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Dans les bois

Dans les bois



A l’époque où cela s’est passé, j’avais 15 ans et ma sœur qui a 4 ans de moins que moi en avait donc 11. Un jour, elle est arrivée du collège en demandant si le weekend suivant elle pouvait inviter deux amies à la maison. Nos parents ont accepté qu’elles viennent samedi matin pour qu’elles repartent le dimanche soir suivant. Elle a donc annoncé la nouvelle à ses deux meilleures copines et elles sont arrivées le samedi suivant tôt dans la matinée. Au moment où elles sont arrivées, j’étais encore en pyjama car je venais à peine de me lever et j’avais mon sexe à moitié dur. Les deux copines s’appellent Elodie et Isabelle. Elodie est brune avec des yeux marron et elle est plate comme une planche à pain. Isabelle est blonde aux yeux verts et elle a plus de formes que ma sœur et sa Elodie réunies, même si c’est plus dans le style rondelet. A ce moment-là, aucune des deux n’attirait mon regard car je les voyais encore comme des gamines à peine entrées dans la puberté. Je vais donc me changer et me préparer car ma mère avait préparé un pique-nique avec une balade en forêt pour la journée.
Arrivés à destination tous les six, nous commençons à installer le tout pour pique-niquer et j’ai une soudaine envie de me soulager. Je m’éloigne un peu pour ne pas être vu par les autres et je sors mon engin pour uriner. J’ai à peine le temps de finir et de ranger mon attirail que je vois Isabelle qui apparait car elle a elle aussi une envie pressante. Elle s’excuse quand elle me voit car elle pensait que j’étais allé dans une autre direction. Je lui souris, un peu gêné, en lui disant que ce n’est rien. Je commence à partir pour lui laisser son intimité lorsqu’elle me demande de rester pas trop loin d’elle car elle n’est pas trop rassurée dans les bois. Après qu’elle ait insisté, j’accepte de rester de l’autre côté de l’arbre tout en regardant dans une autre direction. Je l’entends se soulager et cela commence à me faire bander un peu, la sachant les fesses à l’air aussi proche de moi. Une fois qu’elle a fini, nous rejoignons les autres et nous nous faisons charrier par les autres car nous sommes revenus ensemble depuis le même endroit. Nous avions beau leur expliquer la situation qu’ils continuaient à nous taquiner là-dessus.
Après le repas, nous décidons de faire une balade digestive tous ensemble puis ma mère nous propose de nous séparer pour chercher des champignons. Tout le monde est enthousiaste à cette idée sauf moi (en même temps, j’étais dans ma période de rébellion à ce moment-là). Nous décidons donc de nous séparer en trois groupes de deux, un ‘grand’ et une des trois petites. Je sens le coup arrivé à des lieues à la ronde et j’ai beau protester, je me retrouve avec Isabelle car ils ont décidé que c’était ma chérie. Mon père est avec ma sœur et ma mère avec Elodie. Nous nous séparons donc et je commence donc ma recherche de champignons avec Isabelle à mes côtés. Je sais pertinemment que nous n’en trouverons pas car il n’a pas plu la veille, qu’on est en pleine après-midi et surtout qu’on est en plein mois de Mai. Mais bon, c’est surtout pour nous balader en forêt et être séparé du groupe me fait du bien car ils n’arrêtaient pas de me d’enquiquiner par rapport à Isabelle.
Au bout d’une petite demi-heure, Isabelle et moi décidons de nous arrêter quelques minutes pour nous reposer un peu. Je m’assois sur un gros caillou et Isabelle se met accroupie devant moi. Je bois un peu à la gourde que j’avais prise avant de partir et j’en propose à Isabelle. Elle accepte et se penche en avant pour prendre la gourde, manque de perdre l’équilibre et se penche en arrière pour retrouver son équilibre mais elle s’est trop penchée et tombe en arrière sur ses fesses. Je me mets à rigoler en la voyant ainsi, par terre, les bras derrière elle pour stopper sa chute et sa robe remontée jusqu’à ses genoux. J’aperçois alors qu’elle n’a pas de culotte et je peux donc ainsi voir son intimité presque sans poils. Elle se met alors à me dire que ce n’est pas drôle car elle s’est fait mal à la cheville. Toujours avec le sourire aux lèvres, je m’agenouille à ses pieds et lui soulève la cheville qui lui fait mal pour regarder. Je lui explique alors que je me suis tellement de fois tordu les chevilles que je sais masser pour soulager la douleur. Elle accepte alors de se laisser et je lui retire sa chaussure d’été pour masser sa cheville. Au fur et à mesure de mon massage, Isabelle se détend et me dit même que ça lui fait du bien. De mon côté, j’ai continué à jeter des coups d’œil vers son entrejambe encore plus près de moi et avec une très bonne vue car je suis entre ses deux pieds.
