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Désir et possession 3 : Préparation au jeu

Désir et possession 3 : Préparation au jeu



Le gong sonne à nouveau.
Je sursaute, effrayée, impatiente, excitée par cette mise en condition, par ce qui va venir…

Le maître des lieux, d’une voix puissante, sensuelle et gutturale annonce que « Le Jeu peut commencer… »

Une charmante hôtesse me prend par le coude et m’invite à la suivre et à monter sur l’estrade. Elle me fait asseoir dans le fauteuil rouge. Les yeux toujours bandés, je me laisse guider par l’hôtesse et tire un petit carton dans un petit sac. Les autres femmes sont invitées à me rejoindre, à monter sur l’estrade, guidées chacune par une hôtesse.

Chacune est invitée à lire le scénario. Le thème du jeu est « Soirée d’un autre temps ».

Je m’appelle Régine (reine, en latin) et serai donc la reine de la soirée.
Une hôtesse me souffle à l’oreille de choisir mon roi. J’hésite un instant, et décide, pour me venger que tu m’aies un peu délaissée ce soir, de choisir mon charmant voisin pour roi.

Je suis invitée à me retirer. Des hôtesses s’occupent de moi pour me préparer, m’apprêter pour le jeu.
Quelques minutes après, les autres femmes sont invitées à faire de même.

Les hôtesses ôtent ma tunique en soie, puis ma petite robe tombe vite à mes pieds. Nue comme un verre et un peu gênée, je cache ma poitrine avec mon bras et ma main, et de l’autre mai mon pubis. Souriantes, elles m’invitent délicatement à m’allonger sur un lit en hauteur, comme celui chez un médecin.

S’ensuit une douloureuse séance d’épilation à la cire où chacun de mes poils est traqué au peigne fin et n’est épargné.
Après cette séance de torture, les hôtesses me prennent délicatement par la main et les épaules et m’invitent à me glisser dans un bain chaud au lait d’amandes douces et aux pétales de roses.

Petite musique douce, bougies tout autour de moi, une coupe de champagne à portée de main, je commence à me détendre et ferme les yeux pour savourer l’instant présent. Instant délicieux où s’ensuit ensuite un ballet des mains des hôtesses me massant délicieusement ma tête, mes tempes. Doigts magiques qui font frémir ma nuque, délassent mes épaules…. Je pousse un long soupir de bien-être, oubliant où je suis, ne pensant qu’à savourer ce délicieux moment. Ma main droite glisse sous l’eau laiteuse, je caresse mon entre-jambe, à l’endroit où la peau fine à l’intérieur de mes cuisses me fait frissonner. Mon index devient coquin, virevolte autour de mon petit bouton qui est bien excité tout à coup.

Quelques instants après (combien de temps, je ne sais pas, j’ai perdu la notion du temps), une des hôtesses me tend un peignoir chaud, et avec un charmant sourire, m’invite à la suivre. Sa tunique de voiles transparentes dévoile son corps dénudé, magnifique, dévoile à chaque pas courbe des ses hanches ondulées par sa démarche chaloupée et nonchalante.

Subjuguée par la sensualité de cette belle femme aux longs cheveux noirs ondulant au creux de ses reins, je me surprend à laisser mon regard s’égarer sur ses formes. L’atmosphère de la pièce est étrangement calme et rassérénant.

« Allongez-vous sur la table ».
J’obéis docilement, encore un peu dans les vap’ après ce bain délicieux.

« Sur le ventre ; enlevez votre peignoir, fermez les yeux et détendez-vous.
Je m’appelle Vénus et moi et Calandra allons nous occuper de vous ».

Cette fois, l’ordre est clair et ne supporte pas de discussions. Je m’allonge sur le ventre. La pierre est chaude, lisse et détrempée et le contact est doux et agréable. Une douce chaleur s’empare de mon corps, et ma peau est constellée de petites gouttes de sueur. Ma respiration est calme, reposée, apaisée. Je ferme les yeux, je suis prête.

Une main att**** mon pied et malaxe délicieusement mes orteils d’une huile odorante et sensuelle, tandis que l’autre main en fait de même avec mon autre pied. Puis les deux mains s’emparent de mes chevilles, puis remontent sur mes mollets et descendent dans un long va et vient.

Je sens deux autres mains se poser sur ma nuque, l’envelopper lentement, redescendre sur mes épaules et remonter encore. La tête posée sur le menton, j’entrouvre les yeux et les lèvres. A chaque mouvement du massage de plus en plus bas, je vois aux travers des voiles qui bougent à chaque mouvement de ses gestes, le ventre plat de Vénus.

Mon regard descend un peu, parcourt le mont de Vénus, lisse et légèrement rebondi.
Je suis subjuguée par le mouvement de ses hanches, le langoureux va et vient de Vénus qui me prodigue un délicieux massage sensuel de ses mains, appuyant toujours plus for le creux de mes riens, tandis que Calandra masse délicieusement mes jambes, remontent sur mes cuisses, montent jusqu’à la naissance de mes fesses.

