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Entraide

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J’avais passé ma nuit sur un site de cul à discuter avec des étudiantes à poil et qui font ça pour améliorer leur situation financière. La plupart de ces filles étaient d’Ukraine et j’arrivais à les appâter en leur offrant de leur envoyer de l’argent en dehors du site. Certaines y cédaient et d’autres ne voulaient rien savoir.
J’avais les cheveux qui me poussaient en dedans du crâne quand j’ai pris ma douche. C’est dire que je n’avais pas les idées claires quand je suis allé me chercher à manger à la supérette. C’était désert. Le patron remplissait les rayons et il n’y avait qu’une caissière en place et qui semblait s’ennuyer. Elle m’a fait penser à ces filles avec qui j’avais discuté toute la nuit.
Je l’ai saluée et elle a comptabilité mes achats et j’en ai profité pour discuter avec elle. Elle m’a avoué volontiers qu’elle est étudiante et elle a rougi quand je lui ai dit qu’elle est jolie. C’était la vérité et en plus de ça, elle avait ce qu’il fallait là où il fallait. Je lui ai encore demandé si elle aime les tatouages et elle m’a répondu qu’elle en a un petit, bien caché et quand je lui ai demandé la raison de ça, elle a encore rougi et j’ai bifurqué sur les piercings et elle a rougi encore plus. Elle n’avait rien aux oreilles et encore moins au visage.
– Les tétons, lui ai-je demandé ?
Elle m’a répondu que je suis bien curieux avant de m’avouer que c’était bien ça. Pour changer de conversation, je lui ai demandé combien elle gagne à faire la caissière. Elle m’a répondu que ce n’est pas vraiment parce qu’elle ne peut travailler que deux fois quatre heures par semaine.
– Et vous auriez besoin de plus, ai-je ajouté, condescendant ?
– Oui, a soupiré la fille !
– De combien, ai-je encore insisté ?
– Le smic, m’a répondu la fille !
Je pensais à ce que je donnais à ces filles en Ukraine. Avec trois cents euros, elles survivaient pendant plus d’un mois. J’ai répondu à la caissière que je ne peux pas et elle a tout de suite abaissé ses prétentions à cinq cents euros. J’ai ajouté que c’est encore trop et elle est descendue à trois cents puis elle a ajouté qu’il faut qu’elle paye sa chambre, sa nourriture et ses vêtements. Je lui ai répondu que je suis d’accord pour quatre cents, à condition qu’elle consente à quelque chose. Elle m’a demandé si je veux qu’on couche. Je lui ai demandé ce qu’elle en pense. Je voyais bien qu’elle hésitait mais sa réponse a dépassé mes espérances :
– Si vous me logez, je veux bien tout ce que vous voulez, m’a répondu la fille !
A ce moment-là, son patron est arrivé et il lui a dit qu’elle peut prendre sa pause et il a pris sa place à la caisse et la fille a disparu dans l’arrière de la boutique. J’étais un peu désorienté et j’ai ramassé mes achats et je suis partis mais je me suis arrêté un peu plus loin et j’ai vu sortir la caissière. Elle a regardé à droite et à gauche et quand elle m’a vue, elle est venue vers moi et elle m’a demandé si ma proposition était sérieuse. Je vivais seul et je n’avais pas de raison de me priver. Toutes ces filles que j’avais draguées avec un peu d’argent n’avaient pas hésité. J’ai répondu à la caissière que c’est d’accord et elle m’a encore dit que si je veux faire l’amour, elle veut bien. Je lui ai donné mon numéro de téléphone. Deux jours plus tard, elle est arrivée chez moi avec ses affaires. J’avais une chambre d’ami et j’avais même mis des draps au lit mais la fille s’est étonnée en me demandant pourquoi on ne couche pas ensemble.
– T’as pas d’alliance et tu dois pas être marié, a-t-elle ajouté ! Ce sera comme si je suis ta femme !
Elle avait quand même la moitié moins d’âge que moi. Elle a posé son sac dans la chambre d’ami et elle m’a demandé si elle peut prendre une douche. Je n’avais pas envie de m’y opposer d’autant plus qu’il n’y avait pas de verrou à la porte de la salle de bains. Je l’ai laissée seule mais quand j’ai entendu la douche, j’ai fait demi tour. Elle n’était pas encore dans la douche mais elle s’était penchée en avant pour brosser ses cheveux. Quand elle s’est relevée, j’ai vu son tatouage et je me suis étonné qu’il soit si gros en lui demandant si c’est ça un petit tatouage. Elle m’a répondu qu’elle m’avait menti pour avoir plus de chances. C’était une sorte de losange qui partait à la naissance de ses seins et se répandait dessous et c’était des feuilles comme motif mais ce que je regardais surtout, c’était sa poitrine car elle avait des nichons magnifiques.
– Tu fais quoi comme bonnet, lui ai-je demandé ?
– Je sais pas, m’a répondu la fille ! Je ne mets jamais de soutif !
– Oui, mais tu dois bien savoir, ai-je insisté !
Je lui ai répondu que je n’en sais rien et elle a fini par me dire que ça varie entre D et F puis elle m’a dit que je peux vérifier et comme j’hésitais, elle m’a dit que je peux toucher et j’ai touché ses seins. Je les caressais et je les soulevais et quand je lui ai demandé si elle peut téter ses mamelons, elle a tété son mamelon gauche puis elle l’a laissé retomber.
– On baise maintenant ou après la douche, m’a encore demandé la fille ? Si tu n’as pas envie, moi, j’ai envie !
Je l’ai baisée dans la salle de bains. J’avais la queue raide comme du bois. J’ai pensé que sa chatte avait dû connaître pas mal de monde et quand j’en suis sorti, je me suis présenté à la porte arrière.
– Qu’est-ce que tu fais, m’a-t-elle demandé ? Je n’aime pas ça ! C’est vulgaire !
J’ai renoncé et après cinq minutes dans son vagin, j’ai joui. Elle m’a tout de suite demandé si je suis content puis elle est allée se doucher. Je n’avais jamais imaginé que je puisse amener une aussi jolie fille chez moi. Quand elle m’a rejoint dans la cuisine, je lui ai donné la moitié de ce que je lui avais promis tout en lui disant qu’elle aura le reste à la fin du mois. Elle était d’accord. Ensuite, j’ai mis les conditions : pas de piercings et pas de nouveau tatouage tant qu’elle vivra chez moi. La fille a tenu pendant un an et demi puis elle m’a dit qu’elle a vraiment envie d’un autre tatouage. Je lui ai demandé pourquoi et elle m’a dit que je ne vais pas être content. Je ne comprenais pas. Elle a ajouté qu’elle est enceinte. Je me suis étonné parce qu’on faisait toujours attention à son cycle pour faire l’amour. Elle a eu l’air désabusée et elle a ajouté que ça ne peut être que moi.
Je l’ai laissée se faire tatouer un dessin au bas du ventre puis nous avons continué à vivre ensemble. Le plus amusant est que mes parents ne se sont même pas étonné que je vive avec une fille aussi jeune. Au contraire, m’a dit mon père, j’espère qu’elle aime ça.

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