Émilie et la lampe magique , Chapitre 1 : 1er vœu, bienvenu à zombie-land !
Laissez-moi, Mesdemoiselles, Messieurs, Mesdames, vous conter l’histoire extraordinaire de cette belle et sublime jeune fille. Évidemment, je parle de moi, mais restons modeste !
L’histoire pourrait paraître inventée et pourtant….
***
L’histoire se passe dans un pays pas si lointain que ça, la France.
Émilie, jolie brin de fille de 19 ans, une étudiante modèle (oui, oui !) qui venait tout juste d’intégrer une prestigieuse école d’écriture d’histoire de sexe et d’essai.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les semaines n’étaient pas de tout repos. Entre les cours de rédaction, l’apprentissage et la maîtrise du tchat privée, et son stage dans la glorieuse entreprise « Xhamster », Émilie avait peu de temps libre.
Lorsque ses parents lui proposèrent de garder la maison familiale pendant leurs absences, Émilie accepta la proposition avec joie. Elle allait, enfin, s’accorder un peu de temps libre, se décontracter et surtout se reposer.
Le destin allait pourtant lui réserver bien des surprises…
***
Samedi, treize heures. Émilie venait d’avoir sa première nuit complète depuis bien longtemps et avait profité d’une belle grasse matinée au lit. Sortant tout juste de la douche, le hasard vint frapper à la porte de la maison familiale.
Surprise, Émilie enfila un peignoir, maudissant déjà la personne sur le seuil de la demeure. Elle entrebâilla la porte pour y découvrir Pierre, son voisin.
-Émilie, ma petite Émilie ! Quelle bonne surprise ! Tu es de retour chez tes parents ?
Pierre était un personnage surprenant. Un vieil homme peu banal. Émilie l’avait toujours admiré. Infiniment humble et gentil, il l’avait souvent couverte, petite, pour certaines petites bêtises auprès de ses parents. Un grand sage qui avait consacré sa vie aux autres. Mais aussi un formidable conteur d’histoire. Il en avait toujours en stock pour les gamins du quartier qui l’écoutaient avec la plus grande attention.
-Pierre ! Comment allez-vous ?
-Oh, tu sais, petit-ange, j’ai encore la tête sur les épaules, donc tout va bien.
-Vous avez l’air en forme en tout cas ! Que puis-je pour vous ?
-En fait, je venais voir ton père pour lui demander un petit service.
-Il n’est pas là, mais je peux peut-être vous rendre ce service ?
-Voilà, je t’explique. Il y a un vieux carton dans mon grenier qui contient plusieurs albums photos. Et, nostalgique comme je suis, J’aimerais lui mettre la main dessus. Mais avec mes foutu problèmes de dos, impossible pour moi d’accéder au grenier et de descendre ce carton.
– C’est d’accord, je m’en occupe. Laissez-moi quelques minutes pour me changer et je vous rejoins chez vous.
***
Le grenier de Pierre était une véritable caverne d’Ali Baba. Des tonnes de meubles et d’objets entassés qui aurait sûrement fait le bonheur de brocanteurs.
Telle une exploratrice, Émilie s’était munie d’un petit sac et d’une lampe torche. Elle partit donc à l’aventure, fouillant le grenier de fond en comble à la recherche des albums photos de Pierre. Elle finit par découvrir le carton en question. La poussière l’avait recouvert, témoin des années passées au fond du grenier. Mais son regard fut attiré par un autre carton. Un contenant de petite dimension. Elle passa sa main sur le dessus du carton, faisant voler la poussière pour y découvrir une inscription en lettres rouges : « À détruire ! ».
Piquée par sa vilaine curiosité, Émilie ouvrit le carton mais s’arrêta, clouée par l’étonnement.
Une lumière aussi vive que celle du soleil semblait jaillir du carton.
Au fond de ce carton baignant dans cette lueur jaune vive, une vieille lampe brillait de mille feux, recouverte d’une peinture or éclatante de beauté. Mais ce qui surprit le plus Émilie, ce fut l’aspect du bout de la lampe. Celui-ci avait la forme d’un sexe masculin. Un phallus au dimension impressionnante.
