4.
Le lendemain matin, je m’éveillais un peu avant 6h00, avant le réveil. C’était devenu une habitude. Je n’aurais jamais cru cela possible avant ! Après une douche, je m’occupais de mes cheveux, de mon maquillage. Puis j’enfilais un slip boxer, des bas, le soutien, la robe, le tablier et la coiffe. Et j’allais porter le plateau déjeuné à ma Maîtresse, qui lisait son journal dans la salle à manger. Comme chaque matin, je déposais le plateau devant elle. Elle me gratifia d’un sourire, puis replongea dans la lecture du journal. Moi, je plongeais sous la table, impatiente de retrouver mon rituel du matin.
Elle portait un pyjama rose en satin, très seyant. Je devinais son sexe, très visible, déformant le satin, le long de sa cuisse. Je m’approchais de lui, le léchant par-dessus le tissu… Sa main passa sous la table, me caressant gentiment les cheveux. Puis elle passa à son entre-jambe, et sorti son sexe du pyjama. Il était à demi bandé, je l’enfournais bien vite dans ma bouche, où après peu de temps il retrouva toute sa dureté. Je la suçais du mieux que je pus, et dans un soupir de satisfaction, elle vint dans ma bouche, son nectar tout chaud descendant dans ma gorge… que j’aimais cette sensation !
Tandis que je me redressais, elle me tendit un paquet.
– Tiens Aline, j’ai un cadeau pour toi.
Je la remerciais, et pris le paquet. Je l’ouvris, c’était une broîte à chaussure. A l’intérieur, de superbes escarpins, noirs, vernis,… avec un talon de 10 cm !
– Tu devras t’entraîner au début, mais je suis sûre que tu aimeras.
– Oh, merci Maîtresse, merci beaucoup ! Je vais les essayer tout de suite !
Je me débarrassais de mes escarpins avec les talons plus petits, et passais les nouveaux. Pour la pointure c’était parfait ! Par contre pour marcher… pas évident du tout ! Je me promis de les mettre tous les jours un petit peu, jusqu’à ce que je marche normalement avec. Je clopinais jusqu’à ma chambre, sous le regard amusé de ma maîtresse, où je rechangeais de chaussures.
Je passais la matinée à faire le ménage, et l’après-midi je travaillais au bureau de ma maîtresse, classant des papiers tandis qu’elle s’occupait de la comptabilité de l’école.
Au milieu de l’après-midi, quelqu’un frappa à la porte. Elle leva la tête, et dit « Entrez ! » d’une voix forte. La porte s’ouvrit et M. Striker entra.
– M. Striker ? Je ne vous attendais pas aujourd’hui…
– Bonjour Mrs. Benson, non, je sais, nous ne devions pas nous voir, mais je voulais en personne venir vous apporter la bonne nouvelle… l’assureur accepte de payer ! J’ai téléphoné aux membres du Conseil d’administration, nous nous réunirons ici, après-demain.
– Ici ? Ce… ce n’est pas habituel… d’habitude, on se réunit ailleurs…
– Je sais, je sais, mais ici ce sera mieux. Pour parler de l’école, des nouveaux fonds à récolter… et nous pourrions leur présenter votre excellente soubrette !
– Mais… mais… vous rendez-vous compte ! Ces membres honorables de notre ville ! Vous voulez qu’ils crient au scandale !
– Ah, ah, ah… honorable ? Mrs. Benson, on voit bien que vous ne sortez pas souvent de votre école. Ces gens sont riches, très riches. Et dépravés. Très dépravés. Comment croyez-vous que s’amusent ces gens de la haute ? Orgie, esclave sexuel, et j’en passe. Le champagne, l’argent, les putes et d’autres substances que je ne citerais même pas devant vous s’échangent à flot lors des fancy fair de Mrs. Knowling ! Vous croyiez vraiment qu’il s’agissait de soirée mondaine et de bingo de charité ??? Ah, ah, ah, je n’en crois pas mes oreilles ! Vous ne le saviez pas ??? C’est trop drôle ça !
– Mrs. Knowling ?! Je n’aurais jamais cru…
– Allons, pas de naïveté mal placé. Ces gens sont riches et dépravés. Nous avons un moyen d’en profiter… pour l’école bien sûr !
Mrs. Benson fronça les sourcils.
– Pas question ! Mon école n’est pas un… un lupanar !
Un silence pesant s’installa. Je suivais discrètement la conversation, vu qu’on parlait – entre autre chose – de moi. Et la dépravation des notables de la ville n’étais pas un si grand secret que ça. Les parties fines de M. le Maire, les prostituées arrosées de champagne et de coke, les élèves s’en gaussaient depuis longtemps. Et j’avais entendu des rumeurs bien plus salaces que celles-là ! Mais maintenant, je comprenais pourquoi Mrs. Benson ne sortait jamais, et ne se mélangeait pas à ces fêtes. Elle voulait garder secret ce qu’elle avait entre les jambes… ayant peur de m’exciter en pensant à son sexe, si dur, si beau, je finis de classer les derniers papiers.
Mon classement étant fini, je me levais pour ranger mon classeur dans l’armoire ad hoc. Puis j’allais sortir de la pièce et les laisser discuter lorsque M. Striker m’attrapa par le bras et m’attira à lui.
– Votre école n’est pas un lupanar, mais vous avez aussi vos secrets, Mrs. Benson !
– Que voulez-vous dire ? Et lâchez ma soubrette, s’il vous plaît !
– Parlons-en de votre soubrette…
Avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, sa main passa sous ma jupe… Il caressa mon slip boxer, à l’entre-jambe… ce qui fit gonfler évidemment mon petit sexe… Son autre main soulevais le bas de ma robe, pour que Mrs. Benson puisse voir ce qu’il faisait… soudain, d’un geste brusque qui nous surpris toutes les deux, il baissa mon slip, qui s’enroula sur mes cuisses… On pouvait voir la lisière de mes bas noirs élastiques, le slip boxer tire-bouchonné, mes petites boules glabres et mon petit sexe, pointé vers la main de M. Striker, attendant une autre caresse… Mrs. Benson et moi écarquillèrent les yeux en même temps. J’avais oublié qu’il avait vu mon secret, lorsque l’assureur était venu…
– C’est assez étrange, non ? Moi ça m’a étonné la première fois… mais je suppose que vous le saviez, n’est-ce pas ?
