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Géraldine tome 2-Chapitre 12

Géraldine tome 2-Chapitre 12



Chapitre XII – Signature cuisante

Ambre frappa a la porte du bureau de Maîtresse Xaviera, attendant patiemment l’autorisation d’entrer, tandis que Géraldine gigotait doucement dans les entraves qui la fixait solidement à sa chaise roulante.

 » – Entrez ! ”
Dit la voix de Maîtresse Xaviera.

Ambre introduisit la chaise dans le bureau, et se plaçant en position d’attente au coté de la soumise.
Maîtresse Xaviera était debout derrière son bureau, fumant une de ces longues cigarettes, en regardant les deux soumises punies, enchaînées l’une à l’autre et recroquevillées, dans leur cage commune trop petite, arroser par une pluie qui commençait à tomber autant que la veille.
Mais heureusement pour elles, Hugo venait d’arriver pour les installer de nouveau  bien au chaud au réfectoire.
Géraldine remarqua tout de suite le changement de coiffure de la Directrice. Elle était coiffée d’un chignon banane, noir de jais. Deux larges créoles de strass, assorties à son collier, ornaient ses oreilles. Elle portait une robe de latex très moulante à manches volant, cintrée à la taille par une partie corset qui faisait ressortir sa poitrine agréable, mais le regard de Géraldine fut fasciné par la French maid maladroite de la veille transformée en cendrier humain par Hugo.
Son corps était recouvert d’une catsuit de latex noir, d’où seuls son clito flasque et bagué, ainsi que ses petits tétons annelés sortaient, en soutenant un  petit plateau de métal. Une petite bouteille d’eau ouverte et un café fumant y étaient posés, accompagnés des cigarettes et du briquet de Maîtresse Xaviera. Mais cela n’était rien par rapport au confort de sa position.
La soumise était en équilibre sur ses genoux, posé sur un plateau avec un pied central coupé sur mesure, qui maintenait ses jambes repliées sur elles-mêmes et solidement fixées solidement, ainsi que ses bras et son torse.
Sa tête était couverte d’une cagoule de latex aveugle, et de légers renflements aux oreilles signifiaient son isolement complet. Un harnais de tête de latex muni d’un large ring-gag lui renversait la tête en arrière et était fixée au haut du pied, et sa langue était étirée à l’extérieur de sa bouche écartelée par un piercing anneau, relié à ceux de ses tétons.

 » – Ahh !!! La petite Géraldine enfin propre ! ”
Dit Maitresse Xaviera avec un large sourire, en tapotant sa longue cigarette sur la langue étirée de son cendrier, y faisant tomber sa cendre incandescente.

 » – HAAANNN ! AAARRRGHHH !!!… ”
Déglutit la pauvre Sissy-cendrier, quand la cendre lui brula sa langue en totale disponibilité.

Géraldine baissa un peu plus les yeux, quand Maîtresse Xaviera s’approcha d’elle.

 » – Prête pour recevoir tes jolis seins et tes nouveaux anneaux permanents, tel que le désire ta Maîtresse, petite Sissy. ”
Murmura la Directrice au creux de l’oreille de la Sissy entravée, en lui caressant ses sensibles mamelons annelés, tout en les étirant légèrement.

 » – Mmmpphhh… Mmmpphhh…  ”
Acquiesça  la petite soumise, d’un signe de tête, en se recroquevilla sous la caresse des longs ongles qu’elle sentait glisser sur sa peau.

 » – Et je vois que la sonde montre le droit chemin à tenir au clito inutile
pour une petite salope soumise et passive, telle que toi ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, en descendant sur l’entrejambe, entrouvert par les entraves de Géraldine.

 » – Mmmpphhh… Mmmpphhh…  ”
Couina doucement la petite chienne soumise, en affirmant le fait du calme forcé de son petit clito, d’un signe de tête, en se demandant si elle rebanderai un jour, en voyant le flasque clito bagué de la soumise-cendrier, tout en pensant à la découverte de l’extase que lui procurait le plaisir anal dont elle était maintenant devenu le jouet.

