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Luce a ZombieLand – 1

Luce a ZombieLand – 1



L’invitation

Arriver à destination, je lever le pied de l’accélérateur et freiner lentement sur un vieux pont de bois pour prendre le temps d’admirer ce que je découvrais avec émerveillement. De l’autre côté, au bord d’une petite rivière tumultueuse, il y avait une magnifique maison hantée toute illuminer par cette belle et froide soirée d’automne.

— Wow ! Fis-je émerveiller. Ils y sont mis le paquet !

Sous une pleine lune à loups-garous et un ciel étoilé je découvrais une grande maison au toit en pente avec une tour comme on en voit si souvent dans les films d’horreurs et qui semblaient abandonner et même sur le point de s’écrouler. De la rivière, je n’apercevais que la crête blanche des vagues dans la nuit, même d’ici, sur le pont. Sur la gauche du bâtiment, une roue à aubes tournait lentement à peine visible malgré la lune. Toutes les fenêtres de la demeure étaient recouvertes de papier orange au motif d’Halloween et illuminé de l’intérieur. Sur le devant il y avait une grande véranda chambranlante éclairer au néon violet et remplie de décorations; Gargouilles grimaçantes, citrouilles, épouvantails, sorcières, zombies, imitation de vieilles pierres tombales sur le terrain en friche, cercueils, etc. Le tout mis en valeur par un éclairage judicieux et encercler par de grands arbres squelettiques qui avaient déjà perdu une bonne partie de leur feuillage colorer.

L’effet dans la nuit était saisissant ! Halloween a toujours été ma fête préférer, je me sentais redevenir une petite fille, en plus, l’automne était la, le sol était joncher de feuilles mortes qui virevoltait sous un vent glacial. L’ambiance était donc au rendez-vous, je jubilais. Et ce bâtiment perdu en pleine campagne était isolé au bout d’une petite route finissant en cul-de-sac. C’était ma mystérieuse destination, j’en avais la chair de poule. Une grande enseigne à la sortie du pont indiquait :

La Maison Hantée
Parc thématique et club privé 
sur invitation seulement
frissons garantie

Tout excité, j’entrai dans le stationnement bondé cherchant un endroit ou me garer. Je trouver de justesse une place de libre pour ma petite auto électrique dont j’étais si fier et m’y stationner prudemment. Pas question de l’égratigner. Chaque espace de stationnement était numéroté et celle que je venais de prendre, la seule de libre apparemment, portait le numéro 49, mon âge, du moins, encore pour quelques heures. Un bon présage pour une délicieuse soirée en couple espérai-je. Dès que je coupai le moteur un vent violent se fit entendre et secoua ma voiture tandis que le capot et le pare-brise se couvraient déjà de feuilles mortes. Je sortis de mon sac à main la carte de style Halloween que j’avais trouvée sur ma table de cuisine en rentrant à la maison après le travail accompagné d’un petit mot de mon copain. J’allumai le plafonnier pour le relire et regarder la carte à nouveau.

La maison Hantée

Parc thématique et club privé
Sur invitation seulement.

C’était écrit en lettres de sang sur fond noir. Parc thématique et club priver, étrange et mystérieux à souhait. Qu’est-ce qui pouvait bien m’attendre là-dedans ? Je ne cessais de me poser la question depuis que j’étais parti de la maison après avoir pris une bonne douche chaude, suivit d’un peut de coiffure et d’un peut de maquillage. Au dos de la carte il y avait l’adresse et un code-bar.

Sur la note était écrit…

(Bonne fête Luce ! Oui, je sais que c’est juste ce soir à minuit ! Ce n’est pas tous les jours que l’on a… Ehhh!!!… Enfin tu sais !

Et oui, je sais, 50 ans déjà, merci de pas l’écrire c’est gentil, c’est déjà assez traumatisant comme ça de passé le cap de la cinquantaine. « Seigneur que le temps file vite, » me dis-je en continuant à lire.

Ce n’est pas encore Halloween, je sais ça aussi, mais ce soir je t’attends à la Maison hantée, c’est un club privé, pas très loin dans les Laurentides et un parc d’attractions. L’adresse est indiquée au dos de la carte. Tu dois présenter celle-ci à l’entrée sinon tu restes dehors.

