2eme partie :
Soumis malgré moi –part3(BDSM)–la femme de ménage
Cette journée de mardi a été éprouvante, je vais donc prendre une bonne douche et j’en profite pour m’épiler le torse, aisselles et fesses comme me l’a ordonné ma Maitresse.
Je ne sais pas ce qu’elle va dire mais avec ma cage mais il m’est impossible de m’épiler aussi le sexe. Plutôt que de faire que les contours, je préfère attendre pour demander à Madame Emmanuelle.
Il est tôt mais je préfère aller me coucher rapidement car je sais que cette nuit va encore être compliqué avec cette cage de chasteté qui est de plus en plus désagréable à porter. Déjà 48h que je la porte et je n’y suis toujours pas habitué.
Avant cela, je vais faire un tour sur ma messagerie pour vérifier mes messages.
A nouveau un message dont je ne connais pas l’expéditeur et dont le sujet est très bizarre.Dès l’ouverture, je comprends alors que tout ne fais que commencer et que ma nouvelle vie était en train de se mettre en place.
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De : [email protected]Objet : Confirmation de rendez-vous
Bonjour Mr Sue,
Nous vous confirmons votre rendez pour ce jeudi à 15 h au cabinet du Dr Berthier, 12 Rue de la Paterne.
Veuillez vous présenter à l’accueil à 14h45, muni de votre carte vitale, de votre carnet de santé et de vos derniers examens éventuels. Un prélèvement d’urine sera réalisé sur place.
La secrétaire médicale du Dr Berthier
Mlle Goulot Sophie
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Ce rendez-vous est seulement dans deux jours. Madame Emmanuelle n’a pas perdu de temps et je me demande bien à quoi rime ce rendez vous chez un médecin. Nous verrons bien une fois sur place après demain.
Après une nuit encore plus agitée que les précédente, je me lève, me fait un bon café et comme je vais devoir le faire chaque matin va regarder ma messagerie.
Un nouveau message dont l’expéditeur est cette fois ma Maitresse. J’aurais préféré ne pas en avoir ce matin mais je vois bien que Madame Emmanuelle ne lâchera pas mon éducation.
Pas d’objet !!! Je l’ouvre et je peux lire cette unique phrase accompagnée de sa signature :
« Sue, j’ai peu de temps pour écrire j’ai bien reçu ton mail mais il est important que tu suives toutes les règles. Tu as à nouveau enfreint une règle : la n°5. Ta punition viendra bientôt. Madame Emmanuelle »
Je ne comprends pas donc j’ouvre le mail précédent et relis la règle n°5 :
« Règle n°5 : Toutes désobéissances ou manque de respect seront sanctionnés par une punition et tu devras me remercier pour celle-ci »
En relisant par la même occasion mon mail, je me rends alors tout de suite compte que j’ai oublié de la remercier pour m’avoir puni. Quel idiot, que va elle encore me faire subir ? Je me rends à l’évidence qu’elle est en train de prendre le contrôle total de ma vie.
En attendant que la punition tombe et comme nous sommes mercredi et qu’il est 8 h 45, je dois aller m’assurer que tout va bien chez elle pendant son absence.
C’est une maison tout ce qu’il y a d’ordinaire. Très bien entretenu avec un petit parc arboré et quelques dépendances. Le portail fait au moins 2m50 de haut ainsi que toute la haie qui entoure le terrain. Après ce que je sais maintenant sur ma voisine, je pense que cela est fait pour être en totale intimité chez elle.
Elle avait laissé le double du portail à l’endroit habituel comme chaque année. Une fois dans la propriété, je suis à nouveau surpris de constater que la maison est grande ouverte. Pourquoi me faire venir pour voir si tout allais bien alors qu’il y a quelqu’un ici ?
J’arrive sur le pallier de la porte, j’appuis sur la sonnette et attends quelques secondes avant de voir arrivé une femme typée asiatique, la quarantaine, une queue de cheval bien tirée, chemisier blanc légèrement transparent laissant voir qu’elle ne portait pas de soutien gorge, une jupe noire courte, des collants ou bas noirs et une paire de chaussure à talons de 10 cm minimum.
