Je m’appelle Malika mais tout le monde m’appelle Malia la gazelle !
J’ai vingt-huit ans, je suis infirmière à Perpignan et plutôt du genre belle plante, brune, avec de jolies et avantageuses formes que Michel, mon ami, aime à caresser jusqu’au bout de la nuit. D’origine kabyle, j’aime courir, mais ce que je préfère, c’est une bonne baise torride avec mon compagnon.
Je me suis levée ce matin, avant lui comme d’habitude, et après le petit déjeuner, j’ai mis mes lunettes, et je me suis penchée sur lui pour l’embrasser. J’ai baissé le drap, embrassé son cou, son torse, son ventre, et tout doucement, j’ai gobé son pénis qui a commencé à gonfler dans ma bouche. J’aime cette sensation de domination, de puissance, à le sentir grossir, prendre sa place grâce à mes coups de langue et mon aspiration. Dans un demi-sommeil, il a glissé sa main sous ma jupe et, comme tous les matins, il a commencé à branler ma chatte épilée tout en m’enfonçant le pouce dans l’anus. J’adore cela ! Et depuis que je suis petite fille ! J’ai l’impression que je me suis toujours caressé mon petit trou !
D’habitude, je suce Michel jusqu’à ce qu’il jouisse et j’avale sa semence du matin, me donnant un surcroît d’énergie. C’est ma dose de vitamine ! Ce matin, je suis à la bourre et je dois partir sans avoir accompli mon rituel quotidien. Je le laisse frustré mais il s’en remettra le bichon…
J’arrive à la clinique, me déshabille, ne gardant que mon slip et mon soutien-gorge, enfile la blouse réglementaire, et la responsable planning m’apprend que mes horaires ont été modifiés. J’ai la matinée pour moi, et pour Michel… Je me dépêche de rentrer en tenue d’infirmière, il adore ça (et moi aussi), j’ouvre doucement la porte de notre appartement quand je suis alertée par des bruits venant de la chambre. Je m’approche lentement et je suis horrifiée par ce que je vois : mon amie Cathy est en 69 sur Michel, sa bite dans la bouche, tortillant du cul, tandis ce que ce salaud est en train de lui bouffer la chatte, une main écartant ses grosses fesses, et de l’autre la sodomisant avec trois doigts… Je la vois parcourir de plus en plus vite avec sa langue toute la hampe de sa verge, et lui gober les couilles. Les doigts entrent sans difficulté dans le cul de cette grosse truie, ma copine la coincée, la prude Cathy la morale, Cathy qui ne boit pas, ne fume pas, mais qui se fait fister l’anus comme la dernière des chiennes. Le spectacle n’a que trop duré, mes larmes coulent, je pars humiliée en claquant la porte…
Je ne sais pas quoi faire, je prends la voiture et direction la mer mais la journée est maudite : après quelques kilomètres d’autoroute, le moteur se met à tousser, la jauge est à zéro. Je me gare et fais du stop, toujours habillée en infirmière. Quelques secondes après, un van s’arrête, chargé de tuyaux, et deux beaux garçons me proposent de monter. Je crois que je tiens ma vengeance : je suis sur la banquette arrière et joue avec mes jambes, les propos deviennent grivois, le chauffeur Arnaud, le blond, propose de pique-niquer sur la prochaine aire. Je dis OK ! Il se gare dans un endroit discret. Vivien, un brun balèze au sourire carnassier, pose une couverture sur le sol et sort de quoi manger. Arnaud s’assoit à côté de moi, je suis assise en tailleur, découvrant ma culotte blanche et sa main glisse sur ma cuisse. Vivien, debout, s’est glissé derrière moi et commence à me peloter les seins, il dégrafe le soutien-gorge, l’atmosphère est sulfureuse, je suis prête à tout ! Sans me retourner, je glisse ma main dans le short de Vivien, il se colle à moi, sa bite est à hauteur de mon visage, je n’ai plus qu’à tourner la tête pour l’emboucher, elle a bon goût, je la sens qui gonfle, qui palpite… Arnaud n’est pas resté inactif, ses mains et sa langue sont remontées jusqu’à ma culotte. Sans lâcher la queue de Vivien, je me positionne à quatre pattes, Arnaud peut ainsi remonter ma jupe et baisser mon slip jusqu’aux genoux.
— J’ai envie de vous sucer en même temps, leur dis-je.
