e week end arriva enfin pour moi, aprés un dimanche bien remplit, je décida de sortir un peu.
Je rentra chez moi prendre une douche et décida d’aller décompresser de la semaine chez un ami qui a un bar où de belles filles se rejoignent.
Je n’ai pas tort, comme d’habitude, le bar était bien remplit, de jolies filles.
– Salut Greg
– Salut Julien
– Comment vas tu?
– Ca va, j’ai terminé le boulot et je viens te voir pour passer un moment de détente chez toi.
– C’est sympa, tu as vu, ce soir, il y a le choix.
– C’est clair.
Je m’assois au comptoir pour discuter plus facilement avec mon ami.
Je prend une coupe de champagne, puis deux, tout en bavardant.
D’un coup une belle brune, m’accoste en m’appelant par mon prénom.
– Nous nous connaissons?
– Oui, on a travaillé il y a longtemps au Jardin des gouts!
– Ah oui, Sonia, c’est ça?
– Tout à fait!
– Que deviens tu?
– Maintenant je travaille au Soleil, et je viens de terminer le travaille et je traine avec les collégues de travail avant de rentrer, et toi?
– Ben j’ai mon propre restaurant, le Gourmandise.
– C’est bien que tu es réussis.
– Bon je rejoins les autres, peut être à tout à l’heure…
– Pas de probléme.
La soirée continua son fil, quand Sonia disa au revoir à ses collègues, elle me rejoignit, nous avons terminés la bouteille de champagne tous les deux avec un peu l’aide de Greg.
Il commencait à se faire tard, je lui dis.
– Bon j’y vais…
– Tu ne veux pas terminer la soirée chez moi, c’est juste à côté.
– Je suis un peu claqué, mais bon ça fait longtemps que l’on ne sait pas vu et puis demain je ne bosse pas.
– Ca tombe bien, moi non plus.
Je paie la bouteille et nous voilà partis.
200 métres plus loin, nous entrames dans un immeuble, pour nous rendre chez elle.
Petit appartement sympa, sobre et bien agencer.
– Vas y installe toi, je prend une douche et j’arrive.
– Ok, je t’attend.
Elle avait une belle vue sur la ville illuminée, du cinquiéme étage.
6 minutes plus tard, la revoilà, avec encore les cheveux humide, et juste un short qui faisait ressortir son petit cul et un tee shirt bien moulant ses seins, sans soutif.
– Je me suis dépéchée pour éviter de te faire attendre, ça ne te dérange pas ma tenue?
– Oh non pas du tout.
– Je dois t’avouer quelque chose!
– oui et quoi?
– Quand tu passais derriére moi dans cette cuisine étroite, je faisais exprés de me cambrer légérment pour te sentir contre mes fesses.
– J’avais remarquer…
Elle se leva, je ne pu m’empécher de regarder son petit cul dans ce short, fit deux cocktails dont elle avait le secret.
On le bu tout en se remémorant les bons souvenirs et anedoctes passer ensemble pendant 3 ans dans le même restaurant.
Elle m’avoua aussi, qu’elle avait flashé sur moi, et que moi aussi, mais sans se l’avouer réellement.
L’alcool aidant nous nous sommes mis à nous embrassez, elle se mit rapidement à me caresser l’entre jambe et senti mon excitation.
Ce mis à genoux devant moi, m’enleva le pantalon et caleçon et suça ma queue bien raide, comme une affamée, elle sucait comme une déesse, une bouche bien humide, sa salive couler le long de ma verge, pour terminer sur mes couilles, qu’elle aspirait de temps en temps.
Je lui enleva son tee shirt, qui me fit découvrir ses seins avec des tétons tout durs!
Elle se releva, enleva son short, elle ne portait rien dessous, je vis une magnifique chatte toute lisse et bien fermer.
On alla dans son lit, je lui lécha son minou avec délectation, tout en lui enfoncant des doigts, je sentais sa mouille qui ruisseler.
Elle me dit:
– Enfin, depuis le temps, que je voulais le faire avec toi, je sens que je ne vais pas regretter!
– A toi d’en juger!
J’enfonca ma queue bien dure dans cette chatte si accueillante et humide, ça glissa tout seul, je sentais le long de ma verge son jus qui lubrifier à merveille mes coups de piston, elle gémissait de plaisir.
– Vas y baise moi comme une salope, défonce moi!
– Tu aimes sentir ma queue en toi!
– Oh oui.
Je la pris en levrette, en missionnaire, contre le mur, nous avons fait le tour de sa chambre.
Je me suis surpris d’avoir une telle endurance, ce fut intense, je lui pilonnais la chatte à grand de bite bien dure, elle en voulais toujours plus.
– Défonce moi le cul aussi!
– J’arrive!
Je rentrais doucement dans son petit trou, elle s’empala dessus avec force, je lui laboura le fion bien dilater par ma queue!
N’en pouvant plus je lui demanda quel trou elle voulait que je lui remplisse?
Elle se retourna et m’aspira la bite avec sa bouche, me suça comme elle savait le faire, ne me retenant plus, je lui remplissa la bouche de mon sperme, malgrés la bouche pleine de ma semence, elle continua à aspirer tout en pompant.
Elle avala mon jus d’une seule traite!
On s’embrassa et nous nous sommes endormis ensemble dans les bras l’un et l’autre.
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