– Bonjour Sue, tu es en retard. Me dit-elle en regardant la pendule.
Ses premiers mots me tétanisent et me font comprendre immédiatement que ma visite de vérification de la maison en l’absence de Madame ne va pas se passer comme je l’imaginais.
– Madame Emmanuelle m’a prévenu de ta visite et m’a laissé quelques consignes. On m’appelle Louane, je suis la femme de ménage de Madame depuis 10 ans. Je vais te faire visiter la maison. Madame Emmanuelle m’a dit que tu étais déjà venu donc inutile de perdre du temps à visité les pièces communes du rez-de-chaussée.
Elle a une voix vraiment très douce et à l’entendre parler de Madame, j’ai la certitude que Louane est une soumise de Madame au même titre que moi.
– Commençons par l’étage, Suis-moi « Sue », sans dire un mot.
– Je vous suis.
– chuttt tu te tais !!! Je vois que Madame avait raison, elle m’avait prévenu que ton éducation commençait seulement. Attends-moi ici sans bouger et sans dire un mot je reviens.
J’attends ainsi dans l’entrée quelque minute et cela me permet de constater que rien dans le mobilier de l’entrée ou du salon qui est resté ouvert ne laisse penser que nous sommes dans une maison dirigée par Madame Emmanuelle.
Louane arrive alors. Elle tient dans une main un bâillon boule et dans l’autre main un téléphone portable.
-Tourne toi me dit-elle. Comme je te l’ai dit, Madame m’a laissée des consignes et tu ne dois pas parler pendant la visite.
Je me retourne et sans surprise, Louane me met le bâillon boule en serrant bien la sangle en cuir. Je constate qu’elle à été à bonne école.
– Mets-toi à genoux le temps de t’expliquer deux trois choses sur le déroulement de cette visite guidé.
Le ton de sa voix change alors complètement, il devient ferme et autoritaire.
– Je suis Louane, la femme de ménage de Madame. Je pense que tu as compris que je suis la soumise à Madame mais ne te méprends pas, Je suis 100% lesbienne. J’ai horreur des hommes avec leur instrument ridicule entre les jambes qui leur sert de cerveau. Madame est MA MAITRESSE exclusive et connait mon dégout pour vous autres les hommes. Elle s’amuse régulièrement à se servir de moi pour vous dominer en sa présence mais aussi pendant ses absences. Les prochaines fois ou nous nous rencontrerons en sont absence, tu devras m’appeler Miss Louane. Nous pouvons commencer la visite si tu as compris ? Relève-toi et suit moi.
Je hoche la tête pour signifier que j’ai compris et je commence à la suivre. Nous commençons par l’étage. Sur le palier, trois portes fermées et sur la droite de chacune un anneau en acier d’une dizaine de centimètre de diamètre.
– Nous sommes dans la partie privative de Madame, il y a sa chambre au bout du palier et deux autres chambres pour ses invités. Tu as l’interdiction de venir ici sans que Madame ne te l’ais ordonné.
Nous redescendons immédiatement et poursuivons la visite au rez-de-chaussée. Louane me montre chaque pièce qui n’ont rien de particulières. Salon, cuisine, salle de bain, Wc, placards… Elle prend soins de me dire quand même que toutes ses pièces sont comme à l’étage. Elles restent des pièces privatives pour Madame et ses invités.
Nous descendons au sous-sol par un escalier et arrivons dans une sorte de hall avec une table basse au centre, des banquettes sur les côtés, ainsi que des placards haut type placard de vestiaire d’usine chacun munis d’un cadenas moderne à ouverture digitale et d’une petite plaque nominative. Plus rien n’est ordinaire, les couleurs sont rouges feutré et noires, la décoration est dans un style médiéval. Madame a donc un donjon privé.