– Je… Je…
– Vous me devez une explication Mrs. Benson ! Et je ne quitterai pas le bureau avant de savoir le fin mot de l’histoire !
Il s’assit sur la chaise, face au bureau de Mrs. Benson. Livide, elle se laissa tomber dans son fauteuil…
– Mais… je…
– Je veux toute l’histoire !
En parlant, il ouvrit sa braguette, et sortit son membre bandé. Je ne pouvais détourner mon regard, attiré par ce pieu de chair pointé vers moi… Fermement, il me fit m’agenouiller, et amena ma tête vers son sexe… il n’en fallut pas plus pour que je commence à le lécher, et, attiré par son odeur mâle, virile, pour que je l’engouffre en bouche… et commence à le sucer…
– Parce que vous avouerez… mmmmm… même si ce n’est pas un lupanar…. mmmm… il ou elle est très volontaire… mmmmmm… et très douée…. pour ce genre de chose…. aaaaah…..
Mrs. Benson regarda un peu ma tête qui allait et venait sur ce sexe bandé, puis hocha la tête. A quoi bon mentir maintenant ?
– Vous vous souvenez d’Alain, l’homme à tout faire ? Celui qui faisait gaffe sur gaffe et qui a cassé ce matériel informatique… En fait tout a commencé par une discipline que je voulais lui donner, ensuite ça c’est enchaîné…
Et tandis que je le suçais, elle lui raconta la transformation, comment j’étais obéissante, comment elle m’a appris pour les vêtements, les cheveux, le rasage, le maquillage… comment elle avait trouvé les vidéos éducatives sur internet, le conditionnement, mais comment aussi j’étais transformée, radieuse, efficace, et heureuse. Cette réussite lui avait donné envie d’essayer de l’appâter lui, pour qu’il soit plus conciliant, grâce à mes charmes. Puis comment tout s’était enchaîné avec l’assureur… Elle n’omit que son secret et nos petits rituels. Sinon elle lui raconta tout. A la fin de son récit, il enfonça son sexe dans ma bouche et éjacula, son sperme chaud me remplissant la bouche, avant que je ne l’avale. Puis il regarda Mrs. Benson dans les yeux…
– Vous rendez-vous compte de ce que vous avez fait ???
– … … … *soupir* … Je sais c’est mal. Très mal. Vous allez avertir les autorités je suppose…
– Mais pas du tout !!!
Il me repoussa gentiment et rangea son sexe dans son pantalon, refermant vite la braguette, puis se leva.
– Ce que vous avez fait est extraordinaire ! Enfin, rendez-vous compte ! Un raté, un moins que rien – il se tourna vers moi – désolé Aline, mais bon, tu avoueras, ce n’était pas fameux avant. Et maintenant regardez ! Une jolie fille obéissante, disciplinée, docile. Heureuse et épanouie. Et une bombe sexuelle ! Même moi, qui pourtant suis hétéro, elle m’attire. Pour tout dire, en venant ici, j’avais envie de mon sexe dans sa bouche. Et son petit cul est divin. Ce que vous avez fait, c’est un miracle !
– Mais… mais…
– Mais oui, regardez-là. Elle est fantastique. Et c’est grâce à vous ! Vous rendez-vous compte du potentiel que cela peut avoir ? Offrir une seconde chance à des loosers, qui en tant que garçon ne valent rien. Qui n’ont aucun avenir en tant qu’homme… mais en tant que femme… vous les transformez en bombe sexuelle, et en faites du personnel de maison obéissant et soumis, pour gens riches et dépravés… bien sûr vous ne donneriez cette ‘formation éducative’ qu’au sein de l’école, un à la fois uniquement, et très discrètement, et ce pour une clientèle triée sur le volet !
– Mais c’est dégoûtant ! C’est une forme d’esclavage !
– Bien sûr pas question de forcer ces loosers à suivre votre ‘formation’. Il faut des volontaires. Ceux qui veulent une seconde chance. Regardez Aline. A-t-elle l’air malheureuse ? Esclave ?
– Mais et l’éthique ?
– Avez-vous pensé à l’éthique en transformant Alain en Aline ?
Mrs. Benson reçut cet argument comme on reçoit un uppercut en plein visage. Je ne savais trop que faire, comment me mettre.
– Je suis sûr que le conseil d’administration comprendra le potentiel. Avec les fonds que nous récolterons, vous pourrez équiper cette école comme vous le voulez, et elle deviendra vite la première école du pays ! Et pensez à combien de loosers vous pourriez donner une seconde chance ! Je dois y aller, je vous laisse jusqu’à la réunion du conseil d’administration pour y réfléchir !
Il me tapota gentiment les fesses, puis sortit. Je regardais ma maîtresse qui semblait pensive. Elle resta ainsi perdue dans ses pensées quelques minutes, puis ses yeux se posèrent sur moi. Elle se leva de son fauteuil, et s’assit sur le coin de son bureau. Elle releva sa jupe, baissa sa culotte, et m’exhiba son sexe, tout bandé. J’accourus aussitôt, sans qu’elle ne dise rien, et commença à le lui lécher. Ses testicules d’abord, sa hampe, son gland ensuite. Puis je le mis en bouche, et le suçais avec délectation…
– Tu as vraiment l’air d’aimer ça. Tu n’es pas malheureuse, hein Aline ?
Je fis non de la tête, continuant à aller venir le long de son sexe dur, qui me remplissait la bouche. Puis elle me poussa, je tombais à la renverse.
