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Chap 15 : VOISINE MUTINE

Chap 15 : VOISINE MUTINE



Lors de ma dernière année d’étudiant à Nantes, je vivais en colocation avec Ronan. Nous étions dans une petite résidence de deux étages, où une vingtaine d’appartements était peuplée prioritairement par des étudiants.

Fin septembre, après la rentrée universitaire, le concierge de l’immeuble à organiser un pot d’accueil comme tous les ans. C’était un bon moyen pour que tous les résidents fassent connaissance et pour favoriser la cohabitation.
Ce dernier avait prévu un petit apéro dinatoire. Il avait préparé une grande marmite de punch et avait commandé une multitude de petits fours.

C’est à cet événement que j’ai rencontré Sabine la première fois.
Nous bavardons avec un couple voisin, lorsque Ronan m’interpelle en me tapant sur l’épaule, toujours aussi distingué:
– Regardes la paire de loches qu’elle a celle-là.
En me retournant, je découvre la jeune femme retardataire.
C’est une petite femme aux cheveux très courts, rouge vif, avec une petite houpette, qui débarque dans la salle. Les yeux foncés, les lèvres aussi rouges que sa chevelure. Elle a un certain charme. Bien évidemment, ce n’est pas son doux visage que j’ai remarqué au premier regard, mais son oppulente poitrine, comme si deux melons étaient cachés sous son sous-pull rouge moulant. Elle porte un pantalon noir moulant qui dessine ses larges hanches et façonne son bon foufouillon. Une paire d’escarpins rouges finit le costume (Décidément, elle aime le rouge).
Visiblement, elle n’est pas étudiante, et c’est en dégustant un verre de punch ensemble que nous faisons connaissance.
Sabine à 27 ans, vient d’un petit village à côté de La Rochelle. Elle est venue à Nantes pour le travail début août. Elle a un poste de vendeuse/conseillère dans une célèbre enseigne de cosmétiques (je comprends mieux le maquillage et ses fragrances qui me chatouille le nez).
Son appartement était juste en dessous du mien et ce soir là, nous avons été à plusieurs chez elle, à discuter de tout et de rien.

Sabine et moi sommes rapidement devenus de bons copains. Je squattais régulièrement chez elle le soir. Ca nous arrangeait bien tous les 2. Elle qui ne connaissait presque personne,sauf ses collègues de travail, je lui tenais compagnie et moi ça me permettait de laisser un peu d’intimité à Ronan et Claire, sa nouvelle petite amie.

Même si je la trouvais « cocotte », je n’espérais rien de Sabine. Premièrement parce qu’elle m’avait bien précisé qu’elle n’était attirée que par des hommes plus âgés qu’elle. Avec nos 4 ans de différence, je ne l’intéressais pas. Et deuxièment, moi j’étais enchevêtré dans mes histoires de fesses à droite, à gauche. Ce n’était pas le genre de Sabine. Elle ne pouvait concevoir une relation sexuelle sans sentiment. Impossible pour elle d’envisager un plan cul ou une nuit sans lendemain, c’était réservé aux salopes.

Les vacances de février viennent de s’écouler. Plus de 15 jours que je n’ai pas vu mes potes. Il y a un match de foot ce soir à la télé. Mon coloc Ronan et moi-même invitons nos deux autres amis Matthieu et Yann pour un apéro et la retransmission du match.
En rentrant des courses, Ronan et moi croisons Sabine dans le hall de l’immeuble. Nous ne l’avions pas vu depuis un petit moment.
– Ca va les gars? Vous avez passé de bonnes vacances?
– Oui très bonnes et toi, quoi de neuf?
– Oh rien de spécial, le boulot tous les jours.
– Ok. Et tu t’en vas où là?
– Nul part, j’ai oublié un truc dans ma voiture.
– On fait un petit apéro ce soir, passes boire un verre si tu n’as rien de prévu.
– Ca marche, je passerai. A tout à l’heure.

Ce soir là j’étais d’humeur taquine et le fait de ne pas avoir vu Sabine depuis quelques temps, j’ai décidé de l’embêter.
Pendant une bonne partie de l’apéritif, je l’ai charriée amicalement, je lui pinçais les cuisses, je la chatouillais. Elle me rendait la monnaie de la même façon.

