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le repas de fin d’année

le repas de fin d’année



Je m’étais juré de ne plus assister au repas de fin d’année de ta boîte, mais je n’ai pu que céder cette année encore devant la contrepartie soufflée à l’oreille « je suis toute à toi le reste de la soirée »….

Déjà 19h, il faut finir de se préparer sinon nous allons être en retard. Je rentre dans le dressing pour choisir ta tenue. Je te veux sage en apparence et choisit donc cette robe manteau qui cachera à merveille cette parure de dentelle offerte pour la Saint Valentin.

Je me choisis un complet décontracté, ne voulant jurer avec le reste des invités.

Tu penses être prête et enfile ton manteau, mais je t’arrête et te montre les deux coffrets posés sur la commode de l’entrée.

D’un sourire entendu, tu essaies de négocier mais un regard suffit à te faire capituler. Tu poses ton manteau, relève ta robe dévoilant ce tanga fendu encadré par les jarretières. Tu prends appui sur le mur, écarte les jambes et cambre tes reins pour faire ressortir ce joli cul que je prends souvent plaisir à rougir lors de nos joutes amoureuses.

Je prends le premier coffret et sors le rosebud argenté avec sa grosse pierre imitation rubis. Ta bouche est déjà entrouverte pour lubrifier ce qui va orner ton bel anneau plissé. Vicieux, j’ai choisi le plus gros et lourd exemplaire et c’est avec une petite grimace que tu le sens se loger au creux de tes reins.

Dans le deuxième coffret le dernier jouet que je t’ai offert, les fameuses boules de geisha contrôlables depuis une application sur mon portable. Une bonne dose de lubrifiant pour t’obliger à contracter tes muscles vaginaux afin d’éviter de le perdre et le voilà en place, inactif pour l’instant.

Cette fois-ci nous sommes prêts et filons jusqu’au siège de ta société pour la partie la moins agréable de la soirée.

Je vous passe le sempiternel discours du patron, le vin mousseux et les petits fours. Par contre, regarder ma chère et tendre passer de collègues en collègues avec son verre à la main et me chercher dans la salle d’un regard suppliant pour diminuer, à défaut d’espérer arrêter, ces vibrations de plus en plus pernicieuses est un véritable plaisir.

Les blagues vaseuses de ton chef et ce buffet insipide ne font que confirmer ce que ta fameuse phrase susurrée à l’oreille a fait germer, tu vas déguster au propre comme au figuré.

La soirée touche à sa fin. Ton excitation est à fleur de peau, savamment entretenue il est vrai par ces différentes vagues vibratoires diffusées tout au long du repas. Tu as dû plusieurs fois t’éclipser pour essuyer une fente de plus en plus humide de peur que cela tâche ta robe.

Un dernier tour pour saluer tes collègues et direction le vestiaire. Je récupère ton manteau et d’un regard loin d’être désintéressé, tu comprends que ta promesse est à présent à honorer.

Je te serre dans mes bras, relève cette mèche qui cache ton oreille, joue un instant avec ce lobe sublimé par un petit diamant et glisse ces quelques mots…. » Je te veux offerte sous ce manteau ».

Tu retournes donc aux toilettes, déboutonne les quelques boutons et laisse glisser la robe à tes pieds. La fraîcheur du lieu déclenche quelques frissons, mais est-ce vraiment ce petit courant d’air ou tout simplement l’appréhension de ce qui va suivre.

Nous sommes enfin seuls, tout peut commencer.

Prévoyant, je m’étais garé au fond du parking. Avant de monter, j’ouvre ton manteau pour mieux te contempler. Finalement ces quelques heures d’attente en valaient la peine, tu es magnifique, parée de dentelle dans cette guêpière prune et noire.

Tu fermes les yeux pour mieux apprécier ma caresse. Je commence par trouver ta langue humide dans ta bouche entrouverte. Tu joues avec mon doigt avant de l’aspirer comme si c’était mon sexe. Je passe sur ton cou et descends me perdre dans le sillon de tes seins. Je continue à descendre et flirte avec la dentelle jusqu’à la fourche de tes cuisses. Ta tête, à présent repose sur mon épaule et je perçois ta respiration plus soutenue et ces légers feulements, prémices de ton Abandon.

Des voix s’entendent au loin, nous prenons place dans la voiture.

Fétichiste des hauts talons, tu as su assouvir ma passion avec ces escarpins tenus par une fine bride emprisonnant ta cheville. Je prends donc plaisir à te déchausser et à te masser délicatement avant de poser de longs baisers et de m’imprégner de cette odeur si particulière, mélange de cuir et de chaleur corporelle.

Je reprends le supplice de la caresse et remonte lentement. Le nylon de tes bas crisse sous mes doigts, tu inclines le dossier pour mieux t’offrir. Je sens ta peau nue maintenant, l’air de rien tu écartes un peu plus les cuisses afin de t’offrir sans perdre de temps. Tes feulements sont plus prononcés, il est vrai que j’ai réactivé les vibrations accentuant cette torture sensorielle. Je passe un doigt sur ce bout de dentelle mouillé de plaisir. Je fais glisser ce dernier rempart et prends plaisir à jouer avec ce bourgeon caché entre tes lèvres. Je récupère tant bien que mal les deux sphères poisseuses et ce que tu prends pour un soulagement est en fait une nouvelle épreuve puisque je m’amuse à agacer ton clitoris brillant de mouille et à présent complètement découvert.

