Salut, comment vas-tu?
Ah! Salut, voilà un moment que tu n’étais venu sur MSN? Quoi de neuf?
Et bien tu te souviens sans doute de mes projets, j’ai mis la première phase à exécution.
Très bien, super! Donc je suppose que maintenant tu as besoin de moi? Au fait, comment cela s’est-il passé? Raconte un peu.
Annabelle mon amour, tu es là? Viens au salon s’il te plait je dois de parler.
J’ai un problème chérie. Lors de la petite séance sur le parking l’autre semaine, où tu as été formidable soit dit en passant, je ne t’avais rien dit mais j’ai pris des photos. Ça encore ce n’est rien, mais il se trouve que depuis quelques temps je tchate sur MSN avec un gars que j’ai connu par hasard sur un site coquin. On discute de tout et de rien et aussi de nos expériences libertines. J’avais toute confiance en lui et je lui ai envoyé les photos que j’ai prises de toi quand tu suçais les mecs sur le parking. Et donc le gros problème c’est qu’en te voyant sur les photos il m’a dit qu’il te connaissait. On ne se connaissait que par pseudos mais là, il m’a dit qui il était. En l’occurrence, c’est ton supérieur au boulot!
Ouah!! Mais c’est une catastrophe me cris-tu. Tu ajoutes que tu vas te faire virer, qu’il va te falloir retrouver un travail, etc….
Ben justement, c’est pas ça du tout. Tu me regardes avec des yeux ronds tandis que ta bouche laisse échapper « hein? ». En fait il exige certaines choses. Comment ça il exige demandes-tu apeurée. Voilà, je t’explique. Il menace de mettre ces photos en ligne sur le web si tu ne fais pas ce qu’il demande. C’est-à-dire questionnes-tu. Il veut que demain tu ailles au bureau en jupe ou robe et sans rien dessous. Quoi?!!! Pas question que ce salaud voit mon cul hurles-tu à tue-tête dans le salon. Mais Annabelle, ce sera pire s’il met les photos sur internet et surtout s’il fait savoir où on peut les voir. Tous tes collègues le sauront, n’est-ce pas pire? Alors que tu pleurniches, je te cajole un peu. Tu te pelotonnes dans mes bras. Tu te calmes peu à peu. Ecoutes mon amour, fais-le au moins demain, ce n’est pas la mer à boire. Après je lui parlerai. Tu as déjà fait plus que ça et au moins ça t’évite d’être virée et de te retrouver sur le net. Bien que je ne sois pas avec toi pour te guider, je te fais confiance pour faire ce qu’il faut, obéis-lui pour ne pas le provoquer. Tu sais, j’ignorai qui il était avant mais dans nos conversations, nous n’avons jamais parlé de trucs extrêmes. Je ne pense pas que tu craignes quoi que ce soit.
Le lendemain matin, tu te prépares comme à ton habitude. Je vois bien néanmoins dans ton comportement et sur ton visage, que tu es un peu anxieuse. J’ai eu beau te rassurer, tu ne sais pas trop ce qui va bien pouvoir se passer. D’ailleurs, tu ne peux rien avaler de ton petit déjeuner. 7 heure 30, il faut partir. Tu montes dans la voiture. Je vais te déposer comme tous les matins. Durant le trajet tu ne desserres pas les dents. On arrive. Je te rassure une dernière fois. Je te dis que s’il y a le moindre problème tu peux m’appeler sur mon mobile. Je me gare devant l’entrée. Tu descends. Je te regarde pénétrer dans l’immeuble. Tu ne t’es pas retournée.
Tu passes le sas et le portique de sécurité les yeux dans le vide et te diriges machinalement vers les ascenseurs. Une porte s’ouvre. Le liftier te salue. Tu lui réponds vaguement. Tu es seule dans cet engin qui ressemble à une télécabine de station de sports d’hiver. Toute vitrée et contrairement aux ascenseurs traditionnels, cette cabine n’est pas dans un puits intérieur mais accrochée à la façade, comme une cabine de téléphone montée sur vérin. Tu as le réflexe de rester près de la porte. On ne sait jamais te dis-tu, un quidam dans le hall qui lèverait les yeux pourrait bien voir sous ta frêle robe. Arrivée au vingtième étage de cette tour où plusieurs sociétés ont leurs bureaux ou leurs sièges, tu t’engages dans le couloir menant à ton travail. Tu files à pas rapides, la tête baissée. Tu te sens coupable. Ou résignée. Tu croises d’autres silhouettes qui vont à leur bureau mais tu ne vois personne. Certaines te saluent et tu marmonnes plus que tu ne réponds. Quand enfin tu es devant LA porte. Ton souffle est court. Ton cœur bat à tout rompre. Es-tu anxieuse ou excitée à cet instant? Le sais-tu toi-même? Quelqu’un arrive, essoufflé, dans ton dos, une collègue sans doute. Tu n’as plus le choix, tu poses ta main sur la poignée, tu appuies, pousses et pénètres dans l’entrée de la société, ta collègue sur les talons. Elle t’embrasse. Tu réponds machinalement à ses bises sans toujours trop savoir ce que tu fais. D’autres sont déjà là. Tu te diriges vers ton bureau en répondant comme un robot aux saluts qui sortent des portes ouvertes des bureaux que tu dépasses. Le tien est presque au bout du couloir. A côté de celui du patron. De ton patron! De ton tortionnaire peut-être. Que n’as-tu pas inventé comme sévices qu’il pourrait te faire subire, depuis que je t’ai annoncé la mauvaise nouvelle? Déjà cette nuit tu n’as guère fermé les yeux. Ta mine défaite en témoignait à ton lever. Je t’ai même demandé de bien te maquiller afin d’être pimpante et surtout, de ne pas déplaire à ton patron.