Émilie fut saisie d’une envie irrésistible et inexplicable de s’emparer de cet objet. Elle glissa la lampe dans son sac, telle une voleuse, referma soigneusement le carton et prit sous le bras la boite à souvenir de Pierre qu’elle était venue chercher.
***
Émilie avait vite fait de revenir dans la maison de ses parents. Pierre avait été surpris par la précipitation de la jeune fille à vouloir le quitter aussi rapidement. Il avait seulement souri et baragouiné un « ah, les jeunes… » quand l’étudiante avait franchi, à la vitesse du vent, le seuil de sa porte.
Émilie faisait face à cette lampe, détaillant toutes les coutures de sa surface. Et cet embout en forme de… ben oui… en forme de bite, piquait la curiosité d’Emilie. La jeune fille semblait comme attirée. Elle passa sa main sur cette représentation de sexe masculin, délicatement, puis finit par le prendre à pleine main, comme elle avait pu le faire avec ses ex, et frotta la lampe comme si elle branlait cet objet.
Soudain, la lampe vibra entre ses doigts. Une énorme fumée rose se dégagea de l’embout et se répandit dans toute la cuisine. Surprise, Emilie échappa l’objet qui tomba au sol. La fumée se mit à tourner, au-dessus de la tête de la jeune fille apeurée, comme une mini tornade qui déchira les rideaux et balaya toute les casseroles et objet posés sur les meubles. Les envoyant valser à travers toute la pièce dans un bruit assourdissant.
Brusquement, la fumée se dispersa, un silence pesant s’installa Et, au fur à mesure que cette fumée disparaissait, Emilie vie une ombre apparaitre. Comme par magie, un homme fit son apparition complétement nu.
– Hello, beauté !
Émilie resta bouche bée, incapable de prononcer le moindre mot.
L’homme la regarda et lui demanda :
-En quelle année sommes-nous jeune fille ?
-heu…2016…
-Ah ouais quand même ! Plus de 40 ans que je moisis dans cette lampe. Ça commencé à sentir sérieusement le renfermé ! T’as un truc à manger ? Je te préviens : j’ai une faim de loup !
-Mais vous êtes qui bon sang !
-Alors jeune fille, on n’a pas lu les classiques ? Aladin, le génie, la lampe magique et toutes ces conneries ? Disney, les Mille et Une Nuits, la bonasse de Jasmine ? Soit dit en passant, je l’aurai volontiers enfermée dans cette lampe pour lui faire sa fête !
– Heu si, ça me parle…
– On m’appelle Sexus mais tu peux m’appeler par mon petit nom : Charlie ! On va faire court car j’ai la dalle : je suis un génie. Un génie particulier, je te l’accorde ! Je ne réalise que des vœux sexuels ! Tu as 3 vœux, pas un de plus. Tu demandes et, si c’est dans mes cordes, je dispose ! Si le vœu ne te plaît pas, tu peux toujours me demander de l’annuler, mais il ne sera pas remplacé ! Alors ? Je t’écoute.
– Là, tout de suite, tu me prends un peu au dépourvu, Charlie.
-Allez, belle ange, tu es mon 72521ème maître ! J’ai donc pas mal d’expérience. Un conseil : évite les « je veux de l’argent, une grosse voiture, être heureuse » et autres vœux à la con. Moi, je réalise tes fantasmes !
-Y a bien un garçon qui me plait bien…
-Stop, je t’arrête tout de suite : je ne fais pas dans le domaine de l’amour. La guimauve, les sentiments, la vie en rose, c’est chiant ! Mon domaine, c’est le sexe, le cul à donf ! T’as vu la forme de ma lampe, non ? Allez, on réfléchit et on se dépêche, mon ventre réclame à manger !
Émilie prit le temps de la réflexion. Comment contourner les règles du génie afin d’avoir des vœux qui lui font envie ? Et ce garçon, cet étudiant, qu’elle convoite depuis si longtemps ? C’est une occasion inespérée pour qu’il lui tombe dans les bras ! Il suffit de bien formuler ses vœux.
