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Dépucelage de mon ami Maxime

Dépucelage de mon ami Maxime



De retour d’une semaine de stage de football par un samedi ensoleillé, je rentre à la maison avec un coéquipier venu chez moi pour les vacances.
Il s’appelle Maxime, on a 18 ans, on vient d’avoir le bac et on pratique le football en sports études ensemble depuis le collège. Comme il habite assez loin, il était interne au bahut et il était plus pratique pour lui de passer les vacances chez moi pour aller au football.
J’avoue que ce qui m’excite le plus au foot c’est de voir un vestiaire plein de gars en sueur qui se foutent à poil pour aller se doucher. Il y a de quoi mater des queues et des culs de toutes sortes. Entre le grand blond à longue crinière qui court sur l’aile, le petit brun musclé qui joue à la récupération et le beau black avec une queue d’étalon qui s’occupe de la défense, il y en a pour tous les goûts. Le seul inconvénient c’est de rester au repos pour ne pas se faire repérer.

Toujours au volant, mon esprit commence à dériver. Je pense à un joueur en particulier, Maxime. C’est un mec calme et cool. Il est musclé, mais pas trop. Il a bien dessiné ses muscles abdominaux, ses pectoraux sont parfaitement formés et chaque muscle est à sa place. En plus il a un beau cul.
Je commence à penser à sa queue. Il est assez timide et c’est le seul membre de l’équipe dont je n’ai jamais vu la queue. Maxime n’a pas pris une douche avec nous, donc je n’ai pas réussi à nous jeter un coup d’œil. Ma bite commence à prendre forme alors que je pense à ce mec sexy. Maxime somnole, fatigué par nos journées de sport intensif et je me caresse discrètement à travers le pantalon. Je m’imagine retirant le pantalon de Maxime et caressant son jeune oiseau. La route est sinueuse et je dois me concentrer sur la conduite. J’ai mal à la queue à force de bander si fort. La simple idée de baiser avec Maxime m’excite au plus haut point. On n’a jamais vraiment parlé sexe avec Maxime. Je sais qu’il a fréquenté quelques filles, comme moi, mais jamais longtemps.

Arrivé à la maison, je pense toujours à Maxime en me demandant si c’est juste mon imagination qui me fait penser que lui aussi matait les mecs, y compris moi, en regardant discrètement dans le vestiaire quand il pensait que personne ne le remarquerait. Je devais savoir. Le dimanche passe.
Le lundi, nouvelle séance de football. A la fin de l’entraînement, je veux être sûr que Maxime mate, je dois le surprendre. Je me déshabille plus lentement que d’habitude, le dos tourné à Maxime. Lui attends toujours pour être le dernier à aller à la douche. Les minutes passent et je m’aperçois de son petit manège. L’air de rien le cochon se rince bien l’œil. Le dernier mec sort de la douche et Maxime qui n’a pas fait attention au fait que je ne suis pas allé à me doucher se dirige vers les douches avec sa serviette autour des hanches. Il fait attention à ce qu’il n’y ait personne et défait sa serviette. Le petit salopard bande comme un taureau. Il a une belle queue, bien proportionnée, pas énorme, mais il est bien monté. Je pénètre dans les douches et là je vois son visage se décomposer. Il est là avec une gaule d’enfer et devient rouge pivoine. Il ne sait plus où se mettre.
Ce moment m’amuse. Je sais que nous sommes seuls et je lui dit :

« Maxime, j’ai remarqué que tu matais dans le vestiaire et ça a l’air de t’avoir excité. Tu es gay?
«Hmmm ….» il bégaie.
«Je pose alors délicatement une main sur son épaule : « Ne t’en fais pas, ton secret est bien gardé avec moi. Et je pense qu’on pourra en discuter sur la route du retour. En attendant, prenons notre douche, faut pas être en retard pour le repas de ce soir. Ma mère a fait des lasagnes. » Maxime s’est détendu, soulagé par ma réaction et mes paroles.
Sur le chemin du retour, lui qui est d’habitude si peu volubile, me parle : « J’adore regarder les gars dans le vestiaire, mais parfois c’est compliqué, je bande fort et je dois le cacher. »
« T’inquiète, moi aussi et on s’est jamais fait caler, sauf toi aujourd’hui ! »

De retour à la maison, nous dînons rapidement et je fais mine d’être super fatigué pour m’éclipser dans ma chambre. Je fais un petit clin d’œil à Maxime qui comprend le message « Oui moi aussi je suis fatigué, les entraîneurs nous ont beaucoup fait courir aujourd’hui, bonne nuit tout le monde ». Je monte vers ma chambre qui est dans une aile assez isolée de la maison. Quelques secondes passent et j’entends frapper à la porte. C’est Maxime.