Je sens l’excitation monter en moi et comme les jours précédents, je suis rappelé à l’ordre par ma cage qui comprime douloureusement mon sexe.
– Ton casier est celui-là comme tu peux le voir sur la plaque, tu pourras y laisser tes affaires. Madame m’a demandé de faire quelques vérifications. Commence par ôter ta chemise.
Une fois torse nu, elle s’approche et inspecte mon torse. Heureusement que je me suis épilé la vieille, j’aurais encore reçu une nouvelle punition sinon. Elle retourne alors vers la table basse et ouvre un immense tiroir dans lequel j’aperçois une multitude d’accessoires bien rangés dans de petits compartiments (pinces en tout genre, cordelettes, bâillon, masques, menottes…Impossible de tout voir d’où je suis).
Elle ne met pas longtemps à faire son choix et reviens vers moi pour me poser une pince dont le serrage est réglable sur chaque téton. Elles ne font pas très mal et la douleur de la pose est largement supportable.
Je la vois alors sourire et je sens une douleur de pincement intense sur mes seins me faisant me recroqueviller sur moi-même. Elle venait de resserrer les pinces qu’elle avait dû me posées non serrés afin de jouer avec moi.
– Tiens-toi droit me dit-elle en me relevant la tête par les cheveux sans ménagement, mets-toi tout nu, laisse tes clés et ton téléphone sur la table, range tes affaires dans ton casier et équipe toi !!!
Je me déshabille totalement, j’ouvre mon casier et je comprends alors le « équipe toi » qu’elle venait de me dire. Il y a des bracelets et un collier en cuir sur une étagère. Ils font environs 4 cm de largeur, avec de la fourrure à l’intérieur, trois anneaux en acier sur le tour du collier et des systèmes de fermeture par cadenas.
Une fois l’équipement mis en place, Louane ferme le cadenas du casier et passe derrière moi pour vérifier le collier qui bien entendu n’est pas suffisamment serré pour elle. Je sens le collier se resserrer autour de mon cou jusqu’à ce que celui-ci ne puisse plus tourner sur lui-même. Il ne me gêne pas pour respirer mais j’ai du mal à déglutir avec ce collier qui vient s’ajouter au bâillon. Elle reprend alors :
– Passons aux aisselles !!! mets tes mains derrière la tête.
Elle attache alors les bracelets des poignets a deux anneaux du collier de tel sorte que je ne pouvais plus baisser les bras. Après inspection rapide, je la vois à nouveau avec son petit sourire malicieux. Elle se retourne et fouille dans le tiroir pour en ressortir une pince à épilé.
– Tu n’as pas fait ça bien, il faut que je fasse les finitions. Tu vas me faire perdre du temps sur mon programme. Ne dit rien, je ne veux même pas entendre un grognement sinon …
Après quelques poils épilés à la pince et voyant que je ne dis rien, elle continu en les tirant les poils qui restaient tout doucement au lieu de tirer d’un coup sec. Je vois bien son intention de m’arracher un bruit et après quelques poils douloureux, je ne plus résister et des sons assourdis par le bâillon sorte de ma bouche.
La première aisselle finie, elle se dirige vers la table basse et sort un sac remplit de pinces à linge. Elle en place une première sans ménagement sur mon aisselle épilée. Puis attaque la seconde aisselle, la pince a épilé dans une main et une pince dans l’autre. Elle commence à tirer le premier poil si doucement que je ne peux que grogner. Elle met immédiatement une seconde pince sous ma première aisselle en souriant à nouveau.
– ne t’inquiète pas me dit-elle, j’équilibrerais l’autre aisselle quand j’aurais fini.
La séance dure bien encore 10 minutes et à chaque grognement elle ajoute une pince. Je me retrouve avec une bonne quinzaine de pinces sous ma première aisselle et le long de mes côtes droites. Je ferais attention la prochaine fois que je m’épilerais.
Elle compte alors les pinces à haute voix, et me pose le même nombre de pince de l’autre côté.