-Génie Liou, j’ai trouvé. J’aimerais rendre fou de désir n’importe qui d’un simple regard.
-Accordé jeune fille, va donc voir ton Don Juan !
Et le génie claqua des doigts pour faire disparaitre Émilie.
***
Émilie fut transportée dans un tourbillon de lumière et, comme par magie, elle fut alors parachutée avec force sur un trottoir. Elle se releva, les genoux légèrement endoloris. Elle leva les yeux.
Emilie se trouvait face à un énorme bâtiment. Elle mit quelques instants à reconnaitre l’endroit, légèrement désorientée. L’immense bâtisse était la cité universitaire. Elle se demanda un instant si elle n’était pas devenue complétement folle. Le vœu avait-il fonctionné ? Elle devait en avoir le cœur net. Elle s’engouffra dans l’immeuble.
Dans le hall elle croisa un groupe d’étudiants qui squattait là à refaire le monde. Elle reconnut certains visages familiers de la fac. Elle prit l’ascenseur occupé par un jeune homme qui lui bloqua les portes afin de la laisser rentrer.
– Quel étage Mademoiselle ?
– Le cinquième s’il vous plaît.
L’homme enfonça le chiffre 5 tout en lui souriant.
-Vous êtes vraiment sublime Mademoiselle.
Gênée, Émilie lui rendit son sourire. L’homme portait une petite sacoche d’ordinateur.
– Vous êtes étudiant ?
-Oui effectivement. Je rentre chez moi, si l’envie vous dit de venir boire un verre, ça sera avec plaisir.
Le jeune homme ne semblais pas quitter des yeux le magnifique décolleté d’Emilie.
Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent sur le cinquième étage. Émilie salua l’étudiant avant de le quitter. Mais elle sentit son regard posé sur ses courbes généreuses alors qu’elle s’enfonçait dans le sombre couloir.
Elle croisa d’autres étudiants, discutant de porte à porte avant de s’arrêter devant celle portant le chiffre 55. Un jeune homme d’une vingtaine d’années lui ouvrit la porte :
-Émilie ? Quelle bonne surprise ! Entre donc !
-Salut, Julien !
Émilie entra dans le minuscule studio. Le jeune homme referma la porte derrière elle, s’excusant du désordre régnant en maître dans l’appartement.
-Je suis contente de te voir Julien.
-Mais que me vaut…..
Julien s’arrêta soudain de parler, fixant Émilie, comme hypnotisé par son regard. Il se jeta sur elle pour l’embrasser à pleine bouche. D’abord surprise, Émilie savoura ce baiser comme une victoire.
Le vœu fonctionnait.
Puis Julien décolla ses lèvres de la bouche d’Émilie bafouillant un timide « désolé ».
Mais la magie du génie fut plus forte que lui. Et il s’empressa à nouveau d’embrasser la jeune fille, la plaquant d’abord contre le mur, glissant déjà ses mains sous son petit haut. Et comme poussé par un désir incontrôlable il se mit à caresser les magnifiques seins d’Emilie au travers de la dentelle de son soutien-gorge. Emilie, aux anges, se laissa alors entrainer sur le lit.
-J’ai envie de toi, envie de te prendre, envie folle de t’entendre gémir sous mes coup de queue !
Julien ne pouvait plus contrôler son envie et son ardeur. Une érection fulgurante se forma dans son pantalon de jogging. Incapable de maîtriser ses désirs, il retira le haut d’Emilie avec empressement et lui arracha littéralement son magnifique dessous en dentèle qui vola dans la pièce.
-Putain Que tu es belle. Tes Seins c’est la perfection, si gros si beau ! Emilie tu me fais bander comme un fou !
Tel une bête, il se jeta sur les formes magnifiques d’Émilie pour lui dévorer la poitrine de ses lèvres et sa langue.
Émilie fut très réceptive aux caresses sauvages du jeune homme et, très vite, le jeune couple se retrouva nu, enlacé sur le lit.