 » – Bien !!! A ma grande joie, je vois que tu comprends bien vite les leçons que l’on t’enseigne. Cela t’évitera de nombreux désagréments dans ta vie de soumise ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, en retournant égoutter une nouvelle fois sa cendre, en poussant un peu la précédente, dans la gorge offerte de la soumise-cendrier, en l’accompagnant d’un peu d’eau de la bouteille.

 » – HAAANNN ! AAARRRGHHH !!!AAARRRGHHH…”
S’étouffa presque la soumise, en avalant les cendres, sans que Maîtresse Xaviera n’y prête aucune attention.

On frappa à la porte.

 » – Entrez ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, avec un regard agacé, en attendant de savoir qui venait la déranger en pleine réunion.

Une soumise-secrétaire, entra dans la pièce.
Son corps était entièrement recouvert d’une catsuit de latex couleur chair, et elle portait par-dessus, un tee-shirt de latex blanc échancré à manches courtes, joliment gonflé par ses seins, sa jupe trois-quart de latex noir, légèrement évasée était si étroite, ajouté à ses chevilles entravées par une courte chaîne, l’obligeait à faire de tous petits pas sur ses hautes plates formes noires.
Sa tête était recouverte d’une cagoule de latex noire, avec des liserets blancs autour des yeux et de la bouche, et qui surplombait son cou cerclé d’un large collier de métal qui faisait également barre d’entrave, et qui lui maintenait les bras bras ecartés, où ses mains gantées tenaient chacune une feuille.

 » – Bonjour Madame la Directrice. Je vous apporte les papiers pour Géraldine.
Son contrat d’éducation signé par sa Maîtresse qu’elle doit parapher,
ainsi que la décharge en cas de soucis majeur pour l’école…
Que sa Maîtresse a également signée. ”
Dit la soumise en baissant les yeux, vu que ses papiers auraient du être sur le bureau de la Directrice, avant l’arrivée de Géraldine.

 » – MAUDE ! Je croyais ne jamais les avoir ses papiers ! ”
Répondit sèchement Maîtresse Xaviera, avec un regard de courroux envers sa secrétaire, en tapotant une nouvelle fois sa cendre chaude sur la langue de sa soumise-cendrier gémissante, mais la soulageant de la tasse de café qui pesait, sur le plateau relié à ses anneaux de tétons.

 » – Pardon Maîtresse ! Mais le téléphone n’a pas arrêté de sonner ce matin…
Je ne pouvais pas écrire.”
S’excusa la soumise-secrétaire, sachant pertinemment que cela ne lui éviterai en rien une punition des mains de la Directrice.

 » – Ma patience a certaines limites ! Pense au privilège de ta place à être dans un bureau,
petite flémarde !… Retourne donc travailler ! Je réglerai le problème de ton retard plus tard. ”
Ordonna Maîtresse Xaviera sur un ton de réprimande ,en vidant le fond de son café fumant, dans la gorge de son cendrier.

 » – HAAANNN ! AAARRRGHHH !!!AAARRRGHHH…”
Déglutit difficilement la soumise, forcée d’avaler ce mélange de café chaud et de cendres froides.

 » – Oui, Maîtresse. ”
Répondit la secrétaire, entravée en baissant les yeux, s’en retournant vers son confortable bureau.

 » – Elle ne tape pas bien vite sur le clavier avec son crayon !
Mais elle avait toute la journée d’hier pour le faire. Je suis sur qu’elle rêvasse parfois…
Un peu de repos lui ferai le plus grand bien…
Et je pourrais en former une autre pour ses cas là, une alternance ! ”
Ironisa Maîtresse Xaviera, portant son regard sur Géraldine.

 » – Ce serai une excellente idée, Madame la Directrice ! ”
Répondit la préceptrice en caressant la tête de Géraldine.

 » – Mmmpphhh… Mmmpphhh…  ”
Soupira la petite soumise dans son bâillon, en se recroquevilla sous la caresse de sa préceptrice, se sentant de nouveau l’objet de tant de convoitises.