Enfile de vieux vêtements que tu n’auras pas peur d’abîmer ou de tacher, car on va se salir un peu ! Mais ce doit absolument être une jupe noire assez courte et une blouse blanche, c’est obligatoire, pas de jeans, ni pantalon c’est interdit, rien de neuf, bas nylon également noir et pour les dessous… à toi de voir ! On va bien s’amuser, ne t’inquiète pas et surtout, soit ouverte d’esprit ce soir, car certaines personnes le seront.

P.-S. Fais-moi confiance !

Je t’aime !

x x x

« Ne t’inquiètes pas, » ses faciles a écrire ça pour lui, mais… jupe courte, blouse blanche et on va se salir un peut, ça stresse une femme sa, surtout a 49 ans. Se salir avec quoi ? De la boue, de la gélatine, ou une guerre de pistolet à eau ! Pas question que je me rabaisse à ça, oh que non ! Peut-être un jeu de guerre. Non sûrement pas, ils fournissent les survêtements. Et une blouse blanche, ça devient transparent rapidement si je me fais arroser par quoi que se soit, même par du faux sang, je n’avais pas envie de montrer mes gros seins a n’importe qui, ni ce qu’il y avait sous ma jupe. Déjà que ça me prenait tout mon petit change pour aller à la plage avec un maillot noir une-pièce. Mes énormes seins ballon et ma taille fine attiraient trop l’attention et depuis l’adolescence. On finit par s’habituer aux regards lubriques des hommes mais tout de même… J’étais prude et je n’y pouvais rien, j’étais comme ça et ça n’allait pas changer a 50 ans ! Tout de même, j’avais obéi.

— Seigneur ! Soufflai-je de plus en plus nerveuse en baissant le pare-soleil derrière le quelle il y avait un petit miroir.

Je soupirer en apercevant mon visage encercler de cheveux bruns fins et soyeux tirant sur le roux. J’étais encore assez joli sans être d’une grande beauté; des yeux noisette en demi-lune, un petit nez un peu rond et des lèvres boudeuses. Côté maquillage tout ce que j’avais c’était du rouge sombre sur les lèvres et du noir aux yeux. J’ai la peau très pâle alors je faisais un peut gothique, pour une maison hantée je devrais me fondre dans le décor ! Je me remis du rouge en réfléchissant !

« Certaines personnes seront ouvertes d’esprit. » Qu’est qu’il m’a encore mijoté celui-là ? Ce n’était pas nos amis, un souper était prévu cette fin de semaine dans un restaurant pour ma fête justement. Pas une orgie j’espère sinon je lève les pattes, mais ça, il le savait, j’en doutais fortement, ni d’échange de couple, mais c’était tout de même un club privé. Et ça, ça me stressait un peut, même si j’avais enfilé comme il le voulait une jupe noire que je n’avais pas portée depuis dix ans, une vielle blouse blanche et des bas nylons noirs a large bande élastique. Drôle d’accoutrement pour un souper de pré anniversaire dans une maison d’Halloween en plus. Mais bon, dans une maison hantée qui est également un parc thématique, du sang risquait de gicler, du faux sang bien sûr et… tout ça m’excitait malgré tout, même pas mal. Peut-être une soirée meurtre et mystère. J’allais probablement me faire poignarder, trancher la gorge, ou tirer dessus, devoir jouer à faire la morte, ou rechercher un meurtrier ou qui sait… peut-être allait-on me maquiller en vampire, en monstre ou en zombie. Ça, ce serait vraiment cool en zombie ! Je suis une maniaque des fils d’horreurs mais surtout des films de zombie, ceux de Romero.