Puis, un peu avant le début du match, j’ai souhaité fumer une cigarette. Je me suis dirigé dans ma chambre pour prendre mon paquet, mais Sabine m’a surpris de façon mesquine. Elle m’a poussé sur le lit, est montée sur moi et m’a chatouillé à nouveau.
En me débattant, j’ai touché l’un de ses seins involontairement et j’ai commencé à me faire des idées. Surtout que je n’ai pas fait l’amour depuis Aurélia ( voir chapitre précédent ), soit plus d’un mois et demi et ça commence à me démanger.
– Bon allez, arrêtes s’il te plaît, le match va commencer et j’aimerais bien fumer une clope avant.
– C’est pas bien de fumer, me dit-elle en piquant mon paquet.
– Rends-moi ça.
– Je te le rends si tu arrives à le prendre, me répondit-elle joueuse.

Elle est partie en courant dans le couloir.
Je l’ai poursuivi jusqu’à son appart’. Je l’ai bloquée dans sa chambre, chacun d’un côté du lit, elle ne pouvait plus s’échapper.
– Allez Sabine, arrêtes de déconner et files-moi mes clopes.
Elle me regarde droit dans les yeux et glisse le paquet dans son string:
– Viens le chercher.
– Si tu crois que ça va m’arrêter…
J’ai fait le tour du lit, je l’ai plaquée contre le mur et j’ai glissé ma main sous les élastiques de son pantalon et de son string. Elle s’est laissée faire.
Lorsque j’ai saisi mes cigarettes, mes doigts ont effleuré ses lèvres. Elle mouillait grave.
– Tu es excitée dis-moi.
J’ai voulu retirer ma main, Sabine a posé ses deux mains sur mon avant bras pour m’empêcher de sortir:
– Baises-moi.
Je venais de comprendre que tout ça n’avait été qu’un stratagème pour m’attirer chez elle.

On se galoche comme des dingues. Nos langues se cherchent, s’enroulent dans un tourbillon salivaire. On se caresse partout à travers nos vêtements. Très vite, elle se retrouve en string et soutif. Elle a mis spécialement son ensemble rouge à dentelle.
Je lui malaxe les seins, je palpe ses fesses à la peau d’orange.
Je suis dans un état second.
Elle retire mon tee-shirt et bisoute mes pectoraux en cajolant la bosse formée dans mon jean’s.
Elle me pousse en arrière sur le lit, monte sur moi. Elle défait ma ceinture, déboutonne et abaisse mon pantalon, sort ma queue et entame une turlutte de rêve.
Elle me lèche la hampe, puis le gland qu’elle suçote par moment. Je râle de plaisir. Elle m’astique le manche rapidement avant de faire coulisser ses lèvres jusqu’à la garde. Elle me flatte les bourses en même temps, je suis sur un nuage.
Elle se redresse et dégrafe son soutien-gorge pour libérer ses gros obus. Je découvre enfin la raison pour laquelle je l’ai remarqué la première fois.
Au final, je ne les trouve pas si beaux. Ils sont assez espacés l’un de l’autre, ils tombent un peu et ses auréoles sont trop grandes à mon goût. Mais, je suis si excité que je me caresse en la regardant se masser les nichons devant moi.
Elle revient à la charge, et gobe ma tige à nouveau, jusqu’à ce que je lui gicle au fond de la gorge. Mes petits soldats ont découverts son estomac.