– Si tu es heureuse, dévoile ta croupe, et offre-là à ta maîtresse !
Elle avait pris un ton rude. Sans doute voulait-elle voir si je lui obéissais vraiment, même quand elle était rude, agressive ? Mais mon unique souhait était de contenter ma maîtresse ! Je me penchais donc sur le bureau, relevais ma robe, et lui offrit ma croupe. Mon slip étant toujours tire-bouchonné à mi-cuisse, elle avait une vue splendide sur mes fesses. Fesses que j’écartais de mes mains pour lui offrir mon petit trou. Elle approcha son sexe, mouillé de ma salive, et le frotta contre mon anus. Il palpitait d’envie, d’être rempli par elle. Elle pressa son gland contre mon anus, et l’y enfonça, puis la hampe… elle me prit sauvagement, durement, mais que j’aimais être dominé ! Bien sûr c’était un tout petit peu douloureux au début, mais bien vite le plaisir remplaça la douleur. J’éjaculais même sur le sol alors qu’elle vint en moi, déversant son foutre chaud dans mon rectum. Elle sortit ensuite son sexe, et me caressa doucement les fesses…
– Oui, tu aimes vraiment contenter ta maîtresse, hein, ça te rend heureuse… je pourrais donner cette chance à d’autres, chance que la nature ne m’a pas laissée à moi. Considérée comme un monstre parce que j’ai un corps de femme, mais un appareil génital d’homme. Ce serait une belle revanche sur la nature. Transformer des bons à rien en bonnes en tout…
Elle me donna une claque sur les fesses, sa décision prise.
– Bien Aline, tu lécheras le sperme sur le sol, comme d’habitude, puis tu iras te laver. Et ne sois pas en retard au souper !
Elle se rhabilla et quitta la pièce, me laissant pantelante sur le bureau, du sperme s’écoulant doucement par mon anus. Je souriais béatement et avais des papillons dans le ventre… quel pied !
Le lendemain matin, après avoir servi le petit déjeuné à ma Maîtresse, et lui montrer que je savais marcher avec mes escarpins aux talons de 10 cm, et avoir goûter à son nectar matinal, je me dirigeais vers le réfectoire pour mon petit déjeuner. Après l’avoir pris, je quittais le réfectoire pour retourner à mes occupations, quand une main se saisit de mon bras et me tira à l’écart, dans le renfoncement entre le mur et la double porte du réfectoire… Danny ! Je l’avais complètement oublié celui-là ! Il m’embrassa à pleine bouche, sa langue cherchant la mienne. Hésitante, je lui rendis son baiser, et laissa sa langue entrer dans ma bouche, pour se mélanger à la mienne…
– Aline… je ne pense qu’à toi, je ne rêve que de toi… putain, ce que tu m’excites…
Il prit ma main, et la posa sur son jeans, sur son entre-jambe. Je sentis la bosse formée par son sexe en érection…
– Tu sens ? Voilà ce que tu me fais ! Il faut que je te baise encore, sinon je vais exploser !
Sa vulgarité et son assurance commençaient à me courir sur le haricot. Je me décollais de lui et cherchais le surveillant des yeux, pour l’appeler au secours… et je vis qu’il était à l’autre bout du réfectoire, occupé par les deux acolytes de Danny qui retenaient son attention. Danny avait tout prévu…
– Je te veux maintenant, ici !
Il me tira à nouveau dans le renfoncement, plus fortement… il n’allait quand même pas me violer ici, dans le couloir ??? Je voulus me dégager, mais il était plus fort que moi, et me maintenait contre lui. Il m’embrassa à pleine bouche, et sa main passa sous ma robe, caressa mes fesses, par-dessus mon slip en dentelle noire, qui couvrait toutes mes fesses, étant transparent derrière et avec de jolies dentelles sur l’avant… Sa main caressa, puis passa sous le slip, palpa mes fesses, puis mes hanches, avant de passer sur l’avant… Catastrophe ! Et j’étais bloquée je ne savais pas l’empêcher ! Sa main se posa sur mon entrejambe, cherchant une fente humide… mais ne rencontra qu’un petit zizi qui devenait raide…
– QUOI ??? MAIS QU’EST-CE QUE C’EST QUE CE BORDEL ???
Il eut un mouvement de recul, sortant prestement sa main de mon slip. Il était devenu tout rouge dans son visage… Je ne pus que bredouiller un « désolé ! »…
Puis je vis le reste comme au ralentit : son poing fermé projeté vers mon visage, qui rencontre ma joue… Un choc, une douleur, ma tête part en arrière, puis mon corps… déséquilibré par les 10 cm de talon, je tombe en arrière… ma tête cogne le mur… puis le noir total…
Une forte odeur d’ammoniac et d’urine me fit ouvrir les yeux… Ma tête me tournait un peu, mais ça allait. Je reprenais petit à petit mes esprits. Mais où étais-je ? Je connaissais ces carrelages blancs, ce tuyau devant moi où mes mains étaient attachées… attachées ? Soudain tout me revint en mémoire ! Danny, sa main dans mon slip, son coup de poing… et maintenant, sa vengeance ?