Tu caresses ta poitrine, tes seins sont durs. Tu les fais passer par dessus les bonnets de ta guêpière et tu pinces leurs pointes excitées comme si tu voulais te réveiller, te prouver que tu ne vis pas un de ces rêves qui te laissent moite au matin.

Ta respiration s’accélère, tu commences à te crisper….. Je flirte avec tes nerfs, exaspère tes sens, tu supplies mais je ne cède pas et te maintiens à la limite du plaisir.

C’est un regard plein de frustrations que tu me lances lorsque je démarre la voiture. Je t’autorise à jouer avec ton petit vibro de poche que tu as toujours dans le sac à main, mais t’interdis de jouir. A toi de flirter avec les sommets sans passer le point de non retour.

Nous arrivons enfin dans le parking souterrain. Tu me supplies d’éteindre ce brasier tout de suite en te prenant sur le capot chaud du moteur comme l’autre jour. Tu me provoques en descendant de voiture, mais ton jeu de jambes n’y fera rien, il te faudra attendre!!!

Dans l’escalier, tu fais tomber ton manteau et continue à me provoquer. Quelle torture de te voir monter chaque marche, les escarpins à la main, en roulant ton petit cul bombé et son bijou planté au milieu.

Tu restes, jambes écartées, cambrée les mains posées sur le palier. La tentation est trop forte, tant pis pour les voisins, je m’approche et donne quelques pichenettes sur le rosebud, déclenchant des ondes jusqu’au plus profond de toi. Tu dois mordre ta main pour étouffer tes cris qui résonnent dans la cage d’escalier.

Tu te fais féline et te frottes délicieusement contre moi pendant que j’essaie de déverrouiller cette foutue porte, pourquoi ai je mis autant de serrures !!!!!

La porte d’entrée fermée, c’est agenouillée que je te retrouve. Je pose les clefs et ma veste et m’approche. Tu plaques tes mains sur mes mollets remontes le long de mes cuisses. Tu libères mon sexe trop longtemps emprisonné. Une odeur de mâle en rut envahit la pièce. A moi de pousser un gémissement, trop de tensions accumulées, je n’en pouvais plus d’attendre.

Tu commences à lécher ma queue bandée, caresser mes couilles, tu me prends en bouche lentement jusqu’à ce que je sois au fond de ta gorge… Il n’est rien de plus beau que de voir cette complicité, cet amour dans ton regard….. Maintenant tu alternes léchage de gland et gorge profonde….. J’ai beau penser au repas avec ta mère dimanche pour retarder mon éjaculation, c’en est trop et c’est dans un râle que le plaisir l’emporte. Gourmande tu n’en perds aucune goutte.

Le temps de me déshabiller et te voilà à présent sur la table à réclamer ton dû. Je cède à la plus belle des friandises, au plus secret de mes désirs, te sentir vibrer par un cuni endiablé. Tu es trempée et ne sais plus où donner de la langue pour rassasier mes papilles. Je me concentre maintenant sur ton clito gorgé de sang, épicentre de ton plaisir. Les tremblements te gagnent, ta respiration devient saccadée et signe de capitulation tu bloques ma tête en agrippant mes cheveux et resserre tes cuisses de peur que je te laisse frustrée comme sur le parking. Un orgasme te gagne, je bois avec délice cette mouille qui n’en finit plus de couler.

Encore excité, je te prends lentement, tes chairs étant encore sensibles. Tu me supplies d’arrêter, tu n’en peux plus. Pourtant tu passes tes jambes contre mes reins afin de contrôler cette pénétration. Je te soulève et te pose sur le lit.

Il te reste encore quelque chose à m’offrir. Je commence à t’embrasser puis je descends titiller ces pointes toujours excitées, j’aspire maintenant tes lèvres gonflées et découvre enfin ce que je suis venu chercher. Je tire sans forcer sur le bijou et m’amuse vicieusement à tester l’élasticité de ton petit trou préparé depuis le début de cette soirée. Un régal de constater qu’il a bien fait son travail et qu’aucune douleur vient contrarier l’air béat sur ton visage. Une petite tape sur la cuisse suffit à te faire mettre en levrette, bien cambrée, offerte. Je n’ai plus qu’à poser mon gland, sentir tes muscles se relâcher doucement et m’enfoncer jusqu’aux couilles. Ton corps se crispe et se détend à l’unisson de mes coups de reins. D’une main tu pinces ton téton et de l’autre tu te branles jusqu’à jouir une dernière fois. De t’entendre gémir, je sens mes couilles durcir et me masturbe pour jouir sur tes reins.

Je lèche mon sperme pendant que tu suces ta main et tendrement nous partageons nos sucs par un dernier french kiss gourmand.

Morphée s’invite à son tour et c’est dans ses bras que le sommeil nous emporte.

Vivement le prochain repas de fin d’année!!!!

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