Comme beaucoup j’ai passé noël avec mes enfants. J’ai la chance de réunir ma famille lors de cet événement.
Pour l’événement, j’ai mis une robe glamour. Après avoir bien arrosé Noël lors d’un apéritif divinatoire, l’ambiance est bon enfant et nous sommes entre fêtards.
Vers deux heures du matin, de Get 27 en Get 27, nous nous sommes de plus en plus lâchés. Nous nous mettons à raconter nos expériences sexuelles et j’ai bien entendu pleins d’anecdotes à livrer. Alors que vaque à quelques occupations dans la cuisine, Alain, très éméché, me rjoint avec Gilles. Il se met dans mon dos et faisant face à Gilles, il fait tomber les bretelles de ma robe dévoilant à notre ami ma poitrine en lui disant :
« Ne sont-ils pas beau ses seins, »
Gilles écarquille les yeux et sa tête me fait penser au loup de Tex Avri. J’éclate de rire quand je l’entend bredouiller :
« Hue ba voui c’est ba en effet ! »
Mon mari lui propose alors :
« Tu veux les toucher ? »
La, il se fait moins timide et ne se fait pas prier. Il s’approche et commence à me malaxer les seins nerveusement sans trop de douceur. L’alcool aidant, la situation me fait rire et insite Alain à aller plus loin en demandant à notre ami :
« Ca te dirait de lui bouffer la chatte ? Elle adore ça et là, je suis certain qu’elle mouille comme une salope ! »
Alain me trousse la jupe et Gilles se met à genoux, remonte ses mains le long de mes jambes et jusqu’ a ce qu’il me touche les fesses. Il me palpe le cul mais il n’ose pas aller plus loin. Il doit bander comme un âne ce con me dis-je. Je n’arrête pas de rigoler comme une dinde. Il a le nez devant ma chatte luisante de mes sécrétions intimes, à peine dissimulée par le tissu diaphane de mon string.
Alain lui lance :
« Soit pas con ! Retire lui sa culotte ! Elle n’attend que ça ! »
Il retire la fine dentelle et met le bout de tissu humide de mon intimité dans sa poche. Sans même que mon mari me le demande j’ouvre le compas de mes cuisses pour qu’ il puisse accéder à mon coquillage. Il est maladroit et hésitant. Impatiente, je lui prend la tête et la plaque contre mes lèvres gonflées de désir. Alain me tripote les seins et je me met à gémir de plaisir. Sa langue s’active sur mon clito et je n’arrête pas de couiner.
Je couine et rigole. Mais alors que je suis à deux doigts de jouir, mon mari met fin à notre jeu en disant :
« Holalala Du calme les enfants ! Il faut en garder pour tout à l’ heure ! Il faut rejoindre nos invités ! »
De retour à table, Je suis rouge d’excitation et mon voisin s’en rend compte. Je n’ai plus de bas ni de culotte. Discrètement , il pose sa main sur ma cuisse nue et voyant que je n’oppose aucune résistance, il remonte doucement vers le haut de ma cuisse. Rapidement au contacte de ma vulve, il comprend vite que je n’ai plus de culotte. Alors qu’il insinue un doigt entre mes lèvres, je lui glisse à l’oreille :
« Retire ton doigt ! Tu vas me faire jouir à table ! »
Il me regarde en souriant et au lieu de retirer son doigt, il se saisit de la bretelle de ma robe. Je tente discrètement de le repousser et raisonnable, il remet sa main sur la table tout en me disant :
« Coquine ! Tu ne perd rien pour attendre ! La soirée n’est pas terminée ! »
Je ne réponds pas à son allusion et continuons à rigoler sur des anecdotes coquine ou des histoires cochonnes. Je me lève pour aller chercher des trucs dans la cuisine quand Georges fait son entré. D’ un geste rapide, il me retrousse jusqu’ à la taille. En me disant :
« Petite salope ! J’vais te sauter ! »
Il se met à me fouiller la chatte sans ménagement.
« T’es toute trempée ! T’as envie de t’faire bourrer ! »
J’aurais pu le repousser, mais je n’en fais rien. Pendant qu’ une de ses mains fouille mon entre jambe, l’autre baisse ma bretelle et dévoile un sein. Il n’est pas doux et me pince durement le téton. Il pose sa bouche sur la mienne pour étouffer mon râle. Je dois reconnaître que la situation depuis le début de la soirée m’ enflamme les sens et que je ne maîtrise plus mes envies. Il sort sa bite raide comme la justice et tout en faisant glisser son engin entre mes lèvres intimes, il me dit :
« Dis moi qu tu as envie de ma queue salope ! »
« Oui défonces-moi avec ta grosse bite ! »
Aussitôt son sexe investit mon vagin dans toute sa longueur. A tout moment quelqu’un peut entre dans la pièce mais ça donne encore plus de piment à la situation. En entendant les autres dans la pièce d’à côté, Georges me possède.
