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Partouze dans la maison abandonnée

Partouze dans la maison abandonnée



Écrit avec Cedex33

J’ai un pote photographe, quadra, bien gaulé, qui aime faire des photos dans des lieux insolites. J’avais déjà posé pour lui plusieurs fois, du coup je sais comment il marche, et ce qu’il veux comme pics. Il avait fait un repérage d’une vieille maison abandonnée, où il pourrait me prendre en photo, une baraque en ruine de plusieurs étages. Nous y sommes arrivés dans la matinée. Là où nous nous sommes garés, il y avait deux voitures mais, les gens descendent souvent a la rivière en bas, alors que la maison,elle, reste vide.
J’avais la trique à l’idée de faire ces photos, ce que mon pote ne manqua pas de me faire remarquer. Il cherche d’habitude à faire des pics érotiques et pas hard, donc pas d’érection. Je l’aide à déballer les 2 sacs d’accessoires et nous nous dirigeons vers la maison. Il la connait bien cette maison : même si elle est barricadée avec des planches cloutées, nous pouvons y pénétrer par 1 fenêtre à ras de sol qui donne accès à la cave. De la cave, la maison est à nous. Nous passons par cet accès. Arrivé à l’étage supérieur, mon pote est étonné : des matelas sont posés à même le sol dans une des pièces. Mais peu importe, nous commençons à chahuter tous les deux : je m’amuse à prendre des poses dans l’escalier, lui commence à me flasher.

« Bon, commençons avec les choses sérieuses, l’appareil est chaud, maintenant à toi  » me dit il soudain, avec ce petit double sens.
En fait il voulait que je me mette en sous vêtements pour le reste des photos. J’en avait prévu plusieurs types alors je commence par enlever tout sauf mes boxers et mes basquettes. On prend quelques pics, il me dit qu’il va profiter que je bande en dessous pour prendre des photos plus érotiques, de face et de profil, avec une bonne bosse sur le devant. Finalement, le front perlé de sueur, il me demande si je veux changer de sous vets ou de lieu. Je lui réponds que pourquoi pas les deux. Je me met alors à poil pour me changer, la queue bien dure et j’essaye de renfiler mes jocks, mais j’ai du mal. Il le voit. Et ne peut s’empêcher de me le faire remarquer. Mais nous voulions de photos sans queues raides. « Autant en profiter pour quelques clichés qui montrent bien tes attributs ».
On allait s’y mettre quand on entendit des bruits provenant de la pièce en dessus et sur le côté. Pas trop bandant, mais nous sommes allés voir. On monte quelques marches et on entra dans une pièce plus grande mais encore en dessous du rez de chaussée. Et là le spectacle devant nous en vaut la chandelle.

Du matos pour des partouzes comme on aurait jamais en rêver : la salle est assombrie par de long rideaux rouges en velours, 2 canapés de la même couleur se font face, une télé, des posters de cul, une croix de Saint-André, 3 chaises percée, et dans une caisse à osier, collier de chien, chaines, cockring…, une gamelle de chien…on se regarde avec mon pote et on pique un fou rire. Mais, même si c’est pas notre truc, la vision nous met quand même dans un état d’excitation. Je sens sa main tâter mon jock. Je prends sa main et la guide à l’intérieur sur mon sexe. On serait bien des imbéciles si on ne profitait pas de tout ce qui s’offre à nous. Pendant qu’il me branle, je repère du poppers sur la table.

« Au cas où » je dis en lui faisant un clin d’œil.
« Met toi sur la croix que je l’essaye » il me dit avec un petit sourire pervers. « Et si ils viennent, ils peuvent se joindre a nous, tu payeras la location du matos avec ta teub »
Il m’attache et va récupérer ses affaires dans la pièce d’à côté. Il prends quelques shots, moi en jocks sur la croix, attaché, la gaule, et lui avec ses jeans serrés.
« Pas mal les gars » dit une voix derrière. Je sursaute, mon pote aussi mais vu son regard il y a quelque chose qu’il ne me dit pas.
Le gars passe devant et je le vois enfin, la quarantaine, tête rasée et barbu, en veste de cuir et jeans moulants, cul de rêve, il se retourne et me matte, putain il est sexy mais dans cette position je me sens un peu bizarre.
« Je pense que nous allons nous amuser. Julien! Tu viens? » Dit il.
Un gars d’une vingtaine entre par la porte en face de moi. Blondinet, gueule d’ange, vicieux, il est sans Tshirt, pas poilu, mais un corps bien foutu, en shorts de sport, on voit sa teub se balancer en marchant. Il me regarde droit dans les yeux et matte mon paquet. Il sourit.