Je m’assois sur le sol, les jambes largement ouvertes, ils s’agenouillent devant moi, la bite à la main, je les caresse, je les avale alternativement et avec un peu d’effort, en même temps. Je l’ai vu dans des films et je me souviens avoir fantasmé dessus : j’ai envie de les avoir dans la chatte et dans le cul. Arnaud s’allonge sur la couverture et je m’accroupis sur lui, tête-bêche. Il m’écarte la raie pour mieux voir sa bite rentrer dans ma fente toute humide. Vivien se branle devant mon visage et après quelques tremblements et quelques grognements, il éjacule sur mes joues, mes yeux et mes cheveux. J’att**** sa bite gluante et aspire les dernières gouttes. Dans le même temps, Arnaud me fait sauter de plus en plus violemment, je sens le plaisir m’envahir et c’est dans le même cri qu’Arnaud me remplit la chatte de foutre.
On récupère en grignotant et en rigolant. Le sperme d’Arnaud coule de mon vagin sur la couverture, j’y trempe un doigt et le lèche avec un regard coquin. Il n’en faut pas plus pour exciter mes deux mâles. Vivien me bascule sur le sol et me fourre trois doigts dans la chatte toute grasse. Il mouille mon anus froncé, je sens que cela va être encore mon tour ! Je me mets sur les genoux, écrasant mes seins sur le sol. Je cambre les reins au maximum, faisant ressortir ma rondelle qui n’a qu’une envie, se dilater et se faire éclater !
Vivien me gratifie d’une merveilleuse feuille de rose, tentant de me pénétrer le cul avec sa langue.
— Vas-y, encule-moi maintenant.
Il dirige sa queue gonflée à l’extrême sur ma rondelle ouverte et me la plante d’un coup jusqu’à la garde. Je crie de bonheur, j’attire Arnaud pour le branler en même temps, l’autre me pistonne comme un fou, essayant même de glisser un ou deux doigts dans mon trou du cul dilaté à mort. Je jouis à répétition. De la main gauche, je secoue la queue d’Arnaud, de la droite, je me suis rentré quatre doigts dans le vagin, mon cul me brûle, je tremble comme une feuille en criant des insanités :
— Allez-y mes baiseurs, plus fort, oui tu m’encules bien Vivien, je la sens bien ta queue dans mes boyaux, prenez-moi tous les deux maintenant, je vous veux dans mes deux trous…
Je me fais secouer comme jamais ! Dans un réflexe pervers, une bite dans le cul, et une dans la chatte, je trouve au sol mon sac à main et sors mon téléphone. J’actionne la fonction caméra et l’approche de mon cul.
— Sors de mon cul Vivien, que je vois comment je suis dilatée ! Rentre fort maintenant ! Je jouis, bande de salauds, je jouis, je jouis…
Je les revois souvent maintenant, presqu’une fois par semaine, et c’est chaque fois aussi bon. Ils habitent entre notre appartement et l’hôpital, c’est pratique. On a essayé depuis la double sodomie, la double éjaculation faciale, ils me proposent d’inviter un de leur copain pour que mes trous soient pris en même temps.
Cela s’est passé un soir de septembre. Michel était à l’entraînement de rugby. Arnaud me «sms» et me demande si je suis libre. Il me demande de passer chez lui, mais habillée en infirmière. Il a un cadeau pour moi. Vivien est là, mais le cadeau, c’est Pascal, un beau black !
— Voilà, un black pour une beurette ! Tu en penses quoi, Malia ?
— Je ne connais pas, il faut que je l’ausculte !
Arnaud a fermé la porte ! Je m’avance et m’accroupis devant Pascal ! Je fouille sa braguette et sors un sexe inimaginable. Son odeur épicée m’excite et je me mets à le sucer comme une petite chienne. Normalement, j’aime faire l’amour, mais quand je suis avec mes deux loustics Arnaud et Vivien, je deviens une vraie salope ! Et j’aime ça, même si parfois, cela me fait un peu peur !
Accroupie, les genoux écartés, je suce Pascal. Les deux autres garçons se sont approchés de moi. Arnaud s’est allongé à même le sol et a glissé la tête sous mes fesses, me léchant la culotte. Vivien est debout derrière moi et me malaxe les seins. On se retrouve rapidement à poil. Je garde mes lunettes. Vivien veut m’enculer avec sa bouteille de coca, je veux les trois bites dans ma bouche, on change mille fois de position, je suis dilatée de partout, couverte de sperme. Enfin, l’assaut final : Arnaud est au sol, je suis au-dessus de lui et il me prend la chatte. Pascal est derrière moi, et sa bite monstrueuse m’encule, et Vivien est dans ma bouche et me traite de pute. Je ne vois plus la bouteille de coca !
