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Les tourments d’une espionne lesbienne

Les tourments d’une espionne lesbienne



Vanessa a commis une erreur. En tant qu’archiviste chez Big Sister, société multinationale leader du marché qui fabrique des vibromasseurs, godemichés et autres jouets sexuels, elle croyait agir en toute sécurité afin de voler les plans secrets de la dernière création des chercheuses de l’entreprise, « top-extase », un bijou de haute technologie susceptible de mener vers les sommets du bonheur auto-érotique la plus frigide des clientes. Elle a commis la faute d’ignorer la présence de caméras de vidéosurveillance près du coffre-fort où elle a tenté de dérober les précieux documents qu’elle voulait photocopier avant de les remettre en place, ni vue ni connue… mais prise la main dans le sac par les vigiles, menottée et bouclée dans la cellule prévue à cet effet !

Cent pour cent des dix mille salariées de Big Sister sont des femmes lesbiennes. Les couloirs des bureaux sont parfumés d’œstrogènes, de progestérone et parfois de menstrues. Dans les laboratoires, des cobayes surentraînées testent les futurs modèles, allongées nues sur les tables médicales, le corps bardé de capteurs permettant de peaufiner les réglages avant de mettre un nouvel appareil sur le marché. De puissants cris d’orgasme s’entendent d’un bout à l’autre du bâtiment de la R&D, ce qui a pour effet de motiver les travailleuses.

Vanessa a joué, Vanessa a perdu. Elle sait que son erreur lui coutera très cher. Elle ignore encore à quel point…
Maëva, la directrice du site, a été immédiatement prévenue par un appel sur son téléphone portable. Elle a accouru, après avoir ordonné que l’on enferme Vanessa dans une cage suspendue au plafond, avec interdiction formelle de la sortir de là avant nouvel ordre, afin d’éviter tout risque d’évasion. La pauvre Vanessa est recluse derrière un grillage au volume si petit qu’elle est obligée de rester recroquevillée et de laisser s’échapper sous elle une flaque d’urine. Une fois sur place, Maëva exige que l’on les laisse seules. Les deux femmes, la patronne et l’espionne, se retrouvent en tête à tête.

– Te voici dans une fâcheuse posture, ma belle, dit Maëva. Mais je me demande pourquoi elles t’ont laissé tes vêtements.
– Tu peux me faire subir tout ce que tu veux, répond Vanessa entre ses dents, d’un ton méprisant. Je ne te dirai rien.
– Il faudra quand même que tu me dises qui t’envoie ici. La société Funny Factor, notre concurrente allemande ?

Vanessa ne répond pas.

– Parle, hurle Maëva ! Tu parleras ! Ou tu préfères que je te livre entre les mains du docteur Cheng ? Elle possède l’art de délier les langues les moins volubiles… tout en infligeant d’effroyables traitements !

Vanessa frémit. Elle connait la réputation sulfureuse de celle qui a été gynécologue avant de changer de métier pour celui de bourreau au service de Bug Sister, apte à résoudre le genre de problème auquel sa patronne est confrontée. Elle sait qu’il lui faudra tenir au moins quelques jours afin que ses complices aient le temps de se mettre en sécurité.

Une heure après, tout est prêt. Le docteur Cheng, prévenue d’urgence, a préparé en hâte son matériel. Vanessa est extraite sans ménagement de sa cage pour être emmenée dans le donjon de la société Big Sister afin qu’on lui extorque les informations exigées par Maëva.
La salle est munie d’une annexe dans laquelle une cinquantaine d’ouvrières, de techniciennes et d’ingénieures ont la possibilité d’assister au supplice. La directrice leur a dit :

– Votre soi-disant « collègue » a voulu vous voler votre travail. Si les caméras n’avaient pas surpris cette petite catin d’espionne, Funny Factor serait parvenu à ses fins. Venez toutes, et pour une fois, abandonnez vos laboratoires : il faut marquer les esprits, faire un exemple afin d’effrayer toutes celles qui auraient l’audace d’imiter cette petite idiote.