Je pris mon sac en soupirant, je déteste tellement l’imprévue et surtout les surprises et il le savait bien pourtant. Et malgré ma petite taille j’avais tout un caractère mais ça, il le savait également alors, je ne m’inquiétais pas trop. Je sortis de l’auto carte en main après avoir fermé la lumière. Je tirer ma jupe en actionnant l’antivol, la trouvant pas mal courte tout à coup à cause du vent qui s’infiltrait en dessous mais bon j’avais encore de jolies cuisses et plutôt ferme mais je soupirer en regardant mes vieux running usé. C’était gênant de sortir avec ça. Je fermer mon manteau court en frissonnant tout en me dirigeant vers la porte d’entrée d’un pas que je voulais assurer, tête haute, mais mon coeur cognait de plus en plus en regardant l’immense et magnifique maison hantée. Qu’est-ce qui pouvait bien m’attendre là-dedans ? Tout semblait si tranquille. On n’entendait que le bruit du vent qui tourbillonnait en entraînant des feuilles mortes et de la poussière qui me faisaient plisser les yeux et les grincements de l’immense roue à aubes. S’il n’y avait pas eu ces voitures dans le stationnement on aurait pu croire que cet endroit était totalement désert.

En grimpant les marches menant à la véranda, peuplée de gnomes en plastique et de monstres de tout acabit, j’espérais juste que ce ne soit pas une de ses discothèques bruyantes où l’on peut à peine se parler avec des lumières qui clignotent et qui tourne, etc. Je n’ai jamais aimé les endroit de ce genre, le coeur me lève là-dedans. Mais il le savait bien et lui non plus n’aimait pas ça. Mais je n’avais jamais entendu parler de cette maison hantée, ni vue de publicité, « c’est un club privé, idiote, » ça me revint à l’esprit. « En tout cas, » me dis-je, en forçant pour ouvrir la lourde porte de bois peints en noir, qui grinça évidemment et qui claqua à cause du vent en se refermant derrière moi, « l’endroit a l’air tranquille. » Je n’entendais ni de musique, ni éclat de voix.

Je me retrouver coincer entre deux portes en replaçant mes cheveux mis longs derrière mes oreilles. L’autre porte était peinte en noir également mais en métal celle-là et elle refusa de s’ouvrir quant je tirer la poignée. Barré et pas de sonnette de visible, j’allais frapper quand un judas s’ouvrit brusquement et que le visage d’une jeune fille apparut. Sa peau était peinte en gris pâle et strier de barres noir style primitif sur les joues et le nez, ses cheveux étaient aussi teints de la même couleur et comme enduit de terre. Un look a la guerre du feux, un de mes films préférer. Elle avait les yeux d’un bleu pâle époustouflant, fascinant et les lèvres noires. Wow !

— Bonsoir ! Dit-elle, arborant un sourire radieux.
— Bonsoir, dis-je montrant le carton.
— Sur votre droite madame, il y a un scanneur, passez y le code-bar.

Je le vis à même le mur, un appareil comme celui des caisses enregistreuses des grands magasins. J’y passer le code, une petite lumière passa du rouge au vert.

— Ce ne sera pas long, madame !

Elle disparut sur le côté tandis que je patientais, anxieuse en frissonnant tirant sur ma jupe a nouveau.

— C’est quoi au juste cet endroit, demandai-je approchant mon visage du judas, on ne m’a pas vraiment expliqué ?

Je ne vis que des murs peints en noir et couverts d’affiche de films d’horreur que j’avais a peut près tous vue et pour parfaire le décor, des néons orange clignotaient par intermittence.

— Un instant, entendis-je, plus des bruits de doigts pianotant sur un clavier d’ordinateur, Mme Tremblay, Luce Tremblay c’est bien sa ?

Elle regardait un écran probablement puis son visage réapparut soudainement, je me reculé en souriant, elle me regarda à nouveau.

— Oui ! Répondis-je pas vraiment surprise.

On pouvait apprendre quantité de choses avec un code-bar. Elle referma le judas et ouvrit la porte restant derrière. J’eus l’impression qu’on l’on m’amenait en prison et cela me donna la chair de poule surtout quand elle referma derrière moi.

— Bonne fête madame Tremblay, je sais que c’est demain, mais bonne fête tout de même !
— Merci ! Dis-je en admirant les affiches avant de la regarder et la, je figer les yeux tout ronds, bouche entrouverte.

