L’amant de ma mère
Je viens d’avoir mes 19 ans, je suis encore aux études et je travaille quelques jours par semaine. Je vis avec ma mère depuis 5 ans, avant je vivais avec mon père et ce n’était pas toujours drôle. Je fréquente une belle fille que je vois les week-ends.
Ma mère qui est très coquette même à l’approche de la cinquantaine, sort beaucoup, ce qui me laisse l’appartement à moi tout seul et ainsi on pouvait baiser sans être dérangé. Ma mère qui allait dans les boîtes de nuit, rencontrait souvent des hommes. Je sais que ma mère n’avait pas peur des hommes, je parle sexuellement bien sûr.
Souvent, des hommes venaient la chercher pour sortir, elle me présentait à ces hommes et moi de dire « elle ne doit pas rentrer tard!» À la blague évidemment. Ce vendredi soir-là, je dormais et mon lit est dans le salon, en fait c’était un divan lit. C’était la première fois que ma mère ramenait quelqu’un à la maison, surtout tard le soir.
Même s’ils essaient de ne pas faire de bruit, je me réveille et par les sons et les bruits que j’entends, ils sont un peu pompettes. Ce qui me réveille complètement, c’est la voix d’un homme. Ça chuchote et ça rit comme des gamins. « Shhuuuut! Tu vas réveiller mon gars!» Ils sont dans la cuisine, je lève, c’est la faute de ma vessie. Le corridor qui mène à la cuisine est court et entre le salon et la cuisine, il y a la salle de bain. Je vois un homme assit à la table de cuisine. Il me scrute de la tête aux pieds en une fraction de seconde, je suis qu’en slip style bikini.
Sans me vanter, je sais que j’ai un beau corps. Je suis grand et svelte, pas de gros muscles mais très en forme. Je porte aussi des cheveux longs comme tous les jeunes hommes de mon âge. Le type me paraît d’être un homme dans la mi-quarantaine, même assit, je devine qu’il est plus grand que moi, il un visage carré avec une mâchoire bien dessinée. J’entre dans la salle de bain et j’entends ma mère « on l’a réveillé!»
Le regard de quelques secondes de cet homme m’avait troublé. J’ai eu de nombreuses aventures homosexuelles étant adolescent et je connais bien ce genre de regard. Il y a longtemps que je sais que je suis bisexuel, et depuis que je fréquente les filles, j’ai rarement des aventures homosexuelles, mais parfois cela me manque et c’est comme ça encore.
Je sors de la toilette et je vais à la cuisine pour boire un verre d’eau. Ma mère me regarde et dit:
– Tu aurais pu t’habiller un peu!
– Bof! Que je fais.
Je vois par le reflet de la vitre de la fenêtre l’homme qui me regarde de dos. Son regard vise mes fesses qui débordent du slip moulant.
– Je te présente Gaston… il est infirmier!
Il aurait pu être astronaute que j’en avais rien à foutre. Je lui serre la main et il me regarde droit dans les yeux avec un air amusé. Je remarque qu’il a les yeux bleus, ma mère avait une attirance pour les hommes aux yeux bleus. Il se lève, il est plus grand que moi d’une-demi tête, il a un sourire franc et de belles dents. Je lui dis que je suis enchanté de le connaître et je repars vers le salon et je dis:
– Ne faites pas trop de bruit… je veux dormir!
Je me couche et lentement le sommeil vient. Je sais que cet homme va coucher avec ma mère et pour moi, c’est correct. Des sons me réveillent encore, des sons de baise, j’entends ma mère jouir, c’est troublant et ça ne m’excite pas, j’allume la télé juste pour couvrir les « haaaa!» Puis, je m’endors de nouveau avec la télé.
Puis, dans un demi-sommeil, je constate qu’une main est dans mon slip et je me fais masturber. Je suis hyper bandé, moi qui bande à rien. Je continue à faire semblant de dormir. Il y a un corps à côté de moi et cette main qui continue à astiquer mon manche. Je sais que ce n’est pas ma mère, c’est Gaston l’amant de ma mère. Doucement il soulève ma couverture et il y glisse sa tête. Je sens l’humidité chaude d’une bouche sur mon sexe, il me suce. Il décalotte mon gland avec sa bouche, c’est difficile de respirer normalement comme un dormeur. Je suis certain qu’il savait que je ne dormais plus.