On frappa de nouveau à la porte.

 » – ENTREZ ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, sur un ton d’agacement.

Une French Maid de l’accueil soutenait la pauvre Kitty, au visage décomposé par la souffrance, mais que Géraldine trouva malgré tout, magnifiquement belle.
Elle était entièrement nue, et son corps n’était que plaie, zébré d’une multitude de traces de coups de fouet, rien n’avait été épargné. Ses fesses et ses seins annelés étaient marqués également de brûlures de cigare, et des coulures de sang maculaient l’intérieur de ses cuisses.
Le visage de Maîtresse Xaviera se décomposa à cette vue. Ses yeux se voilant légèrement, lui faisant  écraser avec rage sa cigarette sur la langue de sa soumise-cendrier qui hurla comme elle put sous la douleur.

 » – Ambre, allez me cherchez Clara ! Elle saura quoi faire. ”
Dit Maîtresse Xaviera, tout en venant aider la soubrette à soutenir sa chatte bien-aimée.

Elles la déposèrent sur les coussins à l’intérieur de l’enclos. Maîtresse Xaviera signifiant à la French Maid  qu’elle pouvait s’en aller, tout en s’accroupissant prés de sa soumise. Elle commença à caresser le crane nu de sa soumise, la rassurant et l’interrogeant du regard.

 » – Au début ça a été… Ils se sont juste servis de moi… Mais…
Mais après… Ils m’ont empalée sur un cône de chantier et m’ont fouettée
C’est son ami qui m’a brûlé avec son cigare… Je leur ai dit d’arrêter Maîtresse…
Que vous ne vouliez pas de marques !…
Pourtant, j’ai dis les mots de Maîtresse, mais ils avaient bu… Ils ne m’ont pas écoutée…
J’ai mal Maîtresse… ”
Expliqua la pauvre chatte torturée, en pleurant des larmes de douleurs de ses yeux rougis par sa nuit de supplices.
 
 » – C’était la dernière fois, Ma Kitty. Cette fois il est allé trop loin !
J’ai de quoi pourvoir son fantasme ! Mais plus jamais, il ne te touchera ! ”
Affirma Maîtresse Xaviera, en plongeant son regard dans l’océan de celui de sa chatte.

En réponse, celle-ci posa sa tête sur les genoux de sa Maîtresse, et elles restèrent là, comme si elles étaient seules au monde, ignorant complètement la présence de Géraldine.
Cette dernière, solidement entravée sur son siège, regardait une Maîtresse autoritaire faire preuve d’une tendresse qu’elle ne soupçonnais pas. Elle aperçue le  tatouage qu’arborait Kitty, sur son pubis zébré de sa nuit . C’était une menotte qui entourait un cœur plein, où s’était glissé un
 » X ”, prouvant son amour à sa Maîtresse.
Ambre rentra avec un fauteuil roulant, accompagnée de Clara, qui portait de quoi soigner et surtout, faire disparaître les cruelles traces qui marquaient la peau de la chatte de la Directrice.

 » –  Faites vous accompagner à mes appartements, et installez la dans mon lit !
Je veux pouvoir la surveiller, cette nuit si il y a un souci !
Je vous rejoint dés que j’ai pris congé de mademoiselle et appelé Brent. ”
Dit Maîtresse Xaviera, dont le regard brillant se voilait de rage.

 » – Bien Madame la Directrice. Avec des compresses d’argile et ma pommade miracle,
cela devrait disparaître rapidement. Vous pourrez la caresser de nouveau bientôt. ”
Répondit Clara, en installant la malheureuse Kitty sur le fauteuil.

L’infirmière partit vers les appartements de la Directrice, accompagnée de la French Maid qui l’avait ramené au bureau, elle faisait partit des personnes qui connaissait le lien invisible qui soudait cette dure et intransigeante Maîtresse à sa seule soumise véritable.