Le gars à la quarantaine s’avance vers moi, fait basculer la croix où je suis ligoté : je me retrouve en position horizontale : il me frappe la queue d’un coup sec. Je gueule. Il dégage bite couilles du Jock et continue ses petites tapes, à droite, à gauche, sur mes couilles cette fois-ci. La douleur se fait plus douce. Par surprise mais régulièrement, il me file un coup plus fort sur la queue, ce qui me fait sursauter à chaque fois.

Le petit gars à la vingtaine, s’approche et place sous mon nez sa teub ballottant dans son short. Je sors ma langue pour l’atteindre mais n’y arrive pas. Je peux juste humer cette bonne odeur de bite mal lavée. Il la prend dans sa main, me claque les joues avec, puis enfin me la fourre dans la bouche : le bonheur. Je me délecte de son gland. C’est lui qui dirige le mouvement : au fond de la gorge, lécher juste le gland…

Mon pote, à l’écart, prend des clichés : c’est à ce moment-là que je me suis demandé si ce n’était pas un coup monté. En fait, l’inquiétude a vite disparu quand le type à qui je dévorais la bite – Julien – me fit sniffer 3 shoots de poppers. J’étais chaud comme la braise. Marc, en cuir, stoppa ses tortures et me lécha les couilles pour apaiser les douleurs. Tout ça sous l’objectif de mon pote.

« Maintenant on va jouer entre bous et tu regardes » dit Marc en retournant la croix pour que je sois à la verticale.
« Montre moi comment il t’a sucé « dit il a Julien, en le mettant à genoux devant sa grosse queue. Il bandait dur, je pouvais le voir. Il ne se faisait pas pomper mais il baisait la gueule de Julien. Qui en avait les larmes au yeux. Je bandais dur en regardant la scène mais heureux de pas être à sa place, je me serais étouffé.
Mon pote continuait à prendre des photos mais sa queue raide avait été libérée de son fute. Elle laissait tomber des goutes de precum. Si seulement j’avais pu la lécher. Il le savait et se rapprocha de moi. Il sentait le cul. Je voulais qu’il me lache. Mais ils avaient prévu autre chose.
« Tu vas être notre trou à foutre, me dit mon pote, Julien est passif mais il va quand même te doser et on va tout filmer, tu kiffes? »
« Oui! Grave! »
« Et on va utiliser ton foutre comme lubrifiant, » ajouta Marc. Se rapprochant de moi. Je mouillais rien qu’à l’idée.

Il me décrocha de la croix de saint-André, me retourna et me rattacha les mains plus bas, toujours à cette putain de croix. J’étais incliné, le cul offert, le cul en feu, toujours sous l’effet du poppers. Le premier à m’enfiler fut Julien. Il me crache sur le trou, me lubrifia succinctement avec ses doigts plein de salive et me pénétra sans ménagement. Je hurla. La douleur mit quelques minutes avant de se calmer pendant qu’il me bourrait comme un fou. Marc, lui me claquait les fesses en le lançant « T’aime ça salope ». Mon pote avait posé son appareil photo et commençait à palper le paquet de Marc, sa queue raide comme un piquet, dégoulinante de mouille. Julien accélérait le mouvement et ses gémissements se faisaient plus rauque. Il finit par exploser et m’inonda le cul de sperme. Il retira sa bite de mon cul et le photographe – Vincent pour ne pas le laisser dans l’anonymat – qui eu le privilège de lui nettoyer sa queue maculée de semence. J’étais à la fois jaloux et excité de voir mon pote sucer une autre bite.