On entend du bruit dans la chambre de ma mère et il se lève promptement et il fait comme s’il sortait de la salle de bain. J’entends chuchoter mais rien d’audible. Je replace les couvertures sur moi, j’entends la porte de la chambre de ma mère qui se referme. Je suis trop excité pour me rendormir, je me masturbe et je jouis dans mon long prépuce qui fait comme un réservoir. Pratique un long prépuce.
Je me lève et je vais vider mon sperme dans la toilette. Je me dis «effronté le bonhomme, il saute ma mère et il vient me sucer!» J’aurais aimé éjaculer dans sa bouche et je l’aurais bien sucé moi aussi. Je retourne me coucher et c’est la lueur du matin et des tasses qui font des « ting-ting » qui me réveillent.
Je vais à la toilette et Gaston est assis et il me sourit et je vois bien la teinte rosée de ses joues. Il avait peut-être peur que je parle? Je vais les rejoindre à la cuisine, je suis toujours en slip, ma mère me voit toujours en slip.
– Va t’habiller et je te fais un bon café! Dit ma mère.
Je fais comme s’il n’avait rien dit et je m’assois en face de Gaston qui n’avait pas dérougi.
– On ne t’a pas réveillé? On a été un peu… turbulent!
– Non maman!
Et je regarde Gaston droit dans les yeux en sirotant mon café. Il semble encore plus mal-à-l’aise et il se lève en disant qu’il devait partir. Il part en me disant « bye ». Ma mère dit:
– C’est un homme charmant et un bon danseur!
– Tant mieux… tu vas le revoir?
– Surement oui!
– Ha!
– Ça te dérange?
– Non! Il me semble bien ce type!
Au fond de moi, je sais qu’il est fourbe. Sucer le fils de sa nouvelle copine, c’est un peu tordu, mais j’étais anxieux de connaitre la suite.
– Ah! Je vais lui dire… il avait peur de ta réaction!
Pauvre maman, si elle savait ce qui m’avait fait cette nuit, elle l’aurait battu à coup de poêle de fonte. La semaine suivante, ma mère revient tard dans la nuit avec Gaston. Le bruit m’avait réveillé, je me lève et je regarde dans la cuisine sans me faire voir. Il embrasse ma mère et je constate que ma mère est saoule. J’ai rarement vu ma mère dans un état pareil, j’entends à voix basse:
– Viens t’étendre, tu vas être mieux!
J’entends la porte de la chambre de ma mère se faire fermer. Il va coucher ma mère et il va surement venir me visiter plus tard. Ça m’excite et je bande. J’enlève mon slip et je me couche. Je suis sur le côté un genou relevé et j’attends. Je me caresse la queue en attendant mon visiteur nocturne. L’attente est longue et je m’assoupis, combien de temps? Je l’ignore.
Puis, je sens dans mon dos que quelqu’un se glisse sous mes couvertures. Il se colle sur moi et je sens sa queue sur ma fesse. Il est nu lui aussi. Une main flatte et glisse sur ma hanche et ma fesse. Sa queue chaude veut se frayer un chemin entre mes cuisses. Sa bouche et près de mon oreille et j’entends son souffle saccadé. Je soulève ma cuisse et sa queue se loge entre mes cuisses. Il fait «haaaa!» Tout doux à mon oreille. Sa main se saisit de ma queue et il la caresse. Sa queue bouge doucement entre mes cuisses.
Il sait que je ne dors pas, alors je me retourne, il enlève les couvertures, il se penche sur moi et il avale ma queue d’un trait. J’ondule du ventre et je saisis sa queue, elle est grosse et dure. Je masturbe doucement sa queue, elle doit faire 18 19 par 5 centimètres, je me dis « elle ne s’embête pas la mère!» Je tire sur sa queue pour lui indiquer de ce coucher en 69 à côté de moi. Enfin, je suce une queue, ça faisait des mois que j’e n’avais pas sucé un beau gros gland.