Elle att**** une laisse dans le tiroir et l’accroche au troisième anneau du collier puis prend quelques photos.
Sans dire un mot, elle m’entraine alors vers dans la pièce suivante.
Une immense pièce dans laquelle il y a un nombre incalculable de mobilier BDSM de toute sorte : Croix de st André, carcan divers, table haute et basse avec des crochets un peu partout, colts, sling, table d’examen, des crochets au plafond et sur les poutres, des armoires vitrées laissant voir tout un arsenal (godes, plugs, martinets, fouets, cannes, harnais, bâillons, cagoules, menottes …).
Tout au fond, un bar, et une estrade avec des chaises devant comme une petite salle de spectacle. Il y a juste la porte par ou nous sommes entrés et une autre ouverture fermée par une grille.
Elle m’entraine ainsi jusqu’au centre de la pièce, et me fait tout d’abord m’agenouiller en tirant sur la laisse en me disant d’écarter mes jambes au maximum. Elle passe la laisse à travers un anneau fixé au sol et tire sur la laisse jusqu’à ce que ma tête soit collée au sol. Je me retrouve alors en bonne position de levrette sans pouvoir bouger sauf que d’habitude je suis derrière.
Elle se dirige vers une des armoires et revient pour recommencer l’inspection. J’ai une sensation de froid sur mon anus : Elle est en train de me le lubrifier.
– Regarde sue me dit-elle en me montrant l’objet quelle a ramené. Ce plug gonflable est l’un de mes préférés. Il n’est pas très gros actuellement mais il peut devenir énorme… et je te jure qu’il va le devenir car à chaque bruit, j’appuierais sur de poire.
Elle applique la tête du plug sur mon anus et commence à pousser. Il fait environ 5cm de diamètre au plus large et rentre assez facilement. il faut dire que j’aime me sodomisé régulièrement et que 5 cm n’ai pas un gode de gros diamètre.
– Je vois que ce n’est pas la première fois que ton anus mange un objet… nous verrons bien comment il réagira quand je le ressortirais !!!!
Elle commence donc sont inspection et épile un à un les poils que j’ai laissé lors de l’épilation. Tout se passe bien au début et j’arrive à supporter la douleur jusqu’à ce qu’elle arrive vers le haut de ma raie.
J’entends alors un « ah » de satisfaction lorsque je fais mon premier grognement de douleur. Il faut dire que celui-là elle ne l’a pas loupé. Elle a tiré dessus au maximum sans l’arracher jusqu’à ce que je lâche un son !!!
Elle saisit la poire du plug et pompe une fois.
Malgré sa position de soumise à Madame Emmanuelle, je constate que la cruauté qu’elle a envers moi prouve bien qu’elle n’aime vraiment pas les hommes.
Je n’espère qu’une chose à ce moment, c’est d’avoir bien épilé les zones qu’elle n’a pas encore regardé.
– « mmmmm » un deuxième arrachement douloureux et juste derrière le bruit du pschitt de la poire.
Elle continue sont inspection et malgré toute mon énergie pour résister j’ai entendu le « pschitt » de la pompe 6 ou 7 fois.
Je n’arrive même plus à compter tellement je suis meurtri par toutes les pinces que j’ai sur le corps et mes bras qui fourmilles après temps de minutes sans bouger.
Je suis soulagé, je viens d’entendre Miss Louane se relever, elle a fini et il est temps car cette position est plutôt inconfortable et mon trou est bien rempli. Je sens ma prostate compressée par le plug gonflable. A nouveau, je l’entends prendre de nouvelles photos.
Mais pourquoi encore des photos avec toutes les photos prises lorsque Madame Emmanuelle m’a surpris. Je suis déjà piégé.
Dans le contexte, je pense que sans m’en rendre compte, je fais un son de soulagement et que Miss Louane a entendu car je reçois un nouveau 2 coups de poire et j’entends cette phrase qui me glace le sang.