Je gémis sous les assauts de sa bite. Je voudrais que mon mari soit là pour me voir me faire mettre. Tout en me baisant, il me traite de salope, de chienne et ça décuple mon plaisir. Me voyant réceptive à ces insultes il continue en me disant :
« A présent tu s’ras ma chienne et j’te baiserai chaque fois que j’voudrais ! »
Au lieu de me rebeller, pris dans ce tourbillon de débauche et à cause de l’alcool, je m’ entends lui dire :
« Oui, j’suis ta chienne, prends moi plus fort ! »
Il me défonce férocement et meurtrissaient mes seins. Sa bite s’ active avec une v******e peu commune dans mon vagin détrempé. Tout à coup, il se retire et me dit :
« J’vais jouir ! Suce moi la bite salope ! »
Je me retourne, me met à genoux et prends sa queue dans la bouche juste au moment où il éjacule en m’ordonnant :
« Avale putain ! »
J’avale son suc et lui nettoie la bite.
« Alors ? T’as aimé Michèle ? »
Sur le point de lui répondre, voilà que mon mari et Alain font éruption dans la cuisine. Aussitôt Alain lance :
« He bien ! Je vois qu’on s’amuse bien ici ! Nous aussi on voudrait bien avoir une part de gâteau ! »
Alain me fourre aussitôt sa queue dans la bouche et je me met à le sucer devant Georges et Gilles qui apprécient le spectacle de Noël que j’offre en dégustant le sucre d’orge de mon mari. Gilles qui bande comme un âne s’approche la queue à la main et me prenant par les hanches m’enfile la chatte.
Au bout d’une dizaines de minute, je part dans un orgasme violent qui déclenche l’éjaculation de mon homme qui se déverse au fond de ma gorge. Je déglutis en avalant toute sa semence. Gilles est vraiment endurant et continue de me sauter avec bonheur. Alain lui dit alors :
« Prends-lui le cul tu jouira plus vite ! »
Pas la peine de lui dire deux fois Il sort de mon vagin et sa bite bien graissée par ma cyprine, il me perfore le cul. Je pousse un cri de douleur et le temps que mon anatomie digère sa grosseur, il se met à me besogner en me secouant de plus en plus fort. Rapidement, il se met à grogner et décharge sa crème en longue giclées dans mes fesses.
On retourne tous dans la salle comme si de rien était, alors que tout le monde danse.
Vers les six heures du matin presque tout les invités sont partis. Reste encore Georges et Gilles. Mon mari leurs demande :
« Vous restez un peu pour nous aider à débarrasser ? »
Alors que m’affaire à mettre les assiettes dans le lave vaisselle, George en profite pour me peloter le cul en me disant :
« Qu’es ce qu’il ta mis dans l’cul Gilles tout à l’heure ! »
Il me dit alors :
« Suces-moi salope ! T’aimes la queue toi ! »
Je me retourne et comme si c’était naturel, je me met à le sucer. Quand Gilles et Alain entre dans la piéce, Gilles qui a pris de l’assurance dit à mon mari :
« Bon, puisque sa bouche est prise, on lui remplir les trous ! J’te laisse son cul puisque je lui ai débouché la tuyauterie tout à l’heure ! »
Sans perdre de temps me voilà embrochée par les trois mâles qui me baise comme un bout de viande. Je leurs suis offerte entièrement.
Au bout d’un moment, leurs aller-retour dans mon ventre augmentent. Je sens la queue de George dans ma bouche qui est prise de soubresauts. J’ai des frissons dans tout le corps. Je sais qu’ il ne vont pas tenir longtemps. Alain et Gilles sortent brutalement de mes orifices dilatés et en se mettant devant mon visage, les trois mâles exulte en long jets crémeux qui s’écrasent sur mon visage et sur mes seins. Cette fin de réveillon se termine en apothéose dans un final époustouflant.
Nous sommes montés dans notre chambre et nous nous sommes endormis ensemble. Je sens au réveil un membre dur dans mon dos. C’est Gilles, qui bande comme un âne. Mon mari et Georges dorment encore profondément. Je saisi alors son sexe pour le guider vers mon nid d’ amour. D’un coup de rein il me pénètre et ensuite me fait l’amour avec plus de douceur. Nous avons joui ensemble. Après avoir éjaculé, il est resté en moi jusqu’à ce que sa bite ramollissante ressorte d’elle même de mon vagin gluant. Au petit déjeuné, Nous avons évoqué cette folle nuit en riant.
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