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Le train premiére partie

Le train premiére partie



Il y a quelque temps, à bord du train m’emmenant à Paris, j’étais seule dans le compartiment. Une envie pressant m’oblige à aller aux toilettes. En revenant, je vois un magazine sur ma banquette. Je ne me rappelais pas l’avoir vu tout à l’heure. Curieuse, et comme je n’ai rien à lire, je me met à feuilleter cette revue. En y regardant de plus prés, il s’agit d’un « UNION ». Comme j’étais seule dans le compartiment, je me suis mise à le lire.

Très vite, je me suis sentie excitée par les confessions que je lis. Machinalement, d’une main je me caresse doucement ma fente devenue humide. Sentant le plaisir arriver, je regarde autour de moi et enléve prestement ma main de peur d’être vue.

Je referme la revue, mais la honte ressenti mêlé au plaisir me pousse à continuer la lecture. Étant toujours seule, je me retrouve les cuisses ouvertes, une main tenant la revue, l’autre au fond de ma culotte pour apaiser le feu qui brûle dans mon ventre.

Dans mon excitation, j’explose rapidement et me mords les lèvres pour ne pas crier. Mais perdue dans mes délires, je n’avais pas vu qu’on m’observait.

Deux black d’une vingtaine d’années sont face à moi. Il ont eu une vue imprenable sur mon orgasme. Je suis morte de honte et ne sais quel comportement adopter devant ces deux mecs qui sembles avoir apprécié le spectacle. Je crois rêver quand je les vois sortir leurs bites et commencer à se branler énergiquement.

L’un des black me dit alors :
« Alors salope on se mastube sans nous inviter ? Regarde les belle queues qui sont à ta disposition ! Viens nous pomper putain ! Tu dois être une bonne salope ! »
J’ai la trouille mais je suis si excitée que je me met à genoux et commence à pomper les deux lascards.

Ma langue passe tour à tour sur le gland rose et sur les jolies couilles dures. J’alterne d’une queue à l’autre. Les deux black me soulève comme un fétu de paille et me mettent à 4 pattes. Je me cambre pour bien en recevoir l’un deux et reprend l’autre dans la bouche. Sa bite entre dans mon minou très facilement. Les deux mâle se mettent à me défoncer la bouche et la chatte. Ma honte a disparue et c’est divin.

Celui qui me baise me donne en même temps des fessées en me demandant :
« Alors t’aime être prise comme une chienne salope ! T’aimes que je te claque le cul poufiasse ! »
Je ne sais plus où j’en suis. Je me fais traiter de salope et de chienne et j’ai ça. Et c’est vrai que je suis à ce moment là une  vraie chienne prise comme une salope et soumise aux assauts de ces deux mâles en rut.

Rapidement, ils m’ont envoyé leur jus sur la poitrine, le visage et la chatte. Je suis aux anges. A cet instant, le contrôleur entre dans le wagon. Je suis couverte de sperme et je tiens en main les deux queues ramollissantes. Mon sexe est offert au regard du contrôleur. Un moment, il reste muet, ne pouvant détacher son regard de ma chatte ouverte comme un fruit juteux.

Le contrôleur rougie et balbutie :
« C’est quoi ce travaille ? Je vais vous verbaliser et appeler la police ! »

L’un des black lui dit :
« C’est une pute ! Regardez sa chatte ne demande qu’à être remplie ! »
Encore dans mon état d’excitation, je renchéris :
« Oui, vous voyez bien ! Et puis ma chatte ne vous laisse pas indifférent. »
Le contrôleur nous regarde tour à tour avec des yeux écarquillés. Je sens qu’il est tenté mais que son devoir lui interdit de faire une chose pareil. Il s’approche et je lui prends la tête pour qu’il me bouffe le minou. Il s’affaire rapidement sous les yeux des deux black. Et je suis comme transportée sur un nuage de débauche avec en bruit de fond le roulement lancinent du train.
« Oui c’est ça, passes ta langue sur mes lèvres, oui comme ça !! Ouiii c’est bon !!! »

Je joui de nouveau sous la langue perverse. Mais comme ça ne lui suffit pas, Il sort sa queue et je suis obligée de le sucer jusqu’au bout. Quand il éjacule dans ma bouche, il m’ordonne :
« Avale ou j’te met une amende pour exhibition ! »

Il n’a pas besoin de me le dire deux fois et je déglutis sa semence crémeuse. Il sort de ma bouche en me disant :
«  Ce fut un super moment. Maintenant filez tous avant que je me ravise sur votre sort. »
Je reste dans le couloir du wagon, souillée et seule. Mais je n’ai pas vu le temps passer et nous arrivons en gare. Je me rhabille vite fait, m’essuie tant bien que mal et les porte s’ouvrent. De retour à la maison, je raconte tout à mon mari. Il reste calmement à m’écouter narrer mon histoire. Mais je sais aussi que ça doit formidablement l’exciter. Mon récit à peine terminé, il me culbute sur la table et me prend avec une v******e peu commune.

Il c’est retiré et en me traitant de pute et m’a éjaculé dessus.

Ensuite, il m’a mis sur ses genoux et j’ai reçu une fessée monumentale en me disant :
« Puisque tu est une pute, je vais te traiter comme une pute et te donner à dresser à un Maître ! »

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