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Les vestiaires de la salle de sport

Les vestiaires de la salle de sport



Depuis presque un an, je me rends régulièrement à la salle de sport pour garder ma ligne. Je préfère y aller le soir, presque à la fermeture car il y a moins de monde et c’est plus tranquille ainsi.

Ce soir-là, je suis arrivé comme à mon habitude. La personne en charge de fermer la salle ce soir était Sarah, une jeune magrébine plutôt mignonne avec qui j’avais eu l’occasion de discuter un peu. C’est une brune aux cheveux longs et raides, aux yeux noisettes, le teint métissé, des seins assez gros (je dirais du 95C) et des fesses fermes et rondes.

Je fais ma séance de sport comme à mon habitude et, au moment d’aller prendre une douche, je me retrouve seul avec un autre homme. Sarah nous interpelle et nous indique qu’elle ne va pas tarder à fermer la salle. Je me dis que ce doit être pour l’autre homme car je suis presque un habitué. Nous allons donc dans les vestiaires avec l’autre homme et nous discutons un peu pendant que nous nous préparons à prendre notre douche. J’apprends qu’il s’appelle Fred, qu’il a environ le même âge que moi et qu’il s’agit de sa première séance ici. Nous sommes tous les deux en caleçon et nous nous dirigeons vers les cabines de douche lorsque Fred me propose de faire douche commune pour aller plus vite. J’accepte et nous prenons l’un des cabines de douche. Arrivés dedans, nous enlevons nos derniers vêtements et je le laisse commencer à se mouiller pendant que j’attends en le matant un peu. Je vois que comme moi il s’entretient mais qu’il a aussi un petit ventre à perdre. Ses fesses glabres me font de l’effet et je sens mon sexe qui grossit doucement.

Nous changeons de place pour que je me mouille pendant qu’il se lave. Je le vois me mater lui aussi et se frotter doucement. Il insiste surtout sur ses fesses, ses tétons et son sexe. De mon côté, j’ai rapidement fini de me mouiller puis je me suis mis à me laver plus vite que lui. Je venais de finir de me laver lorsque Fred me demande de lui frotter le dos. J’accepte et il se met dos à moi tout en tendant sa fleur de douche par dessus son épaule. Je lui frotte le dos et je ne peux plus réprimer mes ardeurs. Mon sexe durcit à vue d’œil et mes gestes descendent vers la limite entre le bas de son dos et le haut des ses fesses. Reprenant un peu mes esprits, je lui propose de me rendre la pareille. Je me mets rapidement dos à lui avant qu’il ne soit face à moi pour qu’il ne voit pas mon érection et je lui tends ma fleur de douche.

Il me frotte le dos à son tour et je ferme les yeux tellement c’est agréable avant de les rouvrir une petite minute plus tard en sentant sa main empoigner son sexe raidi de plaisir. Je le vois commencer à me masturber et je le sens se presser dans mon dos, son sexe dur se lovant dans ma raie des fesses. Je ne peux m’empêcher de lâcher un gémissement.

Je me retourne face à lui et nous nous masturbons mutuellement. Soudain, Fred me plaque contre le mur, ce qui déclenche l’eau de la douche, et ses lèvres viennent à la rencontre des miennes. Je lui rends son baiser et rapidement nos langues jouent ensemble. Au bout de quelques minutes, l’eau a fini de nous rincer et je le vois descendre le long de mon corps jusqu’à être à genoux devant moi, ou plutôt devant mon sexe. Il se met rapidement à me sucer et j’apprécie ce moment. Aux bouts de quelques minutes, Fred se relève. J’allais me mettre à genoux pour lui rendre la politesse lorsqu’il me retient, me prend la main et m’emmène dans les vestiaires.

Fred installe sa serviette sur le banc puis s’allonge dessus, le bassin au bord du banc. Je m’installe à genoux entre ses jambes et je lui prodigue à mon tour une fellation qui semble lui plaire au bruit de ses gémissements. Je descends le long de son membre jusqu’à ses testicules puis je continue plus bas encore. Fred relève alors ses jambes et s’écarte les fesses pour me laisser libre cours à son anus que je m’empresse de lui lécher. N’y tenant plus au bout de quelques minutes, je me relève légèrement et présente mon sexe, gluant de mon pré-sperme, à l’entrée de son cul.