Sabine remonte sur moi et pose ses lèvres sur les miennes. Elles collent encore de mon nectar.
Ses mamelles s’aplatissent contre mon torse, je vibre et mes mains parcourent ses fesses molletonnées.
Je la fais chavirer sur le lit, me retrouvant cette fois sur elle.
Je coince ma tête entre ses seins et la secoue rapidement de gauche à droite (j’ai toujours voulu faire ça). La jeune femme se met à rire joyeusement. Je reprends mon sérieux et je lui délivre plusieurs jeux de bouche sur ses roploplos. Bisous, lèchouilles, suçons, mordillages.
Tout ça la chatouille et lui fait du bien:
– Continues grand fou, j’adore qu’on s’occupe de mes seins.
Je réitère les mêmes gestes, en ajoutant quelques caresses et pincements.
Mon autre main titille l’élastique de son string, il est temps que j’aille voir ce qu’il se passe dessous…
C’est encore plus humide que tout à l’heure, c’est une zone marécageuse. Je caresse ses lèvres et mon majeur vient prendre sa température. Il pénètre facilement dans sa fente et j’entends enfin un premier soupir. J’y ajoute un second doigt et la masturbe de plus en plus vite. Je la regarde jubiler:
– Ca va, c’est bon?
– Hum, oui, quelle dextérité, j’espère que tu es aussi doué avec ta queue.
Cette petite phrase me surmotive et je décide de mettre en application tout mon savoir faire.
Je m’installe confortablement entre ses cuisses, je décale l’élastique de son string sur le côté et je la doigte énergiquement à deux doigts en appuyant fort sur les parois de son vagin, pour stimuler son point G.
La pointe de ma langue vient également à la rencontre de son bouton rose déjà bien lubrifié.
Je le titille, le lèche, l’aspire.
Sabine roucoule de plaisir en me caressant les cheveux.
Mes phalanges sont trempées de cyprine, ses lèvres aussi. Je les suce et les aspire (ce que j’affectionne particulièrement), tout en badigeonnant sa rondelle de son jus. Son petit trou s’ouvre et se rétracte au contact de mon majeur, il appelle la pénétration digitale.
Tout en parachevant mon cunilingus, j’enfonce mon doigt entre ses fesses. La montée orgasmique est proche, elle gémit plus fort:
– Oh la vache, c’est trop bon, tu vas me rendre folle…
– Mais c’est le but ma chère.
J’accélère le rythme de mes va-et-vient dans son orifice anal, je l’embrasse dans l’aisne, dans le creux des adducteurs, je mordille l’intérieur de ses cuisses, elle part en live en criant sa jouissance.
Elle replie ses jambes en arrière en se tenant par les pieds. Je ne rêve pas, elle m’offre véritablement son cul. Ma queue a repris toute son envergure, on va pouvoir passer au chapitre final.

Sabine me fait signe de prendre un préservatif dans un tiroir. Je déchire l’emballage avec mes dents et le déroule délicatement.
Je me saisis de ma verge à une main, dépose un filet de salive sur mon gland et je pointe mon dard à l’entrée de son anus.
Mon gland profilé, telle la tête d’une ogive nucléaire, n’a aucun mal à rentrer, mais je lui fait mal lorsque je m’avance un peu plus:
– Ouille!!! Vas-y doucement s’il te plaît.
Je me maîtrise et je la possède par derrière en douceur. Voir mon sexe rentrer centimètre par centimètre et son anneau rectal s’élargir et se dilater lentement m’excite totalement.
Petit à petit j’augmente la cadence de mon bassin. Elle geint de plaisir et plus elle couine, plus mes coups de reins sont puissants.
On se regarde, on se sourit, on s’extasie ensemble. La chaleur de son canal étroit me fait tout oublier. Mes potes, le match de foot, la clope que je voulais fumer. Je grogne de plus en plus. Je sens que je vais jouir, mais je veux en profiter encore. Alors je me retire et je lui lèche la chatte à nouveau. Ma langue farfouille son puits d’amour dans un mélange de salive et de mouille.
Ma partenaire à la croupe merveilleuse me veut en elle.
Ma queue écarte ses lèvres et voyage dans les profondeurs de son minou. Ses gros seins tréssautent pendant que je la lime de plus en plus fort et de plus en plus vite. Le clapotis de nos sexes nous enchante. Ses mains appuient fortement sur mes fesses:
– Oh oui, continues, baises-moi, je viens, oui, je viens.
Elle jouit bruyamment, cela me gêne presque que les voisins puissent nous entendre, mais je continue mon œuvre. Je suis également près du moment de gloire. Je la besogne de tout mon cœur jusqu’à la délivrance où j’explose en râlant:
– Aaaahhh, oui putain, ce que c’est bon…

En nous rhabillant, j’ai repris mes esprits. Je venais de réaliser ce qu’il venait de se passer:
– C’était sympa non?
– Oui, c’était très bon. Ce sera à refaire.
– Avec plaisir. Mais je suis surpris, je croyais que les relations purement sexuelles ne t’intéressaient pas.
– Il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis. Et puis je t’avoue je suis un peu en manque en ce moment et ton absence auprès de moi ces derniers temps, a réveillé quelque chose en moi. Tu m’as toujours plu, mais je ne voulais pas briser mes principes.
J’avais envie de toi, de sexe tout simplement, alors je me suis laissée aller pour une fois.
– Heureux que ce soit avec moi.

Finalement, Sabine et moi n’avons jamais recouché ensemble. A 27 ans, elle attendait autre chose d’une relation. Ce qu’à l’époque je ne pouvais lui apporter, mais je comprenais très bien son besoin de stabilité.

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