isolée de notre homme, on traverse des salles, un parcours initiatique, étrange, on en ressort vidée… Si ça te tente on y va ensemble, on commence par nous 2, puis on se laisse emporter…
– Pourquoi pas ? Je suis ici pour ça, mais j’aimerais voir ma sœur franchir quelques étapes, le sexe à plusieurs est le dernier de ses fantasmes à l’avoir fait jouir…
– Miam, tu me mets l’eau à la bouche…

Elle me touche simplement, je caresse sa bouche, ses seins contre mes seins, et sexe contre sexe, notre premier échange, en pleine cabine de douche… Je goûte à sa chatte qui vient d’être explosée, et elle savoure la mienne à quatre pattes, je la doigte profondément, on jouit tour à tour… Ses baisers sont trop doux, ils me font trop de bien… Puis on se masturbe, allant jusqu’au bout, jouissant de sa main, une onde me parcourt, je jouis de ses doigts dans mon vagin…

Quand on ressort, les hommes nous attendent, on leur dit notre désir ce soir…
Ils sont d’accord, ce soir on se lâche : un parcours initiatique pour eux aussi niveau 4…

Nous voici tous les quatre, munis de nos billets, on suit une coursive, et arrivons devant le premier choix…

Découverte : Couple séparé ou par couple
Niveaux :

Etape 1 : Découverte, échangisme, sexe lesbien, candaulisme,
Etape 2 : Mélangisme, partouze, orgie
Etape 3 : Soumission, obéissance, BDSM soft
Etape 4 : Enfer et Damnation

Avec Nolwenn, nous prenons par le début. Nous ne sommes pas obligées d’entrer dans les salons, on peut sauter des choses que l’on connaît…

Les hommes font de même, dans leur désir de découverte…

Nous sommes dans une salle avec un écran et des projecteurs. La musique est forte, des femmes se reposent sur des matelas, elles discutent, se lèvent viennent à notre rencontre, nous invitent du regard, on choisit deux d’entre elles…
Sabrina et Lucia…
Elles nous entourent, demandent nos goûts, en glace, en parfum, ce sont elles qui décident d’un choix, moi, c’est Lucia, brune, grande, de jolis seins en forme poire, tétons roses adorables, très appétissants, des hanches galbées, des cuisses immenses, elle est très belle…
Pubis et sexe épilé, son regard me fascine, plongé dans le mien jusqu’à ce que nos lèvres s’effleurent…
J’échange avec passion, me plie à ses désirs, nous découvrons nos corps, je ressens des sensations intimes, puis du désir, comme elle… Nous voici en 69, pour une découverte bien réelle et sans complexe, nous y allons…
Saveur de vanille pour sa chatte épilée, elle s’ouvre de plus en plus, elle délivre ses saveurs, coule sa fontaine, sous mes doigts inquisiteurs…

– Tu es douce et parfaite… Tu es Joanna ?
– Oui…
– J’aime tes yeux rieurs, ta classe, même nue, tu en impose, tu es grande et sensuelle, j’aime ton parfum, la saveur de ta chatte, tu es une des meilleures que j’ai pu apprécier…
– Merci, je te trouve aussi belle, mystérieuse, envoûtante…
– Merci, je suis comme toi, je découvre à mon rythme, je suis mariée et toi ?
– Séparée en instance… Je cherche de la tendresse pour compenser ma solitude, la douceur d’une amie, partager ses soucis, partager nos envies, s’aventurer aussi… Découvrir le plaisir…
– Tu restes lesbienne ?
– Non, j’aime les hommes. Si j’en ressens le besoin, alors je m’en offre un…
– C’est pareil. Tu baises souvent ?
– Presque tous les jours, si je suis entourée…
– C’est chou, tu es adorable… J’aime ta sincérité.
– Alors bouffe ma chatte, envole-moi, fais de moi ta chienne, j’aime les mots crus lorsque je suis en manque…

On s’entend bien, prenant le temps de vivre notre découverte, jusqu’à ce moment très lesbien, où l’on excite nos sexes, emboîtées l’une dans l’autre, on se frotte en feulant le plaisir qui nous emporte… Ses lèvres comme des papillons lèchent ma chatte ouverte, puis c’est l’inverse, et l’on jouit encore, et encore, et encore…
Je sens venir l’extase, et je me donne à fond, Lucia vient de jouir, nous nous embrassons, ivres de cette envolée saphique…