J’entendis un bruit dans mon dos, mais je n’arrivais pas à me retourner… puis, quelque chose de chaud et de dur contre mon anus… qui le pénètre doucement… puis la hampe… mmmm que j’aimais cette sensation d’avoir le cul rempli par une bite ! Cela me fit reprendre totalement mes esprits… Où étais-je ? Dans les toilettes du rez-de-chaussée de l’école. Plus exactement dans un urinoir des toilettes du rez-de-chaussée. Je les connaissais bien, je les ai utilisés souvent dans mon ancienne vie… J’étais plus ou moins assis dans l’urinoir, face au mur, mes mains attachées au tuyau. Mes pieds semblaient aussi attachés car je ne pouvais donner de coup de pied, ni les bouger au-delà d’un certain mouvement. Je sentis le gars qui me sodomisait éjaculer dans mon cul dans un râle de plaisir. Je voulus lui parler, mais ma bouche était comme collée… un sparadrap ! Ils avaient collé un sparadrap sur ma bouche ! Le sexe se retirait de mon cul, laissant un vide en moi… j’entendis le bruit d’une porte qui se ferme…
Après quelques instants, la porte se rouvre… je sens une présence derrière moi, j’entends quelques bruits… puis un nouveau gland se présente devant mon petit trou… avant de le pénétrer… han, il est plus brutal que l’autre ! Tandis qu’il me ramone, je me fais la réflexion que je ne sens pas le froid de l’urinoir contre mes fesses ou le haut de mes cuisses, sauf lorsque le gars qui me ramone me fait bouger un peu plus violemment sur l’urinoir… donc je dois avoir encore mes bas et ma petite culotte… sans doute ont-ils coupé ou déchirer l’arrière de mon slip transparent, au niveau de mon sillon… Un râle, du sperme chaud qui se déverse dans mon rectum, la verge qui se retire de mon cul… Le bruit de la porte. De nouveau le bruit de la porte, une autre bite qui se présente à mon cul, qui me ramone… et ainsi de suite… après une dizaines de gars, le sperme s’écoule de mon cul tout remplis, coulant dans l’urinoir, sur le sol… Un des gars s’est retiré juste avant de venir, pour pouvoir éjaculer sur mes cheveux, sur mon cou…
Je suis humiliée et dominée. En même temps j’ai un peu honte, mais en même temps la situation m’excite au point que je suis déjà venue trois ou quatre fois, éjaculant dans mon slip, le maculant de sperme… Je passais certainement plusieurs heures sur cet urinoir, me faisant sodomiser pendant tout ce temps, éjaculant un nombre incalculable de fois, jusqu’à ne plus pouvoir éjaculer, perdant le compte des bites qui me bourrèrent le cul, qui éjaculèrent en moi ou sur moi… J’étais dans un état quasi orgasmique permanent, lorsque des voix se firent entendre dans le couloir, des bruits de course, puis la porte qui s’ouvre violemment.
– Mais enfin, que se passe-t-il ici ?
C’était le surveillant ! Sans doute avait-il été alerté par les va-et-vient entre les classes et les toilettes, ou a-t-il surpris une conversation entre des élèves… toujours est-il qu’il est là. Je le sens mâter mon cul… les orgasmes à répétition m’ayant fait saliver, baver, je sens le sparadrap plus lâche, qui se décolle… je peux marmonner un « au secours » plus ou moins compréhensible…
– Mademoiselle Aline, que vous ont-ils fait !
Et il vient à mon secours, enlevant (sans douceur) d’un coup le sparadrap qui est collé sur ma bouche, puis détachant mes mains. Je ne tiens plus sur mes jambes, et retombe les fesses sur l’urinoir… ce qui fait jaillir un petit jet de sperme de mon anus légèrement béant… Le surveillant en devient rouge dans son visage, de honte ou d’excitation ?, puis il m’aide à me relever. Je puis sur son épaule, et me tenant par la taille, il m’amène à l’infirmerie. La pièce n’est pas grande, un lit, une armoire-pharmacie fermée à clé, une table et une chaise… Le surveillant m’aide à retirer ma robe, maculée d’urine, de sperme, et sentant les désodorisants pour urinoir… puis il me laisse tomber sur le lit, dans un grincement. Je tombe sur le ventre. Les jambes pendantes à moitié hors du lit. Je sens encore son regard sur ma croupe, ma petite culotte noire, déchirée au niveau de l’anus, mes fesses maculées de sperme… Je sens son regard, je sens qu’il a envie lui aussi. Il n’est pas très beau le surveillant, il n’a pas un bon caractère non plus. Mais il est seul, tout le temps seul. J’ai pitié de lui. Je veux lui faire un cadeau. Alors, dans un dernier effort, je plie mes jambes sous moi, pour me retrouver accroupi sur le lit, lui offrant ma croupe, écartant légèrement mes fesses…
Il a compris, je le sens venir vers moi… quelque bruit, de braguette ouverte ou de pantalon baissé, je ne sais trop, je suis dans un état semi comateux. Puis sa pine qu’il frotte contre mes fesses, le long de mon sillon, puis contre mon anus… Il le me pénètre doucement, me remplissant centimètre par centimètre. Je suis étonné, je ne l’imaginais pas capable d’une telle douceur. Puis il va et vient en moi, me ramonant le cul, lui aussi, mais tout en me caressant les fesses, les cuisses, avec une douceur qui dénote avec la vigueur de ses coups de reins en moi. Le lit grince de plus en plus fort, au fur et à mesure que ses coups de boutoirs s’amplifient. Je sens un orgasme monter, je suis au paradis, mais je ne suis plus capable d’éjaculer… Et lorsqu’il vient en moi, mélangeant son sperme à celui des dizaines d’élèves qui m’étaient montés dessus, je m’évanouis, un sourire béat aux lèvres…
Je m’éveillais dans mon lit, nue. Ma Maîtresse se tenait près de moi. Elle me caressait gentiment les cheveux.
– Aaaaah tu es éveillée, tu te sens comment ?
– Un peu mal à la tête, mais ça va.
– Tu as une fameuse bosse à la tête, heureusement qu’il n’y a pas eu de commotion ! Je me suis permise de te laver, ici, et j’ai mis de la crème sur la bosse, pour apaiser la douleur. J’en ai mis aussi un peu sur ton anus. Il doit être brûlant…
Je rougis.
– Ce n’est pas ma faute, c’est…
– Danny, je sais. J’ai interrogé des étudiants et ai pu comprendre qu’il était derrière tout ça. Je l’ai convoqué dans mon bureau, et il m’a tout avoué. On ne me résiste pas si facilement…
Je souris.
