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Diaboliques sœurs

Diaboliques sœurs



Diaboliques sœurs
Par TSM
A Karine, Brigitte et Michel
Bien décidé à vivre pleinement leur vie, après de multiples échecs de vie commune, Brigitte et Michel, se sont parlés clairement de leurs attentes tant pour en vie de couple que de leur sexualité après avoir fait connaissance sur www.fessestivites.com

De multiples points s’accordaient, la seule chose qui inquiétait un peu Brigitte, c’est la sexualité débridé de Michel. Bien que peu farouche et relativement gourmande des plaisirs de la vie, elle s’était interrogée sur le BDSM dont il lui avait parlé longuement sans vulgarité et avec des explications si excitantes quelles avaient généré en elle une certaine curiosité.
Lors de la découverte de sa malle secrète, elle était comme un enfant dans un magasin de jouets. Elle voulait tout essayer, les godes, les vibros, le harnais, les petites tenues en latex que mais aussi le gode ceinture en avouant que c’était un de ses fantasmes. La première soirée, elle se sentait un peu gauche, mais Michel la guida avec patience sur les chemins de la domination. Sous prétexte de lui faire découvrir les sublimes sensations de l’abandon et de certains jeux de contrainte, il lui proposa d’être sa soumise de temps en temps. Bien que Brigitte éprouva de grands plaisirs et atteint parfois des seuils de jouissances inconnus jusqu’à la rencontre de Michel, la soumission ne la séduisait pas.

Pour parfaire son « éducation » de Maîtresse, Michel lui fit lire de nombreux textes téléchargés sur internet, allant parfois jusqu’à les corriger pour les rendre plus attractifs et y faire secrètement passer ses propres fantasmes. Cette forme de manipulation n’échappa point à Brigitte qui le lui reprocha avec comme à son habitude, avec un verbe haut. La crise passée, quelque temps plus tard, il lui montra une cage de chasteté masculine.

Comme Brigitte ne supportait pas qui pratique l’onanisme solitaire devant son écran plutôt que lui faire l’amour, elle accepta volontiers de devenir la gardienne des clés de la dite cage. Les dispositifs de chasteté masculine rendant les hommes un peu fous et très amoureux, Michel devint très câlin et un mari attentionné allant jusqu’à faire de multiples taches ménagères pour plaire à sa maîtresse d’Amour. Comme l’on peu s’en douter, cette si soudaine tendresse et générosité d’âme plus grandement à la maîtresse encore novice et maladroite avec son soumis.
L’état d’excitation dans lequel il était certains matins où la crise du logement dans la cage se faisait sentir, perturba grandement Michel. Régulièrement entre six heures et sept heures, il lui adressait des messages d’amour enflammés ainsi que des confidences folles sur ses fantasmes grandissant. Une visite sur le site Abkingdom, donna envie a Michel de tester les jeux de bondage en couche pour personne incontinente. Totalement « disjoncté » il alla même jusqu’à montrer à Brigitte comment l’attacher pour la nuit dans leur lit en lui indiquant que s’il n’avait pas de couche, il serait obligé de la réveiller pour aller aux toilettes. Sans trop comprendre l’intérêt de porter une couche, elle accéda à son fantasme. La nuit fut difficile pour Michel, faire dans une couche quand on n’est pas incontinent ni adepte des jeux « uro » n’est pas évident. Aux pieds du mur de ses fantasmes, il n’eut d’autre choix que de céder à la douloureuse colère de sa vessie. Le lendemain tout honteux, il fonça à la salle de bain dès sa libération mais Brigitte, bien décidée à jouer, le lui interdit. Elle s’y enferma pour prendre une douche interminable aux yeux de Michel baignant dans son urine et sa honte. Il n’eut le droit d’aller se laver qu’après lui avoir fait une interminable minette. Il y mit tant de fougue que Brigitte apprécia grandement.