On dure longtemps, passant tous les stades, ivres d’effluves femelles, de sucs et de nectar…
On a joui, déliré, on s’est délivrées de nos fantasmes, et la tendresse fait le reste, enlacées nous reprenons des forces…

– Tu as une amie en ce moment ?
– Oui, on vient de se rencontrer et on a décidé d’aller plus loin dans le monde de la sexualité, toutes les sexualités…
– Elle est comme toi ?
– C’est ma sœur… Je lui ai partagé mon premier amant, et cela lui a plu… Je l’ai invitée à se joindre à nous pour un week-end, elle a aimé notre trio, le temps de découvrir mon ami. Puis elle a trouvé un compagnon de jeux et on s’est éclatées toutes les deux… On a même commencé quelques jeux lesbiens pour eux, entre sœurs, pour le sexe…
– Tu as aimé ta sœur ?
– On n’a pas fait l’amour ! On a juste participé aux ébats de l’autre… Mais une chatte est une chatte quels que soient les doigts qui l’investissent… Elle a baisé avec mon fils, sur ma demande, il était enragé envers moi, me zieutant, cherchant des caresses, se masturbant sans gêne…
– Non ?
– Il ne l’a pas fait, et a suivi Anne, heureusement… Je n’étais pas loin de craquer, c’était au tout début de ma séparation et j’avais tant envie de baiser avec un homme, et il a dix-huit ans…
– Je comprends, j’étais aussi emportée par mes sens aux dernières vacances d’hiver… Le chalet, la chaleur du feu de bois, la promiscuité, les doux échanges sous les couettes, et le vin blanc…
– Tu t’es donnée à ton fils ?
– Non, il m’a caressée en traitre, je croyais à une amie… Je me suis laissée faire, écartelée, et j’ai joui, sa main encore dans ma culotte… J’ai voulu caresser son sexe pour la remercier, et lui rendre la pareille… Mais c’est une queue que j’ai sentie, et c’était celle de mon fils, grosse comme un gourdin, prête à me saillir dans mon dos…
– Tu n’avais pas d’homme ?
– Ils étaient partis en escalade, j’étais restée au lit avec ma belle-sœur, sa fille, mon fils, une cousine de ma belle-sœur, avec laquelle j’aurais bien aimé le faire et je pensais que c’était elle, l’ayant vue s’étendre à côté de moi… Mais elle avait suivi mon fils qui était contre moi… Il l’a baisée après, pour se venger, devant moi, dans mon lit et j’ai tout ressenti, tout entendu ; je me suis masturbée quand elle a joui en recevant son sperme…
– Nous avons toutes nos épines… Bon j’aimerais avoir ton 06, on pourrait se revoir de temps en temps…
– Avec plaisir Lucia… Ma partenaire Nolwenn est aussi proche de nos standards, je l’ai appréciée dans le premier Salon. Son mari est très beau, aux tempes grisonnantes, je l’ai très apprécié… Au fait, tu travailles ici ?
– Pas du tout, je suis comme vous, je viens chercher fortune, découvrir, rencontrer, je suis avec mon amie, et nos2 amis sont dans l’autre Salon, avec les mâles en quête de chair fraîche et de sensations nouvelles…
– Ça ne te gêne pas ?
– Non, je fais pareil, je le trompe avec sa bénédiction, d’abord ici, puis après avec plusieurs partenaires, j’aime la pluralité, si tu veux, je t’attendrai.
– Volontiers, mon amie est avec la tienne sans doute, juste de quoi s’imprimer de la fête, nous sommes hétéroflexibles, mais le désir des hommes l’emporte toujours à la fin…

Lorsqu’on ressort de cette étape, je suis un peu fatiguée…
Nolwenn me confie ses rencontres, la copine Lucia, Sabrina, a des atouts surprenants, c’est un délice, dans un écrin… Sa peau dorée, ses cheveux blonds et fins, elle mérite un autre spot, elle a son numéro…

Nos hommes sont enfin ressortis…
Lorsqu’on les questionne, ils restent dans le vague, oui, de la baise sympa, des sujets excitants, mais rien au-dessus de vous 2, mesdames…
– Les femmes que l’on a eues ? Des amies des vôtres, de Lucia et Sabrina… Jolies, sympa et pas avares de leurs corps et de leurs caresses… Des tigresses…