La langue agile du jeune homme partit à la découverte de ce corps. S’attardant sur les seins d’Émilie, jouant avec les petits tétons. La jeune fille ne put s’empêcher de pousser quelques légers gémissements.
Sa langue glissa ensuite sur son ventre pour venir gouter au fruit défendu. Julien lécha la petite chatte, déjà humide, de la jeune fille. Il entra délicatement un de ses doigts, faisant des va-et-vient pendant que sa langue s’activait sur son petit abricot. Émilie était au bord de l’extase, profitant pleinement de ce doux traitement.
Julien accéléra la cadence doigtant plus fort Emilie, les yeux remplie de perversion. Puis il approcha ses doigts humides vers le visage d’Emilie caressant les lèvres de cette beauté. La jeune fille ne put s’empêcher de promener sa langue sur les doigts de julien lui lançant des regards coquins.
Julien embrassa fougueusement Émilie, leurs deux corps en total ébullition.
Puis, sans attendre plus longtemps, Julien vint placer son sexe dur contre la petite chatte d’Émilie et, sans prévenir, la pénétra d’un coup sec. Les va-et-vient de la queue du jeune homme se firent d’abord lent, laissant Émilie gémir et profiter de ses coups reins. Elle prenait un plaisirs fou à sentir ce membre dur remplir son antre. Ce garçon qu’elle avait tant désiré, était maintenant nu près de son corps. D’un simple regard et du coup main de Charlie le génie, elle l’avait transformé en une bête de sexe qui n’avait de désir que pour elle. Oui un simple regard…
Puis les coups s’amplifièrent. Émile, allongée sur le dos, devenait plus bruyante. Et julien prenait un certain plaisir à la prendre plus sauvagement. Elle commença à onduler des hanches faisant redoubler Julien de plaisir et d’ardeur. Le couple était en sueur, profitant des délices de cet acte sexuel. Émilie voulait être baisée, encourageant son partenaire à la pénétrer encore plus fort. Le plaisir était intense. Émilie releva ses jambes, donnant plus de plaisir à Julien qui s’empressa de déposer des baisers sur ses cuisses, tout en la pilonnant plus fort. Il sentit le vagin se compresser autour de son membre. Émilie poussa un cri en sentant sa jouissance monter et se répandre dans ton son corps. Julien accéléra sa cadence et finit par jouir à son tour.
Le jeune homme s’effondra sur le corps d’Émilie, l’embrassant à nouveau.
***
Après une douche, Émilie laissa sa place à Julien dans la salle de bain. Elle se rhabilla, heureuse. Soudain, on frappa à la porte. Émilie ouvrit doucement la porte et passa sa tête dans l’entrebâillement. Quelle ne fut pas sa surprise de trouver sur le seuil deux jeunes hommes complètement nus et, surtout, tous deux avec une belle érection !
Les deux étudiants ne lui laissèrent pas le temps de s’offusquer, l’un d’eux prit la parole.
– Salut, on s’est croisés tout à l’heure dans le couloir. Franchement, on te trouve trop bonne !
– Et c’est une raison suffisante pour venir me dire ça à poil ?
– C’est un truc de fou, on t’a vu et direct, on a eu la trique ! T’inquiète : on est sympa. Et franchement on a vraiment trop envie de te baiser !
Émilie leur claqua la porte au nez. Elle resta un moment appuyée contre la porte. Elle entendait les deux étudiants gratter sur le bois et la suppliant d’ouvrir.
Emilie tenta de reprendre ses esprits :
– Alors ça, ce n’était pas prévu !
Elle appela Julien qui occupait toujours la salle de bain.
-Julien ! Dépêche-toi de sortir ! Y a deux mecs à poil dans le couloir !
Julien sortit de la pièce, regarda Émilie et s’esclaffa :
– C’est dingue !
– De quoi ? Tes voisins à poil dans le couloir ! Ah oui, tu peux le dire, c’est dingue !
– Je ne parle pas de ça. Regarde, je bande encore, j’ai encore envie !
– Tu crois vraiment que c’est le moment ? Julien, reprends-toi !