Je porte un jean serré qui montre la belle proéminence de ma bite. Maxime me regarde et ne bouge pas jusqu’à ce que je lui dise de s’allonger. Nous sommes côte à côte sur le lit et on se regarde. Je prends l’initiative de lui rouler une pelle. Il hésite et se prend au jeu. Nos langues font connaissance et nos mains deviennent baladeuses.
On commence à ôter nos vêtements, t-shirt, pantalon. Nous sommes en boxer et nos queues gonflées ont du mal à tenir dedans.
Je décide de passer à la découverte de sa queue et il pourra faire de même. Je bascule pour me trouver la tête face à son sexe et inversement. Je fais sauter son boxer et avale sa queue. Maxime gémis et il se décide à retirer le mien. Il me branle doucement puis me lèche tendrement la verge et enfin ma queue pénètre sa bouche. Pour tous les deux c’est la première pipe. Et nous nous appliquons si bien que quelques minutes suffisent à nous faire jouir. On ne s’est pas prévenu mais on a fait la même chose, tout avalé et bien nettoyé le membre de l’autre. Que c’était bon !

Et la soirée ne fait que commencer. L’avantage de la jeunesse c’est qu’on recharge vite. Après quelques instants passés à s’embrasser et à mélanger nos salives et nos liqueurs d’amour, nous commençons à reprendre de la vigueur.

Maxime, le timide Maxime, sentant ma queue dure contre sa cuisse me dit alors : « J’ai envie que tu me baises ».
Je me mets à genoux derrière lui, j’écarte ses fesses et je fixe son beau trou vierge, puis je commence à le lécher, il gémit de plaisir chaque fois que ma langue, progressivement, va fouiller de plus en plus profondément. Quand je ne peux plus aller plus loin avec la langue, je me relève et commence à pousser un doigt dans un trou. Après un petit sursaut de surprise, Maxime profite bientôt d’un doux massage anal et encore plus quand je mets un second doigt.
Le voilà bien dilaté. J’enlève mes doigts de son intimité pour y mettre ma queue. Je commence à pousser lentement en augmentant progressivement la pression. J’y vais centimètre par centimètre prend jusqu’à ce que tout soit en lui et j’attends son feu vert pour commencer à ramoner sa cheminée.

« Oh c’est bon, baise-moi, je veux que tu me baises » supplie Maxime.
Je suis heureux de lui obéir, je sors lentement, puis je repousse le tout dedans, je maintiens un rythme lent jusqu’à ce que qu’il commence à gémir. Peu à peu j’accélère les va et vient, tandis que ses cris de plaisir me poussent à être plus rapide. Mes couilles claquent contre son cul. J’encule ce jeune cul vierge et Maxime y trouve beaucoup de satisfaction.
« Oh Maxime je viens, je vais jouir ».
« Vas-y continue je veux te sentir décharger en moi ! »

Tout-à-coup je lâche une quantité importante de sperme dans son cul, mais je suis toujours aussi dur et je continue à pilonner Maxime. Je continue à le baiser sauvagement. Je sors de son cul et là Maxime se retourne et se jette sur ma queue qu’il entreprend de nettoyer complètement. Il me lèche tout et vient m’embrasser tendrement.
Il a l’air très satisfait et moi je suis très heureux d’avoir pu enfin réaliser un fantasme.

Inutile de préciser que nous avons mis à profit les deux mois de vacances qui nous ont paru bien courts.
Et nos chemins se sont séparés car nous n’avons pas suivi le même cursus. Mais que de bons souvenirs !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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