Au fil du temps, Michel évolua dans sa soumission. Il se plaisait à être le jouer sexuel de sa femme, la couvrait de cadeaux ou d’attentions à la suite des soirées SM, de jeux de soumission ou des nuits de bondage. Brigitte prit l’habitude sans réellement s’en rendre compte d’être généreusement choyée. Plus elle le martyrisait, plus il l’aimait, les jeux devinrent naturellement une façon de vivre. Un soir, elle lui avoua avoir fantasmé à l’idée de lui faire faire le chien, jeux qu’elle avait déjà réalisés avec son frère dans son enfance. Bien que cela ne l’amuse pas, il accepta sans rechigner. Brigitte s’amusa follement et pour lui être agréable, Michel s’investi totalement dans son rôle.

N’ayant aucun limite pour la freiner, elle lui installa une couverture aux pieds du lit, l’attacha par le cou au sommier et le fit dormir par terre. Bien qu’elle lui ait reproché ses petits plaisirs solitaire, cette nuit là, pendant que son chien mari dormait, elle s’accorda de longs moments de plaisir et parvint à jouir sans pénétration, chose rare chez elle.
Ne parvenant plus à jouir de son devant tous les jours comme à son habitude, la frustration poussa Michel à essayer de jouir de son derrière avec des jouets comme les plugs, les godemichets de plus en plus gros. Lorsqu’elle découvrit qu’il trichait dans son dos, Brigitte fut très en colère. D’un naturel provocant et par jeu, il lui répondit que cela méritait une sévère punition à la cravache. Cette inconsciente provocation lui valu sa première correction, correction qui généra des douleurs pour Michel et un plaisir nouveau pour Brigitte. Voir les fesses masculines rougir et sauter sous ses coups sans jamais essayer de les fuir l’excita énormément. Est-ce que cette pratique lui permit de se venger de son enfance, nous ne le saurons pas, mais elle décida ce jour là, d’inscrire les punitions corporelles dans leurs pratiques.
De fil en aiguille, la relation de domination soumission et le SM s’installèrent totalement dans leur couple donnant aux yeux de tous, l’image d’un couple heureux et épanoui.

La première catastrophe et véritable honte de Michel fut générée par Brigitte. Comme de nombreuses femmes, elle se laissa aller en confidence à sa sœur à propos de la cage de chasteté. Cette garce nommée Karine, ne put contenir quelques allusions lorsqu’elle vint dîner seule chez eux un soir de déprime. Brigitte voulut qu’il montre sa cage de chasteté à sa sœur, chose qu’il refusa catégoriquement. Bien décidé à arriver à ses fins, elle n’insista pas mais murit en secret avec Karine une diabolique surprise.

Quelques jours plus tard, elle lui fit sortir le matériel de bondage, son set de manucure et l’entrava nu aux pieds du canapé avec chaînes et cadenas. Alors qu’il s’occupait avec attention des petons de sa maîtresse d’amour en écoutant du Barbara, on sonna à la porte de la maison vers dix-huit heures. Brigitte alla ouvrir sous les yeux révoltés de Michel, en restant totalement insensible à ses suppliques et menaces de représailles. Dire qu’il était fou de rage est un euphémisme mais les sœurs surent l’apaiser en lui expliquant que cela resterait un secret, qu’il n’avait pas à avoir honte d’avoir le courage de vivre ses fantasmes et encore moins d’aimer Brigitte à ce point. A grands verres d’apéro et de bonnes paroles, elles lui remontèrent le moral et parvinrent à transformer la colère et la honte en excitation. Michel fut libéré, Karine resta à dîner, les discussions érotiques très passionnées allèrent bon train.