Je me raidis en m’apercevant que son corps au complet était peint en blanc tirant sur le gris mais surtout qu’elle était complètement nue tout comme l’héroïne de la guerre du feux. Je me dit que c’était probablement son film préférer. Pas de slip, pas de soutien-gorge, même pas une mini-jupe ni de petits X coller sur les mamelons, rien ! Mon coeur bondit ne pouvant m’empêcher de la regarder de bas en haut, comme les gars aiment tant nous regarder. Elle avait deux mains noires étamper sur ses petits seins fermes hauts et ronds et un peut plats aux mamelons dressées. Le genre de mamelons qui reste toujours dure, ça me fit déglutir et me sentir vraiment mal a l’aise. La vue de son corps jeune, mince comme un fil et de ses longues jambes et surtout de sa fente et de son mont de vénus épiler et bomber me troublait terriblement. Un vrai sexe de petite fille. Je rougis embarrasser de ne pas avoir pu m’empêcher de la regarder comme ça mais elle me souriait tout même comme si elle était une banale hôtesse de l’air.

— Désoler, je… Bredouillai-je mal à l’aise en me sentant rougir tout en la regardant droit dans les yeux. Je ne m’attendais pas à me faire recevoir par une jeune fille entièrement nue.

Le ton de ma voix s’était durci et je fulminais en sentant mes oreilles en feux. (Le salaud, tous les mêmes c’est hommes. Merde !) Je n’aurais jamais pu imaginer qu’il me ferait ça.

— Ça va madame, il n’y a pas d’offense ! Dit-elle doucement en me souriant toujours, elle aussi louchant un peut vers mon manteau très soulever par ma poitrine. J’en avais l’habitude et j’avais dût apprendre a vivre avec ça. J’avais toujours eu une très grosse paire de seins tout comme ma mère. Des seins qui débordaient largement de ma taille plutôt fine et qui me couvrait le torse lorsque j’étais sur le dos mais je n’en faisais plus de complexe depuis longtemps. Je les aimais mes gros seins, j’en étais même fier car ils se tenaient encore, même que mes petits mamelons trônaient toujours en plein centre, Dieu merci.

Mais si elle voulait me faire sentir vieille (le, madame) marchait parfaitement, mais elle, elle avait quoi ? 18 ou 20 ans, peut-être moins, peut-être plus, difficile à dire, alors…, je ne pouvais pas lui en vouloir et elle avait jeté un coup d’oeil à ma poitrine. Ça aussi ça me troubla. Soit elle se disait; seigneur j’aimerais ne pas être équipé comme ça, ou, j’aurais bien aimé en avoir une pas mal plus comme elle. J’étais déstabilisé, je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’une fille nue m’ouvre.

« Je vais le tuer » me dis-je en pensant à mon copain tout en me forçant à sourire. Une soirée de sexe sûrement, « ouais, je vais le tuer. » Je n’osais pas ressortir en plus. En fait j’étais tiraillé entre l’idée de fuir ou de rester. Je faillis tourner les talons mais… je n’en avais pas vraiment envie au fond ! La curiosité l’emportait sur ma gêne. Ce n’était pas tant de voir une fille nue qui me mettait si mal à l’aise, ça me troublait oui mais… j’avais déjà eu quelques aventures avec d’autres femmes à une certaine époque dont une récemment et ça me plaisais, mais c’était plutôt ce qui m’attendait. Le salaud ! Je venais de pénétrer dans quoi au juste, un club échangiste, un bordel d’Halloween ? Pas question que je me laisser baiser par n’importe qui. Je me forcé a me calmer en sentant mon coeur ralentir tout doucement, cet endroit était peut être juste un théâtre. Peut-être que nous allions simplement assister à une pièce avec des comédiens nus et maquiller comme elle et que c’était juste pour nous mettre en appétit et qu’on allait baiser comme des fous en rentrant. En tout cas, ça valait mieux pour l’homme qui risquait de devenir mon ex. Et il y avait aussi cette histoire de parc thématique et les vieux vêtements. La tête me tournait à force de réfléchir.

— Venez ! Dit-elle, en passant devant moi se déhanchant joliment, ouf… Je sentais mes aisselles devenir humides en regardant son petit derrière si ferme et pas juste mes aisselles. Merde ! Elle avait aussi sur les fesses des mains noires imprimer comme une invitation à y poser les miennes. Je ne pouvais détacher mon regard de son petit cul qui rebondissait à peine. J’hésitai un instant en me mordillant l’intérieur de la joue, puis je la suivis par curiosité tout en me disant que je pouvais repartir quand je le voudrais s’il le fallait et il y avait longtemps que je n’avais pas vu une fille nue en chair et en os et ça m’émoustillait.