– Tu lui as fichu une sacrée frousse, quand il a senti ton pénis ! Mais il ne dira rien. C’est son silence sinon c’est le renvoi immédiat. Après ce qu’il a fait ! Et interdiction de t’approcher. Il n’a pas vraiment compris qui tu étais avant, mais il sait que tu es sous ma protection. Et que s’il te touche encore, il est dehors ! Et le surveillant ? C’est lui qui m’a prévenu que…
– Il a été très gentil, il m’a secouru.
Elle hocha la tête.
– Je me suis occupé de tes vêtements aussi… ta robe était fichue, je l’ai jetée… pour ton slip… ce n’était plus qu’un tissu imbibé de sperme… surtout vers l’avant… la torture n’a pas semblée si horrible que ça !
Elle sourit malicieusement, et je rougis encore plus.
– Je suis peut être venu une fois… ou deux…
Elle hocha encore la tête et sourit, pas dupe.
– Une fois ou deux, c’est ça… je crois qu’on va arrêter les ‘programmes éducatifs’ ! Tu es suffisamment ouverte comme ça… d’esprit, bien sûr ! Allez, repose-toi, maintenant, tu en as besoin !
Je dormis tout mon saoul, et le lendemain j’eus droit à une journée de congé. Je restais en nuisette toute la journée, dormant beaucoup, flânant dans ma chambre, regardant mes séries favorites. Je me sentais bien vite en plein forme, et mon rituel avec ma Maîtresse me manquait déjà beaucoup…
Le lendemain était un grand jour, celui du conseil d’administration. Après un bon bain peau douce, avoir fait mes cheveux, je choisis un maquillage un peu plus accentué, et choisis un petit string rose, juste un petit triangle de tissus dans lequel tenait mon sexe et mes petites boules, le reste du slip étant constitué des ficelles, sur les hanches et dans le sillon… le soutient aussi était réduit. Je mis des bas résilles blancs, avec jarretelle assortie, ma robe de soubrette, tablier et coiffe, et mis les chaussures à talon 10 cm. J’étais craquante et provocante à souhait !
Ma Maîtresse devait déjà être à son bureau, comme à chaque fois avant les réunions difficiles, car elle n’était déjà plus dans son appartement. Je vaquais donc à mes tâches ménagères, mais j’avoue que j’étais toute excitée et que j’avais difficile à me concentrer… Comment allaient-ils me trouver ? Aurais-je droit à une bonne rasade de sexe ? Comment cela allait changer mon travail ici ? Ma Maîtresse sera-t-elle contente de moi ? Que j’avais hâte que cette réunion arrive !
Je dus attendre jusqu’aux environs de 14h, lorsque le téléphone de service sonna. Au son de la sonnerie, une boule se forma dans mon estomac… j’étais à la fois inquiète et excitée maintenant ! Je répondis, puis raccrocha et me dirigeai vers le bureau de Mrs. Benson.
J’entrais dans le bureau, et vis que les fauteuils et la table basse du petit salon avaient été poussés dans un coin, et qu’une table du réfectoire avait pris leur place. Mrs. Benson et M. Striker étaient assis aux extrémités de la table, quatre autres personnes se tenaient de chaque côté de la table. Il y avait trois hommes, tous avaient la cinquantaine passée, et une femme, qui devait avoir une bonne quarantaine d’année. Ils étaient tous habillés chics, avec des vêtements de marque. Une des hommes étaient le maire de la ville, les autres devaient être des notables important, cela se voyait tant à leur mise qu’à leur maintien.
– Ainsi donc, voilà cette fameuse Mademoiselle Aline !
Le maire me dévisageait de la tête aux pieds. Il avait une bonne cinquantaine, des cheveux gris, le teint très halé. Comme M. Striker, il portait un costume, pantalon et veston, une chemise ouverte sur une grosse chaîne en or… une grosse montre – certainement une Rolex – et une grosse chevalière en or complétaient la mise ostentatoirement luxueuse de notre Maire, fort connu pour son goût pour le luxe.
– Elle a l’air, vraiment jolie. Approchez, mon enfant.
Le second monsieur était plus vieux, peut-être même devait-il avoir la soixantaine. Ses cheveux étaient blancs, et il avait une grande barbe blanche. Le troisième semblait plus jeune, malgré ses cheveux noirs tirant sur le gris, sa moustache et ses lunettes. Tous deux étaient très bien habillés, avec cravate pour l’un, nœud papillon pour l’autre. Ils portaient aussi des chevalières en or, mais c’était moins ostentatoire que chez notre maire.
Je m’approchais plus près d’eux. Le monsieur à la barbe continuait à mer regarder tandis qu’une main effleura mes fesses… M. Striker, sans doute.
– A la regarder, on a même difficile à croire à l’histoire de Striker !
La femme me regardait aussi. Elle avait un tailleur Channel, ses cheveux bruns mi-longs encadrant son visage, terminant en pointe parfaite. Elle était assez agréable à regarder, mais ses yeux étaient durs. On sentait que tout était calculé chez elle…
Je sentis soudain des mains sur ma taille, et me voilà portée sur la table ! C’était M. Striker… je défilais donc sur la table, comme sur un podium de mode, mes talons 10 cm me faisant me déhancher du bassin, leurs regards sur mes jambes gainées de blanc, sur le bas de mes fesses où devait se voir la ficelle rose passant entre mes jambes et montant le long de mon sillon. Me sentir admirer m’excitait à un point ! Je sentais mon petit sexe se redresser dans ma culotte !
– Incroyable, elle a même la démarche ! Avec ces talons !
– Et quelle jolie paire de fesses… et si elle levait sa robe ?
Je levais ma robe vers le Monsieur à la barbe, qui venait de parler. Il put voir la fin de mes bas, les jarretelles assorties, le triangle rose du string, bosselé par mon sexe en érection, je tournais sur moi-même, il admirait mes fesses, tandis que les autres admiraient l’avant… et vice et versa, au fur et à mesure que je tournais lentement sur moi-même. Je vis avec satisfaction le résultat que je provoquais chez ces messieurs, dont les pantalons se déformaient par de jolies bosses…
– Qu’elle enlève sa robe maintenant !