J’aime sucer à gorge profonde et j’avale son gros gland bien au fond de ma gorge. Il a deux mains sur mes fesses et il me suce fort. Pas beaucoup d’hommes résistent aux gorges profondes, et ça été son cas. Il éjacule dans ma bouche, son jet puissant me surprend mais m’excite et j’éjacule moi aussi dans sa bouche. On s’avale l’un l’autre, il a un délicieux sperme onctueux et épais, je me régale. Il semble lui aussi se régaler. Dans la pénombre, je vois son poil pubien foncé et je vois ses gros testicules. Il ne me semble pas trop poilu, car je lui flatte une fesse et il me semble imberbe des fesses tout comme moi.
On finit de se savourer et il me dit à voix très basse;
– Je savais que tu aimais ça!
Je ne dis rien et je continue à bécoter son gland, sa queue et ses couilles. Il reprend toujours à voix basse;
– Je vais retourner avec ta mère!
Il se lève, se penche et embrasse mon sexe. Je le vois dans la pénombre avec sa longue queue qui pendouille, il se retourne et je vois ses fesses blanches qui s’éloignent. Je suis là, encore excité, je n’en reviens pas, j’ai sucé l’amant de ma mère. Je me masturbe et quand je suis excité comme ça, je me mets en boule, la tête entre mes cuisses, je me mouille un doigt je me doigte le cul dans cette position, je me masturbe et je me fais jouir dans ma bouche. Je me déplie et je me déroule avec un soupir de soulagement tout en savourant mon sperme.
Au matin, je me réveille, ça sent le bon café. J’enfile mon slip, je vais à la toilette et je vois ma mère qui prépare le café, elle me semble pâle. Je fais mon pipi et je repense à ce qui venait de se passer durant la nuit. Je me trouvais dégueulasse d’avoir fait ça avec l’amant de ma mère, mais au fond, pas tant que ça.
Je m’assois à la table et je vois ma mère qui ne semble pas bien aller.
– Ça va maman?
– J’ai mal aux cheveux… trop bu hier!
– Il est où Gaston? Que je demande.
– Il se lève!
Sur ce, je vois Gaston qui sort de la chambre. Il est habillé et tout sourire.
– Tu n’aurais pas dû me faire boire comme ça!
– Tu semblais bien t’amuser!
– Ouais! Mais là… j’ai la tête qui va fendre!
Gaston s’assoit à côté de moi et ma mère est en face de nous. Il pose une main sur ma cuisse, ma mère ne voit pas ce qu’il fait sous la table. Il me caresse la cuisse hypocritement, je bande. Ma mère se lève et va rapidement à la toilette en disant;
– Je vais vomir!
Et on entend les hauts de cœur de ma mère. La main de Gaston va plus haut et j’ouvre les cuisses. Il me malaxe le sexe.
– Mmm! Oui! Tu aimes vraiment ça toi!
On entend la chasse d’eau de la toilette et Gaston retire sa main. Ma mère revient et Gaston finit son café et il nous dit qu’il doit partir. Il se passe quelques semaines et je n’ai pas de nouvelle de Gaston. C’est vrai que comme infirmier, il a de longues heures et de longues semaines, et je n’ose pas demander à ma mère des nouvelles de Gaston.
Je me souviens qu’un mercredi soir le téléphone sonne, c’est Gaston, je n’ai pas le temps de lui dire que ma mère n’est pas là. Le mercredi elle allait au bingo avec ses amies de femmes.
– Je sais que ta mère est au bingo!
– Oui en effet!
– Écoute… viens de rejoindre au petit restaurant du coin!
– Ah?
– Oui… on va faire plus ample connaissance!
Je sais pourquoi qu’il veut me voir et il sait, tout comme moi, que ma mère peut arriver à n’importe quel temps. Je n’avais pas soupé de toute façon et je lui dis que j’arrivais le temps de me doucher. Une demi-heure plus tard, je m’assois devant lui. Je commande un hamburger et il me demande;
– Euh! Ça te dit de venir avec moi?
– Où ça?
Il regarde partout comme pour ne pas se faire voir.
– Motel!
J’hésite et je dis;
– Pourquoi pas chez toi!