Je n’aurais peut-être pas dû en parler à Pierre pour mes aventures avec des femmes. Mais bon, le mal était fait et faut avouer que la jeune était des plus craquante. Elle me fit penser à une de mes étudiantes de 32 ans avec qui j’avais passé une nuit quelques années plutôt. Ouf !

On passa une autre porte sur la droite tandis qu’une vague de chaleur se diffusait dans mon corps, une porte à ressort qui se referma toute seule. Je la suivit ne pouvant m’empêcher de toujours regarder discrètement son derrière obsédant, ça me fit sourire, je n’aurais pas dit non finalement si elle m’emmenait dans une chambre ou mon copain nous attendait déguiser pour Halloween en vilain démon. Pourquoi pas finalement, juste de l’imaginer me fit me détendre et même sourire. Le baiser avec une autre, l’idée faisait son chemin tout doucement et ma vulve gonflait. J’étais un peu bis et je l’avais découvert à l’adolescence. Je regarder discrètement ses cuisses galbées et musclées, et sa chute de rein, ouf ! J’avais chaud, vraiment chaud, et je mouillais de plus en plus ! Je déboutonner mon manteau sentant plus mes gros seins se balancer de haut en bas en étirant mon vieux soutien-gorge préférer. Il ne manquait plus que mes mamelons pointes pour rajouter a mon trouble, mais ce n’était pas encore le cas, heureusement. Dire que j’avais déjà eu une silhouette comme la sienne, mais c’était il y a bien longtemps, dans une autre vie.

On franchit encore une porte pour entrer dans une salle de vestiaire baignant sous un doux éclairage verdâtre. J’aperçus des casiers métalliques recouverts de graffitis obscènes avec des seins, des vulves, des pénis en érection et en pleine éjaculation, stylisés mais tout de même c’était cru et sans détour. L’endroit me fit penser à certains décors de film d’horreur pour ados, j’aimais ça ! La fille ouvrit une case, le numéro 49. Drôle de hasard, mais j’étais certaine que ne s’en était pas un, le numéro était dessiné au pinceau, ça et le stationnement, il y a coïncidence et coïncidence. On connaissait mon âge ici, « merci l’ex ! Me dis-je amuser, ses charmants ! » Et j’étais de plus en plus convaincu que c’était un genre de bordel d’Halloween. Est-ce que mon copain m’attendait vraiment dans une chambre avec une bonne bouteille de vin et déguiser en monstre. Ce serait flippant.

Elle ouvrit la case, a la place des crochets c’était des pénis noirs courber vers le haut, la je souris vraiment étonner, arrondissant les yeux mêmes, j’y croyais pas et je regarder la fille.

— Je vais vous aider ! Fit-elle avenante et toujours avec son sourire d’hôtesse de l’air en passant derrière moi pour prendre mon manteau.

Le mien s’effaça certaine qu’elle voulait que je me déshabille complètement. Je ne sais pas pourquoi j’imaginais ça tout à coup.

— Pas question que je me mette nue, dis-je paniquer et un peut trop fort.
— Mais non, fit-elle doucement, le manteau, le sac, la montre et les chaussures seulement, Mme Tremblay.
— Oh ! Désoler. Dis-je en me trouvant idiote en repensant au petit mot de mon copain. « Porte de vieux vêtements car on va se salir un peu. » Même les souliers ?
— Oui madame !

Jésus que j’avais chaud, j’imaginais tellement de choses. Je la laisser me débarrasser de mon manteau et de mon sac pour les suspendre dans la case et j’enlevai ma montre en me demandant si finalement ce n’était pas un club d’échangiste. Avec les seins que j’ai, les candidats ne manqueraient pas pour vouloir me sauter. Et pas de montre pour ne pas l’abîmer, mais dans quoi ou avec quoi ?

— C’est quel genre d’endroit ici ? Un club d’échangiste, un bar de danseurs nu, sans vouloir t’offenser ? Et cette histoire de parc thématique ? Demandai-je un peu brusquement et stresser à nouveau en tirant sur ma jupe !