La deuxième catastrophe arriva deux mois plus tard. Virée et dépossédée par son mari, Karine se retrouva à la rue. Par solidarité, Brigitte lui proposa de venir vivre quelques temps à la maison. Michel n’apprécia pas comme l’on peut s’en douter, l’arrivée de la sœur maudite qui allait mettre un terme à leurs jeux coquins. Il s’en ouvrit à Brigitte en lui demandant de le libérer de sa cage de chasteté le temps que sa sœur serait à la maison. Elle refusa catégoriquement en lui démontrant avec force et persuasion qu’ils parviendraient à jouer et à vivre leurs passions malgré la présence de Karine. Il suffirait simplement de s’organiser et d’être discret.
La première semaine, ne fut pas riche en termes d’amour et de jeux. Karine parlait souvent de son mari qui la trompait, menait la grande vie et l’avait délaissée pour une « salope de Bourgeoise » qui en voulait plus à son fric qu’à l’homme. La Bourgeoise en question, avait surement des atours et un grand savoir faire, car elle parvint à lui donner les moyens de gagner le divorce en trouvant de multiples faux témoins. L’affaire serait jugée en justice dans plusieurs mois, mais le dossier à charge contre Karine était éloquent.
Devant les jérémiades de Michel totalement délaissé, Brigitte décida de lui offrir une soirée forte et riche en émotions. Profitant de l’absence de sa sœur, elle domina sévèrement son soumis tout heureux, le martyrisa grandement au point de laisser quelques marques sur son fessier. Alors que Brigitte, armée de son gode ceinture, sodomisait son soumis entravé sur le canapé, Karine rentra à la maison plus tôt que prévu. Il est facile d’imaginer la gêne éprouvée par Michel….. Plutôt que de se faire discrète, la sœur diabolique s’installa sur le canapé et les pria de continuer. La présence de sa sœur et la situation généra chez Brigitte une gigantesque excitation. Le terme de « ramoné » peut paraître vulgaire, mais ce mot est bien choisi pour décrire la sodomie de Michel.

Prise dans le tourbillon des ondes voluptueuses traversant son corps depuis l’arrivée de Karine, Brigitte ne put contenir l’envie d’accéder au soulagement salutaire. Elle ne délivra que le cou de Michel qui, mains entravées dans le dos, dut s’agenouiller entre les jambes de sa maîtresse pour la remercier de sa langue. Trempée de désirs elle se cabra aussitôt de volupté au contact des lèvres chaudes avec son sexe. Sans aucune pudeur, elle s’offrait au plaisir quand soudain un claquement les surprit. Karine s’était saisie du martinet et, sans rien demander, se mit à encourager Michel en lui claquant généreusement les fesses déjà bien marquées. L’esprit tortueux de Michel avait déjà exploré l’idée d’être soumis à deux maîtresses en même temps et y avait trouvé grands plaisirs et jouissances discrètes en regardant des photos sur internet, mais le vivre avec Karine le perturba grandement contrairement à Brigitte. Comme si elle était droguée, prise de désirs insatiables elle soupirait, feulait, râlait sans pudeur et ne cessait de pousser des gémissements de bonheur. Les soupirs se transformèrent en expirations bruyantes puis en de longs cris annonçant une jouissance paroxystique.

Repue de luxure, épuisée, elle retomba lourdement sur le canapé, assommée, brisée par le plaisir, pantelante et sans force. Sans même se demander si Brigitte pouvait être jalouse ou y être opposée, Karine agrippa les cheveux de Michel pour le guider entre ses jambes. Avachie dans le fauteuil, elle écarta sa culotte et le plaqua contre son sexe généreusement trempé. Dans l’état psychologique où il était, il s’activa aussitôt et lutina le bourgeon épanoui.
Un soupir de bien-être voluptueux s’exhalant librement d’entre ses lèvres, elle ne bougea plus durant un long moment, vivant de tout son être les intimes tressaillements de sa chair, savourant l’ineffable sensation que lui procurait la langue et les lèvres masculine en s’enivrant de l’onde qui se déversait au creux de la cavité secrète et vibrante de sa féminité. En un rien de temps, traversée de spasmes de plus en plus intenses elle se mit à jouir en hurlant d’une voix rauque.
– Vous m’excitez tous les deux, je n’en peux plus, j’ai envie de sexe. Vient ici soumis, que je te libère, j’ai envie de toi en moi.
Libéré et conduit par Brigitte à la chambre dont elle ferma la porte, elle le poussa prestement sur le lit et s’empala sur la verge enfin libre et gorgée de désir. Après dix jours d’abstinence et les évènements vécus précédemment, en moins de trois minutes Michel explosa dans une très intense et longue jouissance. Folle de rage, Brigitte lui donna sa première gifle puis vint s’asseoir sur son visage en lui intiment de la faire jouir. Le visage et la bouche de Michel fut confrontés à une véritable marée de sperme et de sécrétions intimes. N’ayant pas d’autre choix que de céder à la folie de Brigitte, il abdiqua et lutina avec conviction le bourgeon comme chauffé à blanc avant d’être inondé par des gerbes liquoreuses accompagnant les bruyantes exaltations. Sonné de remettre sa cage, Michel obéit et se coucha près de sa femme en la serrant tendrement.