« Putain Julien! Tu nous l’as cassé! Il saigne du cul! » Gueula Marc. Mon pote se relève et le voit, il en fait une tête, mais moi j’ai pas mal.
« On va le punir ce chien » dit Vicent, « et on a le matos pour ça. »
Ils se regardent tous les deux, du coup je me rends compte qu’ils ont deux jeunes à dispo pour leurs teubs. Ils prennent la laisse de chien et la mettent à Julien. Il rougit, « désolé je suis un peu bourrin, mais ton cul était trop bon. »
« Pas d’excuses! » Dit Vincent. « Tu nous répare ce cul d’enfer! » Il était à moitié fâché et à moitié en rut. Toujours la queue raide.
Il pris la tête de Julien et le penche pour qu’il me lèche le cul. Il y va doucement, je kiffe trop. Marc me donne du pops pour que je me détende. Je me lâche sous les coups de langue de Julien.
Mais Marc en a marre d’attendre, c’est mon tour de goûter ce cul il dit. Mais Vincent avait une idée meilleure: « tiens, ça tu vas aimer Marc. Julien. Tu le pompes à fond pour te faire excuser, et tu as intérêt à bien le faire cracher! »
Je n’y revenais pas. Marc bandait comme un turc, en les regardant, un me pomper à fond de gorge et mon pote Vincent me bouffer le cul à grands coups de langue. Marc se met près de mon oreille « crache tout ton jus tu vas adorer ce qui vient ».
Je râle de plus en plus fort et j’explose dans la gueule de Julien en criant aussi fort que je peux, les coups de langue sur mon trou m’ont bien motivé. Vincent se retire juste le temps de me faire un clin d’oeil, et reprend son bouffage de fion.
Julien se relève, tiré par la laisse, Marc le fait mettre à genoux sa queue raide devant lui, il crache tout mon foutre dessus et la lubrifie de mon jus. Marc revient vers moi, pointe son gland vers mon trou ouvert et enfonce son dard en moi, cette fois ci sans me faire mal.

Marc est un pro, ça se voit : il sait utiliser sa teub d’au moins 22 cm. Mon cul en redemande encore et encore. Ma queue, d’abord en demi-bandaison commence à se redresser fièrement devant la scène que j’ai sous les yeux : Vincent, le pro du bouffage de cul s’attaquait à la queue de Julien : à genoux, il avait commencé par lui tirer sur les couilles, puis les lécher, les gober avant de s’attaquer à sa bite. Il frottait son visage contre sa longue tige – on voyait qu’il aimait la queue – avant de l’engloutir.

Vincent se redressa, toujours la teub en bouche : je me retrouvais à quelques centimètres de son trou, encore vierge : je le saisis par les hanches et commença à lui bouffer. La scène était harmonieuse : Julien se faisait sucer par Vincent à qui je bouffais le cul, moi même pilonné par Marc. Quand j’ai aperçu Julien se branlait, je commença aussi à m’astiquer, excité à l’idée qu’on allait tous les quatre jouir en simultané.

Vincent n’en peut plus. Il se relève et me regarde, les yeux perdus dans l’infini, il se retourne et me monte dessus.
« Profite bien car c’est pas mon habitude » râle-t-il
Je suis surpris, car je sais ce qu’il entreprend. Marc le regarde et continue a me bourrer le cul. Lentement pour ne pas perturber la scène qui va se jouer. Il tire de Julien et le ramène vers lui. Pour qu’il regarde. Vincent et face à Marc, me tournant le dos et s’empale sur ma queue raide, je crie tellement son cul est bon.
Marc arrête son mouvement. Il laisse Vincent bouger sur ma teub. Putain il va me faire cracher! Mais soudain Marc se retire de mon cul, il met Julien à me bouffer le fion alors qu’il roule un patin d’enfer à Vincent. La scène est juste épique. Mais j’entends des gémissements de plus en plus forts de leur part. Mon pote jouis. Ma queue bien profond dans son bon cul serré. Il me resserre avec les spasmes de son orgasme. Il est en train de jouir sur la queue de Marc! Pendant que ce dernier le galoche à mort. C’est kiffant. Mais c’est pas fini. Vincent se retire. Ma queue est raide. Marc pousse Julien sur le côté et m’enfonce la teub, mon cul étant bien ouvert, au fond. Il commence à me piner de plus en plus vite et fort. Julien est hors de lui, il me monte dessus et s’empale sur ma queue, comme l’avait fait Vincent quelques seconde avant. Ce dernier viens vers moi et m’embrasse comme si c’était la fin du monde. « Je vais jouir! » Je crie.
 » Crache salope, je vais te feconder de mon jus aussi! » Me gueule Marc.
Je sens sa queue grossir. Et soudain il explose: « ouaaaaaaaaa! Ouiii tieeeeeeeens….. »
« Ahhhhhhhhhmmmmmm » j’essaye de crier mais Vincent me roule un patin en même temps. Mes entrailles se chauffent avec les giclées de Marc et Julien prends mon jus au fond de son cul. Je le sens jouir aussi et en faisant ça il se prend encore plus profond ma jutée. Il couine et gicle sur Marc qui le ramasse avec ses doigts et les lui met dans la bouche.
Finalement j’ai bien reçu 4 giclées dans mon cul. Vincent se relève et va éteindre la camera, il l’avait laissée sur le côté bien avant que nous arrivions, coup fourré prévu à l’avance avec Marc qui s’est avéré être son mari!

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