Le regard transperçant de noirceur, Maîtresse Xaviera s’alluma une nouvelle cigarette et décrocha son téléphone pour appeler Maître Brent.
La Directrice ne laissa aucun répit à son interlocuteur, en lui expliquant certaines doctrines valables entre Dominants et esclaves. Elle lui affirma qu’il avait touché la petite Kitty pour la dernière fois, et qu’il n’avait qu’à venir faire son choix dans le cheptel des chiennes à la vente, pour ses jeux cruels, lui notifiant même qu’il y aurait bientôt une nouvelle chienne très braillarde, quand sa langue était libre.
Plaçant le téléphone à proximité de la tête de sa soumise-cendrier, Maîtresse Xaviera déposa sa cendre incandescente sur la langue étirée.

 » – HAAANNN ! AAARRRGHHH !!!AAARRRGHHH…”
Hurla la pauvre Sissy-cendrier, dont la langue était comme chauffée au fer rouge par la cigarette de la Directrice, qui avant de raccrocher, rappela au passage à Maître Brent, la promesse des nouvelles tenues pour sa chatte, malgré le fait qu’elle devrait attendre pour pouvoir les enfiler sans douleurs. Ayant retrouver quelque peu son calme, Maîtresse Xaviera s’approcha de Géraldine, tétanisée dans son fauteuil.
 » – Bien, passons aux petites signatures, petite Sissy. ”
Dit Maîtresse Xaviera en libérant une main de la soumise, et lui tendant un très court crayon, lui posant les feuillets la concernant sur les genoux. Géraldine prit le crayon comme elle pu de sa main libre, handicapée par ses très longs ongles comme lui avait imposer sa Maîtresse. Elle commença à lire la premier page, mal lui en prit.
 » – Je ne t’ai demandé de les lire, soumise ! Ta Maîtresse l’a fait pour toi, tu es sa propriété ! Appose juste ton initiale au bas de chaque page au coté de sa signature. ”
Ordonna Maîtresse Xaviera, en lui redressant le menton, pour plonger son regard glacial dans celui de la soumise.
Géraldine baissa les yeux et s’exécuta, paraphant un  » G ” sur chaque page, comme lui avait demandé la Directrice.
 » – Voila qui est parfait, petite Sissy ! … Bon, je vais rejoindre ma petite Kitty !
Je passera prendre de tes nouvelles d’ici deux ou trois jours et voir comment se passe ta cicatrisation. Mais rassure-toi, mes infirmières sont là pour prendre soin de toi ! ”
Dit Maîtresse Xaviera ,sur un ton d’une ironie tout en lui caressant ses petits seins naissants.
 » – Mmmpphhh… Mmmpphhh…  ”
Soupira la petite Sissy, frémissant sous les termes à double tranchant employés par Maîtresse Xaviera.
 » – Ambre ! Une fois déposé la petite Géraldine au bloc, revenez chercher mon petit cendrier.
Elle sera bien mieux dans la salle de repos que toute seule dans mon bureau. ”
Dit Maîtresse Xaviera, écrasant sa dernière cigarette sur la langue de sa soumise-cendrier, qui lui arracha un nouveau cri de douleur.
 » – Bien, Madame la Directrice. Ce sera fait.”
Répondit la préceptrice, en ouvrant la porte a la Directrice, qui rejoignait ses appartements, où l’attendait sa chatte soumise.
Ambre rattacha la main libre de Géraldine et reprit le couloir où se trouvait le réfectoire. L’ascenseur que Géraldine n’avait pas remarqué, et qui menait à la salle d’opération, était au bout. En apercevant Hugo, Ambre s’arrêta au réfectoire. Il s’occupait d’entraver la dernière soumise punie, à l’identique de la première. Celle-ci était muselée par un harnais de tête gag-ball muni d’un anneau, et relié par une courte sangle qui lui étirait la tête en arrière flottait telle un lustre à plus de deux mètres du sol. Son ventre reposant sur un axe de bois auquel était raccordé un savant mélange de barres métalliques, bloquant les bras de la soumise en position écarté. D’autres lui maintenait les jambes repliées. Des chaînes reliées à des pinces japonaises fixées à ses tétons et ses couilles inutiles, pendaient, en attendant d’être lestées des dévidoirs à couverts.
 » – Bonjour Ambre.”
Dit Hugo, en se retournant sur la préceptrice qu’il aperçu du coin de l’œil, tout en hissant la deuxième soumise à la hauteur de la première, et de cadenasser les deux gag-balls entre eux. Les deux soumises auraient pu mélanger leurs larmes, tellement elles coulaient déjà.
 » – Bonjour Hugo, une belle œuvre encore. Dommage que je ne sois pas de garde au réfectoire,
ce soir ! J’aurais pu en admirer bien plus ! … Je dois y aller.
Cette petite Sissy est attendue pour un développement cellulaire. ”
Ironisa la préceptrice, en faisant un petit sourire à Hugo par dessus son épaule, tout en tortillant son petit postérieur moulé de latex, en poussant Géraldine vers l’ascenseur.
Le bloc opératoir était glacial, il était constitué d’un couloir qui desservait deux salles, ”OPERATIONS ” et « REVEIL”. Une infirmière en tenue de bloc opératoire sortait de la salle de réveil, avec un fauteuil roulant. La pauvre Sissy qui était dessus portait un gros et large bandage gonflé à sa poitrine, annonçant la pose de prothèses mammaires importantes, ainsi qu’un bandage au cou, supposant une opération des cordes vocales et de la pomme d’adam. Malgré les tatouages permanents pour ses sourcils, paupières et tour des lèvres, Géraldine reconnu le visage de jeune voleur qu’elle avait vu se débattre à l’épilation, la veille. C’est à ce moment que Géraldine fut prise de panique, devant l’irrémédiable opération qui allait la transformer en une  » poupée soumise transexuelle ” au service de sa Maîtresse.
 » – MMMMMMMPPHHH !!! NAAAANNN !!!MMMMPPHHH !!! ”
Gémit  Géraldine, en commençant  à se débattre dans les solides entraves qui la maintenait sur son fauteuil.