Tu es entrée dans ton bureau. Tu as déposé ton sac à main et ton petit coupe-vent que tu prends toujours au cas ou, comme tu dis, si jamais la soirée est fraîche quand tu sortiras du boulot. Tu t’installes à ton bureau, branches l’ordinateur et sors le dossier que tu devais examiner ce jour. Les minutes passent. Tu finis par te concentrer sur ce dossier et tes doigts courent sur le clavier, comme des sauterelles agitées. Une silhouette dans l’embrasure de la porte te demande si tu viens prendre un café. J’arrive dis-tu et tu termines ton texte en vérifiant qu’il n’y a pas d’erreur sur l’écran.
Tu rejoins ton amie au distributeur de boissons, dans l’entrée. Vous discutez de votre week-end. Ta copine est bavarde, ça t’arrange bien aujourd’hui. Puis s’est un « bonjour mesdemoiselles! » qui te fait sursauter. Le patron vient d’entrer. Il vous sourit et se dirige d’un pas ferme vers son bureau au fond du couloir. A chaque porte qu’il dépasse, un nouveau « bonjour » retentit. Ta copine et toi vous finissez votre café et chacune retourne à ses occupations. Toi, tu trembles un peu en retournant à ton bureau. Tu ignorais qu’il n’était pas arrivé et tu pensais peut-être que tout ça n’était qu’une grosse et vilaine plaisanterie, puisqu’il ne t’avait pas appelée. Mais tu te replonges dans ton dossier et tes doigts reprennent leur danse effrénée.
Les minutes passent. Puis les heures et rien ne se produit. Il ne t’appelle pas. Ne te demande aucun document. Ne te fait taper aucune lettre. Alors, serait-ce vraiment une plaisanterie? Il est midi, ton amie vient te sortir de ton bureau. Il faut aller déjeuner.
14 heure. Reprise. Tu es de nouveau assise à ton bureau. Tu ouvres un second dossier et te replonge le nez dans l’ordinateur. Sonnerie du téléphone. Oui! C’est bien le tien qui sonne. Tu décroches et là, tu te liquéfies. C’est Lui. Il te veut dans son bureau, sur-le-champ! Machinalement tu te lèves, tu rajustes ta robe sur tes seins, tu tires sur le tissu comme si tu pouvais la rallonger et cacher tes genoux. Tu ouvres la première porte, c’est un sas. Tu es devant la seconde. Tu frappes. Il te dit d’entrer, ce que tu fais. Il te fait fermer la porte derrière toi d’un tour de clé. Tu es là, devant lui, pétrifiée, les bras ballants le long de ton corps, la tête baissée. Alors?! Te dit-il, as-tu fait ce que je demandais? Tu notes qu’il te tutoie d’emblée ce qu’il n’avait jamais fait auparavant. Comme tu ne réponds pas assez vite il hausse le ton. Réponds à ma question te crie-t-il. D’une petite voix apeurée tu lui réponds que oui, que ton mari a bien transmit ses exigences et que tu t’y ais conformée. Très bien. Alors fais-moi voir ça demande-t-il. Tu prends les bouts du tissu et, petit à petit, timidement, tu remontes ta robe sur tes cuisses. Allez, allez, vas plus vite s’impatiente-t-il. Tu continues la remontée et voyant que tu n’y échapperas pas, tu amènes les pans de ta robe sur tes hanches. Eh bien voilà! Quel joli minou! Lisse comme je les aime. Ton patron, assis sur le coin de son bureau admire avec gourmandise ce que tu viens de lui dévoiler. Tournes-toi salope! Fais-moi voir ton cul! Là, tu t’inquiètes un peu. Les mots deviennent plus crus et plus directifs. Que va-t-il te faire? Arrêtes! Penches-toi un peu en avant! Écartes tes fesses! Ouais! Super! Cette chatte et cette petite rondelle sont absolument magnifiques. Maintenant enlèves ta robe complètement et vite, obéis!