Ce n’est pas la première fois que l’on emmène une espionne sur le lieu de l’interrogatoire. Généralement, il faut les trainer de force, car elles tentent à tout prix de s’opposer à cet effroyable traitement. Lorsqu’elles constatent que la force n’est pas de leur côté, elles essaient alors d’apitoyer leurs bourreaux et les supplient à genoux, afin d’être épargnées. Le docteur Cheng adore ce comportement qui lui procure un premier orgasme sadique alors que sa victime lui suçote les petons inondés de larmes. Seulement le premier, suivi de beaucoup d’autres… ponctués de hurlements d’effroi ! Elle en frémit de joie.
Mais, contrairement aux autres espionnes, Vanessa ne s’oppose à rien et ne supplie personne. Résignée, elle marche droite et fière vers le lieu de son supplice. Elle se paie même le luxe de sourire ! Comme une princesse sacrifiée sur l’autel d’un étrange Minotaure. Chaque pas qu’elle fait s’imprime avec grâce sur le sol bétonné du sous-sol sordide. Car elle jubile au fond d’elle-même. Elle se demande même si elle n’a pas fait exprès de se laisser prendre, inconsciemment, afin de se livrer aux mains impitoyables du docteur Cheng. Celle-ci, ainsi que Maëva et les cinquante spectatrices, sont estomaquées de tant d’intrépidité. La jeune espionne serait être insouciante pour ignorer à quel point sont inhumains les sévices qu’on est sur le point de lui infliger ? Non, car dans sa cage, elle vient d’être obligée de visionner des vidéos montrant sur ses prédécesseures jusqu’où pouvait mener la cruauté humaine, et spécialement la cruauté féminine !
Vanessa, jolie petite brunette au corps fin et musclé, n’a que dix-huit ans. Totalement lesbienne comme les autres employées de Big Sister, elle a toujours aimé l’aventure et le danger, et son goût prononcé pour la luxure saphique l’a déjà amenée à être initiée aux séances de bondage et de domination dans lesquelles le rôle de soumise lui convient tout à fait. Dans un cliquetis métallique de multiples cadenas, on la libère des chaînes qui entravent ses bras. Elle soutient effrontément le regard de celles qui l’entourent, puis quitte sans regret ses vêtements lorsque l’ordre lui en est intimé. Avec ses cuisses fuselées et ses seins arrogants et volumineux aux splendides tétons rouges, elle est d’une grande beauté dont Maëva, qui a vingt ans de plus qu’elle et ne peut rivaliser en grâce, pâlit de jalousie. Le supplice se promet infernal. Les habits de l’espionne, dont la culotte déjà mouillée par l’excitation, sont ostensiblement jetés à la poubelle. On offre à Vanessa un petit verre de rhum pour lui donner du courage. La folie peut commencer.
Le fauteuil de torture est recouvert de cuir écarlate ciré avec soin. Vanessa prend le temps de l’admirer, d’en caresser la surface, avant de s’y installer, les bras en croix et les jambes tendues, très écartées, presque en grand écart – mais le passé de danseuse de l’espionne lui permet de gérer facilement cette position. Les sangles qui enserrent son ventre, ses poignets fins, ses bras, ses avant-bras, ses épaules, ses cuisses, ses mollets et ses chevilles délicates sont confortables et n’irritent pas sa peau blanche. Vanessa est sensible à ces attentions : elle veut bien être torturée, à condition que ce soit avec du matériel luxueux. Elle remercie ses bourreaux de la supplicier dans de si bonnes conditions.

– Tu nous remercieras plus tard, lorsque tu auras parlé, éructe Maëva. Cheng, fais ton boulot.