Une idée monte alors dans esprit et je commence alors à remonter doucement ma main sur son mollet tout en lui expliquant que c’est pour son bien. Elle me fait confiance et se laisse faire. Je laisse alors reposer sa cheville sur ma jambe et j’entreprends de lui masser le mollet, d’abord le bas puis de plus en plus haut vers son genou. Elle me dit qu’elle aime beaucoup mon massage et penche sa tête en arrière tout en fermant les yeux. J’ose doucement remonter doucement sur sa cuisse tout en lui expliquant faussement que je vais continuer en massant sa cuisse pour bien détendre toute la jambe et ainsi lui permettre de moins avoir mal à sa cheville. Elle acquiesce naïvement et continue de se laisser faire. Je remonte alors mes mains sur sa cuisse et la lui masse dans toute sa longueur. Même à ce moment-là où j’ai presque atteint mon but et que je vais bientôt toucher le sexe d’une fille, j’hésite encore un peu à aller plus loin. Je m’approche petit à petit de son entrejambe tout en faisant attention à sa réaction. Ne voyant aucune réticence de sa part, je continue doucement jusqu’à toucher du bout de mon doigt son intimité. Je me dis que j’ai enfin atteint mon but mais je veux continuer quand même pour voir jusqu’où je peux aller. Je recommence à approcher ma main de son sexe et cette fois je touche un peu plus fort du bout de mon doigt. Toujours aucune réaction de la part d’Isabelle et je frotte alors mon doigt contre sa lèvre vaginale.
Comprenant où se trouvait ma main, elle relève la tête vers moi et me regarde droit dans les yeux sans dire un mot. Je suis complètement paniqué et je m’attends à me faire crier mais après une seconde qui semblait interminable, je l’ai regardé droit dans les yeux sans rien dire moi non plus et j’ai tenté le tout pour le tout en frottant avec deux doigts son abricot. Ne voyant toujours pas de réticence de sa part, un troisième doigt arrive pour lui caresser le vagin, suivi ensuite par le quatrième doigt de ma main et enfin la main toute entière. Tout d’un coup, elle a commencé à respirer de plus en plus fort et à gémir un peu. Encouragé par ce qui m’a alors semblé comme de l’excitation, je lui malaxais le vagin plus franchement, ce qui la fit gémir un peu plus. Ayant déjà vu des films porno chez un ami sans que les parents ne le sachent, je me suis alors agenouillé la tête entre ses cuisses et j’ai remonté sa robe jusque sur son ventre. J’ai approché mon visage de son vagin et j’ai commencé par l’embrasser dessus, d’abord des petits smacks puis des baisers un peu plus longs pour enfin lui lécher son minou. Isabelle était dans un état second sous le coup de mes caresses buccales et, au moment où je commençais à écarter ses grandes lèvres, nous avons entendu un bruit à côté de nous. Nous nous sommes retournés pour voir ce que c’était et nous avons été tous les deux surpris d’apercevoir qu’il s’agissait d’un lapin qui avait fait ce bruit.
Cette petite frayeur a fait redescendre la température et nous avons décidé de retourner à la voiture. Malgré mes massages, Isabelle avait très mal à sa cheville et elle n’arrivait pas à se relever toute seule ni à marcher. Je lui ai donc proposé de la prendre sur mon dos jusqu’à la voiture. Elle a accepté et nous sommes rentrés de notre balade en forêt. En chemin, Isabelle me murmura à l’oreille un merci pour le plaisir tout nouveau qu’elle venait de découvrir grâce à moi. Nous sommes arrivés à la voiture assez rapidement et il y avait déjà tout le monde qui nous attendait pour repartir. J’ai alors expliqué qu’Isabelle s’était tordu la cheville sur le chemin et qu’il a fallu que je la porte pour rentrer car elle n’arrivait pas à marcher toute seule. Là-dessus, j’ai encore eu droit à une mise en boîte de tout le monde parce que j’avais été un ‘prince charmant’. Arrivé à la maison, je suis allé directement dans ma chambre et je n’en ai pas bougé jusqu’à l’heure du repas. J’ai alors appris que ma mère avait mis de la pommade et un bandage sur la cheville d’Isabelle et que cela lui avait fait du bien. Je suis ensuite retourné dans ma chambre et je me suis mis en pyjama pour aller me coucher.
