Tout commence le matin d’un jour commun ou en allant travaillé, je n’avais pas encore remarqué cette nouvelle voisine de l’immeuble d’à coté.
Nous nous croisions au début comme deux bons inconnus et les jours passèrent jusqu’au jours ou nous fîmes attention plus intensément l’un à l’autre.
Les premiers regards étaient en test et quelques sourirent en coin venaient se mener à cette danse..
Je la détaillai de haut en bas, c’est une femme d’une trentaine d’année comme moi, jolie brune et souvent les cheveux attachés avec un joli cou, elle est mince et fine, on lui devine un petit fessier bien ferme ainsi que de petits seins bien droit, elle s’habille à plusieurs variantes selon les jours autant en pantalon tennis tee-shirt où une robe estivale peut-être aussi de son choix.
Les jours passent et notre jeu prends forme, je la guette et la regarde mais madame ne sans laisse pas compté, j’ai l’impression qu’elle veut plus et ne va pas tarder à me le signalé…si seulement je pouvais dire vrai !
Un matin, je la vois, elle s’arrête loin devant moi et me fait un sourire dont elle a le secret en passant doucement une main dans ses cheveux tout en se mordant sa lèvre rosée inférieure de ses belles dents blanches..Dans ma tête, ça ne fait qu’un tour, elle me cherche, c’est sûr, et elle va me trouvé..
Les jours passait, et oui, on ne se croisait pas tous le jours non plus..
Quelques matins sans rien…dommage, je me languissais..
Mais madame était maline et se faisait désiré, j’en suis sur..d’où mon avantage !
Et enfin, je la croisais, un soir(pour changé)..le quartier était désert dans ce coin ombragé ou l’on ne nous voit pas vraiment(restons discret, on ne va pas s’exhiber).
Elle portait une robe fleurie et froissée avec un décolleté dévoilant la fente de ses petits seins, elle portait un collier de perle blanche, cheveux attachés, petite ballerine blanche.
Elle me voit, elle se baisse directement, et là je vois ses deux globes libre flotté sous sa robe, deux petits seins merveilleux qui ne demande qu’à être malaxés, j’en perçois même ses deux tétons qui me semble pointu d’excitation..et en se levant elle prends dans sa bouche son collier de perle et le suce devant moi tout en se caressant un sein sous le tissu.
J’en revient pas, je suis au ange, je lui souris de loin et me mords la lèvre pour lui montré mon approbation et je m’en vais comme pour lui montré qu’il m’en faut plus et que j’attendrais.
Elle semble confuse, mais à compris mon jeu et je suis sur qu’elle à d’autres idées pour me rendre fou de désirs pour elle.
La semaine passe, sans rien, mais je la vois devant ma fenêtre se pavaner, pour me montrer qu’elle est là où qu’elle m’attend, je la laisse languir de désir et elle sera bientôt à point (j’espère).
Je la recroise assez vite, ce jour là, elle à les cheveux lâché et toujours son collier de perle, elle porte un jeans taille basse noir et un débardeur blanc qui laisse deviné ses formes exquises dépourvue de soutien comme elle en à pris l’habitude depuis ce nouveau jeu avec moi.
Dès qu’elle me voit, elle prends dans sa main ce fameux collier et l’amène directement entre ses lèvres et lui roule une grosse pelle magistrale m’indiquant de la sorte qu’elle sait que j’aime ça et qu’elle fait ce que j’aime…elle en profite pour se passer une main dans son débardeur sur l’un de ses seins pour me faire deviné, aussi, qu’il se sentent délaissé…une fois de plus.
J’en bave d’envie et mon boxer devient bientôt trop serré et étroit vu le gonflement qu’il subissait.Je lui souriais et passait ma langue sur mes lèvres, mais nous ne sommes pas trop seul, il fait jour et on est en pleine journée avec le soleil à son zénith, donc pour l’instant, on va se calmé, mais, on sait maintenant, ce que veux l’autre et c’est loin d’être terminé.
La vie suit son cour.
Je la recroise plusieurs jours après, par surprise, au supermarché que nous avons en commun, entre midi et deux c’est plus calme(tant mieux).
Je ne me fais pas voir et l’observais.
Elle à l’air joyeuse et concentré, épanouie, je dirai même…
Aujourd’hui, elle est vêtue d’une robe pâle soyeuse, les cheveux attachés…sur des talons fin de la même couleur que sa robe mais je ne vois pas son collier et je suis déçu car elle sait que j’aime qu’elle le triture..avec moi ou sans moi d’ailleurs.
Je continue mes achats et je me fais enfin voir de loin mais de pas trop loin non plus.
Elle me voit, sursaute, perd les pédales et me fait un large sourire, et tout de suite dans la foulée, elle mets une main dans son sac à main de cuir noir et en sort le collier de perle qu’elle enfile autour de son cou, non sans l’avoir léché au passage, me regardant dans les yeux d’un regard coquin et brulant m’incitant à la dévisagé.