CHAPITRE 2
Le lendemain de cette série de dérives, une certaine gêne s’installa en Michel. Les filles quant-à-elles discutaient librement de la soirée avec des mots crus et surprenant. Cette forme de sexualité et de ménage à trois semblait leur convenir pleinement. Pire encore, Brigitte trouvait qu’une aide pour dominer et dresser son mari fort gourmand et capricieux ne pouvait pas nuire. Blême, le dit mari n’en menait pas large. Il se manifesta en leur rappelant qu’elles pourraient au minimum lui demander son avis, mais il se fit rabrouer aussitôt par Brigitte qui lui fit remarquer qu’elle lui offrait la chance d’avoir deux maitresses alors que des milliers d’hommes rêvaient d’en avoir une.
La relation à trois s’installa rapidement, les deux sœurs s’accordèrent totalement sur les rôles et attributions de chacune. Le sexe de Michel était réservé à Brigitte, son corps pouvait être partagé et utilisé par les deux. La complicité des filles fut étonnante. Elles s’amusaient à le rabrouer, lui promettre des punitions, puis à les lui donner mais également à jouir fréquemment de sa langue. Michel quand à lui, n’osa se plaindre des tâches supplémentaires lui revenant. Il n’avait plus un dos à gratter mais deux et son temps de manucure doublait.

Son mari maso lui ayant avoué au début de leur relation que plus il était martyrisé plus il était heureux, la cruauté de Karine qui se vengeait de son mari ne gêna pas Brigitte. Elle ne s’étonnait plus de le trouver avec les fesses rouges, attaché au salon ou par la cage de chasteté à la table à repasser avec le fer à la main et le linge posé sur des chaises.

Six mois s’écoulèrent. La complicité des filles était totale, elles dormaient de plus en plus souvent ensembles avec Michel en couche et entravé comme un chien aux pieds du lit quand ce n’était pas avec les fesses encore comblées par le godemichet ayant servi à lui « ouvrir l’esprit ». Il vint à l’idée de Karine de le féminiser un peu, puisque sa verge ne servait quasiment plus, qu’il offrait ses fesses maintenant comme une femelle en chaleur et leur servait de bonne. Bien que peu attirée par le travestissement Brigitte laissa faire, si bien que les week-ends, Micheline les servait en tenue de soubrette. Une petite intervention chirurgicale contraint Brigitte à passer deux jours à l’hôpital.
Pendant ces deux jours, Karine abusa grandement de Michel et réalisa toutes les folies et délires qui lui passaient par la tête. Le premier soir, après s’être faite lécher entre les fesses et entre les cuisses, elle l’équipa du gode ceinture et se fit prendre. Le plastique étant moins agréable qu’un véritable sexe, elle ne parvint pas à la jouissance espérée malgré les efforts désespérés de Michel. Folle de rage, elle l’installa fesses en l’air sur le canapé et le cravacha longuement après l’avoir sévèrement bâillonné pour étouffer ses cris. Pour lui faire voir comment il faut faire, elle s’équipa ensuite du gode-ceinture et lui fit son affaire à la hussarde.