– Bon, alors on continue ? Nous aimerions un plat de résistance… Passer au pluriel, se fondre dans une orgie, goûter aux interdits, les drogues douces qui prolongent nos orgasmes toute la nuit…
– Moi j’aimerais des blacks, dotés de membres énormes, on m’a parlé de 30… Oui !… Centimètres… Ça se déguste comme une glace, on en jouit comme un phallus…
– Bon allez faîtes votre sélection, Femmes, pluriel, H et F, orgies, paradis artificiels, couleurs ébène, je prends tout, j’ai envie de baiser…

La salle est du même topo, cloisonnée en petits îlot sur sa périphérie, avec un salon central, un bar et des canapés, où les gens discutent… On choisit, on fait quelques pas de dance, on a pris l’habitude…
Deux hommes nous reluquent, deux blacks au comptoir… Déjà très développés, on sent monter la pression… Ils viennent nous inviter, on fait oui de la tête et on entre dans un stand privé…
Le premier c’est Adam, son copain Anatole… Martiniquais, sympas, musique, piano, guitare… Adam découvre mon sourire, caresse ma poitrine, je me fais à ses caresses, et ferme les yeux… Je sens ses lèvres, elles glissent, savourent mes tétons, mordillent, excitent, et je ressent plus bas l’effet que lui procure… J’avance ma main, c’est dur, long et large… Pendant ce temps il est venu entre mes cuisses et sa langue m’emporte, je me tourne pour partager, 69 d’école, sa glace au chocolat devient impressionnante, quand ma langue savoure le gland, glisse tout autour, puis mes lèvres l’avalent jusqu’à ce que je bute dans ma gorge… Alors je remonte la hampe, mouillant ce pieu hors normes…

Anatole a commencé à fourrer ma comparse, Nolwenn feule tout bas, en prenant les premiers centimètres…

Il faut dire que cela n’est pas ordinaire… Je le sens au-delà de mon vagin, pousser, pousser encore, faire sa place, mais sans douleur, avec charme…
Je sens ses boules contre mes fesses, il n’est pas loin d’avoir tout mis…
Quand il ressort, c’est la douleur, celle de la séparation, mais quand il re-rentre, c’est le bonheur, et là, il pousse à fond…
Petit à petit, à force de pousser, je sens gonfler mon bas-ventre, puis le plaisir me submerge, je frissonne de tout mon être, j’ai baisé un black, avec une queue hors standard… 30 cm, un record pour ma pomme… Mon mari était normal, avec Jean, mon premier amant, j’ai battu tous mes ex, même ceux d’un soir, avant mon mari, en boîte, quand je me faisais déboiter la chatte, « 18 ans je sais tout »…

Puis, récemment, Didier, levé par ma sœur à la plage, bien monté, plus jeune, plus viril, plus fougueux aussi… Quelle nuit tous les quatre…

Maintenant, celui-là, il a tout et il sait s’en servir, car le bougre me fait monter dans les tours !…

Ah, le coquin, il avait commencé en douceur, comme mes autres amants, la vague océane qui me fait jouir en multipliant mes orgasmes…
Puis la fraîcheur de Jean, et la nouveauté qu’il m’apporte, allié à la grosseur, il change de position, de style, et me pourfend toujours après avoir joui…

Quand Adam accélère, je ne pensais pas cela possible, mon sexe avale le sien, tout le long de la hampe, mes lèvres distendues lui font une corolle lubrifiant sa peau tendre, il pénètre lentement, accélère, ralentit, me tourne, me retourne, me pose au centre du lit, écartelée, offerte et il me reprend ainsi, comme s’il me clouait, transperçant mes organes…

Je crie par peur de la douleur, mais c’est le plaisir qui me submerge, déclenchant orgasme sur orgasme… Levrette, bateau ivre, tout y passe dans les classiques, missionnaire on l’a vu, puis il s’offre sur le dos, pour moi, pour mon fantasme d’amazone, de femme libérée…

J’engouffre sa chose, qui glisse comme de rien, la place est faite, comme par magie… 30 centimètres, je suis au paradis !… Assise sur mon nuage, fourrée à la chair humaine…
Quel pied ! J’aimerais rester longtemps, sentir cette chaleur intense…

Il me soulève comme un fétu de paille, et me repose, quel pied, je pousse mes délires, lâche mes onomatopées préférées… Je l’embrasse tendrement en ondulant ma croupe…

– Oh ! Tu aimes les bites noires ? Cela te dirait de rejoindre nos amis, ils sont juste devant…
– Oui, j’aimerais un duo, vous deux en moi… Puis on inversera, car elle adore aussi, se faire plaisir…