La doctoresse, droite sous sa blouse immaculée, impeccablement propre et repassée, rajuste ses petites lunettes rondes derrière lesquelles brille le feu torride de la cruauté, des yeux injectés de sang. Puis elle ausculte Vanessa au-dessus des seins, afin de prévenir tout accident cardiaque pendant le supplice, car il n’est pas autorisé de succomber sous la question chez Big Sister, surtout avant d’avoir parlé – mais pas après, non plus. Pendant ce temps, l’attachée remarque les caméras fixées au plafond et sur les murs, retransmettant leurs images en direct sur les écrans géants qui permettent aux spectatrices de ne manquer aucun détail anatomique ni aucune expression du visage de la suppliciée, filmé en gros plan. Un micro placé devant sa bouche permettra au public d’entendre le moindre des gémissements, et autres sanglots compulsifs. On s’attend à de déchirantes supplications, voire à des bordées d’injures envers les tortionnaires, selon. Tout ceci est fort distrayant, et achète à bon compte la paix sociale dans l’entreprise.

Au niveau cardiovasculaire, tout va bien, constate le médecin. Elle range son stéthoscope, puis elle examine les pieds avec soin, les caresse, et même les bécote avec délicatesse.

– Quels magnifiques petits petons, s’extasie-t-elle ! Ils ont une forme parfaite : le dessin de leur cambrure est sans défaut, et permettrait de porter des talons aiguilles avec une élégance accomplie. Quant aux orteils, ils sont des morceaux de choix pour l’épicurienne des pieds féminins que je suis : chacun d’eux est une œuvre d’art. Quelle est ta pointure, petite catin ?
– Je ne suis pas une catin et je chausse du 35.
– 35 ! Merveilleux. Mais si, tu es une catin. Regarde comme tu excites ton public. Elles sont déjà conquises.

Effectivement, les spectatrices sortent de leur sac toutes sortes de jouets sexuels : vibromasseurs de toutes formes et tailles, godemichés, aspirateurs électriques de clitoris de type « womanizer », plugs anaux, boules de geisha… tous, bien sûr, fabriqués chez Big Sister, où la masturbation collective fait partie de la culture d’entreprise. Les unes abaissent leurs pantalons, ou bien relèvent leur jupe, exposant ainsi leurs petites toisons herbues ou leurs foufounettes glabres. Les autres, plus pudiques, préfèrent garder leur culotte et se stimulent au travers. Mais toutes, sans exception, commencent à se délecter des malheurs de Vanessa. Celle-ci est ravie que l’on se livre à l’onanisme et ne souhaite plus qu’une seule chose : que le spectacle de sa séance de torture soit à la hauteur des espérances de celles qui sont venues l’admirer.

Soudain, la doctoresse commence à chatouiller un pied ! Des doigts agiles courent sur les plantes avec vitesse et dextérité, en insistant sur les minuscules zones qui, fortement innervées, sont ultra-sensibles à la moindre palpation. Vanessa ne peut s’empêcher de rire d’une manière compulsive, tout en essayant désespérément de se dégager, en sachant bien que le moindre mouvement lui impossible, mis à part de tourner éperdument sa tête de gauche et de droite, très vite. Maëva attend que sa prisonnière n’en puisse plus et se mette à parler. De toute manière, personne n’a résisté plus de dix minutes à ce traitement. Elle a pleinement confiance en sa féroce doctoresse, experte en chatouillement des pieds féminins.

– Qui sont tes complices, hurle-t-elle afin de couvrir les rires saccadés de Vanessa ? Parle, et nous te laisserons tranquille.

Elle ment effrontément, car il ne saurait être question d’annuler le spectacle : les filles de Bug Sister seraient trop déçues. Le visage empreint de désespoir des victimes qui se rendent compte qu’elles sont torturées quand même, après avoir parlé, fait partie des grands moments de joie sadique de ces odieuses fêtes. À ce moment-là, le plus souvent, la condamnée, les yeux exorbités d’angoisse, demande à être achevée comme le matador achève le taureau dans l’arène sous les hourras de la foule – en vain, évidemment, car ici, on n’attente à la vie de personne. Cependant, Vanessa résiste avec un courage inattendu : elle ne dit pas un mot et se contente de hurler sous les insupportables chatouillements. La doctoresse a changé de pied, afin de varier les plaisirs, et aussi parce que la sensibilité d’un organe chatouillé finit par baisser lorsque l’on insiste.