Sous les effets de son masochisme et de la chasteté, Michel eut son premier orgasme anal et sous cage. Ce fut pour lui une révélation qui affecta ses repères affectifs. Etendu à même le sol, il servit ensuite de la langue le sexe trempé de Karine qui se laissa aller sans retenue en lui massacrant les seins. « Quand je serre tu vas plus vite, quand je desserre tu ralentis » lui avait-elle expliqué, mais le problème est qu’il n’allait jamais aussi vite qu’elle l’aurait souhaitée. La furie totalement survoltée fut prise d’une envie pressante, qu’elle soulagea sur le bidet humain sans même le prévenir. Devant les réfutations et gesticulations du soumis révolté entre ses cuisses, elle se saisit du martinet posé sur le canapé et frappa généreusement le sexe encagé. Si la verge fut épargnée, les cuisses et les testicules ne le furent pas. Il finit par abdiquer et lécher le sexe trempé en laissant couler l’urine sur son visage. Pour le punir la diabolique Karine, lui fit mettre une couche et son pantalon qu’elle ferma avec une des chaînes en guise de ceinture. Il dut nettoyer les lieux avant d’aller se coucher.

Le lendemain, lorsqu’elle se rendit à l’hôpital pour voir Brigitte, la couche commençait à fuir mais elle refusa de la lui retirer et le laissa ainsi à la maison. A son retour, la couche était pleine de solides et de liquide, l’odeur était épouvantable. N’étant pas portée sur ces plaisirs, elle l’envoya se laver et ne renouvela pas. Pour se faire pardonner, il dut lui prodiguer de doux massages puis de tendres caresses avant de la faire jouir de sa langue. Pour ne pas avoir à subir à nouveau les foudres de la furie, il y mit tout son cœur.
Une fille parle, deux filles parlent deux fois plus ce qui est d’une pure logique mathématique. L’histoire de Michel commençait à circuler sur le net. L’idée de rencontrer d’autres dominatrices titillait les sœurs mais comme toujours sur internet, de nombreux hommes seuls ou trompant leurs femmes commençaient à les contacter. L’envie de trouver un soumis pour Karine germa et enflamma leurs esprits. Les prétendants à la soumission ne manquant pas, les filles firent un choix drastique. Le soumis devait être beau, bien membré et bisexuel parce que l’idée de lui faire prendre Michel les amusait. Les contacts se multiplièrent et de nombreuses photos de sexe d’homme en érection remplirent rapidement la messagerie des sœurs.

La rencontre
La rencontre eut lieu un soir de décembre. L’homme arriva à vingt et une heure avec une bouteille de champagne et un bouquet de fleur à l’heure indiqué au coin de la rue. Karine descendit le chercher pendant que Brigitte enchaînait Michel fesses en l’air sur le canapé. Tenu au secret, il n’opposa aucune résistance, bien au contraire, car sa frustration décuplait ses envies de soumission et de SM, seul moyen ou presque pour lui d’espérer un orgasme. L’homme, accompagné de Karine entra en marchant à quatre patte, signe imposé par la diabolique sœur de sa soumission. Lorsque Michel compris qu’un étranger était invité, il tira sur ses entraves et manifesta son mécontentement. Quelques coups de cravache bien appuyés le firent taire. La soirée débuta par quelques échanges gênés et la consommation de la bouteille de champagne ce qui déglaça un peu l’ambiance. Karine prit en main le déroulement de la soirée en obligeant Fred, le nouveau soumis, à se dévêtir. La beauté de son corps tout comme celle de la verge semi-dressée fit l’unanimité dans la gente féminine. Michel dut officier de la bouche devant les sœurs curieuses et voyeuses pour que le Priape affiche une forme resplendissante. Est-ce les effets de la cage de chasteté, ou la peur de la cravache ou une bisexualité qu’il se découvrait, nous ne le saurons pas, mais il officia avec conviction.

Etant quelque peu gênées de se faire prendre devant l’autre, les sœurs diaboliques utilisèrent donc le Priape tendu à rompre pour réaliser leur délire de copulation masculine. Michel gouta pour la première fois au plaisir de la sodomie « naturelle » n’ayant connu que le gode-ceinture jusqu’à cette soirée. Bien que très gêné que cela se fasse en présence de spectatrices, après avoir un peu crié au début, il apprécia, les délicieuses sensations d’un sexe de bonne taille évoluant en cet endroit.