– Euh! J’habite avec ma vieille mère et…
– Ok! Ça me va!
Il me sourit l’air satisfait. Je vais savoir plus tard qu’il n’habitait pas avec sa vieille mère, mais sa femme. Il avait menti à ma mère et à moi, il avait femme et enfants le salaud. Je finis de manger et on quitte le restaurant dans sa voiture. Je suis fébrile, j’ai beaucoup envie de sa queue. Je me suis préparé et vider le rectum, je veux me faire mettre comme une petite pute.
Durant qu’il conduit, il me tripote entre les cuisses et il me dit;
– Tu sais que tu suces aussi bien que ta mère?
Je suis sous le choc.
– Quoi? Écoute! Ne me parle pas de ma mère… je ne veux rien savoir de ce que…
– Bon! Bon! Je ne t’en parle plus!
– Merci! Que je dis sèchement!
Il ne me tripote plus et il s’installe un long silence.
– Tu sais…je… je ne suis pas homo! J’aime les femmes! Qu’il me dit.
– Moi aussi!
– Mais c’est bon des fois un homme!
– Je sais!
– Tu fais ça souvent avec des hommes?
– Non!
– Moi non plus… mais quand je t’ai vu…
– Moi aussi je savais… juste à la façon que tu m’as regardé!
Il remet sa main entre mes cuisses et il me malaxe le sexe. J’ouvre mes cuisses encore plus, pour lui démontrer que je ne suis plus choqué. On arrive devant un motel. Il gare la voiture et il va chercher une clef. J’ai déjà été dans des motels avec des gars et ça m’a toujours excité car je sais que tout ce qu’on fait dans un motel c’est de baiser. On entre dans la chambre qui est la chambre typique de motel, mur en préfini imitation de bois, un grand lit et une salle de bain tout au fond, une commode avec une télé dessus.
Il y a deux petites lampes sur des meubles de chevets qui jettent une lueur rougeâtre à cause des abat-jours. J’ai des papillons dans le ventre, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai très envie de lui. Je m’assois sur le lit et il me dit qu’il va prendre une douche. Il disparaît dans la petite salle de bain et j’allume la télé et j’éteins les petites lampes de chevet. La télé jette une lueur glauque bleutée qui met une ambiance érotique.
Je me déshabille et je décide de ne pas garder mon slip, je veux être nu. Je me glisse sous les couvertures et je trouve ça trop typique. Je décide de m’allonger sur les couvertures en l’envers du lit, ma tête au pied du lit. Je me couche à plat ventre, en sortant de la salle de bain il va me voir cul nu et je sais que j’ai un superbe de beau cul, on me l’a assez dit. Sous moi, j’ai ma queue bandée que j’ai mise entre mon ventre et le matelas. Grâce à mon long prépuce, mon gland glisse dans ma peau et non sur le tissu, c’est une façon agréable de se masturber le gland.
Il sort et il a serviette en main, il s’essuie et il me voit dans cette position. J’ai mon visage dans mes mains supportées par mes coudes et je ne le regarde pas. Mes longues cuisses sont largement écartées, je prends toute la largeur du lit
– Je vois que tu as pris tes aises!
Je ne réponds pas mais je le regarde sans trop me tourner la tête. Sa queue est très érigée, bien droite avec un gros gland pourpre gavé de sang. Il s’assoit sur le lit à côté de moi, une main flatte mon dos et descend sur mes fesses.
– Tu as un beau cul… comme ta…
– Non! Tu ne le dis pas! Que je dis à voix haute.
– Excuse!
Il continue à me cajoler les fesses et une pensée me vient à l’esprit «il n’aime peut-être pas la sodomie?» Puis, il se penche et il bécote mon creux de reins et il se rend sur chacune de mes fesses qu’il bécote et lèche. Je me creuse encore plus les reins et je bombe un peu plus mes fesses. Il s’installe à plat ventre entre mes cuisses et il me lèche sans hésitation le creux de ma raie. Il enfonce le dru de sa langue dans mon anus, je fais «hannnnn!»