– tu penses qu’on en a fini Sue ? C’est loin d’être le cas, Madame m’a laissé des consignes et je dois suivre. J’espère que tu n’as rien prévu aujourd’hui car tu ne rentreras pas avant ce soir et tu verras, tu me remercieras.
J’ai envie de me débattre mais je sais pertinemment qu’il y a peu de chance que Louane est laissé une échappatoire en m’attachant, et pourquoi la remercier alors que je n’en ai pas du tout envies. Je suis plutôt inquiet pour cette journée car par estimation, il est peut-être 11h voir 11h30.
Elle détache la laisse et m’entraine maintenant vers la table de gynéco. Elle m’installe sur le dos et attache à nouveau ma laisse à un crochet.
Elle m’écarte les jambes, les poses sur les étriers et fini par les attachés avec les lanières en cuir.
Encore quelques photos et elle me dit :
– j’ai un cadeau pour toi, tu dois la reconnaitre. Me dit-elle en me montrant son poignet.
Je n’avais même pas remarqué depuis le début de cette visite qu’elle avait une petite chainette autour du poignet avec une petite clé attaché en pendentif.
Elle va me libérer !!!
Je l’espère car je n’ai jamais vu pu voir la clé de ma cage avec mon masque.
La tension retombe et je suis dans un état de soulagement sachant que mon sexe va enfin respirer
C’est bien la clé de ma cage, je bande comme jamais lorsqu’elle retire le premier morceau ma cage. J’ai presque envie de jouir tellement c’est bon. Je ne sens même plus les pinces et je réussi à me retenir en pensant aux conséquences que cela pourrait avoir si j’éjacule.
Je bande tellement fort qu’elle a du mal à enlever l’anneau qui entoure mes testicules. Pour y parvenir elle me les écrase avec ses pouces si forts que je hurle de douleur à travers mon bâillon.
La douleur est si intense qu’elle me fait débander à moitié.
Miss Louane part alors quelques minutes. Une fois revenu, elle s’approche de mon oreille malgré que personne ne puisse entendre et me chuchote :
-Madame m’a dit que tu ne pourrais pas épiler ton sexe avec ta cage. Elle m’a demandé de remédier à cela pour ton rendez-vous de demain.
Quelques secondes et je sens la chaleur de la cire sur une partie de mes testicules.
Après quelques secondes, elle arrache la cire.
Elle continuait ainsi sur toutes leurs surfaces et je ne dis mots connaissant la sanction. Je ne sais pas pourquoi mais à chaque fois qu’elle arrache la cire, elle prend soins de tourner une des pinces de mes seins.
Les testicules finis, elle attaque le dessus de mon sexe et cela devient c’est une autre chose. Elle ne prend même pas soins de tirer sur la peau pour me faire le plus mal possible. Les râles se succèdes entrainant à chaque fois un coup de poire. Je sens mon anus complètement rempli et j’ai des poussés comme pour l’expulser mais rien n’y fait, il est trop gonflé. J’ai l’impression que je vais m’évanouir tellement il me dilate l’intérieur.
Louane prend alors mon sexe a pleine main et le tire comme jamais on ne me l’a tiré pour le redresser contre mon ventre. Je sens la chaleur de la cire sur mon périnée et je ne peux m’empêcher de hurler au moment où elle arrache les poils suivis de deux pressions sur la poire du plug.
Totalement remplit, j’espère que je n’ai plus aucuns poils et que cette séance d’esthétique est bien finie.
– Et ben dit donc Sue, tu avais fait un travail bâclé. J’espère que cela se reproduira. Mais je dois te dire que malgré l’épilation, je dois te dire que cette chose entre tes jambes est toujours aussi moche.
Voyons maintenant si le plug ressort aussi facilement qu’il est rentré ?
Elle se mets à tirer sur le plug pour le faire sortir. J’ai l’impression qu’on extirpe mes entrailles et rien n’y fait, il reste cloué dans mon anus sans pouvoir en ressortir.