Je n’avais pas, mais vraiment pas envie en plus de me retrouver assise à une table et que des gars viennent danser nus en agitant leur bite juste sous mon nez ou des filles leurs seins. Seigneur non, j’en mourrais de honte ou baiser devant d’autre et avec une ou un inconnu ou pire, a plusieurs.

— Disons, un genre de parc thématique très privé Madame et il n’y a pas d’offense. Répéta-t-elle. Il faut enlever vos souliers également et ne vous inquiétez pas il n’y a pas de vol ici on vous le garanti. Personne ne vient dans cette pièce seul et personne ne fouillera dans votre casier, ni votre sac madame ! L’endroit est bien surveillé !

Je lever les yeux aussitôt pour chercher des caméras mais n’en vit aucune.

— Bon ! Fis-je, ne pouvant m’empêcher de rire tout en me posant mille questions en enlevant mes runnings avec mes pieds pour ne pas me pencher et les posant au fond du casier, la je prix soin de plier les genoux. Le carrelage était froid sous mes pieds enveloppés juste de nylon.

— Mais pour faire quoi au juste, on fait quoi ici, quel genre de jeux dans ce parc ? Et mon copain, il est là ?

Elle me regarda sans répondre planter devant moi et trop près à mon goût, sa peau semblait verte à cause de l’éclairage, la mienne aussi d’ailleurs. Je trouvais soudainement ma blouse trop moulante et sa nudité m’embarrassait de plus en plus. Et cette manie de ne pas répondre à mes questions m’horripilait. Encore une bouffée de chaleur et je sentais trop mon slip coller a ma fente.

— Je peux vous souhaiter un bon anniversaire ? Me demanda-t-elle avec un sourire enjôleur en me fixant droit dans les yeux. Elle était légèrement plus grande que moi comme a peut près tout le monde.
— Oui, mais tu l’as déjà fait non ?
— Détendez-vous, dit-elle se plaçant face à moi, presque à toucher ma poitrine avec ses petits seins en posant ses mains sur mes hanches, se penchant plus vers moi. J’en frissonné en sentant mon coeur accélérer à toute allure juste a sentir ses mains sur mes hanches. J’étais paralysé de surprise et elle approcha son visage du mien le penchant vers la droite pour me donner un baiser. Je me mis à saliver en le désirant penchant moi aussi la tête en tendant mes lèvres rondes et plissant les yeux. C’était si surprenant que je ne songer même pas a protesté.

Je déglutis quand ses lèvres noires s’écrasèrent sur les miennes, elle goûtait la réglisse. Je me laisser embrassé comme la première venue sans oser poser mes mains sur elle. Ce n’était pas la première fois qu’une autre fille m’embrassait et ça me faisait toujours pas mal d’effet, et surtout là, comme ça, sans au moins quelques verres de vin avant, avec son corps jeune, nu et peint. C’était si doux, si tendre que je mouillais en abondance. Sans parler de sa poitrine qui s’écrasa sur la mienne légèrement, c’était inévitable si elle voulait atteindre ma bouche et très troublant. À quoi ça rimait ? Était-elle un genre de cadeaux ? Je n’en savais rien, mais je me surpris à l’espérer. La peur qu’on nous surprenne, sentir ses lèvres contre les miennes et son corps me donnait de délicieux frissons et des chatouillements dans le bas ventre. Puis, je sentis sa petite langue se faufiler entre mes lèvres puis mes dents qui s’écartèrent toute seule et je fermer les yeux sentant son corps maintenant s’écraser contre le mien, c’était si bon !