Il me dévore le cul, il aime ça et il n’a pas dédain. Je soulève mes hanches et je pousse ma queue entre mes cuisses. Sa bouche s’empare de ma queue, il me suce un peu et il revient me lécher entre mes fesses. Je me place comme à quatre pattes, il devine très bien ce que veux.
– Je vois bien que tu n’es pas vierge… tu as le trou tout ouvert!
Je ne dis rien et je porte ma main entre mes cuisses et je me masturbe tout doucement. Il frotte son gland dans ma raie et sur mon anus. Il revient me bouffer le cul un bref moment et il part en direction de la salle de bain. Il revient et il me montre un tube de lubrifiant, il avait vraiment l’intention de m’enculer. Il enduit mon trou de lubrifiant et il enfonce un doigt. Je fais «hannnnnn!» Avec mon autre main, j’ouvre un lobe de fesse. J’ai le visage sur le matelas et le cul en l’air.
Il met le corps et toute la longueur de sa queue couchée dans ma raie. Il masturbe sa queue dans ma raie, je suis fortement excité. Puis, il met son gland sur mon anus et il pousse. Je suis tellement excité que mon anus est souple et distendu. Son gland me pénètre lentement, la petite douleur est délicieuse, j’adore la première pénétration. Je le sens glisser en moi dans mon ventre, je ne respire plus et je m’attends à ce qu’il me possède très creux. Je sens sa peau sur mes fesses, il est complètement en moi jusqu’à la garde.
Il ne bouge pas et il est haletant. Je passe ma main sous moi et je cajole ses couilles. Je sais qu’il va me défoncer, mais combien de temps. J’aime me faire mettre longtemps et profondément. Il met ses mains sur mes hanches et il commence son va et vient.
– Ah oui! Ah oui! Comme c’est bon! Han! han! Tu as toute ma queue dans ton cul c’est incroyable!
Il va plus vite et son ventre vient claquer sur mes fesses » flouck flouck! » Moi je me lamente comme une pute qui jouit. Je me masturbe en même temps. Il tient bien serré sur lui avec sa queue bien au fond de moi, il ne respire plus et il éjacule dans mon cul. Son excitation est comminutive et j’éjacule moi aussi sur les draps.
Il me donne trois ou quatre coups de reins et je le sens comme sortir de moi, mais il ne sort pas.
– Non non! Ne bouge pas… reste comme ça… je n’ai pas fini… j’en ai encore!
Il recommence sa fornication, mais avec plus de d’ardeur. Il me baise avec fougue, ça me rend dingue. « Flack flack flack » que ça fait sur mes fesses. Je vais au-devant du coup pour suivre la cadence. C’est presque douloureux et j’aime ça et j’en demande encore. Puis, il sort de moi abruptement, me renverse et me couche sur le dos. Je vois sa queue rougeâtre et luisante entre ses cuisses. Il veut me prendre comme une femme, j’ouvre les cuisses et il guide son gland dans ma cavité anale.
Il s’étend sur moi et avant que je me rende compte, il plonge sa langue dans ma bouche. Il me suce la langue et moi la sienne, il me baise comme un dément. Je suis tout écartelé avec mes cuisses et jambes autour de ses hanches et fesses. Ma queue est en sandwich entre nos ventres. Il va me faire jouir, je respire fort par le nez car je ne veux pas cesser de sucer sa langue. Je jouis et lui aussi en même temps, on crie dans nos bouches. Il me donne de puissants coups de reins, sa queue qui est bien au fond de moi me fais mal mais j’aime cette douleur.
La tempête se calme dans mon corps mais Gaston continue à me pistonner mais très lentement et il me chuchote à l’oreille;
– Ça été extrêmement bon! Mais là, je dois partir… le travail! Tu viens à la douche?
Je me lève en mettant ma main entre mes cuisses pour empêcher l’écoulement. Je suis sur la toilette et je le regarde se doucher devant moi. Il est bel homme, je comprenais ma mère d’avoir succombé à ses charmes. Il sort de la douche et c’est à moi à me doucher, j’aurais aimé me doucher avec lui, je l’aurais bien sucé.
Cette petite escapade au motel a été rapide, je pensais qu’on était pour y passer la nuit. Enfin, puis, les semaines passent encore sans nouvelles de Gaston. Encore une fois ma mère revient à la maison avec Gaston, je fais semblant de dormir, j’enlève mon slip en souhaitant qu’il couche ma mère et vienne me sucer.