Je me dis intérieurement, c’est une salope et elle à compris le jeu, elle me veut et va m’avoir, mais je vais en faire ma chienne, lui faire découvrir son coté femelle.
Elle recommence son jeu de langue sur ses lèvres avec son fameux collier et avec sa main dans le haut de sa robe ouvert, elle se caresse un de ses seins, pour me dire, j’ai pas changé.
Elle se dirige au rayons fruits et légumes mais je fais semblant de la perdre.
Puis la retrouve près des fraises, elle en prends une et ce la mets dans la bouche tout en lui roulant une pelle monumentale, que dis-je magistrale, gigantesque…gargantuesque….et la suce…pauvre fraise qui en demandait pas tant!
Alors là!…je bande comme un cerf..j’en peux plus…et elle le voit et me sourit !
Je m’approche d’elle, la regarde, et lui dis…suis moi ! obéit !
Ce qu’elle fait..sans rien dire.
Je trouve un rayon encore plus calme au fond du magasin en l’entrainant avec moi.
Une fois sur place, je dis : retourne au rayon fruits et légumes, je garde ton cabas, ramène toi avec une banane, reviens ici et montre moi ce que tu sais faire.
Elle pose son cabas sur mon pied comme pour me dire, bouge pas je reviens, et elle part !
J’attends un moment et elle revient avec la plus grosse banane du rayon, je crois.!.
La décalotte des dents et l’enfile dans sa gorge pour me montré ce qu’elle veut tout en gémissant un OOOUUUUCCCHHHH..
Pendant ce temps, je me rapproche d’elle et glisse une main dans son corsage tout en devinant qu’elle n’a pas de soutien, un fois de plus…..MMMMHHHHHH !!!
Je lui prends de mes doigts le téton de son sein droit et le malaxe et le pince entre mon pouce et l’index.
Là, j’en reviens pas, elle perd pied, s’enfonce encore plus la banane dans la gorge jusqu’à s’étouffé pour ne pas crier son plaisir.
Je m’en laisse pas compté et avec mon autre main, je descend vers le bas de sa robe pour rencontrer une culotte inexistante et je remonte mes doigts vers sa chatte qui est entièrement trempé de désir…dégoulinante de cyprine.
J’att**** son clitoris entre deux doigts et le fait virevolté..elle défaillit..écarte les jambes, roule des yeux et gémis encore tout en inondant encore plus mes doigts déjà noyé.Heureusement que la banane est toujours dans sa bouche et l’empêche de hurler.Quel pied.
Mais madame se reprend, après ce passage appréciable..et glisse sa main sous mon tee-shirt et descend direct dans mon boxer.
De sa main, elle att**** ma queue bien dure, et la fait pivoté pour la mettre bien droite dans la direction de mon nombril.
Ma bite dépasse largement du boxer et elle entoure mon gland violacé avec une de ses deux mains comme une victoire pour elle.
Je lui dis : tu m’a mis dans un sale état, tu vas devoir faire mieux.
Elle : compte sur moi, moi aussi je suis pas assez rassasié, tu vas pas me laisser comme ça !
Moi : Ici oui, on peut pas faire mieux.
Elle : oh non !
Puis je retire mes doigts de sa chatte d’un coup et elle jouit à nouveau.
Elle : Oh oui ! Ohohohohoh..oooouuuiiii !!
Moi : Oh non ou oh oui !
Elle : tu es content ! ça te fait bander, alors prends moi ici !
Moi : Non !
Déçu, Elle sort sa main du dessus de mon gland, elle se réajuste.
Elle : Ce soir chez toi !
Me fit-elle d’un ton sec et direct, elle sait ce qu’elle veut celle là me dis-je !
Moi : Oui !
Elle : A ce soir !
Moi : Habille toi pour moi ! 21h !
Elle : Tu verras ! Mais comment t’appelle-tu ?
Moi : Pierre ! Et toi ?
Elle : Maeva !
Moi : A ce soir Maeva !
Elle : Compte là dessus, Pierre !
Puis nous retournions à nos achats chacun dans les rayons ou l’on s’étaient repérés.
Je rentre, range mes achats et je vais me vider car j’en peux plus et surtout pour être bien plus endurant tout à l’heure car je sais qu’elle va venir, elle veut plus et je l’ai laissé sur sa faim.( moi aussi, j’ai faim, d’ailleurs).
Je fais mon repas et mange tranquillement en l’attendant.
Je me mets à l’aise en « »sarouel » » et torse nu car il fait assez chaud ce soir, tout en rangeant un peu l’appartement.
La soirée passe et les 21h aussi..je me dis qu’elle fais exprès et j’ai raison.
Il est 21h45, voilà qu’elle sonne.
Je lui ouvre.
Suite à venir.
J’attends vos commentaires.
C’est un premier récit, soyez indulgents et indulgentes.
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