Je l’enlaçai finalement en la frenchant ne pouvant m’empêcher de laisser mes mains courir sur ses hanches, puis sur ses reins si courber et oser même lui empoigné les fesses timidement. De petites fesses dures, si douces et je mouiller complètement ma petite culotte cette fois en sentant de grosses bouffées de chaleur me monter aux joues. Mes jambes ramollirent en me demandant idiotement si la peinture, même sèche, allait tacher ma jupe et ma blouse. « C’était donc juste pour ça les vieux vêtements ! » « Pierre, je t’adore ! »

Je m’abandonner à se frenche des plus sensuelle qui m’excitait terriblement, elle était si jeune, si désirable pour une femme de mon âge. Nos petites langues pointues se frottaient délicieusement, ça devenait encore plus passionné, plus cochon et la… elle recula la tête en rentrant la langue et me sourit. Elle lécha ses lèvres délicates et luisantes, toujours noires. J’avais encore le goût de la réglisse dans ma bouche pleine de salive que je ravaler sentant mes seins gonfler et mes mamelons pointer a présent et ils me chatouillaient. C’était si visible sous ma blouse que c’en était gênant. Je regrettais déjà de ne pas avoir mis un soutien-gorge à bonnet plus épais. Ses yeux rieurs me fixaient « Seigneur ! » Réalisai-je soudain. « Elle pourrait être ma fille. »

— Ouf… fis-je timidement en rougissant un peut plus sentant mes mains moites, elle regarda mes mamelons en souriant avant de relever les yeux.
— Ça vas, ont sait que vous êtes un peut timide madame, ne vous inquiéter pas, ce soir vous êtes la pour vous faire gâter, ont ne fera rien pour vous embarrasser !
— Hum ! Fis-je. Ce n’est pas déjà fait ?

Ont ! Elle avait dit ont, qui ça, ont ? Elle me gratifia d’un petit sourire moqueur tandis que je déglutissais en me posant mille questions. J’avais l’impression que ma cervelle surchauffait. Tout mon corps était en émoi et sur le pied de guerre côté sexe. Je me sentais allumer et complètement. Et elle savait pour ma timidité. Pierre leur avait dit ça !

— Mais non ! Dit-elle en baissant les yeux. Ce que je vois me dit que vous avez apprécié en tous cas.

« Maudits mamelons » me dis-je les joues en feux me voyant encore chez moi après la douche hésitant entre se soutien-gorge mince et l’autre avec bonnet rembourrer.

— Ont va tout faire pour que ce soit une soirée relaxante Mme Tremblay et très agréable.

J’allais lui demander qui était ces… « ont » quant elle rajouta en regardant derrière moi :

— Voici 2, moi c’est 1.

Sans comprendre je tourner la tête et vit s’approcher une autre jeune fille, dans la vingtaine elle aussi, mais beaucoup plus ronde, plus en chaire. Nue également, la peau peinte de la même manière que l’autre. Ses seins lourds très étirer aux pointes dresser se balançaient mollement, les muscles de ses cuisses travaillaient sous la peau peinte et elle n’était pas rasée au pubis et son poil fourni en triangle était aussi peint tout comme sa vulve. Là, j’avais vraiment très chaud et mon coeur battait de plus en plus fort. Deux filles nues juste pour moi ! Normalement, j’avais besoin de quelques verres de vin pour me laisser aller avec une autre femme mais a froid comme ça… Ouf ! Je me demandais s’ils recevaient toutes leurs clientes comme ça ici ou si j’avais droit à un traitement de faveur pour mes 50 ans qui arrivait.

— Bonsoir ! Fit l’autre fille tout sourire s’arrêtant juste devant moi tandis que mon hôtesse se reculait.
— Bonsoir !
— Joyeux anniversaire madame Tremblay.

Elle s’approcha tout comme l’autre l’avait fait se plaçant devant moi, a croire quelle avait tout préparé et me donna elle aussi un baiser sur les lèvres qui se transforma en frenche mouiller, une frenche de fille tout en douceur et qui goûtait encore la réglisse. Là, je suais abondamment, ça me gêna plus à cause de ses seins plus volumineux que je sentais trop bien compresser les miens et mon coeur cognait. Tout de même, mes mains allèrent directement à ses fesses plus grosses et un peu molles mais si douces également. Je ne pus m’en empêcher. La tête me tournait et j’avais des papillons dans le bas ventre. Puis elle se recula, me laissant un peu étourdi et déçu. Je n’étais pas près d’oublier mes 50 ans finalement. Tout ça était si étrange, si déstabilisant et embarrassant, mais surtout… Très excitant.