Je relâchais ma robe, puis sensuellement, défit le tablier… ensuite j’ouvris la fermeture éclair et fit glisser doucement la robe le long de mon corps. Quelqu’un la fit vite disparaître de dessus la table, comme pour le tablier. Je marchais le long de cette table, en sous-vêtement, sentant tous les regards sur moi, sur mes jambes, mes fesses, mon string, mon sexe… que cela m’excitais ! Mon sexe bandait de plus en plus, sa tête sortant doucement du triangle du string… Je pris des poses lascives, mes mains caressant mes jambes, ma poitrine, un doigt parcourant mes lèvres, avant que je le mordille coquinement…
Le maire s’était levé, et avait sorti son sexe, qu’il branlait doucement en me regardant. Je me mis à quatre pattes sur la table, et marchais ainsi jusqu’à lui. Il sourit et s’approcha de la table, debout, son sexe juste à la hauteur de ma bouche… Je le léchais avec application, puis l’enfournais dans ma bouche… je me rendis compte à quel point j’aimais avoir un sexe bandé et dur dans ma bouche, à quel point j’avais envie de sentir son jus chaud couler dans ma gorge… ma Maîtresse ne m’avait pas transformée en femme, mais en sissy avide de sperme et de sexe ! La grâce et la beauté féminine mélangées à la gourmandise sexuelle masculine, le mélange parfait !
Tandis que je suçais le sexe du maire, je sentais des mains qui me caressaient les jambes, les cuisses, les fesses… à un moment, quelqu’un joua avec la ficelle de mon string, avant de l’écarter sur mes fesses… ils devaient avoir une vue magnifique sur mon anus palpitant ! Un doigt vint le caresser, avant de s’y enfoncer… Un, puis deux doigts entrèrent en moi… jouant, tournoyant, écartant mon anus… le maire me baisait littéralement la bouche, ma langue suivant difficilement ses mouvements… puis dans un râle de plaisir il éjacula son sperme tout chaud dans ma gorge… j’avalais le tout…
Il avait à peine sortit son sexe de ma bouche que je me sentis tirée en arrière, puis retournée. J’étais dos sur la table, mes fesses au bord. Le vieux monsieur à la barbe me releva les jambes, approchant son gros membres raides de mon cul, dans lequel il s’introduisit sans soucis… sentir mon rectum à nouveau rempli par un gros membre tiède et palpitant, quel plaisir ! La femme, avec l’aide de M. Striker, monta sur la table. Elle mit ses jambes de chaque côté de ma tête, et je pus voir en dessous de son tailleur. Elle avait des bas beiges élastique classique, qui s’arrêtaient à mi cuisse, et un slip couleur beige. Elle fit glisser sa petite culotte le long de ses jambes, jusqu’à le faire tomber sur mon visage ! Je l’enlevais, constant qu’elle s’accroupissait. Je vis son sexe s’approcher de moi… Un triangle de poils sur son pubis, parfaitement entretenus, un clitoris assez gonflé, deux lèvres légèrement baveuse, sans doute suite au spectacle que j’offrais… Elle s’accroupit jusqu’à ce que son sexe soit à quelque centimètre de mon visage. Je levais un peu ma tête, ma langue passa le long de son sexe, avant de tournoyer sur son clitoris… je refis passer ma langue le long de ses grandes lèvres, jusqu’où je savais aller, avant de remonter jusqu‘à son clito, que je léchais avec application, avant de redescendre, et ainsi de suite… à chaque passage, ma langue se fit plus lourde, s’insinuant plus entre ses lèvres… jusqu’au moment où elle s’écartèrent, et je pus la pénétrer de ma langue, entrant dans son puits chaud et humide, tournoyant lapant… elle devait apprécier, car elle plaqua de ses mains ma tête contre son sexe, tandis que son bassin accompagnait mes mouvements de langue…
Pendant ce temps, la barbu s’activa dans mon cul, allant et venant de plus en plus vite, jusqu’à éjaculer son sperme tout chaud en moi… Il se retira, et le moustachu vint prendre sa place. Il me pénétra, poussant un peu de sperme en dehors de mon anus en le pénétrant, avant de commencer à me limer le cul… Je léchais toujours le sexe de la dame, qui devenait de plus en plus mouillé, son bassin allant de plus en plus vite… je pense qu’elle eut un orgasme, et après un moment elle se retira, me laissant respirer, le bas de mon visage tout mouillé de ma salive et de ma mouille… Elle s’assit alors sur mon ventre, et se penchant, lécha tout mon visage… avant de se retourner, me donnant une vue sur son cul. Elle vit le pénis qui entrait et sortait en moi, et vit mon petit sexe, qui tressautait à chaque coup de boutoir… Elle se pencha et le mit en bouche…
C’était une première pour moi ! Quelle sensation ! Mon sexe était tellement petit, qu’elle pouvait le mettre avec mes boules dans sa bouche ! Puis elle relâcha mes petites boules, et continua à sucer mon petit zizi. Excité par tout ça, je plongeais sur son cul, que j’embrassais, léchais, ma langue suivant son sillon, tournoyant sur son anus… j’étais tellement excitée que je jouis très vite dans sa bouche…
– Déjà ? Dommage, petit et rapide… *soupir* sa langue et son cul ont l’air bien meilleur que sa bite. M. le Maire, je vois que vous avez repris vigueur… là, il me faut quelque chose de gros et de dur en moi !