 » – Elles le font toutes, ces petites chiennes ! Mais une fois sur la table, ça leur passe … Donnez Ambre, je m’en occupe ! En échange, je vous donne celle-ci.
Elle est à mettre au conditionnement avec soins intensifs ! ”
Plaisanta l’infirmière, en tendant le fauteuil de la petite voleuse à la préceptrice, qui tourna les talons en laissant une Géraldine toute agitée aux mains de l’infirmière.

 » – MMMMMMMPPHHH !!! NAAAANNN ,MA’AME ! S’I OU’ PLAI!!!MMMMPPHHH !!! ”
Geignait Géraldine, en se débattant comme elle pouvait, tandis que l’infirmière lui avait déjà fait un garot au bras, et cherchait une veine.

 » – Arrête de bouger, sale petite Sissy ! Cela ne sert plus à rien.
Tu es à la dernière porte pour ta nouvelle vie ! ”
Ordonna l’infirmière en lui montrant une aiguille de perfusion.

 » – MMMMMMMPPHHH ! ‘AITES ‘AS ‘CA, MA’AME ! AAAHHHH !!PI’IE !!!MMMMPPHHH !!!  ”
Pleurnicha  doucement la Sissy, en secouant négativement et inutilement la tête, tandis que l’aiguille rentrait dans sa chair.

 » – Voila, petite Sissy …Dit adieu à la platitude de ta poitrine.
Quand tu te réveilleras, tu en auras une de jolie poupée à offrir à qui voudra jouer avec ! ”
Murmura l’infirmière à la Sissy,en caressant la petite poitrine hormonée de Géraldine.

 » – Mmmpphhh… Mmmpphhh…  ”
Soupira Géraldine, en sentant un froid l’envahir, tandis que sa tête ne se portait plus sur ses épaules.

Elle plongea dans le sommeil artificiel.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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