D’abord, il me doigte… Alors il va le faire… Préparer mes arrières…
Il me mouille, me distend, me détend, sa bite toujours en moi… Je fonds entre ses bras…

– Viens, oui, encule-moi, fais de moi ta salope, sodomise ta partenaire, elle va aimer, je le sens… J’ai adoré devant, alors viens dans mon derrière…

Et là, la grande classe… En levrette, bien posée dans le lit, les fesses écartées, il présente son dard… Le gland très bien mouillé, entre sans souci… Puis de centimètre en centimètre, il pousse dans mon corps cette chose étrangère, qui ouvre mon anus, et glisse sans effort, happé par ma nature, je jouis dès que je le sens au fond…
La suite, c’est de la baise, de grands coups de boutoir, qui me font perdre la face, m’envoient sur d’autres nuages, je griffe et je mords, ivre de sensations, ivre de le sentir en moi, et posséder mon corps….

J’entends Nolwenn rugir, se vider, ahaner son plaisir, déclamer ses orgasmes, vivre comme moi des instants hors du temps, entre des bras puissant et un sexe dément…

Le repos est mérité et les boissons bienvenues…
Ils sont prévenants, attentifs à notre confort, apportant des lingettes, nous laissant entre femme pour revenir sur terre…
La salle de bains est vaste, Nolwenn est méconnaissable, les traits tirés, les yeux défaits demandent une retouche, elle me parle doucement, en reprenant son souffle…

– Dieu quelle baise !… Jamais je n’avais connu un sexe de cette taille !… Il m’a défoncée, a fait saigner ma chatte, mon clito trop sollicité me faisait mal… Il m’a prise longuement, ouvrant mes organes, mon vagin distendu ayant tout accepté, il a joui en moi, de me voir excitée, de crier mon plaisir, de me libérer dans l’extase, avec mes mots crus, me traitant de poufiasse et lui de perforateur… Puis il m’a sodomisée, avec son œuvre d’art, j’ai cru mourir cent fois sous ses coups de boutoir, j’ai joui longuement, j’en redemande a encore… Et toi, tu as aimé son sexe de compet’ ?
– Bien entendu, je l’ai mangé tout cru, puis le prenant dans ma chatte, ce fut un brasero, un feu d’artifice, il a su me guider, explosant mes orgasmes, me baisant jusqu’au bout…
Ensuite me pourfendre dans mon jardin secret, comme un point d’orgue à ces ébats géniaux, bien me préparer, et commencer tendresse, puis accélérer et pistonner mes fesses, me porter à l’extase, et me voir me pâmer, épuisée de jouissance et couverte de semence…
– On le refait ensemble, avec d’autres ? On va se faire baiser par tout le personnel ?
– Ils vont nous prendre ensemble, chacune à notre tour, deux bites de 30, ça fait un demi-mètre bien pesé… Quelle soirée…

Le salon est plus grand, des portes sont marquées de symboles clairs et précis… F, H, Bi, Gais, Lesb… Pluriel, mélange, blacks, jouets, paradis artificiels….

Les portes se suivent, les gens entrent dans la première, ressortent, passent dans la seconde et etc…
Le Pluriel c’est la salle principale, tout est permis ou presque, on a des zones définis selon nos souhaits… On choisit ou on suit, on regarde, on entre dans le local, la surprise est totale, le noir presque complet… Nolwenn m’a suivie, des mains nous tâtent, on avance au fond…

Ils sont en pleine action à nous à les rejoindre, hommes, femmes, en train de baiser, se faire baiser, par plusieurs partenaires, on dit non, on dit oui, on accepte ou pas…
– Oui… On est deux…
– Venez princesses, allongez-vous ici, n’ayez crainte, nous sommes vos amis… Nous voulons votre bien, votre corps aussi, alors faites ce que vous voulez, caressez le voisin, la voisine, les deux ensemble… Échangez, choisissez, embrassez, on aime le partage…

Je retrouve Lucia, j’aperçois Didier, Sabrina, Anatole…
Je me glisse vers elles, Lucia fait une fellation à Didier, en train de caresser les seins de Sabrina, baisée par Anatole…
Je me perds dans les prénoms, on me caresse, on veut mon sexe, je m’ouvre, et sens un doigt ouvrir mon vagin… La soirée commence, je ne sais pas qui c’est…

Anatole est devant moi, sur le dos et seul… Je monte sur lui, l’embrasse, je parle de mon amie… Oui, l

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