Avant de m’endormir, j’avais décidé de rester dans mon lit pour bouquiner un peu mes BD mais malgré cela, je n’arrête pas de repenser à ce qui s’était passé dans la forêt avec Isabelle et qu’il s’agissait là de la première fois que je touchais l’intimité d’une fille et aussi le premier cunnilingus de ma vie. San m’en rendre compte, j’étais en train de sourire et je me caressais le sexe à travers mon pantalon. Ce dernier était devenu rapidement duret j’ai décidé de le sortir de son carcan pour me masturber un peu. Je le faisais silencieusement car je savais que tout le monde était au lit et dormait depuis un petit bout de temps. Tout d’un coup, j’ai vu la porte de ma chambre doucement. Surpris, j’ai rangé mon sexe dans mon pantalon de pyjama. Puis j’ai vu qu’il s’agissait d’Isabelle, en pyjama. Je lui ai dit de rentrer discrètement et de fermer la porte derrière elle pour ne pas réveiller les autres, ce qu’elle a fait. Elle s’est ensuite approchée du lit et s’est assise à côté de moi. Je lui ai demandé ce qu’elle voulait et elle m’a répondu qu’elle n’arrêtait pas de repenser à ce qui s’était passé dans la forêt et aux nouvelles sensations qu’elle avait ressenties. J’ai donc répondu à ses questions du mieux que je pouvais car je n’étais non plus un expert dans ce domaine. Je lui ai même avoué qu’elle était la première fille que je touchais ainsi, ce qui la faisait sourire.
Isabelle m’a ensuite demandé si je pouvais lui refaire la même chose que dans la forêt. Je lui ai répondu par l’affirmative mais à la seule condition qu’elle me faisait pareil d’abord car de mon côté je n’avais encore rien eu. Elle a alors accepté ma condition en me signalant au passage qu’elle ne savait pas comment faire. Je lui ai dit de faire tout ce que je lui dirais et que cela se passerait bien. Elle m’a dit ok et je lui ai demandé de commencer par se déshabiller complètement pendant que je ferais la même chose. Elle a commencé par enlever le haut d’une manière un peu timide et hésitante et j’ai pu voir ses seins. Comparé à ce que j’avais déjà vu dans les magazines et les films, sa poitrine n’était très développée mais elle se formait déjà pas mal en forme de poire avec des tétons qui commençaient déjà à pointer un peu et des aréoles roses qui étaient relativement petites. Elle a ensuite baissé son pantalon pendant que j’enlevais mon haut de pyjama et j’ai pu regarder à nouveau son petit abricot presque glabre. Je me approché d’elle et je lui ai demandé de se mettre à genoux devant moi. Une fois dans la position voulue, je lui ai dit de baisser mon pantalon qui faisait déjà un chapiteau tellement j’étais excité. Lorsque l’élastique de mon pantalon a libéré mon pénis en érection, Isabelle est restée en admiration devant pendant plusieurs secondes. J’ai pris sa main et je l’ai guidée vers mon membre viril pour qu’elle le prenne en main. Je lui ai dit de faire des mouvements de va et viens autour de mon sexe, d’abord tout doucement puis de plus en plus vite. Je lui ai ensuite dit de rapprocher son visage de mon sexe car elle allait faire sa première fellation. En suivant mes instructions, Isabelle a embrassé le bout de mon gland doucement puis de façon plus affirmée. Elle a ensuite continué ses baisers le long de ma verge pour atteindre mes testicules. A ce moment-là, je n’en pouvais plus tellement c’était bon et elle est remontée sur mon gland et a commencé à le mettre en bouche. Au fur et à mesure de ses mouvements de tête, elle est allée de plus en plus loin jusqu’à avoir mon gland entièrement dans sa bouche
A partir de ce moment, je lui ai dit que je prenais les choses en main et que c’était moi qui ferais les mouvements dans sa bouche. J’y suis donc allé doucement au début pour voir jusqu’où je pouvais aller dans sa gorge, espérant faire une gorge profonde mais je n’y suis pas arrivé. J’ai donc continué mes mouvements dans sa bouche en allant cette fois de plus en plus vite. Je n’ai pas tenu longtemps et j’ai joui dans sa bouche pour ma première fellation, ainsi que la sienne. Elle a été surprise de sentir mon sperme lui gicler dans la bouche car je ne l’avais pas prévenue mais je lui ai dit d’avaler ce qui sortait, ce qu’elle a fait sans poser d’autres questions. Elle m’a dit ensuite qu’elle n’avait pas trop aimé le goût du sperme mais qu’elle avait trouvé plaisant la fellation. Je bandais encore malgré mon orgasme précédent, surement que celui-ci était tellement fort que j’en étais encore excité. Je l’ai alors allongée sur le bord de mon lit et je me suis installé entre ses jambes. Je me suis penchée sur elle et je l’ai embrassée dans le cou pour ensuite descendre sur ses seins et enfin finir par son intimité. Tout comme dans la forêt, j’ai commencé par l’embrasser sur ses grandes lèvres, puis j’ai titillé son clitoris avec ma langue. Au fur et à mesure, Isabelle ressentait de plus en plus son plaisir et se mettait à gémir. J’ai dû m’arrêter pour lui dire de faire moins de bruit plusieurs fois afin de ne pas réveiller les autres. Elle a donc pris l’un de mes oreillers pour étouffer ses cris dedans. Nous avons fini par son premier orgasme clitoridien et nous nous sommes ensuite rhabillés. Isabelle est sortie de ma chambre pour retourner dans son lit et j’ai regagné le mien. Cette nuit-là, je me suis endormie avec de très bons souvenirs de la journée.

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