Tandis qu’elle quitta la table, le moustachu éjacula en moi… Il se retira, du sperme coulant de mon cul le long de mes fesses, puis sur la table… Je me redressais un peu. Mrs. Benson n’avait pas bougé de sa chaise, et regardais toute la scène avec un mélange de joie, d’envie, de perversité, que je ne savais définir. Mais elle ne participait pas, et je savais pourquoi. La dame était à quatre patte au sol, accoudée à une chaise, le maire la prenant en levrette… son sexe entrait en sortait de sa chatte à une de ces vitesses… mais la dame semblait apprécier… M. Striker était assis sur une chaise à l’écart, lui aussi semblait spectateur. Il branlait doucement son sexe sortit de son pantalon. Je descendis de la table, et m’agenouilla entre ses jambes, prenant son sexe en bouche… je le suçais avidement, avant qu’il me fasse signe de me lever… il me retourna, mon dos contre son ventre, et ses mains sur mes hanches m’attirèrent à lui… il était toujours assis sur la chaise, et il guida mes fesses vers son sexe bandé… il ajusta son gland sous mes fesses, puis me fit asseoir, lentement, son gland, puis sa hampe se frayant un chemin en moi… ses mains glissèrent sous mes fesses, et il me fit coulisser le long de sa verge… Je sentais ce sexe fiché en moi, tout en voyant le maire qui prenait la dame en levrette… et les deux autres messieurs qui vinrent vers nous, reprenant doucement vigueur… ils se placèrent un à ma gauche et l’autre à ma droite, leur sexe à hauteur de ma bouche… je suçais simultanément l’un et l’autre, cinq minutes chacun, tout en me sentant coulisser le long de la verge de M. Striker, qui donnait le rythme…
Je vis le maire s’agripper aux hanches de la dame, et venir en elle. Lorsqu’il se retira je vis un peu de sperme couler hors de la vulve de la dame. Qui vint vers nous. Elle s’agenouilla entre les jambes de M. Striker, et au fur et à mesure que je coulissais sur lui, elle léchait le morceau de hampe qui apparaissait, et lorsqu’il me redescendait complètement, mon cul avalant toute sa hampe, c’est le pourtour de mon anus qu’elle léchait… Je sentis les deux messieurs près à éjaculer… j’attendais déjà impatiemment qu’ils se vident dans ma bouche… La dame se recula, ils purent s’approcher et je pus mettre leurs deux glands dans ma bouche au moment où ils éjaculaient… quelle rasade de sperme ! Il remplit toute ma bouche avant que je ne l’avale ! Tout ce sperme chaud et épais que je buvais, et la bite de M. Striker qui me pistonnait doucement me fit encore venir, maculant le triangle rose du string de mon sperme. M. Striker se cala bien au fond de mon rectum, et m’envoya une de ces giclées ! J’aurais presque cru qu’elle allait directement dans mon estomac !
M. Striker me lâcha, et le maire s’approcha. Lui aussi avait repris vigueur, et semblait vouloir goûter à mon cul… Je me penchais donc sur la table et lui offrit ma croupe, que je dandinais nonchalamment pour l’appeler à venir me monter ! Tandis qu’il s’enfonçait en moi, je vis la dame sucer les deux vieux messieurs, pour qu’ils reprennent vigueur… Ensuite, elle vint s’asseoir sur la table, à côté de moi, me maintenant les bras pendant qu’ils me prenaient tous à tour de rôle, le maire, puis les deux vieux monsieur, puis M. Striker… chacun à leur tour… Ces bites de tailles et d’épaisseurs qui entraient en moi, me pistonnaient le cul pendant cinq minutes, puis se retiraient, me laissant un vide criant dans les entrailles, avant qu’une autre ne me remplisse pour cinq minutes, et ainsi de suite… c’était vraiment très bon ! Je crois que je jouis une ou deux fois dans le string rose, avant que le Maire ne soit prêt à venir… mais à mon grand désappointement, il ne jouit pas en moi… sentant les signes de son éjaculation, il fit un signe de tête vers la dame… qui se coucha dos sur la table, jambe écartée, et avec ses doigts elle écarta les lèvres intimes de son sexe, l’ouvrant impudiquement… Je vis le sexe du maire se placer au-dessus et éjaculer vers ce sexe ouvert, de grosses giclées blanche s’écrasant dans et autour de son ouverture moite… déjà remplie précédemment par le sperme du maire. Les trois autres continuaient à me prendre chacun à leur tour, lorsque le barbu se retira, et vin lui aussi gicler sur le sexe ouvert et offert de la dame. M. Striker et le moustachu me sodomisait toujours à tour de rôle, et le moustachu craqua le premier… il alla lui aussi éjaculer sur le sexe de la dame… M. Striker continuait à me prendre, le sourire aux lèvres…
– Quelle résistance mon cher ! Vous avez encore gagné !
– Et regardez-le, il n’a pas la victoire modeste !
Après quelque minute, il se retira de mon cul, et alla éjaculer lui aussi sur le sexe offert de la dame… Son pubis, ses grandes lèvres et son vagin lui-même étaient maculés et remplis de sperme… Un des messieurs, la main sur ma nuque, me guida vers elle…
– C’est l’heure du goûter ma chère !
Et il plaça ma tête juste au-dessus du sexe toujours écarté et offert de la dame. Tout ce sperme… je commençais par lécher le sperme sur la table, puis ma langue remonta le long des fesses de la dame. J’arrivais à son sexe. Je léchais d’abord ses lèvres intimes, ma langue ramassant le sperme qui les maculait, puis je lapais le sexe sur son clito, sur son pubis. Je redescendis enfin, lorsque les abords furent proprement nettoyés, vers son vagin, ouverture béante et rempli des spermes mélangés de ces quatre messieurs… ma langue s’enfonça dans le sperme, que je lapais, essayant d’en prendre le plus possible, je léchais, lapais, mais avais du mal à tout prendre…
– Attend, je vais t’aider !
Ils me refirent coucher sur la table, dos contre table, et elle revint – avec l’aide de ces messieurs – s’accroupir au-dessus de mon visage. Elle écarta encore ses lèvres intimes, et le sperme s’écoula lentement hors de son vagin. J’ouvris la bouche, où il coula… elle poussa un peu, faisant couler tout le sperme directement de son vagin dans ma bouche !
