Mon mari et Christian aiment me traiter comme une chienne. Il faut dire que j’aime ça aussi.
J’aime être humiliée dans ces jeux. Quand ils invitent leurs amis pour des soirée spéciales. Ils me présentent comme une «vide-couilles» prête à se faire baiser. Dans ces moments là, ma seule ambition est de donner satisfaction à mon homme. Alain et Christian savent bien que je suis vicieuse. Dès mon adolescence j’étais comme ça. Mon Oncle Vick m’a éduqué et par la suite je sortais avec tous les mecs qui avaient envie de moi.
Un jour, je suis tombée sur un type plus vieux que mes aventures habituels. Il m’a emmenée sur sa moto voir ses copains. Ce jour là, j’ai participé à mon premier gangbang. Dabord il a fallu que je les suce tous.
Puis ils m’ont baisée. J’ai dérouillé et j’ai aimé ça. J’ai adoré les remarques obscènes de ces hommes qui se servaient de moi pour leur plaisir. J’ai adoré le foutre dont il me souillaient le corps. Il était très virils.
J’ai un besoin viscéral d’une queue. J’avais beau me branler à grands coups de gode, cela ne suffisait pas. C’est ainsi que j’ai accepté d’épouser celui qui est devenu mon mari. Lui c’est le Maître idéal, celui qui comble tous mes fantasmes, assouvit tous mes vices. Depuis, Christian est venu en renfort et à eux deux, ils se font plaisir avec moi.
Ma vie sexuelle est un bonheur quotidien avec ces deux mâles. Je vous ai raconté l’histoire abracadabrant de la réalisation d’un fantasme avec un inconnu au bord de l’étang. He bien, plusieurs jours après cet écart, je reçois un SMS de cet amant.
« Bonjour Michèle. J’ai très envie de te baiser comme tu l’aime. Rendez-vous chez moi Jeudi à 15h00. Bises sur ton clito ! »
J’hésite un instant, je montre le SMS à Alain qui en parle à Christian. Tout les deux sont plutôt amusés et me donne leurs aval à condition de filmé le rendez-vous et de le diffuser sur le net.
Le Fameux Jeudi, quand il ouvre sa porte, il m’embrasse tendrement en me glissant à l’oreille :
« Tu es exquise et comme je te l’avais dit la dernière foi, tu es trop bonne pour ne pas être partagée. »
Surprise, c’est avec une boule au ventre que j’aperçois un grand black nu avec un engin monstrueux entre les cuisses dans le salon.
Mon amant se met derrière moi pour m’empêcher de fuir et me saisissant par les hanches me susurre à l’oreille :
« On va bien te sauter avec mon pot et sa grosse bite va bien t’élargir ! »
Devant son ami, tout en me disant des insanités, ses mains sont remontées sur ma poitrine. Je me laisse faire tétanisée et obnubilée par ce mamba noirs dressé sous mes yeux. Le désir m’envahit et je sens déjà ma chatte couler. Il remonte ma jupe dévoilant mon string, puis, brutalement, il m’ordonne en me claquant les fesses :
« A quatre pattes et va le sucer ! »
Comme hypnotisée, j’obéis, me déplace vers ce montre en me demandant comment je vais pourvoir prendre un si gros truc dans ma bouche. Le black sourit en me voyant arriver et me laisse prendre l’initiative pour le sucer. J’en ai mal à la mâchoire tant il est énorme mais j’y arrive et me met à le pomper en caressant ses couilles qui sont proportionnelles à sa bite.
Ce n’est pas pour me déplaire de sucer un tel truc et d’être prise comme une vulgaire femelle. Je ne pense même plus à mon ôte qui se délecte de me voir avec un tel engin dans ma bouche. Au début passif, mon black commence à me baiser la bouche avec des mouvements se faisant plus rapides et brutaux. Il se met à me dire des choses atroces de vulgarité en m’insultant :
« T’aime ça être te faire défoncer la bouche par une grosse queue noire ! Sale chienne blanche mon pote va te démolir le cul pendant que tu me pompe comme une grosse pute ! «
L’autre s’approche en me disant :
« T’es qu’une grosse cochonne de bourge ! J’avais t’encule comme une salope ! »
Sur ces mots, il pose son gland sur ma rosette et d’un coup, d’un seul il pousse et m’élargie sans préliminaire. Je veux hurler mais la grosse verge noire m’emplit la bouche.
« Amed ! Il est bon son cul de pute ! Tu vas pouvoir l’essayer après moi ! »
Mon cœur bat la chamade et la douleur est intense. Amed approuve son pote :
« Houai ça m’étonne pas ! Les bourgeoises sont toujours les plus grosses salopes ! Je suis sûr que ne t’as jamais eu un sexe aussi gros dans ta bouche de grosse vache ! »
Me tenant par les cheveux, il m’étouffe avec son gros machin. L’autre, tout en continuant à me marteler le cul, applique de grandes claques sur les fesses, en disant :
« T’as vu les mamelles qu’elle a cette vache à lait , ! Palpe-moi ça ! »
Pendant que je me fais défoncer par mon amant et que j’ai cette grosse queue dans la bouche, il me pelote durement les seins.
« Elle pompe bien ta pute ! »
Mon amant, surexcité de voir la colonne noire de son ami allée et venir dans ma bouche, se met à jouir m’inondant de son sperme mon intestin. Il se retire et dit à son pote :
« Viens la prendre par le cul ! Je l’ai bien élargie et graissée ! »
Le noir quitte ma bouche et s’engage dans mon petit trou. Même si son pote à fait la place, son engin est si gros que cette sodomie ressemble à un dépucelage. Je veux crier mais mon amant me met sa queue ramollissante et souillée dans la bouche pour me faire taire.
Après quelques va et viens sans doucheur, le black jouit à son tour, déversant des quantités impressionnantes de liquide séminal sur mes fesses et se terminant sur mon visage.
L’assaut à été rapide mains intense. Je suis épuisée et ma mâchoire et mon cul me font mal. J’ai pris un certain plaisir à cette saillie, mais je n’ai pas joui. Malgré cette dépravation infamante, dans ma demie inconscience, je me rends compte des flashes qui crépitent en me prenant en photo recouverte de sperme. Alain et Christian seront content. Il auront des souvenirs.
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