Au moment où j’allais pénétrer Fred, mon attention se porte sur la porte d’entrée des vestiaires et je vois cette dernière entrouverte. Je regarde un peu mieux et je vois que quelqu’un nous observe par l’interstice. Je fais alors signe à cette personne de nous rejoindre et je vois Sarah entrer, les joues rouges. Je me lève et vais à sa rencontre, le sexe encore bien dur. Fred, lui, reste allongé sur le banc mais ne perd pas une miette de ce qui suit. Je positionne alors Sarah devant lui et je me mets derrière elle. Je cale bien ma bite entre ses fesses et je commence à la caresser. Fred a repris son sexe en main et se touche doucement.

Son t-shirt, son pantalon, son soutien-gorge et sa culotte se retrouvent rapidement à terre. Ses seins, sans aucune marque de bronzage, ont des tétons et des aréoles bruns. Ses tétons durcissent fortement sous mes caresses et la jeune femme ne peut retenir des soupirs et des gémissements. Rapidement, je lâche un de ses seins pour tourner sa tête vers moi puis plonger jusque son intimité vierge de tout poil. Je l’embrasse à pleine bouche pendant que je m’attèle à lui titiller le clitoris. Elle ne tarde pas à avoir un premier orgasme et je sens sa cyprine couler sur mon sexe qui s’est retrouvé entre ses jambes entre temps.

Je la mets à genoux devant moi et lui fais sucer ma bite. Fred se décide enfin à se lever pour nous rejoindre et profite également de la bouche de Sarah. Cette dernière ne se fais pas prier et nous prend même en bouche tous les deux en même temps pendant que nous échangeons des baisers devant son regard de débauchée. Au bout d’un moment, je la relève face à moi et je la fais s’agripper à mon cou. Avec l’aide de Fred, je la soulève et l’empale sur mon sexe. Sarah couine de plaisir à chacun de mes coups de butoir et Fred en profite alors pour aller lui lécher l’anus puis remonte et s’enfonce dans son cul avec une telle facilité que je me dis que c’est loin d’être sa première sodomie. La jeune femme gémit encore plus fort et ne tarde pas à jouir une seconde fois.

Après que Sarah ait repris ses esprits, nous la redescendons de nos bites puis elle s’allonge sur Fred sur le banc pour le chevaucher. Je me poste derrière eux et j’ai une vue imprenable sur sa chatte luisante de cyprine et son anus encore rougie de sa précédente saillie. Je ne tiens plus et me plante dans son cul, ce qui lui refait chanter sa symphonie de gémissements comme auparavant. Toutefois, avant qu’elle n’atteigne l’orgasme à nouveau, je ressors mon membre, ce qui lui fais pousser un grognement de mécontentement avant de crier de surprise lorsqu’elle sent une deuxième bite dans sa chatte. Un troisième et dernier orgasme la foudroie peu de temps après puis elle s’endort sur Fred, nos bites encore en elle. Je me retire et descends encore pour m’enfoncer dans le cul de mon amant du soir. Celui-ci ne tarde pas à prendre son pied, surtout qu’il est encore dans Sarah. Au moment de jouir, Fred me demande de la soulever car il ne veut pas jouir en elle. Je prends donc Sarah par le bassin et la soulève promptement, ce qui la réveille. Fred jouit alors sur leurs deux ventres.

Ce dernier se relève, se nettoie, se rhabille puis s’en va en nous saluant. Entre temps, j’avais récupéré Sarah dans mes bras, assise sur moi, les jambes entourant mon bassin. Elle resta ainsi pendant plusieurs minutes pour se reposer encore un peu, la tête lovée dans mon cou. De mon côté, je bandais encore et le contact de sa peau contre la mienne n’aidait pas à calmer mes ardeurs. Soudainement, Sarah m’embrasse dans le cou puis remonte jusqu’à ma bouche. Cela devient alors une étreinte plus passionnel qu’au début puis elle prend mon sexe toujours dur et l’insère dans son vagin. Elle me regarde souriante et me dit que je peux jouir en elle sans souci car elle prend la pilule. Nous recommençons nos va et vient mais cette fois-ci nous y allons plus doucement, plus langoureusement, comme deux personnes amoureuses. Je ne peux toutefois m’empêcher de lui mettre un doigt dans son anus et de lui prendre les seins à pleine bouche. Elle gémit à nouveau. Je ne peux plus résister et je jouis donc en elle.

Nous partons nous nettoyer sous la douche, toujours en nous embrassant, et nous finissons de nous rhabiller. Lorsque je pars de la salle de sport, Sarah avait déjà deux heures de retard sur sa fermeture. En voyant cela, nous sommes partis dans un fou rire puis nous nous sommes quittés.

Ce soir, je retourne à la salle de sport. Je verrais avec elle pour la fermeture.

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