Je viens de rentrer de vacances et je prends vite ma « plume » pour vous faire partager un moment de paradis. J’ai la cinquantaine, les enfants sont grands, mais mon épouse et moi aimons toujours le camping, pour l’ambiance et la proximité avec les gens de toutes régions. Cette année, j’ai dû partir seul avec la caravane, huit jours avant ma femme, retenue au travail. Après l’installation du premier jour et un tour à la plage, je revenais de la douche, la serviette nouée sur la taille, lorsque j’ai croisé pour la première fois la fille de mes voisins de camp, situés juste derrière. J’ai été très surpris par ce large sourire, très franc, et surtout par ce regard très insistant (la jeunesse n’est pas toujours très polie avec les gens de notre âge, qu’ils ignorent le plus souvent) !
A chaque passage devant la caravane, et à chaque rencontre, c’était la même chose. Un petit mot, une plaisanterie, mais surtout ce regard qui m’a très vite travaillé ! Je commençais à me faire des idées et à « jouer » avec Blandine. 50 ans, plutôt bien conservé (je suis mince, sportif et, par chance, j’ai gardé tous mes cheveux !), je pouvais plaire un peu à cette magnifique jeune fille blonde au regard si troublant. Je n’osais l’espérer, mais lors d’une soirée dansante, après avoir fait la causette devant un verre, elle a voulu que l’on danse. Un slow évidemment ! Je me suis retrouvé serrant dans mes bras une fille qui avait l’âge des miennes.
Je me sentais comme un ado à son premier rancart. J’étais perdu, après trente ans de mariage, la situation m’échappait totalement. Blandine se collait à moi. Je me suis surpris à essayer de cacher une érection monumentale qui déformait mon bermuda. Blandine frottait son ventre contre mon sexe en souriant de satisfaction, contente de l’effet produit. Me voyant finalement mal à l’aise, elle m’a attiré vers la sortie avant que les lumières ne se rallument. Arrivés dehors, nous avons explosé de rire et nous avons décidé de rejoindre la plage pour nous baigner.
Cinq minutes plus tard — le camping est au bord de l’océan — Blandine me déshabillait. Je me suis empressé de lui rendre la pareille. Je l’avais deviné et imaginé mais, lorsque, à genoux, j’ai fait glisser sa culotte sur ses fesses sublimes sans aucun défaut, lorsque je l’ai retournée doucement pour découvrir ce ventre plat, ce nombril au joli piercing et ce joli duvet blond, j’étais vraiment au paradis ! Pourquoi une pareille beauté offrait-elle, à moi qui suis si ordinaire, ce corps si jeune et si doux ? Je l’ai embrassée partout, tendrement, la frôlant des doigts.
La lune jouait avec ses courbes et je jouissais de ce spectacle avec délectation. Elle est descendue jusqu’à mon sexe, elle l’a branlé, caressé longtemps avant de me prendre en bouche. Je ne pouvais pas bander plus. On a étendu nos habits sur le sable et on a fait l’amour. Je me suis couché sur Blandine, elle a glissé elle-même ma verge dans son nid d’amour. On était tellement excités que l’on a joui ensemble très rapidement. Je l’ai regretté car je voulais profiter de ce cadeau du ciel. Mais ma jeune amante m’a vite redonné le sourire en me murmurant : « Viens te baigner, on a deux semaines devant nous pour recommencer« . Nous avons fait l’amour les trois jours suivants sur cette même plage. Puis, lorsque ma femme est arrivée, il a fallu ruser et se montrer ingénieux.
Debout dans la douche, ce jour-là, j’ai vu le corps de Blandine pour la première fois en plein jour. Elle était parfaite, avec une peau douce et ferme. Je l’ai fait jouir sous ma langue, assis entre ses cuisses, les yeux rivés sur ses fesses. C’était dans les dunes, à même le sable, en levrette pour ne pas en avoir partout. Le dernier jour avant son départ, elle a voulu que je la sodomise (pour avoir « fait le tour », m’a-t-elle dit !) Après m’avoir sucé et, alors que je lui préparais le petit trou si discret et qui n’avait jamais été visité, elle s’est placée à genoux, a relevé ses fesses et m’a encouragé à la prendre.
Il a bien fallu dix bonnes minutes avant que je la sente avoir réellement du plaisir, mais après, elle a adoré et moi aussi. Elle a joui « intensément mais différemment« , m’a-t-elle dit ! Je n’ai pas osé faire des photos d’elle. J’aurais aimé vous offrir à tous la vue de ce corps de jeune femme, mais je crains que mon épouse ne découvre un jour les clichés.
Le matin même du départ, alors que je L me lavais les dents après le petit-déjeuner, Blandine s’est engouffrée dans le sanitaire et là, contre l’évier, elle m’a fait une dernière fellation. J’ai explosé entre ses lèvres, elle a tout avalé et m’a embrassé à pleine bouche en me glissant : « À l’an prochain !« Comment dire à ma femme que je veux retourner dans ce même camping alors que l’on en change chaque année ? Merci Blandine pour ce moment de rêve dans la vie d’un homme qui, jusqu’à cet été, était resté fidèle à son épouse et qui le redeviendra certainement, car je suis conscient que cela ne se reproduira pas si facilement. Bises à tous.
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