Le voyant s’exciter et accélérer le mouvement dans le fondement de Michel, Karine cravacha les fesses de Fred en lui ordonnant de ne pas jouir, les effets étant bien souvent néfastes sur les érections. Le premier réflexe de Fred, fut d’envoyer la main, geste de maladresse ou de v******e, peut importe, qui bouscula les projets de filles puisque Karine prit une grande gifle qui l’étendit sur le sol. Frapper une femme en présence de sa sœur n’était pas une bonne idée, Brigitte s’abattit sur lui toute griffes dehors. Une petite bagarre éclata. L’homme se défendit mais ne frappa plus.

Ses excuses pour son geste réflexe n’atténuèrent pas le courroux des filles qui le chassèrent.

Déçues par cette expérience, elles couchèrent ensembles au sens propre du terme pour la première fois. La chose c’est faite simplement. Pour retrouver la sérénité et apaiser les tensions, elles se sont blotties l’une contre l’autre sous la couverture avec leur soumis couché dans son panier aux pieds du lit. Les tendres caresses et petits bisous entre sœurs devinrent plus érotiques pour glisser lentement mais sûrement vers des accointances toutes autres. Michel fut appelé en renfort et vint en passante la tête sous la couverture lécher l’entrecuisse de ses deux maîtresses pendant qu’elles s’accompagnaient mutuellement de baisers et caresses dans le plaisir. Karine apprécia grandement d’avoir un homme entre les jambes. Une fois repues de jouissances et de luxures, elle obligea Michel à dormir entre ses cuisses mais la pilosité naturelle troubla son sommeil ce qui valu une sévère correction le lendemain et une épilation à la cire de sa barbe. Ils découvrirent ensembles que la cire et la barbe ne font pas bon ménage, l’arrachage des plaques en cet endroit étant affreusement douloureuse.

Le drame est arrivé un lundi matin lorsque Brigitte croisa de trop près une semi-remorque ayant eut la mauvaise idée de se mettre en travers sur l’autoroute puis de sauter la barrière centrale. On retira son corps sans vie affreusement mutilé de la carcasse broyée ce qui ne permit pas à Michel et Karine de la voir une dernière fois avant l’inhumation.
Perclus de douleurs en leur logis, pendant une quinzaine de jours les activités « bdsmiennes » stoppèrent. Michel se contentait d’assurer le minimum vital dans la maison comme à son travail en rodant comme une âme en peine. Inquiète de se retrouver chez le seul titulaire du bail de l’appartement, Karine entreprit une tentative de séduction prétextant que dormir seule la traumatisait. Le confort moral d’une épaule dans la détresse génère quelques affinités, le soleil d’un samedi les trouva blottis l’un contre l’autre comme des amoureux. La cage de chasteté ayant été retirée, le physique naturel de l’homme retrouva son habitude en faisant pointer un gland turgescent contre les fesses de Karine. Cette raideur chagrina la sœur lorsqu’elle s’en rendit compte. « Comment oses-tu bander contre moi s’écria-t-elle » !

Penaud il n’osa répondre et se mit à pleurer, non pas de s’être fait rabrouer, mais d’une grande tristesse. Karine le prit dans ses bras pour apaiser son chagrin. Comme un enfant en manque de tendresse il glissa son visage contre la poitrine généreuse en se recroquevillant. N’ayant pas d’enfant mais tout de même un instinct maternel, elle se mit à le bercer comme un bébé. Convenant que la décence oblige la retenue, Michel accepta de se remettre sous cage de chasteté. Ayant mesuré l’impact psychologique du dispositif de chasteté, c’est avec un sourire à peine dissimulé que Karine referma le cadenas emprisonnant à nouveau le sexe du soumis qui bientôt lui mangerait dans la main.
Une visite dans sa messagerie lui permit de découvrir un site ABDL. (Adulte Baby / Diaper Lover). Si les couches l’avaient amusée pour le côté humiliation, elle découvrit ce jour là que le côté adulte bébé et infantilisme se déclinait sous diverses formes. La vie ne lui ayant pas donné la chance d’avoir un enfant, l’idée d’en avoir un grand germa dans ses pensées au fil des surfs sur www.fessestivites.com et des histoires qu’elle découvrait. Gentiment et comme si de rien n’était, elle adopta une attitude maternelle et s’occupa de l’hygiène de Michel, la cage de chasteté imposant soit une confiance, soit une présence au moment de la toilette. Plutôt que de choisir une de ces deux options, elle fit allonger Michel totalement nu sur la table du salon recouverte d’un drap de bain. Avec beaucoup de patience et de tendresse, elle ouvrit la cage et lava sa verge avant de lui passer du lait de bébé sous prétexte de protéger sa peau. Le parfum du lait de bébé l’envouta bien plus que la semi-érection pointant son nez.