Sans doute ne vas-tu pas assez vite, tu reçois un coup de règle plate violent sur ta fesse. Aie! Laisses-tu échapper, vous me faites mal! Vous me faites mal, qui? Fulmine-t-il. Euh… Vous me faites mal, Monsieur?….Et bien voilà, tu commences à comprendre te dit-il plus gentiment. D’ailleurs je voulais y venir ajoute-t-il. A partir de maintenant, tu ne fais plus rien sans me le demander. Si tu veux aller aux toilettes, tu me demandes. Si tu veux prendre un café, tu me demandes. Je t’interdis de téléphoner à ton mari sans ma permission. Tu t’habilleras comme je te le dirais. As-tu bien compris tout ça? Plus rien du tout sans me demander. Ta vie m’appartient désormais. Compris?! Tu balbuties plus que tu ne réponds et un autre coup de règle claque sur ta cuisse. Compris? Insiste-t-il. Oui Monsieur, lâches-tu dans un souffle. Très bien, continues comme ça et tout ira pour le mieux, dit-il presque paternellement. Et d’ajouter alors qu’il se rasseyait à son bureau, maintenant viens te mettre à côté de moi et ne dis plus rien sans que je t’y autorise. Alors tu as fait les deux ou trois pas qui te séparaient du bureau et toujours nue, tu es restée les bras ballants à côté de ton nouveau seigneur et maître.
Il s’est remis à ses occupations un peu plus académiques, stylo en main, dossier ouvert devant lui. Il ne t’a pas parlée, pas touchée, pas demandée quoi que ce soit durant tout ce temps. Puis son téléphone a sonné. Il décroche et se renverse dans le fond de son fauteuil afin d’être plus à l’aise. Ah, c’est toi? Dit-il en souriant. Et bien elle est justement à côté de moi. C’est ton mari te dit-il en aparté. Comment ça c’est passé? Très bien je t’assure. Ta femme est faite pour ça, tu avais raison. Je vais te la passer, elle va te raconter elle-même ce qu’elle a fait aujourd’hui. Tu prends le combiné qu’il te tend et tu me dis c’est toi chéri? S’il te plait, fait arrêter ça! C’est humiliant. Moi je te dis simplement de me raconter ce que tu as fait. Voyant que tu ne peux y échapper, tu me racontes brièvement ta matinée et surtout ton début d’après-midi. Durant notre conversation, ton patron a commencé à te caresser les fesses, puis il t’a forcée à écarter les jambes et insinué sa main entre le haut de tes cuisses. A ce moment il t’a arraché le téléphone des mains et c’est écrié dans l’appareil « mais tu sais pas qu’elle mouille en ce moment ta salope de femme?! » En effet, cette situation finalement t’excitait plus que tu ne l’aurais voulu. Je lui répondais que c’était un signe supplémentaire encourageant et qu’il devait continuer ce qui était prévu. Après avoir raccroché, ton patron te voyait te tortiller légèrement, alors il te demande ce que tu as. Tu lui dis que tu voudrais aller faire pipi. Pas question te dit-il, on verra ça plus tard. Mais j’ai très envie lui dis-tu. OK, vas-y te dit-il. Tu te diriges alors vers ta robe chiffonnée dans un coin de la pièce et t’apprêtes à la passer. Olala!! Crie-t-il, pas question, si tu veux aller pisser, tu y vas comme ça. Mais je ne peux pas y aller toute nue quand même! T’offusques-tu en ouvrant de grands yeux. Alors tu attends que je t’y autorise ou alors tu fais la-dedans, dit-il en montrant un pot de fleur ou trône quelques verdures rabougries. Et ce faisant il se lève, va prendre le pot en question et le dépose sur son propre bureau. Voilà, te dit-il, soit tu vas pisser nue, soit tu pisses dans ce pot et doucement pour ne pas en mettre partout, soit tu attends.
Tu maudis cet homme en te tortillant, en serrant les cuisses, mais tu sais bien qu’il te faut obéir si tu veux te soulager. C’est donc une fois de plus résignée que tu te décides à monter sur le fauteuil, puis enfin sur le bureau. Tu mets tes pieds de part et d’autre du pot en terre cuite. Tu t’accroupis et devant ton patron bien installé au fond de son fauteuil, tu commences à uriner le plus doucement possible afin de ne pas éclabousser les documents, comme l’a exigé l’homme qui, il faut bien te l’avouer, est en train de te soumettre à sa volonté. Tu n’avais jamais eu honte à ce point. Mais quel soulagement tout de même, c’était limite que tu ne te pisses dessus. Ton patron te félicite. Bravo dit-il, quelle dextérité dans la gestion de ton flux! Maintenant tu peux te rhabiller. Tu retournes dans ton bureau finir ton travail de la journée, mais auparavant tu appelleras ton mari. Tu lui diras ce que tu viens de faire et avec tous les détails, compris? Tu opines. Et d’ajouter, tu lui diras aussi que ce soir tu ne rentreras pas, tu viens dormir chez moi, c’est un ordre. Allez, bouges-toi.
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