Je m’appelle Chiara, je suis une jeune femme de dix-huit ans, jolie brune aux yeux bleus lagon. J’ai découvert ma sexualité lorsque j’avais seize ans, avec une fille plus jeune que moi. Elle m’a fait devenir accro à elle et au sexe, et depuis, je suis une vraie nymphomane. J’ai adoré goûter à la chatte et à la cyprine, délicieux goût… Après notre rupture, je me suis retrouvée en manque constant de sexe. Où que je sois, j’étais excitée, et ma culotte était continuellement trempée. J’en souillais tous mes sous-vêtements. Un jour, j’ai eu envie de découvrir ce que pouvait être le sexe avec un homme. C’est ainsi que j’ai rencontré mon Maître, qui m’a promit de me faire aimer le goût de la bite et du sperme, autant que celui de la mouille d’une fille. Et il a eu raison… Depuis, je ne peux plus passer une semaine sans avoir reçu le sperme d’un homme dans ma bouche. J’aime le recevoir, j’aime jouer avec en le faisant tourner autour de ma langue, en me l’étalant sur les seins… En plus d’une nymphomane, je suis devenue une vraie chienne, une petite esclave avide de sexe et comblée lorsque je satisfais les hommes qui me confie leur précieux outil.
Aujourd’hui je fête mon dix-huitième anniversaire. Mon Maître m’a promis une soirée d’exception pour cet événement si particulier. J’ai hâte, il sait que je désire me soumettre corps et âme durant cette soirée, je lui ai confié mon envie ravageuse d’être remplie par des dizaines d’hommes, d’être humiliée, souillée, utilisée.
Pour l’occasion, je me suis vêtue de ma tenue la plus flatteuse. Une robe moulante, d’un rouge éclatant, mettant valeur mon généreux fessiers et mes petits seins d’adolescentes. Je glisse à mes pieds une délicate paire d’escarpins noirs, dans lesquels je marche avec difficulté, mais qui ne feront qu’ajouter à l’excitation des hommes présents. J’aime représenter le fantasme parfait à leurs yeux. J’assortis mes lobes de boucles d’oreille en argent, se perdant dans mes cheveux que j’ai bouclé pour l’occasion, et qui retombe en cascade sur mes épaules. Sur mes lèvres, un rouge assorti à ma robe, vif et lumineux, parfait accessoire à mon sourire charmeur.
Mon dernier détail en tant que brave chienne, un plug d’un diamètre sûrement trop élevé pour la jeune fille que je suis… Je me permets une pause lors de ma préparation pour jouer avec quelques minutes, dilatant mon anus en annonce à cette soirée qui promet de lui en faire voir de toutes les couleurs. Je mets fin à contre cœur à cet agréable intermède, prête à vivre une parfaite soirée de débauche et de soumission.
Je sors de mon appartement. La nuit est déjà tombée, et rares sont les voitures qui passent encore à cette heure. Je remarque rapidement la voiture de mon Maître, garée sur le parking à quelques mètres de moi. Avec assurance et du haut de mes talons, je me dirige vers lui, souriante. Ma hâte se lit dans ma démarche. Arrivée à sa hauteur, je tente d’ouvrir la porte passager, mais je découvre que cette dernière est fermée à clé. Mon regard se pose alors sur mon Maître, qui sort de la voiture. Il s’approche de moi, ses pas sont lents, sereins, et le mènent à se poster juste devant moi. Je pense distinguer un air d’étonnement sur son visage, mais un sourire malicieux me prouve que tout est calculé.
« Bonsoir Chiara. Il semblerait que ta porte soit bloquée. Je crains de devoir te mettre dans le coffre pour ce trajet. »
Je lui souris, obéissante. L’idée de commencer la soirée ainsi traitée est loin de me déplaire. Je le vois se diriger de nouveau vers la voiture, et en sortir un grand sac noir. Plongeant sa main dedans, il en libère deux accessoires qui me semblent destinés. Il me fait signe de me rapprocher de lui. Je distingue dans ses mains un bandeau, qu’il place délicatement sur mes yeux, ainsi qu’un bâillon boule qu’il fourre dans ma bouche. De sa délicieuse voix grave, il me murmure à l’oreille :
« Ainsi, je suis certain que tu seras sage. »
Il me précède en ouvrant le coffre, att**** ma main et me guide jusqu’à celui ci.
« Le trajet ne sera pas long, je compte sur toi pour t’occuper de ce corps si joliment vêtu pendant ce temps. Ne tâche pas ta robe. »
J’entends le bruit du coffre que l’on claque, puis celui de sa portière. Je suis allongée sur le côté, les jambes repliées en boule sur moi-même. Le moteur s’allume, les vibrations rende ma position moins désagréable. Comme il me l’a ordonné, je commence à me caresser pour me faire mouiller, tout en faisant attention de ne pas laisser dégouliner ma cyprine sur ma robe. Je pince mes tétons et masturbe énergiquement mon clitoris ; j’ai envie de me faire jouir avant d’arriver, pour m’offrir à mon Maître complètement mouillée. Sa queue glissera ainsi parfaitement en moi… Le moteur se coupe au bout de dix minutes. Je n’ai pas réussi à me faire jouir, mais je ne peux pas m’arrêter. J’en ai trop envie désormais. J’entends la portière conducteur s’ouvrir, et des pas sur ce qui semble être du gravier. Le coffre s’ouvre, un courant d’air frais s’engouffre. Malgré cela je suis bouillante comme la braise, et faisant mine de ne pas avoir remarqué l’arrêt de la voiture, je continue de me masturber. Mes yeux sont toujours bandés, mais je sens son regard posé sur moi. D’un coup, j’entends ses pas s’éloigner de moi. Je suis étonnée, mais ne stoppe pas mon activité pour autant. Je sens que j’y suis presque… Quelques murmures semblent résonner au loin, et je distingue des pas qui reviennent vers moi. Ils semblent plus nombreux. Tandis que mes deux mains sont affairées, l’une agitant frénétiquement mon clitoris, et l’autre glissant trois doigts dans ma chatte dégoulinante, je sens une main étrangère se poser sur mes seins. Elle est froide, je suis prise d’un frisson très agréable… Ses doigts viennent agripper mon téton, et le tirer légèrement. Et alors que je commençais à penser que seul mon Maître était revenu pour s’occuper de moi, deux autres paires de mains se mettent à caresser tout mon corps. Mes jambes, mon ventre, l’intérieur de mes cuisses… Je vais jouir, je le sens. Je suis observée sans les voir, je leur offre une vue parfaite en écartant ma chatte pour eux, j’entends à leurs souffles que je les excite… C’est lorsqu’une énorme queue, dure comme le bois, force l’entrée de ma bouche, que j’explose de jouissance. Des doigts inconnus me pénètrent à une vitesse folle tandis que je crie mon plaisir à travers la boule emprisonnée dans ma bouche. Je suce la queue que l’on me présente avec envie, je m’accroche à elle tandis que l’orgasme me dévore.
« Quelle petite chienne… »
Je reconnais la voix de mon Maître. Sa main vient caresser mon visage, il embrasse mon front en me félicitant pour ce joli spectacle, et me chuchote doucement :
« Tu es magnifique mon ange. Tu es prête maintenant ? La soirée ne fait que commencer, et il y a une dizaine d’hommes dans cette maison qui attendent la petite pute que tu es. Ton spectacle leur a donné faim… »
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