Après avoir rapidement refermé la cage en forçant un peu pour y loger le « petit robinet » elle attira Michel dans le canapé pour jouer le rôle de la maman donnant le sein à son enfant. Il n’opposa aucune réfutation et suça goulument la fraise des bois roses irradiant de sa délicate turgescence. Entre ses cuisses féminines une marée de plaisir se mit à inonder la caverne intime. Karine lui donna aussitôt l’autre sein à téter « pour éviter qu’il ne soit jaloux ». Un bonheur prodigieux électrisait ses nerfs et faisait bouillir sa féminité. N’y tenant plus, elle guida Michel entre ses jambes pour qu’il apaise le feu grandissant. Après un mois de chasteté totale, il n’y trouva rien à redire et s’investit pleinement à la tache. Le soir même, les habitudes précédant l’accident de Brigitte refirent surface tacitement. Michel fit la cuisine comme avant et reçut après le repas une petite fessée pour avoir brulé le rôti avant de s’atteler à la manucure des petons délaissés depuis quelques temps pendant que leur propriétaire regardait la télévision.

La cage de chasteté générant des envies pressantes plus fréquente, Karine lui imposa le port d’une couche toutes les nuits sous prétexte qu’il la réveillait en se levant. Les fantasmes de l’infantilisme ne l’ayant pas quitté, elle prit plaisir à le faire évoluer dans sa couche sale le matin en lui interdisant l’accès à la salle de bain. Au hasard de ses surfs sur ce sujet, elle trouva sur le net les accessoires et tenues adéquates à la réalisation de ses inspirations. Une grenouillère, une sucette pour adulte et des culottes en plastiques virent rapidement compléter le contenu de la caisse à jouets déjà bien remplie. L’impact psychologique de cette pratique cumulé à la cage de chasteté et sa soumission naturelle s’opéra progressivement. Au fur et à mesure que le temps passait, il trouvait normal de se promener en barboteuse avec une sucette à la bouche le week-end. Non seulement cela faisait plaisir à sa maîtresse et il se sentait bien dans ce rôle. Ce n’est pas un problème d’enfance qui générait ce bien être, mais le fait de s’abandonner plus encore et que l’on décide pour lui.

Bien que l’on soit dans une logique d’infantilisme, son éducation se faisait à la cravache. A chaque faute, il était cravaché d’un nombre de coups qui se multipliait par deux. Très rapidement il apprit à se plier aux règles car passer de 16 coups de cravache à 32 calme l’envie de fauter. Le matin par exemple, quand il ne dormait pas attaché, il ne se rendait plus à la salle de bain ou aux toilettes tant que Karine n’y était pas rendue pour se doucher et surtout sans oublier de demander la permission.

Il eut son premier biberon du matin par surprise après une nuit difficile pour cause de bondage trop serré et de plug maintenu dans son anus avec une cordelette. Elle le lui fit boire intégralement en pinçant ses tétons lorsqu’il s’attardait trop et pour cause, le goût du lait lui semblait bizarre. Prise par son jeu diabolique, elle s’excita grandement et lui parla de recyclage sans qu’il ne comprenne le sens de ses propos. L’envie de sexe la tenaillant, elle ouvrir la grenouillère et la couche puis libéra le sexe compressé de sa cage trop heureux de retrouver un peu de liberté. Entravé, il ne put que la regarder l’enjamber et guider sa verge dans son sexe. L’entrée dans son fourreau brulant lui fit l’effet d’une décharge électrique tant il fut submergé d’agréables sensations. La chevauchée devint fantastique mais délicate pour lui, le plug lui rendant coup pour coup les mouvements réalisés sur son devant. Le voyant chavirer, elle le gifla ce qui calma la précoce montée de sève. Les assauts répétés des chairs brulantes et trempées l’enrobant lui procuraient un subtil mélange de sensation qui se cumulait avec le plaisir de se sentir envahi, rempli puis une douleur légère et follement excitante.