– Je ne peux pas : j’ai encore envie de toi, envie de te faire l’amour Encore envie de sexe c’est plus fort que moi !
Julien s’approcha d’Émilie pour l’embrasser, mais elle le repoussa, s’éloignant de la porte.
-Julien s’il te plaît, si on réglait déjà le problème de tes voisins ?
-Ah ok si tu veux…
Julien s’approcha de la porte et l’ouvrit. Les deux jeunes étudiants étaient toujours là, nus et plus durs que jamais !
– Salut, les gars. Allez-y rentrez mais je vous préviens : je passe en premier !
Julien se tourna vers Émilie :
– Voilà, c’est réglé. On baise ?
Elle était sidérée par sa réaction. Les trois garçons s’approchèrent dangereusement d’Émilie, bite en avant. Elle les esquiva de justesse franchissant la porte en courant, fonçant tête baissée dans le couloir.
Elle fut stoppée dans son élan par un groupe de jeunes gens. Elle les regarda. Des garçons et des filles tous à poils, un sourire vicieux sur le visage. Elle les reconnut tout de suite : c’était le groupe qui squattait le hall d’immeuble tout à l’heure.
– Elle est là, On la trouvait ! Viens petite, on a envie de toi !
Un vrai cauchemar. Émilie se mit à crier, reculant dans le couloir. Ils étaient tous hypnotisés. Ils n’avaient qu’une envie : la toucher, la baiser. Les garçons autant que les filles.
Derrière elle, Julien et ses deux acolytes étaient sortis de la chambre, lui barrant toute retraite possible. Sans vraiment réfléchir, elle fonça sur le groupe, poussant violemment les étudiants pour se frayer un passage. Elle sentit des mains la caresser, des sexes lui frôler la cuisse. Elle se mit à courir en direction de l’ascenseur et tapa nerveusement sur le bouton d’appel. Elle gardait un œil sur le groupe qui, dans la confusion, avait perdu leur cible de vue. Mais le répit fut de courte durée pour Émilie. L’ascenseur tardait à venir et les étudiants se dirigeaient maintenant vers elle en hurlant des « Émilie » « On te veut ! » « Suce-nous ! » « Lèche-nous !» et en poussant des cris bestiaux.
La porte de l’ascenseur s’ouvrit enfin. Une main lui attrapa le bras. Elle leva les yeux pour découvrir le jeune homme qu’elle avait croisé dans cet espace clos quelques heures auparavant. Son regard lubrique était plongé dans les yeux d’Émilie.
-Viens ma belle entre, n’es pas peur…
Elle découvrit avec horreur que son pantalon était baissé sur ses genoux et qu’il avait sorti son sexe. Elle s’extirpa tant bien que mal son emprise et chercha un autre moyen de s’enfuir. Son regard se posa sur une porte.
– Les escaliers !
Elle courut jusqu’à la porte et s’engouffra dans les escaliers sombres de la cité puis descendit les marches en trombe. Elle s’arrêta un instant, essoufflée, sur le palier du deuxième étage. Elle entendit le groupe de fous furieux dans la cage d’escalier 3 étages au-dessus.
Elle eut soudain une illumination. Julie, son amie, en Fac de psy, habitait la cité ! Elle dévala encore un étage pour se rendre au niveau un. De là, elle pénétra dans le couloir vide du premier étage pour aller tambouriner sur la porte de l’appartement de son amie.
La porte s’ouvrit. Émilie fut soulagée de découvrir le sourire de son amie.
– Émilie ???
Elle ne lui laissa pas le temps de s’interroger plus longtemps. Émilie pénétra dans l’appartement et ferma violemment l’ouverture derrière elle…
[À suivre]Histoire un peu particulière, très loin de ce que j’ai pu proposé ici. Je l’ai retravaillé pour le site. C’est un pur délire et j’espère que cela ne vous aura pas trop déconcerter.
J’attends avec impatience vos avis en commentaire (négatif ou positif) pour savoir si je donne une suite ou bien me concentre sur d’autre projet d’écriture. A vos claviers ^^
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