Elle le dégonfle un peu mais toujours impossible de l’extirper.
– pousse !!!! me hurlât-elle en tirant sur le plug.
J’ai l’impression que mon sphincter se déchire au moment où le plug sort enfin. Mon anus dégouline de résidu lubrifiant mélangé à du liquide blanchâtre et des morceaux d’excréments.
– C’est ton baptême je ne t’en tiens pas rigueur cette fois, mais la prochaine fois que je vois cela, tu nettoieras avec ta langue. C’est bien compris ? Pour ne pas salir ici, je vais te le remettre. Tu le laveras chez toi quand tu seras rentré.
Après quelques photos de mon derrière exposé et de mon trou toujours ouvert, elle dégonfle le plug et le remet dans mon cul d’un coup sec. Elle détache la laisse de l’anneau et me fais mettre debout devant elle.
Une à Une elle enlève les pinces de mes aisselles et de mes côtes et reprends des photos des marques laissées puis enlève mon bâillon laissant ma bave l’écoulée sur mon corps et fini par enlever les pinces à mes seins.
– Va te rhabiller maintenant, nous allons aller manger. Il faut que tu reprennes des forces pour cette après-midi. Nous pourrons discuter pendant le repas.
Je retourne dans le hall vers mon casier et je la vois me suivre avec un sourire qui ne me rassure guère.
Arrivé devant le casier, je constate que le cadenas est fermé. Je pose mon empreinte mais il ne s’ouvre pas.
-ah ah ah, le cadenas est fermé, ton empreinte n’est pas enregistrée. Je vais aller te chercher quelques affaires. Tu chausse du combien ?
-42 Miss Louane.
– Va te laver en attendant me fit-elle en me montrant une autre petite porte. Je reviens dans 10 minutes. Pour te prévenir, il y a une caméra de surveillance ici, ne touche pas à ton sexe ni au plug, je te surveille.
Elle ouvre la porte, me fais rentrez en me disant de l’attendre ici. C’est plutôt ironique car après qu’elle est refermé la porte, je vois qu’il n’y a pas de poignet sur la porte et qu’il y a de nouveau une ouverture par empreinte.
Après 10 minutes, la porte s’ouvre et Louane me montre du doigt la table basse. Il y a sur le dessus un sac plastique noir fermé par un nœud et des vêtements posés à côté que je reconnais du premier coup d’œil.
Ce sont exactement les même que Miss Louane : Chemisier blanc, jupe noire très courte, porte jarretelle et bas noir et chaussures à talons haut. Pas de culotte !!! Est-ce que cela signifie que Louane n’en porte pas non plus ? Cette pensée provoque immédiatement une érection que je ne peux évidemment pas cacher.
Louane m’att**** alors par mon sexe et mes couilles et me fais m’assoir sur une banquette.
Elle att**** ma cage de chasteté et le sac plastique qu’elle pose sur mon sexe. Il est gelé, ce sont des glaçons à l’intérieur. L’effet est presque immédiat et je débande. Louane en profite pour remettre ma cage toujours sans ménagement avec mon sexe.
Je me rends compte que j’avais oublié la sensation douloureuse de cette cage quand quelques secondes plus tard je recommence à avoir une érection.
– Habille toi. Et fais attention de ne pas filer tes bas. Passe à la cuisine et rejoins-moi au salon je vais nous préparer un verre.
Je me retrouve donc habillé en femme de chambre, comme Miss Louane, au bémol prêt que ma jupe est bien plus courte que la sienne et laisse voir la dentelle du haut de mes bas. On peut voir la pointe de mes seins qui pointe encore à travers le chemisier et entre mes cuisses la pompe du plug qui pendouille.
Je suis content que Miss Louane soit monté car les premiers pas en talon de 10 cm sont assez cocasses mais il va falloir mis habituer rapidement étant donné que mes chaussures sont fermées dans le casier et que ce présente devant moi l’escalier qui va me permettre de rejoindre Miss Louane au salon.
A suivre…
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