– Bravo ! Fantastique ! Quel spectacle érotique !
Le vieux barbu montra au moustachu mon cul du doigt.
– Son anus en palpite encore… il me faudra plus de viagra pour calmer cette gourmande. Mais là, je n’en puis plus…
Ils aidèrent la dame à descendre de la table. Elle lécha le sperme qui restait sur mes lèvres, et me roula un patin. Puis ils se rhabillèrent, faisant encore une ou deux plaisanteries grivoises. Ils congratulèrent Mrs. Benson et M. Striker sur leur excellent travail, puis sortirent du bureau. Au passage, le barbu ma fit une gentille caresse sur le visage, tandis que le maire se tournait vers M. Striker.
– Striker, vous avez vraiment fait du bon travail et avez de bonnes idées. Venez nous retrouver au Club ce soir. Vous nous reparlerez de ce projet.
Les membres du conseil parti, M. Striker se tourna vers Mrs. Benson. Il semblait intrigué.
– Pourquoi ne participez-vous jamais à nos « petites fêtes ». Vous ne sortez jamais de cet internat. Et ici, durant tout le temps, vous n’avez pas bougé d’un pouce !
Il s’approchait d’elle, avec ce regard qu’il avait juste avant de passer sa main sous ma robe… allait-il essayer avec Mrs. Benson ? Je sentis qu’il avait envie de glisser sa main sur ses gros seins et sous sa jupe. Mais le regard de ma Maîtresse l’en dissuada. Ce regard avec lequel elle faisait se dégonfler même les pires voyous. Il resta un peu hésitant, avant de hausser les épaules et de se détourner.
– Je vous appellerai pour vous donner les détails des nouveaux crédits et de notre nouveau « programme ».
Il partit, avec un dernier regard vers moi, toujours couchée sur la table. Après son départ, ma maîtresse attendit cinq bonnes minutes avant de se lever. Je ne compris pas pourquoi aucune bosse ne déformait sa jupe… Elle vint à moi et grimpa sur la table, ses genoux de chaque côté de mon ventre… elle releva sa jupe… Son sexe était bien là gonflé de désir. Il était bloqué par une culotte qui montait haut et très serrée, une culotte « ventre plat ».
– J’étais obligée, sinon mon érection aurait été trop visible. Je ne veux pas qu’ils sachent…
Je l’écoutais, tout en ne pouvant détourner mon regard de sa culotte. Jamais elle n’avait eu une telle érection… son gland tout gonflé et tout rouge essayait de dépasser de la culotte, et le pré-sperme en luisait au bout…
– Ce que c’était excitant Aline… je n’en peux plus, libère moi !
Je souris, et me redressant un peu allais vers son entrejambe. Je léchais son gland tout mouillé et tout rouge, puis le gobais doucement, tout en descendant lentement son slip très très serrant. Tellement serrant que le motif du bord du slip s’était légèrement imprimé sur la peau de sa hampe… il faut dire qu’elle bandait dur ! Au fur et à mesure que je descendais le slip, j’avalais dans ma bouche le morceau de hampe qui apparaissait. Lentement, doucement, centimètre par centimètre. J’eus soudain une inspiration… je voulais l’avaler façon ‘gorge profonde’, je détendis ma mâchoire, et enfonçais son sexe de plus en plus loin dans ma gorge… tout au fond… une larme perla au coin de mes yeux, mon menton caressa doucement ses testicules… enfin mon front toucha son pubis impeccablement rasé… Elle poussa un soupir rauque, et soudain éjacula directement dans ma gorge, une quantité de foutre plus important que d’habitude ! Elle qui d’habitude tenait longtemps, le spectacle que j’avais offert et ça la firent venir instantanément… je ne m’y attendais pas et me saisis, ma glotte travailla et j’eus l’impression d’étouffer ! Elle comprit et retira son membre de ma bouche, tandis que je toussais en retombant sur la table…
Pour s’excuser, elle se coucha lentement sur moi, et m’embrassa, avec passion. Nos langues se mêlèrent, nos salives également…
– Oh, ce que tu goûtes le sperme !
Me dit-elle une lueur excitée dans les yeux… Elle frottait son sexe à demi-débandé contre le mien, puis lentement, libéra ses seins de son chemiser et du soutient ample qui les couvraient aussi… Je suçais ses tétons offerts, pointés comme jamais, je passais de l’un à l’autre, les pinçant de mes lèvres, les léchant, les suçant… je sentais son sexe reprendre vigueur contre le mien, et repliais un peu mes jambes, pour lui offrir mon petit trou encore un peu béant et poisseux de sperme… Elle m’embrassa à nouveau, nos langues se retrouvèrent, tout en guidant d’une main son sexe vers mon anus. Elle me pénétra tout en m’embrassant… Autant cet après-midi j’avais été baisée avec désir, passion, luxure, érotisme, autant ici j’avais l’impression d’être aimée avec tendresse, douceur… elle allait et venait doucement en moi, lentement, tendrement, tandis que me lèvres passaient des siennes à ses tétons… Nous éjaculâmes ensemble, bien que de mon côté ce ne fut qu’un fin filet de liquide transparent, mais je sentis qu’elle me remplissait elle aussi de foutre tiède… Elle resta en moi jusqu’à ce que son sexe débande, et soit poussée dehors par mon anus palpitant et le sperme qui en débordait. Elle me caressa doucement le visage, les cheveux, avant de se relever.
– Tiens, mets ma culotte, je ne voudrais pas que tu laisses une traînée de sperme entre ici et l’appartement !
Je rougis et obéis, pendant qu’elle réajusta sa jupe et pris le téléphone, pour demander que le surveillant lui envoie des élèves pour enlever la table « de réunion » et remettre son salon en place.
Je retournais à ma chambre, où je me lavais soigneusement, avant de m’écrouler sur le lit, épuisée. Je n’allais même pas souper, dormant comme une bienheureuse jusqu’au lendemain…
(à suivre)
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