J’entends des bruits d’extases, ma mère se fait baiser. Au lieu de me dégouter d’entendre ma mère geindre, ça m’excite, je bande littéralement. Curieux, je me lève et je marche sur la pointe des pieds. J’appuie mon oreille sur la porte de la chambre et j’écoute les « haaaa! Les mmmm!» de Gaston et de ma mère. Je tords la poigné de porte doucement et par la fente de la porte entrouverte, je vois dans la pénombre les fesses blanches de Gaston qui est entre les cuisses ouvertes de ma mère.
Je ne sais pas si je suis choqué ou excité de ce que je vois. Ce n’est pas ma mère que je vois, mais une femme nue qui se fait baiser à fond de train. Je referme la porte doucement et je regagne mon lit. Des pensées bizarres tournent dans ma tête, des pensées i****tueuses. J’essaie de penser à autre chose mais l’image de Gaston en train de baiser ma mère revient faire surface. Il y a quelques jours j’étais dans cette position avec lui et c’était très bon.
Je finis par m’assoupir et une main qui me caresse me réveille. Gaston qui me tripote entre mes cuisses. Il glisse sa tête sous la couverture et il me suce. Je lui dis dans un souffle «69?» Il se place sur le côté comme moi en 69. Je prends sa queue et elle est dure. Je referme mes lèvres sur son gland et je fais «mmm!» Il goûte un mélange de sperme et de cyprine. Je connais bien ce goût féminin, et là, c’est les effluves de ma mère.
Je suis devenu encore plus excité et je ne sais pas pourquoi. Je le suçais avec une telle passion que Gaston dit à voix basse;
– Prends ton temps… tu vas t’étouffer!
Je me calme et je dis;
– Tu goûtes la chatte!
– C’est celle de ta mère! Ça ne t’écœure pas?
Je ne réponds pas et je le suce avec acharnement à gorge profonde. Il me tient par les fesses et je vais et viens vite dans sa bouche, je veux jouir. Il s’est aperçue que j’étais très excité et cela l’avait excité lui aussi. Il avait compris que la saveur de chatte de ma mère m’avait attisé. J’ai éjaculé dans sa bouche et lui aussi a riposté en noyant ma bouche de son sperme chaud.
Je me couche sur le dos haletant et je lui dis;
– Je t’ai vu en train de baiser ma mère!
– Ah?
– Oui! J’ai ouvert la porte et je vous ai vu!
– Tu as aimé ça?
Je ne réponds pas, j’hésite et je dis;
– C’est fou hein? Oui ça m’a excité de vous voir!
Il me caresse entre les cuisses et dit;
– C’est un de mes fantasmes… participer à de l’i****te! Mère et fils et moi qui est là… c’est bandant!
Il se penche sur moi et il me suce encore. Je ferme les yeux et je me vois en train de bouffer la queue de Gaston qui sort de la chatte de ma mère. Je jouis de nouveau et il m’avale avec des sons de délectations. Il se lève et sans rien dire, retourne au lit avec ma mère.
Au matin, nous sommes à la table et on boit du café en silence. Je suis assis à côté de Gaston qui me flatte une cuisse sous la table. Je regarde ma mère avec sa poitrine opulente et je ne la regarde pas de la même façon. Gaston était un diable pour m’avoir mis dans la tête ce genre de pensée.
Puis, ma mère qui pensait avoir rencontré son âme sœur, déception, elle avait appris que Gaston était marié. Elle avait appris cela par une autre femme qui fréquente la même boîte de nuit. Gaston l’avait séduite et il c’était fait prendre dans la chambre de son garçon. La femme voulant le dénoncer à la police, Gaston lui avoua qu’il était marié avec des enfants à sa charge.
Moi aussi j’ai été fortement déçu. Ma mère ne savait pas pour Gaston et moi et je n’étais pas pour lui dire. Mes fantasmes dénaturés se sont envolés et cela était correct. Ce qui me décevait, c’était de ne plus revoir Gaston… dommage!
Ajouter un commentaire