Juste avant qu’on l’emmène au supplice, alors qu’elle se trouvait encore dans son étroite cage, une ouvrière compatissante, très jolie dans son bleu de travail, lui avait proposé un comprimé permettant d’atténuer ses souffrances chatouilleuses, en échange d’un seul baiser. Vanessa avait répondu avec véhémence :

– Pas question ! Pour rien au monde, je ne me priverais de ce moment de gloire !
– Mais… tu ne te rends pas compte ! Tu as pourtant vu la vidéo : ce qu’elles vont te faire est horrible !

L’encagée avait tourné la tête en signe de déni, et l’ouvrière n’avait pas insisté, frustrée de ne pas avoir obtenu son baiser de la part de la belle et farouche espionne.

Maintenant, Vanessa se rend compte à quel point le supplice chatouilleux est cruel. La docteur Cheng délaisse un peu les pieds afin de chatouiller sous les bras, sur les côtes, le ventre et les cuisses. Tout cela est, effectivement, horrible. Vanessa espère qu’elle va s’évanouir, mais sa tête est orientée légèrement vers le bas afin que le sang y afflue et que la victime reste consciente, tandis qu’inexorablement les phalanges stimulent la peau, en revenant aux pieds, comme des milliers de petites araignées aux pattes insupportables. L’épiderme de l’attachée se couvre de transpiration. Attentionnée, a doctoresse lui donne à boire avec une paille, car il ne faut pas qu’elle se déshydrate.

Le chatouillement cesse soudain. Vanessa a triomphé de la première partie. Le public, conquis, applaudit pour cette incroyable bravoure. Mais le pire attend maintenant la belle espionne qui n’en est pas du tout arrivée au bout de ses peines.

Le docteur Cheng met sous tension un gros vibromasseur à boule, de type « Hitachi », et masturbe immédiatement le clitoris. Puis elle retire un instant l’engin afin de glisser deux boules de Geisha vibrantes et bien lubrifiées dans l’orifice anal. Le fauteuil est conçu afin que les deux orifices soient parfaitement accessibles aux insertions pratiquées par la tortionnaire, sans obliger l’espionne à changer de position. Le vibro repart de plus belle, la puissance réglée au maximum. Il ne faut pas longtemps à Vanessa pour atteindre une jouissance qui est proche de l’extase. Chacune des membres du public, sur l’écran géant, peut admirer l’expression de béatitude sauvage sur le visage baigné de sueur de Vanessa, qui ressemble à un Christ succombant sur sa croix. Mais à peine l’espionne a-t-elle pu reprendre son souffle que la stimulation à la fois clitoridienne et anale repart de plus belle, l’entraînant cette fois dans une effroyable transe qui l’oblige à hurler à pleins poumons, jusqu’à s’en briser la voix, à tel point que la doctoresse est obligée de réduire le volume sonore afin de ménager les tympans des spectatrices.

– Au premier orgasme, notre « patiente » est généralement assez contente, observe le docteur Cheng. Le second est bien aussi. Le troisième et le quatrième, moins. Le dixième est terrible. Quant au cinquantième, après deux ou trois heures de traitements entrecoupés de chatouilles…

Chatouillée de nouveau sur ses petits petons, Vanessa se rend compte qu’elle a envie de faire pipi. Le rhum et l’eau qu’elle a bue sont passés par là. Évidemment, on ne la laisse pas aller aux toilettes. Elle ne contrôle plus les muscles de son corps, qui se contractent et se relâchent au hasard. Elle est rapidement obligée d’ouvrir les vannes sur place, sous l’œil attentif de la caméra qui ne rate rien du jet émergeant de l’intimité exhibée de la belle qui, par trop humiliée, voudrait être sous terre. Les spectatrices se moquent d’elle : elle ne sait pas se retenir ! L’avilissement de l’espionne est à son comble. Cependant, malgré l’ignominie des sévices qui lui sont infligés, Vanessa reprend courage : non, elle ne parlera pas, et elles seront toutes forcées de l’admirer pour cela.

