Derrière leur borne d’accueil, on peut les voir discuter. Chantal, la responsable, est debout. Femme BCBG de 58 ans, les cheveux châtains clairs coupés au carré, elle est toujours vêtue de marques. Elle a une fine silhouette et on ne lui donne pas son âge. Assise devant elle, Lucie, 38 ans. Blonde aux yeux bleus, son mètre soixante font ressortir une poitrine volumineuse. Un 95 D est difficile à cacher. De plus, elle porte souvent des hauts décolletés qui mettent bien en valeur ses seins. Elle n’est jamais en pantalon. Un jour que Chantal lui posait la question, elle a répondu que ça lui faisait un gros cul.
Elles étaient donc là à parler de chose et d’autre. Lucie s’était encore disputée avec son homme, comme ça arrivait toutes les semaines. Chantal disait qu’elle avait rencontré quelqu’un prénommé Jean-Charles.
– C’est le bon , cette fois, dit Lucie. Parce que si c’est comme les autres, il ne va pas rester longtemps.
– Rigoles, mais cela fait 3 mois qu’il vit chez moi et on s’entend bien. D’ailleurs, c’est son anniversaire aujourd’hui et, si tu veux, tu pourras faire sa connaissance en venant prendre un verre à la maison.
Lucie accepte l’invitation et leur journée terminée, les voilà parties.
Arrivés devant la maison, une voiture est dans l’entrée de garage.
– C’est sa voiture, il est rentré plus tôt que prévu.
Entrant dans la maison, les 2 femmes voient descendre de l’escalier un sexagénaire, les cheveux blancs, des lunettes démodées et un joli embonpoint que cachait mal le peignoir de bain qui l’entourait.
– Jean-Charles, ma collègue Lucie.
– Bonjour Lucie. Chantal m’a beaucoup parlé de vous et je suis enfin heureux de vous rencontrer, répond-t-il dans un sourire.
L’espace d’une minute, Lucie crut voir un clin d’œil de Chantal mais se dit qu’elle avait mal vu.
Après s’être débarrassées de leurs manteaux, tout le monde passe au salon pour prendre l’apéritif. Lucie choisit un fauteuil face au canapé où s’installent Chantal et Jean-Charles, toujours en peignoir qui a tendance à remonter sur ses cuisses car il est un peu court. Lucie se dit qu’il pourrait quand même aller se changer, ce n’est pas une tenue pour recevoir les gens. L’apéritif est servi et les discussions s’enchaînent les unes après les autres sur le boulot, sur la vie, etc… Au bout de quelques verres, les propos se font plus graveleux et Lucie se sent de plus en plus mal à l’aise. Elle a déjà remarqué depuis un certain moment que Jean-Charles ne se gêne plus pour reluquer sa poitrine et que Chantal lui murmure des choses à l’oreille qui le font rigoler.
Alors que Lucie pose son verre sur la table pour prendre congés, Jean-Charles se lève brusquement et laisse tomber le peignoir. Il est complètement nu dessous. Lucie, surprise, retombe assise dans son fauteuil, les yeux dirigés vers l’entre-jambe de cet homme. Elle ne sait pas si il bande ou pas, tellement son sexe est petit.
– Tu n’as jamais vu un truc pareil, dit Chantal
– Non, bredouille Lucie qui ne peut quitter du regard cette petite chose. Et soudain, elle se met à rire.
– Excusez-moi, c’est plus fort que moi. Chantal, comment fais-tu avec ce micro-pénis ?
– Ne t’en fais pas, il est rempli de surprises. Je jouis certainement plus que toi, répond Chantal légèrement vexée. Et si tu ne veux pas repartir à poil, tu vas venir t’asseoir à côté de lui. Ne crois pas que ce sont des paroles en l’air, tu me sais capable de le faire.
Lucie connaît trop bien sa responsable pour savoir qu’elle fait toujours ce qu’elle dit. Si bien qu’elle obéit et vient s’installer aux côtés de Jean-Charles qui ne s’est pas rhabillé. Le regard de ce dernier est de plus en plus lubrique et il regarde ouvertement la poitrine de Lucie. Une main posée sur sa cuisse la fait sursauter. Chantal dans un sourire :
– N’aies pas peur, il n’est pas méchant. Maintenant, tu vas prendre son sexe dans ta main et le branler.
Lucie est piégée, elle ne peut reculer. Avec dégoût, elle cherche donc la queue de Jean-Charles cachée sous son ventre et finit par la trouver. Sa main est trop grande pour ce sexe et elle ne peut le branler que du bout des doigts. A ce moment-là, Chantal baisse le haut de Lucie et 2 énormes seins avec de gros mamelons jaillissent du décolleté. Jean-Charles, au summum de l’excitation, fourre sa tête dedans et commence à les lécher et les peloter. Chantal tout excitée également :
– C’est bon. Allez Lucie allonges-toi sur le dos, ordonne-t-elle. T’inquiètes pas, il ne va pas te sauter, il n’en a pas envie. Je vais juste lui offrir son fantasme.
Il la pousse sur le dos, et Lucie voit Jean-Charles s’installer à califourchon sur son ventre, puis mettre sa petite bite entre ses seins.
– Allez Lucie, prends tes nichons à pleines mains que je puisse goûter à une branlette espagnole.
Jean-Charles se met donc à faire coulisser son sexe entre les seins de Lucie de plus en plus rapidement jusqu’à ce qu’une giclée de foutre vienne s’écraser sur le visage de Lucie.
Cette dernière fait la grimace mais Chantal l’oblige à lécher le gland de son ami jusqu’à la dernière goutte, ce qui lui provoque des spasmes. Elle n’a jamais aimé avaler.
– Bon anniversaire, mon chéri, s’exclame Chantal. Tu es content de ton cadeau.
Les 2 amants quittent la pièce en riant, laissant seule Lucie qui n’en croit pas ses oreilles : ainsi le cadeau d’anniversaire, c’était elle.
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