— Retenez-vous les garçons, je veux boire tout votre foutre maintenant.
Je suis à genoux au milieu de mes trois amants, ils se branlent frénétiquement. Comme dans les mauvais pornos, j’ai la bouche grande ouverte, les lunettes ont glissé sur le nez. Les premières giclées atteignent mes cheveux, les autres les yeux et enfin la bouche. J’aspire les queues avec v******e, je lèche les traînées blanches qui coulent sur les seins, je nettoie les bites qui lentement ramollissent… Je suis épuisée !
Je m’allonge au milieu des trois corps. J’ai encore un peu de temps avant de rentrer retrouver Michel. La grosse bite de Pascal est à portée et je m’assoupis avec sa queue molle dans la bouche. Vivien glisse la bouteille de coca, qu’il a dû retrouver, dans mon cul dilaté, et Arnaud caresse négligemment mon clitoris brûlant. Je m’endors ainsi, sereine, puante, heureuse !
Quand je me réveille, les garçons ont disparu ! Seule la bouteille de Coca tient encore compagnie à mon petit anus. Je la sors avec un bruit humide, et me dirige vers la salle de bain pour faire pipi et me laver.
En sortant, je passe devant le salon et les garçons sont tous les trois assis sur le canapé, s’astiquant le manche en matant un film porno. Je suis propre, je sens bon, je me suis remaquillée, j’ai ma tenue d’infirmière dans un sac plastique sous le bras et je me suis habillée correctement pour traverser la ville, petite robe portefeuille noire et talons hauts. Ils sont là, devant moi, à me regarder, ils se caressent doucement, et leurs belles queues m’excitent, et je sens dans mon ventre une boule de chaleur qui commence à irradier.
— Je n’ai pas le temps de remettre le couvert, je vous dis à la prochaine les garçons !
— Oh, non, pas déjà, regarde dans quel état tu nous mets, dit Arnaud.
— C’est plutôt la rousse de la télé qui vous fait bander, bande de salauds ?
— Tu as bien cinq minutes, Malia, tu ne peux décemment pas nous laisser comme ça ?
— D’accord pour cinq minutes, mais pas plus ! On fait quoi ? Si vous avez une idée, je suis preneuse !
— On pourra te reprendre à trois, dit Vivien ?
— Non, c’est trop compliqué, trop long et il faudrait que je me relave, réponds-je
Pascal prend la parole :
— Tu t’assois face à nous, tu écartes un peu les cuisses pour nous exciter, et on vient à tour de rôle pour jouir dans ta bouche.
— OK ! Au premier de ces messieurs ! Mais bien dans la bouche, pas sur le visage ou les cheveux. Je n’ai plus le temps de me remaquiller !
— Moi le first, dit Pascal, je sens déjà que ça monte !
Et comme conseillé, j’avance une chaise devant le canapé, m’assois gentiment en prenant bien soin d’écarter un peu les jambes afin qu’il devine ma culotte, je glisse les mains dans mon dos, avance mon visage, ouvre ma bouche. Pascal est debout, son sexe fouille ma bouche. Il se branle pendant que j’aspire son gros gland, il commence à accélérer et je sens qu’il vient. J’aspire de plus belle, ne voulant laisser tomber aucune goutte sur ma belle robe. J’avale tout sous les commentaires admiratifs des deux autres garçons qui en ont profité pour se rapprocher de moi.
— Humm, c’était très bon, dis-je en déglutissant. Au suivant !
Les deux se battent pour m’honorer, et je décide de les prendre en même temps. Et là, pour aller plus vite, je décide de mettre les mains. Arnaud sera le premier à jouir, j’ai peur que Vivien éclate avant d’avoir pu tout avaler mais tout se passe bien ! Je suis en train de me dire que je deviens encore plus accro au sperme… et je constate que je n’ai pas honte !
Les garçons sont épuisés et se sont affalés sur le canapé.
— L’un de vous aurait-il un chewing-gum s’il vous plaît ?
— On n’a pas de chewing-gum mais du coca, si tu veux ?
— J’ai déjà donné, mais je prends, réponds-je en souriant…
Je vis toujours avec Michel et j’espère que cet enculé lira cette lettre, un jour…
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