Puissamment secoué par un orgasme délirant il fut foudroyé par l’extase, les spasmes de son corps s’enchaînèrent. Il geignait, les yeux clos roulait la tête en tous sens pendant que Karine prise par son plaisir chevauchait ardemment. Elle se mit rapidement à gémir et à respirer bruyamment avant de se crisper un instant pour de se détendre et s’abandonner à la jouissance en criant son plaisir comme une damnée. Avachie sur lui, elle se remit lentement de cette déferlante de sensations paroxystiques en constatant qu’elle coulait de son sperme. Pour avoir osé la polluer, il dut lécher jusqu’à la lie la minette éplorée goutant sa semence mêlée au sécrétions très généreuses de Karine. Ce n’est que lorsqu’elle estima être suffisamment débarrassée des pollutions masculines, qu’elle se rendit à la salle de bain prendre une douche salvatrice en le plantant là, plugué et sexe à l’air dans ses entraves. Il ne fut libéré qu’une heure plus tard et eut le droit de se rendre seul à la salle de bain où il put faire normalement ses ablutions.

La folie de Karine empira de jour en jour. Michel dut se rentre à son travail en couche et plugué. Fière d’être une dominatrice, elle entreprit également de l’exhiber et de lui faire sucer des hommes sur les parkings de l’autoroute. Une nuit, elle l’attacha nu à un arbre dans un bois connu pour les rencontres gays, puis elle le cravacha durement avant d’écrire sur son dos « esclave à baiser ». Un seul des gays présents profita du cul offert, les autres préférant les câlins plus discrets. Elle prenait également grand plaisir à l’entraver pour sortir le soir, au fur et à mesure de ses sorties nocturnes, Karine augmentait les supplices, avec des plugs de plus en plus gros, le couvrait d’épingles à linge, qu’elle ne retirait que lorsqu’il avait suffisamment léché après qu’elle soit allée faire des folies de son corps avec de « vrais hommes ». Les nuits où il était seul devenaient un enfer pour lui, sa crainte était de mourir de soif et de faim s’il lui arrivait un accident. Les choses allaient trop loin, il pouvait accepter beaucoup de choses de sa Maîtresse mais pas qu’elle joue avec sa vie.

Une sévère dispute éclata, elle le gifla il lui rendit sa gifle.
Comprenant que la situation lui échappait, Karine mit un bémol à l’expression de sa colère mais en échange de ne plus le laisser attaché pour sortir, il fallait qu’il accepte d’être sévèrement puni pour avoir osé la gifler. En l’attachant, Karine ne se doutait pas que sa sévère punition allait la conduire à la rue. Les coups furent si nombreux et violents qu’il décida que cette relation prendrait fin dès qu’il serait libre. Cela ne fut pas le cas tout de suite, son état ne lui permit pas de trouver la force physique de se battre. Cette nuit là, il dormit entravé et en couche mais cela allait être la dernière. Lorsqu’au petit matin elle le libéra pour qu’il se rende à son travail après lui avoir apporté le café au lit, il coupa la cage de chasteté, s’habilla normalement et entrepris de réunir les effets personnels de Karine qu’il empila dans des sacs poubelles devant la porte.

La porte de la chambre s’ouvrit, les yeux embrumés de sommeil elle découvrit le tas de sacs. La cage de chasteté posée sur le dessus des sacs ne pouvait être plus explicite.
Les cris, les menaces et les larmes de Karine n’y firent rien, le soumis avait décidé de ne plus être soumis pour survivre.
TSM

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