Lu sur le net :
Je viens juste de m’installer dans un studio du vingtième arrondissement de Paris, j’ai 24 ans et j’étudie l’Archéologie à la Sorbonne. Je suis motivé, d’autant qu’il y a plein de jolies nanas à la fac, c’est le mois d’Avril, elles commencent à s’habiller en jupes légères! Bref, mon p’tit studio ça va, mais il y a quelques bricolages à faire, des ampoules à rajouter, des meubles à installer. Aujourd’hui c’est Samedi et je me décide à refaire la déco, je vire le papier peint pourri, et décide de peindre moi même en blanc, une couleur qui reviendra souvent dans cette histoire…
Pfiouuuu! qu’est ce qu’il fait chaud, je badigeonne le mur de peinture, ça commence à prendre forme, je me décide à ouvrir la porte du couloir pour faire courant d’air et j’aperçois la concierge qui passe l’aspirateur dans l’escalier. Ca sent la lavande des produits d’entretient qu’elle a dans son seau. C’est la première fois que je la voit, elle doit avoir la cinquantaine, grosse avec des lunettes, les cheveux teints en blond de façon vulgaire, avec des racines noires… Elle porte une robe à fleurs ample pour lui permettre d’être à l’aise dans la besogne. Elle me regarde avec un sourire, je lui réponds poliment:
« Bonjour! » « bonjour » dit-elle avec un vague accent espagnol.
En se relevant on voit apparaître le plongeant de sa grosse poitrine prise dans un énorme soutien-gorge blanc. Elle s’approche, je lui explique ma situation, et, curieuse comme une concierge elle jette un coup d’oeil dans mon appartement:
« C’est bien c’que vous faites! Vous êtes un jeune homme vigoureux » .
Sans doute veut-elle dire « courageux » mais cette réflexion provoque une montée de chaleur au niveau de mon sexe, je ne me suis pas touché depuis une semaine, un record! Pourtant c’est une vieille et je n’ai jamais encore eu ce type de sensation pour une quinquagénaire! Je lui fais signe de rentrer afin de mieux examiner le travail et lui propose un bon café chaud pour se détendre. Elle reste là, en train d’examiner les moindres recoins de mon studio assez bordélique. En allumant le feu sous la cafetière je remarque qu’elle a de grosses tâches de transpiration au niveau des aisselles et du pubis, et rebelotte, voilà ma queue gourmande qui se redresse.
« Vous vous plaisez dans l’immeuble? » me dit-elle d’un air concentré, ses yeux noirs me scrutent pour déceler quelque chose, une faiblesse.
« Oui, c’est sympa et surtout, c’est pas cher! » dis-je d’un ton guilleret.
Je prenais de plus en plus d’assurance, après tout pourquoi ne pas l’allumer par plaisir? Maintenant c’était elle qui était de plus en plus sur ses gardes, elle ne me regardait pas directement dans les yeux quand je lui tendis la tasse de café brûlant et fumant. Puis elle commence à parler de son mari, de son boulot, de son fils qui avait maintenant 35 ans, elle ne s’arrête plus. J’en profite pour la fixer droit dans les yeux pendant longtemps histoire de la déstabiliser, mais elle maintenait le regard, un regard noir perçant, insistant même jusqu’à me faire baisser les miens, je commençais à avoir la larme dans le slip.
« Vous dites que votre mari bricole ? Parce que j’ai un petit problème, il faudrait que je lui emprunte une pince vous voyez le robinet ? » et je lui indique l’écoulement léger qui se produit lorqu’on ouvre l’eau.
Pour rentrer dans l’étroite salle de bain elle est obligée de se tourner et de frotter son gros cul contre mon bas-ventre! Mmmmmh! J’en avais l’eau à la bouche! Puis simulant mon intérêt pour ce robinet je lui indique où se situe la fuite et, se penchant pour examiner, j’en profite pour me rapprocher d’elle, le décolleté de ses gros seins pulpeux et généreux s’offre à ma vue. J’ai envie de lui coller une main au cul mais j’ose pas, quel pleutre je fais. Je décide finalement de m’exécuter et, d’un geste assuré, je pose ma main discrètement sur son énorme cul… Pas de réaction, je continue à lui expliquer tout ce qui ne va pas dans la salle d’eau, mon moulin à parole se met en marche, je voudrais que ce moment dure des heures! Puis d’un geste plus appuyé j’enfonce mon index dans le creux de la robe qui moule son derrière. Elle ne bouge plus, ferme les yeux et reste, ses mains posées sur l’évier. C’est bon, je vais pouvoir m’éclater, je veux la voir à genoux la bouche grande ouverte pour recevoir ma semence! C’était mon objectif, je voulais qu’elle reparte de chez moi avec la bouche remplie de ma jute épaisse. Continuant mon petit manège avec le doigt je décide de lui soulever la jupe comme un gougeât, pas de réponse. Finalement elle me fait comprendre que je peux faire absolument ce que je désire car dans son couple c’est comme ça que ça marche, elle ne dit rien et obéit. Bien, bien une soumise, de cinquante ans voilà qui me change! En atteignant la culotte, je me rends compte qu’elle est complètement trempée, une grosse culotte blanche « petit bateau », qu’est ce que c’est ringard mais qu’est ce que ça m’excite! Je lui rabaisse la culotte à mi-cuisse, relève sa robe sur le dos, et m’applique à lui coller une fessée dont elle se souviendra. La grosse gémit si fort que je ferme la porte d’entrée avec mon pied. Et encore une claque sur son gros cul qui rougit et qui tremble à chaque semonce. Puis je me décide à finir l’affaire, je la prendrais un autre jour, là je voulais une grosse pipe mémorable. Je prends sa crinière blonde vulgaire et abaisse sa tête au niveau de ma queue, j’ouvre la braguette et ni une ni deux je lui colle mon gros gland violacé dans sa bouche qui salive aux commissures. Elle a une grosse bouche lipue, couleur nature, son regard se concentre sur la besogne, bien disciplinée elle s’exécute sans broncher et même avec beaucoup d’appétit! La pipe ne dure pas bien longtemps, au bout de trois minutes je jouis un gros paquet de foutre blanc dans sa bouche, ça continue à couler alors je dirige le jet épais sur ses lèvres et finis en beauté sur son décolleté. Elle me regarde avec un sourire fatigué, en se relevant, elle s’essuie la bouche avec le dos de la main en en laissant un petit peu sur le coin. Elle remonte son décolleté en abritant mon jus au sein de sa poitrine chaude, et le laisse sécher à l’abri. Elle me fait un clin d’oeil et retourne à sa besogne ménagère,
« Allez à la prochaine » lui dis-je sans même connaître son prénom!
IMAGINEZ UNE SUITE…
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