— On peut vous tutoyer ? Demanda 1.
— Oui ! Dis-je la gorge sèche maintenant.
— Bien Luce, ce soir on est vos esclaves 2 et moi, on est toute à vous et nous sommes vos guides pour débuter !
— C’est vrai ça ? Lâchai-je abasourdi. Wow !

« Mes esclaves ouf… Ça sous-entendait plein de choses » me dis-je.

— Hum, fit 2.
— Et débuter quoi au juste ? Demandais-je les yeux rieurs en me doutant bien que, là encore, je n’aurais aucune réponse.

Et comme de fait, j’eus droit qu’à de merveilleux sourires exaspérants.

— Bon, je dois ça à mon ami, il est là ?
— Oh, votre ami. Oui ! Mais vous le verrez plus tard Luce, car il faut le mériter.
— Le mériter ?
— Et oui, fit 2, combattre entre autres choses, venez.

Cette fois je frissonner tandis quelles me prenaient par les mains pour m’entraîner vers une autre porte, « de vieux vêtements, » seigneur non, pas un combat de lutte dans de la gélatine ou pire, de la boue. Je stopper net en lâchant leur mains.

Elles me regardèrent les yeux rieurs.

— Aucune lutte dans de la gélatine ou de la boue les filles, pas question ? Affirmai-je avec aplomb.

Elles rirent.

— Venez, on va s’amuser. Fit la maigre avec ses grands yeux bleu rempli de malice.
— Je, je ne suis pas sûr d’en avoir envie ! Protestai-je en soupirant longuement.

Cette fois je me sentais prête a fuir, me donner en spectacle… moi… oh que non.

— Luce, dit 1, s’il le faut moi et 2 on va vous emmener de force en vous chatouillant, ou en vous portant.
— Hum, fit 2, levant les mains et agitant ses petits doigts.

Je ris décourager, mais j’hésitais toujours résistant a l’envie de me ronger les ongles comme d’habitude.

— Seigneur lâcha-je, mais ses quoi ce club ?
— Oh ! Un cas difficile fit 1 en regardant 2.
— Hum, fit celle-ci, chatouilleuse aux hanches surtout et…
— Aux seins dit l’autre, je m’occupe des hanches ou…

Elles s’approchaient tout sourire en agitant leurs doigts comme de petites sorcières, je ne pus m’empêcher de rire. Pierre leur avait dit que j’étais sensible aux chatouilles sur les seins, le salaud. Je n’y croyais pas, ou elles avaient pris une chance. Je soupirer longuement. Je me laissais aller difficilement, la peur du ridicule m’empêchait de m’éclater trop souvent surtout sans boire. Je me mordiller les lèvres en les regardant et finalement décider de les suivre, juste pour voir.

— Ça vas, ça vas, dis-je levant une main en signe de reddition, je vous suis. Mon amie parle trop, et moi j’ai à lui parler. J’ai même hâte de le voir celui-là !
— Comme on vous la dit… il faudra le mériter Luce.
— OK ! Mais mériter comment ?

Elles me firent des sourires de gamines espiègles qui se préparent à faire un mauvais coup à leur vieille tante. Seigneur ! Dans quoi je m’embarquais.

Je ris de nervosité en leur emboîtant le pas. Je ne savais pas encore ce qui se passait ici, c’était probablement finalement un bordel ! Si ce n’était pas ça, qu’est-ce qu’elle faisait nue ces deux-là ? Je soupirer en me disant que je le saurais bien assez tôt et que je pourrais toujours m’enfuir. Mais pour l’instant les voir en tenue d’Ève me plaisait. J’ai lu quelque part que les pulsions sexuelles s’intensifient vers la cinquantaine autant chez l’homme que la femme. La peur de la mort en serait la cause, ça doit être ce qui m’arrivait et voir ses filles nues et leurs baisers m’avaient fait mouiller si vite. J’en avais encore les mamelons qui pointaient terriblement. J’avais peur de voir ce qu’il y avait derrière cette autre porte, si c’était plein de monde que je connaissais ou des inconnus tous nus qui allait me crier surprise, ouf… Ce serait terriblement embarrassant ! Je me préparais a tout, enfin je le croyais, mais quand elles ouvrirent la porte je figer de stupeur les yeux tout ronds.

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