Vanessa constate qu’une personne qu’elle connaît est entrée parmi les spectatrices. C’est Lucie, sa mère, que Maëva a conviée afin d’assister au supplice de sa fille. Lucie est très excitée d’assister à cette folie érotique. Le docteur Cheng chatouille à nouveau les petons désespérément vulnérables. Soudain, elle s’interrompt, afin de laisser Lucie s’approcher du fauteuil où se trouve sa fille.

– Bonjour Maman, dit Vanessa. Je suis contente que tu sois venue me tirer de là. Il était temps : je n’en peux plus.
– Je ne suis pas venue pour te libérer, mais au contraire pour te chatouiller et te branler encore et encore, pour que tu en deviennes folle. J’en ai toujours rêvé, ma chérie. J’espère que tu me pardonneras de te torturer d’une manière aussi cruelle, mais j’en avais tellement envie !

Tout en disant cela à sa fille qui, devant cette trahison maternelle, n’en croit pas les oreilles, la maman, qui est entièrement nue, se masturbe avec un goût particulier pour l’exhibition. Elle jouit d’un orgasme sadique, avant de chatouiller frénétiquement un pied de sa fille, tandis que la doctoresse s’occupe de l’autre et que Maëva actionne le grand vibromasseur. Une grande clameur monte du public qui, captivé par ce moment d’émotion familiale obscène, entre dans un orgasme collectif et simultané, digne des plus incroyables orgies romaines. L’ouvrière compatissante, en particulier, s’en donne à cœur joie pour se venger d’avoir essuyé un refus de la part de l’espionne.

Ensuite, la mère enfile un long gode-ceinture tout noir qu’elle lubrifie avant d’introduire d’un puissant coup de reins entre les nymphes de Vanessa dont le virginité défunte immédiatement. Il s’agit d’un modèle spécial de godemiché dont une partie s’insère dans le vagin de celle qui le porte, et peut vibrer afin de stimuler simultanément les deux partenaires. Après quelques vigoureux coups de boutoir, la maman perverse extrait sa tige ensanglantée qu’elle brandit, bras levés, comme un trophée de guerre, sous les clameurs du public ravi de tant de vice. La méchante doctoresse se revêt également d’une verge artificielle et, sans tarder, encule l’espionne : double pénétration. Ce sont des prototypes du « top-extase » : les deux godes sont des objets connectés, optimisés pour vibrer selon la même fréquence et un déphasage savamment calculé afin de produire un phénomène de résonnance autour des organes génitaux de Vanessa, dont la pénultième jouissance se traduit par un râle d’agonisante. Pour la faire taire, Maëva procède de même, mais entre les lèvres ouvertes. Son engin est muni, à l’intérieur des faux testicules qu’il lui suffit de presser, d’un réservoir de sperme artificiel imitant parfaitement le vrai, chauffé à la bonne température, salé et visqueux à souhait, afin d’inonder la bouche et d’en dégouliner avec abondance.

Distribution de godes-ceinture à toutes les spectatrices. Celles-ci vont pouvoir s’amuser sur la belle espionne, en passant par petits groupes, afin soit de chatouiller les jolis pieds, ou toute autre partie du corps dénudé qui leur est offert, soit de pénétrer l’infortunée espionne. Tout cela dure des heures et des heures, sans aucune pause ni repos.
Vanessa épuisée, abandonnée de toutes et tremblante dans sa déréliction, a les yeux exorbités qui se tournent vers le ciel, seul recours à sa misère. Elle ne maudit personne, et même pardonne à chacune. Car, contrairement à ce que chacune croit, elle est heureuse, et pour rien au monde, elle ne voudrait être ailleurs. Elle a réussi : passionnément, totalement, elle aime Big Sister.

Laissons la belle Vanessa aux mains de ses tortionnaires perverses. Chères lectrices, chers lecteurs, j’espère que vous avez aimé cette histoire loufoque. N’hésitez pas à me laisser un petit commentaire, ce qui me fait toujours plaisir et m’encouragera à écrire encore pour vous faire, selon votre genre, mouiller ou bander.

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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