À chaque mouvement, ma peau s’assouplie, s’étire, s’allonge. Progressivement, je sens la pression s’accentuer et ma peau s’étirer de plus en plus. Les mains de Calandra se posent sur mes deux globes, qu’elle masse voluptueusement de ses doigts en des mouvements circulaires. Je ne le vois pas, mais les voiles qui couvrent à peine son corps s’écartent de pas sa position cambrée sur mon corps, révélant une taille fine et des fesses magnifiques aux globes rebondies.

À chaque mouvement, mes fesses s’écartent subrepticement, mes petites lèvres s’étirent légèrement et je sens une douce et chaude humidité gagner mon entrejambe. Mon petit bouton est tout excité et je me frotte sur la pierre lisse pour accompagner le mouvement des mains qui me caressent. Je pousse des soupirs de bien-être, bientôt suivis de gémissements de plaisirs que j’essaye vainement d’étouffer.

Encouragée par mes soupirs, mes gémissements, Calandra continue sa caresse sur mes fesses, écartant à chaque fois plus mes globes. D’une main, elle écarte doucement une jambe, puis l’autre, pour mieux lui offrir mon sillon.
Son index glisse le long de mon sillon, le remonte pour s’attarder ensuite mon oeillet. Je me contursionne sous cette caresse divine, je ne cesse de pousser des gémissements, des petits cris de plaisir.
Que c’est bon !

Vénus fait frissonner mes flancs du bout des doigts, alternant caresse au creux de mon dos, sur mes fesses.
Son corps penché en avant m’écrase. Je sens la chaleur et la douce odeur de son corps sur ma peau, la pointe dure de sa poitrine opulente, de ses seins généreux et fermes dévoilés pas ses voiles caresser la peau frissonnante de son dos. Moment excitant, délicieusement troublant.

Toutes deux arrêtent leur caresse, me font retourner délicatement sur le dos. Je pousse un soupir de protestation d’avoir cesser ce moment où j’étais proche de l’extase. Je tente de protester.
« Taisez-vous ! » me répondent-elles.

Des gouttes de sueur perlent sur mes temps. Calandra me masse la tête, le front, les temps d’un mouvement apaisant.
Tandis que Vénus me masse les pieds, chevilles, mollets, remonte le long de mes longues jambes, ses doigts agiles s’attardent sur la peau douce de l’intérieur de mes cuisses. Calandra, elle, continue le massage de ma nuque, de mon, mes épaules. Ses doigts aériens frôlent ma poitrine, ses mains volent sur mes pointes toutes dures, excitées.

Je me cambre pour aller au devant des mains de Calandra, l’implorant de mes gémissements de caresser mes seins. Mais elle continue de faire virevolter encore plus ces mains, tel un ballet d’ailes d’oiseaux. Je me cambre encore plus, ce qui a pour effet d’écarter mes jambes. Les doigts de Vénus massent mon aine bombé par ma cambrure, Calandra en profite pour att****r mes seins qu’elle fait tournés dans ses mains, alternant pincement de plus en plus fort de mes tétons tout dur.

Je suis tellement excité que mon petit bouton me fait mal. Ma main droite se dirige vers ma fente suintante, je glisse un doigt entre mes lèvres, sur mon petit bouton tout dur, prêt à exploser. Vénus me prend la main qu’elle me maintient fermement par le poignet. Elle sait ce que je veux, ce dont j’ai envie.

D’un doigt agile, elle humidifie son index de mon nectar brûlant, le glisse sur mes lèvres gorgées de désirs, qu’elle caresse dans un long va et vient, frôlant juste mon petit bouton. Je me tortille de plaisir, Calandra me pince mes tétons toujours plus forts, Vénus prend mon petit bouton entre ses doigts qu’elle pince, tortille, malaxe. Je tourne la tête dans tous les sens, pousse des cris de plaisirs : je ne suis plus que désir, mon corps n’est plus que plaisir.

Je suis au bord de l’extase, la jouissance est en moi, me prend.
Je pousse un long cri, mon corps secoué du spasme de la jouissance… Mon corps est redescendu sur terre, lourdement je m’abandonne, mon corps encore secoué de spasmes, ma peau frissonne, Mais j’ai encore la tête dans les nuages, j’ouvre les yeux et voit des étoiles…peut être celle du plafond de la pièce…

Le long et épais rideau de velours rouge, légèrement entre-ouvert, se referme.
Tu n’as raté une miette du spectacle que je t’ai offert, avec Vénus et Calandra.
Tu te sens à l’étroit dans ton pantalon, ton membre fort et dur que tu n’as cessé de caresser n’attend qu’à être libéré de sa semence.

Mais ce sera pour plus tard.
Tu t’esquives discrètement, un sourire satisfait aux lèvres.

Après ce prélude, le Jeu va pouvoir réellement commencer…

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